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Déficit de l’attention : il vaut mieux former les parents que donner des médicaments aux enfants

Afin d’établir la meilleure méthode de traitement pour ce qui est du TDAH, des chercheurs ont analysé des dizaines d’études portant sur les enfants d’âge préscolaire (moins de 6 ans) qui avaient reçu un diagnostic et présentaient des problèmes jugés « significatifs ».

Parmi les méthodes étudiées, on trouvait l’utilisation de psychostimulants, la formation des parents, ainsi que des interventions ciblées en milieu préscolaire ou de garderie.

La formation des parents, afin que ceux-ci soient mieux capables d’aider leur enfant, était de loin la méthode la plus fiable, avec au moins 8 études qui prouvaient son efficacité hors de tout doute.

Une seule étude soutenait les bénéfices des médicaments, ce que les médecins ont qualifié « de preuve très mince ». Les interventions dans le milieu de l’enfant donnaient quant à elles des résultats manquant de constance.

Les auteurs ont conclu que « les preuves montrent que la formation comportementale des parents améliore les capacités de ceux-ci à gérer les problèmes de leur enfant, et améliorent également les comportements dérangeants de ceux-ci, incluant les symptômes de base du TDAH », selon MedPageToday.

Les résultats de l’analyse ont été publiés dans le Pediatrics.

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Le déficit de l’attention avec hyperactivité est en croissance

En Amérique, au cours des 10 dernières années, le diagnostic révélant un trouble de l’attention avec hyperactivité (TDAH) chez l’enfant a augmenté de 66 %.

Au lieu que la balle soit lancée dans le camp des médecins généralistes, les spécialistes se font de plus en plus nombreux à traiter les enfants atteints d’un TDAH. Le problème que risque de rencontrer un enfant sous peu est toutefois le manque de suivi personnalisé, car il y a pénurie de psychiatres pédiatriques.

« Le TDAH est maintenant un diagnostic commun chez les enfants et les adolescents », a déclaré le Dr Craig Garfield, premier auteur de l’étude américaine qui paraîtra dans le prochain numéro de Pediatrics. « L’ampleur et la rapidité de ce changement dans une décennie sont probablement dues à une prise de conscience accrue du TDAH par les médecins aptes à reconnaître plus facilement les symptômes et diagnostiquer le trouble. »

Dans la dernière décennie, plusieurs importants changements réglementaires et cliniques concernant le TDAH et les médicaments utilisés pour le traiter se sont produits.

Même si la gestion du TDAH par ces éléments demeure toujours inconnue des spécialistes, il n’en reste pas moins que les psychostimulants représentent toujours le médicament le plus commun prescrit aux enfants atteints du TDAH.

Les derniers chiffres révèlent que les psychostimulants ont été utilisés dans 96 % des cas de traitement en 2000, et dans 87 % en 2010.

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Découvertes sur le déficit de l’attention

Il serait désormais possible d’aborder de nouveaux traitements pour une forme de déficit de l’attention. Se basant sur un modèle d’analyse testé sur des souris, des chercheurs de la Washington University School of Medicine ont réussi à vérifier l’efficacité de médicaments sur le cerveau.

En employant la numérisation, ils ont été en mesure de constater l’élévation du taux de dopamine, une substance chimique cérébrale. C’est que l’augmentation du taux de dopamine a été reconnue pour son effet atténuant des symptômes d’une forme de déficit de l’attention.

Il s’agit de la neurofibromatose de type 1 (la NF1); de 60 à 80 % des enfants qui en sont atteints auraient des symptômes marquants du déficit de l’attention. Plusieurs ont donc d’importantes difficultés scolaires.

Toutefois, le modèle expérimenté par ces chercheurs américains n’en est pas un parfait, soulignent-ils. Il peut malgré tout représenter un atout majeur quant à une certaine forme du dysfonctionnement du système de l’attention.

Les résultats complets de cette recherche sont parus dans Experimental Neurology.

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Nouvelle percée quant au TDAH

On pourrait atténuer les symptômes du trouble déficitaire de l’attention. Des chercheurs entrevoient de nouveaux médicaments après avoir analysé un récepteur du cerveau. Leurs résultats sont parus dans Molecular Psychiatry.

On y lit que des stimulants pourraient en fait en venir à réduire les symptômes liés au déficit de l’attention. C’est qu’une dysfonction de la dopamine, un récepteur, serait bel et bien liée au développement du TDAH.

Ce lien avait déjà été établi, de même qu’avec d’autres troubles impulsifs et l’abus de drogues.

Précisément, la dopamine D4.7, une variation de la D4, semble commune à tous ceux qui sont atteints du trouble déficitaire de l’attention.

Une expérimentation a été effectuée sur ce sujet en utilisant des souris, mais l’on prévoit déjà un transfert vers l’humain, afin de soulager les symptômes des enfants atteints de ce trouble, entre autres.

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Effets psychologiques des réseaux sociaux

Les premières conséquences remarquées chez les enfants quant à l’explosion de réseaux comme Facebook et Twitter viennent d’être présentés par l’American Psychological Association, nous apprend Medical News Today.

Par exemple, on semble prouver de plus en plus que Facebook affecte la réussite scolaire. Des études ont déjà démontré que des enfants d’âge scolaire, des adolescents et des étudiants qui visitent le site de Facebook durant au moins 15 minutes durant une période d’étude ont de moins bonnes notes.
 
La présente recherche soutient quant à elle que les réseaux sociaux peuvent venir en aide aux jeunes introvertis pour apprendre à socialiser, ces derniers ayant l’écran comme protection.
 
Il semble même que des réseaux comme Facebook et Twitter pourraient servir d’outils d’enseignement, qu’ils constituent une manière d’interpeller les jeunes élèves.
 
Mais l’une des conclusions à retenir de cette étude est l’importance des outils de contrôle parental. L’emploi unique d’un tel outil n’est pas efficace; un parent doit être le plus impliqué possible dans la vie de son enfant.
 
Selon les experts, les parents devraient centrer leur éducation sur la communication, en suivant la règle du « cinq à un. Parlez une minute et écoutez pendant cinq minutes. »
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Comportement des enfants : la pollution en cause?

Des symptômes de déficit de l’attention et de dépression ont été plus remarqués chez des enfants âgés de 5 à 7 ans ayant été plus fortement exposés à la pollution de combustibles fossiles.

Cette observation, tirée d’une étude parue dans Environmental Health Perspectives, a pu être établie après que l’on ait analysé le sang du cordon ombilical de 215 bébés. Une fois les enfants plus vieux, on a fait des comparaisons entre l’état de leur comportement.
 
C’est la première fois qu’une étude porte sur les répercussions environnementales quant au comportement. Les émissions dues à la trop grande circulation automobile ont été particulièrement ciblées dans cette recherche.

Les problèmes d’anxiété et de dépression ainsi que ceux liés à l’attention ont bien entendu des conséquences sur les résultats scolaires des enfants, sur leurs relations avec leurs pairs ainsi que sur tout autre aspect social.

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Les effets du Ritalin

Les travaux menés par le Dr Liv Larsen Stray, de l’Université de Stavanger en Norvège, l’amènent à conclure que le Ritalin (méthylphénidate) peut traiter efficacement les enfants atteints d’un trouble hyperkinétique, une maladie qui s’apparente au déficit de l’attention avec hyperactivité.

Le Dr Stray a travaillé avec 24 garçons atteints d’un trouble hyperkinétique qui se caractérisait par une difficulté à maîtriser les mouvements, notamment lors de l’écriture, et une impulsivité.

« Notre étude démontre qu’une seule dose de méthylphénidate améliore le tonus musculaire et apporte une certaine fluidité des mouvements aux enfants souffrant d’un trouble hyperkinétique », a souligné le chercheur.