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La jeunesse tumultueuse de Dwayne « The Rock » Johnson

Dwayne « The Rock » Johnson n’a semble-t-il pas toujours été l’homme rangé que l’on connaît. En fait, la star de 42 ans a vécu des années sombres et tumultueuses au cours de son adolescence, rapporte BANG Media International.

L’acteur aurait en effet été arrêté à plusieurs reprises dans sa jeunesse, au moins huit fois, alors qu’il s’est retrouvé impliqué dans un gang de voleurs, selon ses propos recueillis lors d’une entrevue accordée au magazine Muscle and Fitness.

« À 14 ans, j’ai commencé à m’entraîner. C’est aussi à 14 ans que j’ai commencé à me faire arrêter pour des bagarres, des vols et tout un tas de trucs stupides que je n’aurais pas dû faire. Malgré tout, je trouvais toujours le temps en après-midi d’aller taper dans le sac. Je construisais mon corps, parce qu’encore, c’est cette mentalité d’éviction. Mais je me mettais quand même dans le trouble. J’ai été arrêté huit ou neuf fois avant l’âge de 17 ans », révèle Dwayne Johnson.

Celui qui n’était pas forcé d’admettre ce lourd passé révèle également que son gang s’en prenait aux touristes de passage à Hawaii, là où Johnson a grandi.

Le lutteur devenu acteur admet que l’activité physique a contribué à lui faire reprendre le droit chemin, avec la suite spectaculaire que l’on connaît maintenant.

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Les jeux vidéo violents poussent les jeunes à être dépressifs

Dès l’âge de la cinquième année, les enfants qui jouent plus de deux heures par jour à des jeux vidéo violents sont plus susceptibles d’être dépressifs durant toutes leurs études que les jeunes qui ont joué autant de temps, mais à des jeux moins violents.

Les risques de dépression concernent tous les jeunes qui jouent à des jeux vidéo violents, et ce, peu importe le groupe ethnique, cite Science World Report.

La possibilité de « voir noir » est un élément nouveau, alors que des études antérieures avaient déjà prouvé que les enfants ou adolescents qui se livrent à des jeux vidéo classés pour adulte ou violents étaient plus à risque de devenir violents.

Les constats de l’étude conjointe des scientifiques de l’Université du Texas Health Science Center, de l’Université d’Alabama, du Centers for Disease Control and Prevention, l’hôpital pour enfants de Boston et la Harvard Medical School sont publiés dans la revue Cyberpsychology, Behavior, and Social Networking. 

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L’incapacité des jeunes à penser au futur augmente la tendance criminelle

La recherche, portant sur de jeunes délinquants graves, s’est basée sur la réponse à une seule question ouverte. On demandait aux adolescents : « Combien de temps pensez-vous vivre? » La réponse permettait de prédire le schéma de récidive des délinquants.

Le principal auteur de l’étude, Dr Alex Piquero, a découvert que la réponse était directement reliée avec la gravité des méfaits et la répétition des crimes commis. Spécialisé en criminologie, Piquero a expliqué que les jeunes dans cette situation croient toujours qu’ils ne vivront pas longtemps.

« Nombreux sont les jeunes qui nous ont dit “Je ne vivrai même pas jusqu’à la semaine prochaine, alors pourquoi je m’en ferais?” » Ainsi, ces adolescents qui ne pensent qu’à l’instant présent, se soucient beaucoup moins des conséquences et agissent impulsivement.

Au contraire, ceux qui pensent à long terme contrôlent leurs impulsions, réfléchissent avant de répéter leurs méfaits et évitent plus souvent les drogues, informe Medical News Today.

Les chercheurs travaillent de concert avec le président américain Barack Obama, qui a mis sur pied l’opération My Brother’s Keeper, un effort pour encourager les jeunes hommes à poursuivre leurs études et les garder loin du système criminel.

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Quand le comportement des parents fait des enfants délinquants

Une nouvelle étude de l’Université du New Hampshire, publiée dans le Journal of Adolescence, a déterminé les perceptions des enfants quant à trois styles d’éducation parentale.

L’analyse révèle que les parents autoritaires, contrôleurs et peu réceptifs, qui éduquent les enfants dans l’optique « c’est comme ça ou ce n’est rien du tout », sont plus susceptibles d’élever des enfants irrespectueux. Les jeunes seront portés à se tourner vers la délinquance pour défier un parent trop sûr de lui et peu légitime.

Toutefois, les parents qui sont autoritaires et qui jouent un rôle de médiateurs, ne disant pas toujours oui ni toujours non, qui écoutent plutôt leurs enfants, communiquent et gagnent leur respect et leur confiance ont de meilleures chances d’avoir de « bons » gamins. Il semblerait que ces enfants ressentent une obligation de faire ce que leurs parents leur disent de faire.

Il s’agit du juste milieu entre l’autorité à « sens unique » et le système de récompenses et de punitions surutilisé par les parents qui font souvent du chantage pour acheter la paix ou arriver à leurs fins, ou encore qui donnent le feu vert à n’importe quoi. Dans cette situation, l’enfant tentera souvent de pousser continuellement, afin de savoir si le parent aura une limite

Selon les chercheurs, les résultats montrent que la promotion et la création de la légitimité des parents est une technique pour les adultes d’exercer un contrôle sur leurs enfants. En outre, les parents sont plus susceptibles d’être considérés comme des autorités légitimes s’ils utilisent des pratiques parentales autoritaires plutôt que les pratiques autoritaires extrêmes ou permissives, qui tendent à saper l’autorité parentale.