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Trucs et Bricolages

5 signes qui montrent que vous êtes en déficit de sommeil

Le manque de sommeil a divers impacts sur notre santé et pourtant, nous sommes nombreux à en souffrir Ainsi, en France seulement, un individu sur trois est aux prises avec un trouble du sommeil.

Ce qui peut entraîner du stress et fragiliser le système immunitaire.

Dans un article publié dans Mùrie Claire en 2020, Mounir Chennaoui, chef de l’unité fatigue et vigilance de l’Irba (Institut de recherche biomédicales des armées), expliquait que « Une nuit de sommeil normale se compose d’une succession de quatre à six cycles qui durent de 90 à 110 minutes, selon les individus ».

D’après les recommandations du réseau MORPHEE, un.e adulte a besoin de dormir en moyenne 7h chaque nuit (même si on doit y aller au cas par cas). Mais ce n’est pas le cas pour bien des gens.

Au fil du temps, une dette de sommeil,  peut à court, moyen ou long terme, avoir de répercussions conséquentes sur la santé. 

Même quand on pense dormir assez, il se peut que ce ne soit pas le cas. Voici 5 signes qui montrent qu’on ne dort pas assez:

Des défenses immunitaires affaiblies

Le déficit de sommeil affecte première le système immunitaire. Donc, migraine, nez qui coule, fièvre. etc. sont des signes à ne pas négliger.

Nicky Blakeman, coach du sommeil, à confié à Stylist UK qu’il existe un lien direct avéré entre le sommeil et le système immunitaire.

« C’est est une période importante de repos corporel et le fait de dormir assez, à savoir entre 7 à 9 heures par nuit, aide à vous assurer que votre organisme est capable de combattre efficacement les bactéries et les virus », a-t-il affirmé.

Une envie de sucre et de mal bouffe

L’envie intense de desserts, de bonbons ou de chocolat juste avant le coucher peut aussi être un signe de déficit de sommeil.

 Nicky Blackeman explique que « Lorsque vous manquez de sommeil, vos hormones de la faim sont directement affectées, ce qui vous donne envie d’aliments riches en sucre et en sel ». 

Le fait de manquer de sommeil altère la production d’hormones régulatrices de l’appétit en augmentant la production de ghréline, qui est une hormone liée à la sensation de faim et en diminuant le taux de leptine, qui est associée au sentiment de satiété, selon Isabelle Mallet, nutritionniste à Paris.

D’après  une étude publiée dans la revue Nature Communications le 6 août 2013, un humain désirera un apport calorique plus grand lorsqu’il manque de sommeil, soit  300 à 900 calories de plus qu’en cas de repos optimal.

Le manque de sommeil influence également  l’activité métabolique et réduit entre autres nos dépenses énergétiques. 

Un endormissement trop rapide et des nuits entrecoupées

Cela peut surprendre, mais le fait de  s’endormir trop vite peut aussi démonter un   manque de sommeil.

« On pense souvent à tort que s’endormir dès que l’on se met au lit signifie que l’on a un sommeil sain. Bien que cela puisse être le cas, cela peut aussi être un signe que vous manquez de sommeil. En effet, le manque de sommeil de qualité et les perturbations du sommeil vous rendent plus susceptibles de vous endormir plus rapidement la nuit suivante » a affirmé Nicky Blakeman.

Ce que la Dre Frida Rångtell, médecin du sommeil a confirmé  Well and Good.

« Si notre sommeil est fragmenté et que nous nous réveillons très souvent, la qualité du sommeil peut être moindre, même si nous dormons suffisamment d’heures », a-t-ele rappelé.

Une libido moindre

Selon le site Medical News Today, un déficit de sommeil peut affecter la production d’hormones, comme celles de croissance et de testostérone. Ce manque entraîne aussi la libération par l’organisme d’hormones de stress supplémentaires, comme la norépinéphrine et le cortisol.

« La privation de sommeil a été reliée à une baisse de la libido, la somnolence et la fatigue ayant un impact négatif sur le désir », a expliqué Nicky Blakeman.

Selon étude parue dans The Journal of Sexual Medicine, une heure de sommeil de plus chaque nuit augmente de 14% l’envie de faire l’amour le jour suivant. 

Un manque de concentration et des troubles de mémoire 

Les troubles du sommeil peuvent amener un impact important sur notre psychisme et la bonne santé de notre cerveau. 

De nombreuses études démontrent que les gens qui sont privés de sommeil présentent une augmentation d’émotions négatives (colère,  frustration, irritabilité et  tristesse. 

« Le manque de sommeil affecte le cortex préfrontal, qui gère le raisonnement, et l’amygdale, qui gère les émotions », lit-on dans Medical News Today.

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Bébé et cie

Un chien détecteur de stress pour aider les enfants à l’école

Chaque matin, Cali, une chienne de 18 mois, renifle les 85 étudiants de l’école Calais à Whippany, au New Jersey. Elle aide sa maîtresse, la spécialiste Casey Butler, à détecter les jeunes qui ne se sentent pas bien.

Cali peut déceler l’odeur du cortisol chez l’humain, une hormone produite en réponse au stress ou à l’anxiété. De plus, sa présence met les enfants en confiance. Tour à tour, elle passe devant eux, puis en gestes très discrets, Mme Butler sait si tel ou tel élève est en situation de stress.

Le New York Times rapporte que l’enfant est surpris lorsqu’il dit bien aller et que Casey Butler affirme « Eh bien, Cali me dit le contraire ».

Les enfants concernés ont tous des difficultés à gérer l’anxiété et le stress, puisqu’ils souffrent d’autisme, de déficit d’attention ou d’autres troubles du comportement.

Cali arrive même à diriger la spécialiste vers des élèves en difficulté qui sont à l’autre bout d’un couloir.

L’initiative a été chaudement accueillie par tout le personnel enseignant. La réussite du programme ouvre donc la voie à d’autres écoles qui souhaiteraient venir en aide de cette façon aux élèves nécessitant des soins spéciaux.

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Un traitement contre le déficit d’attention pourrait traiter la dépendance à la cocaïne

Le Daily Mail (UK) rapporte une nouvelle étude qui abonde dans le même sens que certaines précédentes, qui affirment toutes que le populaire traitement Ritalin contre le déficit d’attention pourrait également venir en aide à certains toxicomanes.

On parle principalement des personnes souffrant de dépendance à la cocaïne, révèle cette plus récente recherche sur le sujet, puisque le Ritalin permettrait un changement au cerveau qui réduirait certains symptômes liés à cette dépendance.

Par exemple, le traitement permettrait d’améliorer le système de contrôle de soi, en plus de diminuer la férocité de la sensation de manque.

Les chercheurs en tête de cette recherche, basés à l’Icahn School of Medicine at Mount Sinai, rapportent également qu’une seule dose de Ritalin permet de créer des changements observables et significatifs.

« Le Ritalin administré oralement permet d’augmenter les taux de dopamine au cerveau, comme la cocaïne, mais sans les propriétés de dépendance », lance Rita Goldstein, professeure de psychiatrie au Mount Sinai Hospital.

S’il y a donc de l’espoir pour les gens dépendants de cette drogue, on rappelle que plusieurs études ont suggéré l’effet inverse, c’est-à-dire qu’une prise continue de Ritalin chez un jeune individu augmenterait les risques de créer une dépendance à la cocaïne dans le futur. 

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Le TDAH peut se poursuivre jusqu’à l’âge adulte

The National Library of Medicine rapporte une étude qui suggère que le fameux TDAH, ou trouble du déficit de l’attention et d’hyperactivité, peut aussi se transposer dans la vie d’adulte.

On croit souvent que le trouble est plus juvénile ou adolescent, mais cette étude du Developmental Medicine Center, situé au Boston Children’s Hospital, révèle des statistiques étonnantes.

On apprend que les jeunes souffrant du TDAH sont nombreux à encore en ressentir les effets jusqu’à la fin de la vingtaine. En fait, c’est près de 30 % du groupe qui sera encore affligé par le trouble à l’âge de 27 ans.

Ces révélations, publiées dans l’édition du 4 avril du journal Pediatrics, permettent de mieux comprendre le développement du TDAH.

« Ceci démontre que le TDAH est une condition chronique sérieuse, qui n’est pas présentée adéquatement. C’est probablement une description plus exacte de ce qui se passe dans le vrai monde », lance le Dr William Barbaresi, qui commente sa propre étude.

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Le yoga au secours de la santé mentale

Il appert que le yoga n’a pas que des vertus sur la santé physique, mais aussi sur la santé mentale. La discipline pourrait, apprend-on sur Santé Log, avoir des effets bénéfiques sur plusieurs aspects en santé mentale, notamment dans le traitement de la dépression et de la schizophrénie.

C’est du moins ce que croient les chercheurs de l’Université Duke, le Dr P. Murali Doraiswamy en tête, qui dévoilent les résultats d’une étude probante sur le sujet.

Ainsi, on apprend que la pratique du yoga peut non seulement aider les gens aux prises avec des troubles dépressifs légers, mais aussi ceux qui sont confrontés à des problèmes de stress, de sommeil, d’hyperactivité, de schizophrénie et de troubles de l’attention.

Bien que l’on prenne le soin de préciser que ceci implique surtout les troubles de dépression légère, et que tous ces maux ne peuvent malheureusement pas être réglés uniquement grâce au yoga, on confirme l’efficacité de ce « traitement »

Pour en arriver à une telle conclusion, les chercheurs ont analysé les données de 124 autres études sur le sujet, qui abondent presque toutes dans le même sens.

On peut retrouver ces conclusions dans la plus récente édition de Frontiers in affective Disorders and Psychosomatic Reseach.

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Le déficit d’attention à l’origine de plusieurs autres problèmes de santé?

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui prétend que les troubles de déficit d’attention et d’hyperactivité pourraient bien mener à d’autres problèmes de santé ultérieurement.

On explique que les enfants qui souffrent de ces troubles et qui voient les symptômes perdurer durant la vie d’adulte sont sujets à divers problèmes de santé mentale et physique.

On note d’abord ceux qui découlent du stress, les gens souffrant de déficit d’attention ayant souvent des pointes d’angoisse ou d’anxiété plus fréquentes que les autres.

L’étude en question est le résultat d’analyses sur différents patients sur une période de 30 ans. On a constaté que les sujets cibles développaient souvent des problèmes au travail, financiers ou encore sociaux.

L’intégration en société serait nettement plus difficile avec un trouble de déficit de l’attention, ce qui pourrait mener à une dépression ou des désordres antisociaux importants.

De plus, tout le stress découlant de ces problèmes indirects liés au déficit d’attention et à l’hyperactivité pourrait mener à des troubles physiques comme des problèmes cardiovasculaires.

Cependant, les chercheurs spécifient qu’aucune cause à effet directe n’a été prouvée jusqu’à maintenant.

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La mode est au Ritalin chez les universitaires, ce qui inquiète les autorités

Une tendance déplorable des dernières années dans les écoles du pays, notamment au Québec, est de consommer du Ritalin afin d’être bien prêt et concentré pour ses examens.

L’importance de ne pas « couler » est grande, et la pression de réussir est forte, on le comprend. En associant ce principe au phénomène de la popularité grandissante des médicaments contre les troubles de l’attention comme le Ritalin, vous avez un cocktail potentiellement explosif.

Radio-canada.ca confirme les craintes des autorités, rapportant que des professionnels de la santé d’Halifax ont décidé de bouger dans ce dossier.

Ils lancent donc une alerte s’adressant aux étudiants qui ont développé cette habitude, rappelant que des effets secondaires sont possibles à long terme. La dépendance est aussi fréquente chez les utilisateurs de Ritalin (et d’Aderral), le médicament agissant un peu comme la cocaïne sur l’organisme.

Les autorités de la santé d’Halifax rappellent également que la drogue est trop facilement accessible sur le marché, entre autres à cause des nombreuses ordonnances émises par les praticiens.

Il s’agit d’un dossier qui prend de l’ampleur depuis un bon moment déjà, mais les autorités commencent à peine à parler du problème.

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Un gène lié au tabagisme et au déficit d’attention

Les fumeurs et les gens aux prises avec des problèmes de déficit d’attention (TDAH) pourraient bien avoir un gène qui les prédisposait à cette condition, rapporte www.nlm.nih.gov.

C’est qu’une étude tente de démontrer l’existence d’un tel gène, qui augmenterait le facteur de risques pour ces personnes de développer la manie de fumer ou le TDAH.

De plus, des statistiques percutantes affirment que les gens souffrant de déficit d’attention ont d’ailleurs plus de chances de commencer à fumer tôt et de fumer deux fois plus.

Pour cette plus récente étude, les chercheurs ont analysé les tests sanguins de plus de 450 enfants de 6 à 12 ans aux prises avec le TDAH, ainsi que ceux de leurs parents et familles. Les échantillons ont été testés pour vérifier cinq variations génétiques possibles associées avec différents comportements reliés au tabagisme.

Le nombre de cigarettes consommées par jour et le fait de cesser et de recommencer à fumer sont des variables observées.

De l’avis de tous les spécialistes, ces conclusions sont intrigantes et prometteuses, mais doivent être testées davantage avant de pouvoir parler de cause à effet, ou encore de traitement.

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Quand la maternelle influence le marché du travail

Pour les enfants, la classe est le lieu de travail. L’écoute et la bonne attention durant la maternelle peuvent prédire avec précision le développement des compétences axées sur le travail.

C’est ce que suggère une étude publiée en ligne dans le Journal of Abnormal Child Psychology par la Dre Linda Pagani, professeure et chercheuse à l’Université de Montréal et au CHU Sainte-Justine.

Le travail seul ou en équipe, le niveau de maîtrise de soi et de confiance en soi et la capacité à suivre des directives et des règles sont les critères qui ont été soigneusement évalués par les enseignants de plus d’un millier d’enfants de la maternelle qui fréquentaient tous des écoles de milieux défavorisés de Montréal.

Ceux qui répondaient de manière positive à tous ces critères de production et de bonne conduite étaient plus susceptibles de continuer à en faire autant une fois adulte, sur le marché du travail.

Bien que plusieurs autres facteurs expliquant un déficit de l’attention au primaire aient été pris en considération sur l’échelle d’évaluation, il semblerait que les garçons, les enfants agressifs et les enfants ayant des aptitudes cognitives inférieures à la maternelle étaient beaucoup plus susceptibles d’appartenir à une classe d’adultes moins accomplis.

Pour les spécialistes, il y a des risques importants de la vie associés à des déficits d’attention chez les enfants, qui comprennent un haut taux de décrochage scolaire, de chômage et d’abus de substances problématiques. Selon les chercheurs, ces résultats plaident fortement pour une identification précoce et un traitement des problèmes d’attention.