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Le TDAH serait une maladie soit trop diagnostiquée soit simplement inventée

Selon The Examiner, le spécialiste Richard Saul remet en question le bien-fondé du TDAH. Selon lui, il n’existe pas de telle maladie. Les médecins refusent simplement de traiter les problèmes sous-jacents auxquels font face tant d’adultes et d’enfants souffrant des symptômes associés.

Le déficit d’attention avec hyperactivité a été décrit pour la première fois en 1980 et est apparu la même année dans l’American Psychiatric Association’s Diagnostic and Statistical Manuel (DSM), le manuel utilisé par les différents intervenants en psychologie et psychiatrie.

Le nombre d’enfants diagnostiqués du TDAH est passé de 7,8 % en 2003 à 11 % en 2011. Sur ce nombre, 2 enfants sur 3 reçoivent de la médication. Selon Saul, de tous ceux qui se sont présentés à son cabinet, enfant ou adulte, un nombre important présentaient une problématique sous-jacente. Ainsi, il croit que ce terme et la maladie elle-même devraient disparaître du DSM.

Dr Saul affirme que le trouble du déficit d’attention avec hyperactivité est plutôt une accumulation de symptômes, et c’est pourquoi il recherche toujours les causes réelles. Selon lui, le TDAH « est une excuse », et non une réalité.

Le livre de Richard Saul s’intitule ADHD Does Not Exist: The Truth About Attention Deficit and Hyperactivity Disorder

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La médication contre le TDAH peut causer des érections douloureuses

C’est la Food and Drug Administration (FDA), agence fédérale aux États-Unis, qui vient de mettre en garde contre le méthylphénidate, un ingrédient qui peut entraîner le priapisme.

Le priapisme est une condition grave qui nécessite un traitement médical urgent. Il s’agit d’une érection prolongée sans stimulation, et qui ne permet pas au pénis de retrouver son état au repos même au-delà de 4 heures.

Le méthylphénidate se retrouve dans la médication administrée aux enfants atteints de TDAH, comme le Ritalin, le Concerta et le Daytrana.

Les dommages aux tissus du pénis peuvent être permanents et entraîner, ironiquement, la dysfonction érectile. La FDA a fait part de cette mise en garde à la suite d’une étude sur les cas de priapisme entre 1997 et 2012.

En tout, 14 cas ont été relevés, dont 12 étaient des enfants de moins de 18 ans, avec une moyenne d’âge de 12 ans. Ils informent néanmoins que 4 des cas soumis ont souffert de priapisme même en retirant la médication.

Selon Science World Report, la FDA demande à ce que les étiquettes de ces médicaments soient modifiées afin d’aviser de cet effet secondaire rare.

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Hausse importante du TDAH durant la dernière décennie

Le sondage a été rendu possible grâce aux données du rapport de 2011-2012 du National Survey of Children’s Health. Les informations récoltées concernent les enfants de 4 à 17 ans.

CBC rapporte que 6,4 millions d’enfants aux États-Unis souffrent de TDAH, soit 2 millions de plus qu’en 2003. Il s’agit d’une hausse de 42 % en 10 ans.

Dans un communiqué, la responsable de l’étude, Susanna Visser, des Centers for Disease Control and Prevention, a expliqué : « Ces résultats démontrent qu’un nombre important de jeunes enfants pourraient profiter de la thérapie comportementale recommandée en âge préscolaire ».

Le TDAH atteint désormais 1 jeune fille sur 11 et 1 garçon sur 5 à l’école secondaire. Or, si les symptômes ne sont pas traités, ils peuvent entrainer des difficultés au sein de la famille et à l’école, ainsi que se traduire en difficultés relationnelles et sociales.

Selon Science World Report,  les données rapportent que 15 à 19 % des enfants souffrant de TDAH n’ont reçu aucun traitement, que ce soit thérapeutique ou médical. Parmi ceux-ci, 1 enfant sur 3 s’est retrouvé dans les « cas sévères » du trouble comportemental.

D’où l’importance, pour les parents, de consulter rapidement un spécialiste.

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Encore plus de bénéfices pour l’allaitement

Afin de déterminer si le développement du TDAH (Trouble déficitaire de l’attention/Hyperactivité) était associé à l’absence ou à un faible taux d’allaitement maternel, le Dr Aviva Mimouni-Bloch, de la Faculté Sackler de l’Université de Tel-Aviv et chef du Centre neurologique de l’enfant à l’hôpital de Loewenstein, a réalisé une étude rétrospective sur les habitudes d’allaitement de trois groupes d’enfants.

Un était formé d’enfants atteints de TDAH, un autre avec les frères et sœurs de ceux-ci, et un groupe sans TDAH et sans aucun lien à la maladie.

Publiés dans le journal médical Breastfeeding Medecine, les résultats ont clairement montré un lien entre l’allaitement et les risques de développer le TDAH.

En fait, les nourrissons de 3 mois n’ayant pas été allaités voyaient leurs risques de le développer être 3 fois plus élevés que ceux ayant été allaités.

Des enfants n’ayant pas été allaités, certains avaient des frères et sœurs qui, eux, l’avaient été. Les résultats ont aussi démontré que malgré leur génétique familiale, ils étaient beaucoup moins atteints de TDAH, ce qui en dit long sur l’impact du lait maternel.

Bien que les chercheurs ne sachent pas encore pourquoi l’allaitement a un impact sur le développement du TDAH, il se pourrait que ce soit le lait maternel lui-même ou encore le rapprochement entre la mère et le bébé pendant l’allaitement qui joue un rôle. De plus amples recherches sont prévues sur le sujet.

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Le Ritalin : Mode d’emploi

Il est maintenant commun d’entendre que les enfants hyperactifs ou ayant des difficultés d’apprentissage sont mis sous médication.

Alors que le débat est encore bien chaud à savoir ce qui est normal ou pas, acceptable ou pas, si la médication est choisie comme solution aux troubles d’un enfant, il est impératif de savoir exactement ce à quoi votre enfant sera exposé.

En France, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) vient de publier une brochure d’information à destination des patients et de leur entourage afin de bien comprendre les médicaments à base de méthylphénidate, utilisés pour traiter les troubles de déficit de l’attention et hyperactivité (TDAH) chez l’enfant de 6 ans et plus. Cette voie devrait être considérée uniquement lorsque les mesures psychologiques, éducatives, sociales et familiales se sont montrées inefficaces.

Un article du site Top Santé énonce les effets négatifs de la fameuse drogue. En effet, avec la prise de médicament comme le Ritalin, un enfant calme n’équivaut pas forcément à un enfant en santé.

Parmi les effets secondaires indésirables, on retrouve un risque de retard de la croissance, retard de la prise de poids, un risque pour les vaisseaux sanguins du cœur et du cerveau, d’agitation, de risques d’apparition de tics moteurs et verbaux, d’hallucinations et d’anxiété.

Un contrôle serré de la prise de ces pilules doit être observé, et un suivi auprès du médecin est recommandé tous les 6 mois. Il pourra ainsi s’assurer que l’enfant jouit des bénéfices voulus et qu’il se développe normalement.

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Les vaccins sont-ils dangereux, oui ou non?

C’est sur cette question, encore trop répandue, que se sont penchés plusieurs médecins et pédiatres, selon ce que rapporte Parents.com.

Les faits démontrent clairement que les vaccins ne sont pas responsables de maladies telles que l’autisme chez les enfants.

C’est le Dr Ari Brown, pédiatre du Texas et coauteur de nombreux livres, dont Baby 411, qui tient ces propos.

Cette semaine aux États-Unis, le très respecté Institut de Médecine (IOM) a publié le calendrier d’immunisation pour les enfants. Après une lecture minutieuse du document fourni, l’IOM n’a trouvé aucun signe révélant un lien entre l’autisme, le déficit d’attention ou les problèmes d’apprentissage chez l’enfant, avec les vaccins suggérés.

Le Dr Brown explique la raison pour laquelle les craintes de la population sont non fondées.

Plusieurs instituts indépendants vérifient de près les effets secondaires attribuables aux différents vaccins. Tout d’abord, les CDC (Centers for Disease Control) et la FDA (Food and Drug Administration) travaillent de concert pour répertorier tout incident lié à un vaccin.

Sur 1 million d’enfants vaccinés l’an dernier et plusieurs millions d’enfant et adolescents qui ont été vaccinés dans les années passées, seuls 15 000 rapports d’anomalie ont été enregistrés. De ces 15 000 cas, seuls 20 % ont été compensé financièrement relativement aux effets secondaires graves des vaccins.

Ainsi, ils ne sont pas à 100 % sans risque, comme n’importe quel médicament, mais rien ne sert de s’alarmer.

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La fumée secondaire, responsable des troubles d’apprentissage chez l’enfant

Selon le Daily Mail, une étude menée par l’École de santé publique de Harvard affirme que 274 100 cas de trouble de déficit d’attention auraient pu être évités si les enfants n’avaient pas été exposés à la fumée secondaire.

En fait, puisque 6 % des enfants sont ainsi exposés, il s’agit de millions d’enfants qui sont en danger. L’étude s’est déroulée aux États-Unis entre 2007 et 2008, comportant plus de 50 000 résultats lors de la compilation finale.

Les garçons âgés de 9 ans à 11 ans sont plus à risque d’éprouver des problèmes neurocomportementaux. Bien qu’il ne soit pas encore prouvé que l’association de la fumée secondaire est bel et bien responsable, le journal Pediatrics clame déjà l’évidence de la relation entre l’un et l’autre.

Le docteur Gregory Connolly, qui a participé à l’étude, affirme : « Les frais économiques et de santé pourraient être considérablement diminués si une politique volontaire de maisons sans fumée voyait le jour ».

Les résultats de cette recherche arrivent à peine quelques semaines après ceux de l’Université Concordia de Montréal, qui mentionne que l’exposition des enfants à la fumée de cigarette peut les rendre dépendants, puisque leur organisme absorbe une dose de nicotine encore plus grande que celui du fumeur lui-même.

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Augmentation du risque de trouble de déficit d’attention chez les nouveau-nés prématurés

Une étude de longue haleine menée à l’Institut Karolinska en Suède, sous la tutelle du Dr Anders Hjern, rapporte de nouvelles informations quant à l’apparition du trouble de déficit d’attention (TDA).

Les nouveau-nés prématurés seraient plus à risque de développer les symptômes, et ce, dans une proportion significative.
 
Medical News Today rapporte que même à 36 ou 37 semaines de grossesse, les risques sont plus élevés de 20 % par rapport à une grossesse menée à terme. Les résultats les plus probants se situent néanmoins chez les nouveau-nés ayant vu le jour entre la 23e et 28e semaine de grossesse, dont 15 sur 1000 prennent de la médication dès l’âge scolaire. Les probabilités s’accroissent considérablement pour les bébés prématurés qui ont survécu à l’unité néonatale de soins intensifs.
 
Les variables considérées dans cette étude sont entre autres l’historique familial (génétique), le statut de fumeuse pendant la grossesse, les facteurs périnataux ainsi que les facteurs socioéconomiques.

Les données ont été relevées auprès de plus d’un million d’enfants âgés de 6 à 19 ans. Parmi eux, plus de 7 500 ont reçu de la médication reliée au trouble de déficit d’attention.

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Un million d’enfants américains mal diagnostiqués

Fait inquiétant relevé par deux études américaines dévoilées par le Journal of Health Economics : près d’un million d’enfants aux États-Unis auraient reçu un faux diagnostic de déficit de l’attention avec hyperactivité.
 
Après avoir examiné 12 000 enfants, on constate que ceux qui sont plus jeunes dans leur classe sont souvent seulement immatures comparativement aux autres et ne sont pas aux prises avec l’un de ces troubles.
 
Ainsi, ces enfants faussement hyperactifs et inattentifs se voient prescrire du Ritalin, le médicament le plus couramment utilisé pour traiter ces problèmes.
 
Le problème est qu’en raison de leur date d’anniversaire, ils ont une maturité différente de celle de leurs camarades de classe et même un an peu faire toute une différence, selon les experts.
 
Ces jeunes sont donc plus immatures que les plus vieux et on leur donne un diagnostic de déficit de l’attention avec hyperactivité beaucoup trop rapidement, sans investiguer davantage.
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Déficit d’attention pour ceux qui passent trop de temps devant l’écran

Pediatrics nous apprend que les enfants qui passent plus de deux heures par jour devant la télévision ou jouent à des jeux vidéos ou d’ordinateur peuvent souffrir de déficit d’attention.

Des psychologues de l’Université Iowa State ont étudié 1 300 enfants de 3e, 4e et 5e année, et 210 élèves du collégial. En moyenne, ils passaient tous 4,26 heures devant leur écran, ce qui est bien en dessous de la moyenne nationale qui est de 8 heures par jour chez les 8 à 18 ans, selon une étude passée.

Les chercheurs se sont rendu compte que les jeunes qui passent plus de deux heures à regarder la télévision ou à jouer à des jeux vidéo voyaient leur capacité de concentration diminuée et ils étaient moins aptes à accomplir leurs tâches scolaires.

On recommande aux parents de limiter à une ou deux heures le temps que leurs enfants passent devant un écran.

On ajoute également qu’en raison de leur action et des effets de sons et lumières, les jeux vidéo sont en fait des « surstimulants » pour le cerveau. Les jeunes pourraient donc penser que ce type de haute stimulation devrait être la norme, rendant la vie réelle et l’école ennuyantes.