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La vitamine E pourrait ralentir la progression de la maladie d’Alzheimer

Une nouvelle étude encourageante démontre le potentiel de la vitamine E à freiner les ardeurs de la maladie d’Alzheimer, et ainsi permettre le ralentissement de la progression de cette terrible maladie.

Cette découverte provient d’une équipe de chercheurs américaine basée au Minnesota et menée par le Dr Maurice Dysken. Elle fait état d’une amélioration de la condition des patients souffrant d’Alzheimer ayant reçu de fortes doses de vitamine E.

« On a découvert que la vitamine E ralentit significativement la progression, en comparaison avec le placebo », lance le Dr Dysken.

Il ne s’agit aucunement d’une forme de traitement, mais plutôt d’une manière de gagner du temps et d’améliorer la condition des patients souffrant d’Alzheimer, selon les informations rapportées par The National Library of Medicine.

On parle d’une réduction de 20 % du déclin annuellement, et d’un besoin moins évident de soins de la part du personnel médical, toujours selon l’étude de Dysken et de son équipe.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le Journal of the American Medical Association, au dernier jour de 2013.

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Vers un traitement des maladies de la rétine et de la cécité?

Des chercheurs ont utilisé la magie proposée par les cellules souches afin de créer de toutes pièces ce qu’on appelle des photorécepteurs.

Ces derniers permettent à l’œil de percevoir et capter la lumière, précisément ce qui fait défaut chez les patients atteints de dégénérescence maculaire.

Top Santé révèle aussi que c’est à la suite du début d’essais déjà prévus que les spécialistes de l’University College de Londres ont constaté la possibilité de programmer des cellules souches afin qu’elles se développent ensuite en photorécepteurs, pavant ainsi la voie à la possibilité de guérir éventuellement la cécité.

On a donc tenté l’expérience sur des souris aveugles, et bien que ces dernières n’aient pas recouvré la vue, on a tout de même bel et bien constaté le développement de photorécepteurs.

Selon les conclusions publiées dans le magazine Nature Biotechnology, il s’agit d’une découverte importante pour les patients atteints de dégénérescence maculaire (DMLA), par exemple.

« Si on peut implanter 20 000 cônes (photorécepteurs) à une personne souffrant de DMLA, on peut obtenir un immense bénéfice clinique, car nous n’avons pas besoin de beaucoup de cônes pour avoir une vision très efficace », conclut le meneur de ces recherches, le professeur Robin Ali.

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Que manger pour prévenir la DMLA?

Le DMLA, ou dégénérescence maculaire, se définit comme étant une dégénération des yeux et de la capacité à voir, un mal qui afflige bon nombre de personnes en prenant de l’âge.

Plusieurs études et théories affirment qu’il est possible de contrer le phénomène par l’alimentation, mais ces dernières se contredisent souvent.

Santé Log rapporte maintenant une nouvelle étude, proposée par les US National Institutes of Health, qui démystifie les aliments et les éléments nutritifs qui peuvent avoir une incidence positive en prévention de la DMLA.

On confirme d’abord que le risque de DMLA est plus grand chez les individus qui affichent des carences en caroténoïdes, en lutéine et en zéaxanthine, tous des antioxydants.

Les oméga-3, en revanche, n’auraient aucun impact sur le développement de la maladie.

Aussi, on invalide ici les présumées propriétés bienfaitrices du bêta-carotène, que l’on croyait utile à la prévention de la DMLA. On suggère maintenant de se tourner plutôt vers les caroténoïdes et d’abaisser le taux de zinc des patients.

On soupçonne par ailleurs la bêta-carotène d’être un facteur de risque du cancer du poumon chez les fumeurs.

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Un traitement pour contrôler le cholestérol pourrait aussi prévenir de la DMLA

La DMLA, ou dégénérescence maculaire, est l’un des problèmes les plus communs à survenir chez les gens qui prennent de l’âge. Plusieurs solutions sont envisagées, mais certaines pourraient provenir de traitements ou de médications déjà existants.

Ce serait notamment le cas des traitements de contrôle du cholestérol, rapporte Top Santé. C’est du moins ce que croient certains chercheurs américains, qui publient une étude sur le sujet.

Ainsi, selon les spécialistes de la Washington University School of Medicine, un taux de cholestérol élevé a des effets non seulement sur le système immunitaire, mais aussi sur les risques de développer un trouble de dégénérescence maculaire.

Avec un taux élevé de cholestérol, les cellules immunitaires s’en prendraient même directement à la rétine. On veut donc créer un nouveau traitement qui permet non seulement de contrôler les taux de cholestérol, mais aussi de prévenir la DMLA.

On croit que la meilleure formule de traitement se matérialiserait sous la forme de gouttes pour les yeux.

« Ces traitements anti-cholestérol pourraient prévenir l’accumulation de lipides dans la rétine », confirment et résument les chercheurs basés à Washington.

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Le sucre protège de la neurodégénérescence, mais il a un prix

De nombreuses études ont mentionné par le passé que la restriction calorique permettait d’avoir une meilleure santé et une espérance de vie plus longue.
 
Des chercheurs du Centre de recherche du CHUM ont alors cru que comme certains troubles neurodégénératifs, comme la sclérose latérale amyotrophique (SLA), la maladie d’Alzheimer ou de Parkinson, sont liés au vieillissement, une restriction calorique permettrait de ralentir ces maladies, mais la surprise a été de taille.
 
En fait, selon les expériences menées avec des vers C. elegans, le sucre aiderait à protéger contre la neurodégénérescence. « À notre grande surprise, on a observé chez les vers traités avec des niveaux élevés de glucose une réduction importante de la neurodégénérescence, et ce, dans tous nos modèles », mentionne le professeur Alex Parker à Radio-Canada.
 
Le problème est que les vers qui ont eu moins de neurodégénérescence ont vécu moins longtemps et en moins bonne santé.
 
Les scientifiques doivent donc trouver un moyen de profiter pleinement de l’effet protecteur du sucre, en évitant toutefois de devoir subir ses effets néfastes sur la santé.
 
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Un peu d’alcool contre la démence

Une étude présentée lors du congrès international sur la maladie d’Alzheimer a démontré qu’une consommation modérée d’alcool, à raison d’un à deux verres quotidiennement, réduit le risque de démence chez les personnes âgées. Les effets de l’alcool sur la maladie sont toutefois inversés dès que la consommation est jugée trop importante.

La Dre Kaycee M. Sink, de la faculté de médecine de l’Université Wake Forest à Winston-Salem, aux États-Unis, affirme que l’incidence de démence chute de 40 % quand les sujets âgés de 75 ans sont considérés comme des consommateurs modérés d’alcool.

D’un autre côté, le risque de démence augmentait de 50 % lorsque les participants qui présentaient déjà un déclin cognitif consommaient en grande quantité d’alcool.

La chercheuse a travaillé avec 3 069 participants pour mener sa recherche où elle a mesuré l’association entre la consommation d’alcool et les pertes cognitives.