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3 vérités à propos de l’Alzheimer

La seule solution consiste à développer un traitement efficace contre la maladie d’Alzheimer, rappelle empowher.com. De nombreux chercheurs s’y emploient sans relâche.

1. 6e cause de décès

Aux États-Unis, l’Alzheimer est la 6e cause de décès. En moyenne, après l’apparition des premiers symptômes, les gens atteints vivent 8 ans. Cependant, une personne peut vivre de 4 à 20 ans avec la maladie, selon son état de santé.

2. Les 2/3 sont des femmes

Lorsqu’une femme atteint 60 ans, elle a près de 2 fois plus de risques de développer l’Alzheimer (1 sur 6) que le cancer du sein (1 sur 11).

3. L’aide-bénévole des proches, une industrie qui pourrait être lucrative

Si on avait payé les 15,5 millions de personnes qui ont aidé des proches atteints de la démence uniquement en 2013 (17,7 milliards d’heures), on aurait atteint un montant de plus de 220 milliards $.

Trois aidants sur cinq sont des femmes. Parmi elles, près d’une sur cinq (19 %) a dû quitter son emploi afin de poursuivre les soins.

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Attention femmes stressées, vous êtes plus à risque de démence

L’étude dont il est question a été menée sur une période de 40 ans. Elle révèle que les femmes qui sont anxieuses ou qui ont des sautes d’humeur à l’âge adulte ont plus de risque de développer des maladies neurodégénératives plus tard.

Les commentaires de Dre Lena Johannsson ont été rapportés dans la revue scientifique Neurology. « La majorité des recherches sur l’Alzheimer ont été portées sur les facteurs tels que l’éducation, le cœur et le sang, les traumatismes crâniens, la génétique et l’historique médical familial. »

Cette nouvelle étude, réalisée par la Suisse, s’est attardée sur de nouveaux facteurs. « La personnalité peut influencer les risques de démence des individus, puisqu’elle a des conséquences sur le comportement, le style de vie ou les réactions au stress. »

En tout, 800 femmes âgées en moyenne de 46 ans au début de la recherche ont été suivies pendant environ 38 ans. Elles remplissaient régulièrement des tests de mémoire et des questionnaires sur leur style de vie.

Science World Report mentionne que celles qui ont obtenu les cotes de stress les plus élevées se sont révélées deux fois plus à risque de souffrir de démence.

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Une carence d’une protéine naturelle en lien avec la démence

Les chercheurs ne cessent jamais leurs démarches pour trouver le ou les responsables de la démence, dont la forme la plus courante est la maladie de l’Alzheimer.

Récemment, les experts de l’Université de Warwick ont découvert un manque au niveau d’une protéine naturelle chez les gens atteints de démence. Il s’agit de la MK2/3, une protéine qui favorise les changements structurels et physiologiques de cellules situées dans le système nerveux.

C’est la Dre Sonia Correa, responsable de l’étude, qui a expliqué la teneur de l’étude dans un communiqué. « Comprendre les fonctions cérébrales à partir des sous-cellules jusqu’au niveau systémique est vital si nous souhaitons être en mesure de développer des méthodes pour contrecarrer les changements qui surviennent avec l’âge. »

La protéine MK2/3 est en lien direct avec les notions de communication et l’habileté du cerveau à acquérir de nouveaux souvenirs.

« La détérioration des fonctions du cerveau se produit habituellement lorsque nous sommes plus âgés, mais lorsqu’il s’agit de la démence ou d’autres maladies neurodégénératives, cela peut se produire plus tôt », explique Correa.

Les détails de la recherche peuvent être consultés dans la revue Nature Communications.

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Une invention 3D qui pourrait aider à traiter les troubles du cerveau

Cette invention serait en mesure d’accélérer la recherche, de trouver des remèdes pour la démence ou encore de mieux comprendre les traumatismes et problèmes cérébraux.

Ce premier tissu cérébral vivant représente une percée et une avancée exceptionnelle dans le domaine de la recherche des troubles neurologiques. 

« Vivant » jusqu’à deux mois en laboratoire, le « faux cerveau 3D » permettra aux scientifiques de découvrir comment les médicaments agissent à court et long terme sur le traitement de maladies et traumatismes tels que la démence et les AVC. 

Comme l’indique The Telegraph, ils pourront aussi observer comment on peut soigner les zones endommagées après des blessures à la tête et des maladies dégénératives qui s’étalent sur un certain temps. 

« Nous pouvons observer les maladies neurologiques d’une façon qui nous était impossible à cause des délais nécessaires pour étudier certaines des maladies clés du cerveau », explique le Dr. David Kaplan de l’Université Tufts à Boston. 

Le nouveau tissu cérébral 3D est composé d’un gel spécial pour favoriser la croissance des neurones. Il a six anneaux concentriques qui imitent les six couches du cortex du cerveau humain, où existent différents types de neurones.  

L’étude a été publiée dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences. 

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Du poisson au four ou grillé pour une meilleure santé cérébrale

Ce sont les chercheurs de l’Université de médecine de Pittsburgh qui affirment que peu importe la concentration d’oméga-3 comprise dans le poisson, c’est la régularité de sa consommation qui importe pour la santé cérébrale.

Comme le rapporte Science World Report, le Dr James T. Becker est catégorique. D’ici 2040, il estime à 80 millions le nombre de personnes recevront un diagnostic de démence. Bien entendu, les conséquences sur les familles des malades seront lourdes, mais le système de santé en souffrira aussi grandement.

La population étant vieillissante, les chercheurs encouragent donc les gens, dès qu’ils le peuvent, à inclure ces acides gras élevés en antioxydants dans leur alimentation. Les oméga-3 sont également présents en grande quantité dans les noix, les graines et certaines huiles.

Ils ne font pas que maintenir, mais améliorent la santé du cerveau et diminuent donc les risques d’Alzheimer. « Notre étude démontre que les gens qui mangent du poisson cuit ou grillé, mais pas frit ont un cerveau plus volumineux dans les régions associées à la mémoire et aux réponses cognitives. »

Les résultats ont été publiés dans la revue American Journal of Preventive Medicine.

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La dépression peut entraîner l’Alzheimer

En Angleterre, plus de 50 000 personnes quittent leur emploi chaque année pour prendre soin d’une personne atteinte de démence. Des experts se sont penchés sur cette triste réalité et ont finalement trouvé un lien entre la dépression et la déficience cognitive légère.

C’est une étude de l’Université Rush dans l’Illinois qui a réussi à prouver que la dépression et la démence sont deux maladies indépendantes l’une de l’autre, donc qui ne se développent pas à partir des mêmes problèmes sous-jacents dans le cerveau, mentionne The Telegraph.

Cependant, la démence peut être une conséquence de la dépression chez les personnes âgées. Ainsi, celles qui ont des symptômes courants, comme vivre dans la solitude et avoir une perte d’appétit importante, peuvent souffrir de dépression, qui peut provoquer une déficience cognitive légère. Cette déficience peut conduire rapidement vers la perte des capacités de raisonnement et de la mémoire, et contribuer à la maladie d’Alzheimer.

Pour le Dr Wilson, auteur de l’étude parue dans la revue Neurology, il y a de l’espoir. « Si nous pouvons cibler, prévenir ou traiter la dépression et les causes de stress, nous pourrons aider les gens à maintenir la pensée et les capacités de mémoire durant la vieillesse, et ainsi prévenir la maladie d’Alzheimer. »

1764 hommes et femmes âgés de plus de 77 ans, qui n’avaient aucun problème de mémoire au début de chaque année où commençaient les analyses, soit pendant huit ans, ont participé à l’étude. Parmi ces gens, 680 sont décédés au cours de l’étude. Sur 922 survivants, 52 % ont développé une déficience cognitive légère, et 18 % sont devenus victimes de la démence.

 

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Diagnostiquer la démence grâce à la vitesse de la marche

Lorsqu’une personne de plus de 60 ans marche lentement et qu’elle répond à tous les critères d’un nouveau test mis au point par une équipe de l’Albert Einstein College of Medicine, il y a deux fois plus de risques qu’elle développe la démence au cours des 12 prochaines années de sa vie. 

Cependant, « la démarche lente seule n’est pas suffisante pour le diagnostic », mentionne Santé Log qui explique qu’à un certain âge, la lenteur quand on marche peut être également liée à des problèmes d’arthrite ou à des problèmes d’oreille interne. C’est en approfondissant la combinaison démarche lente et plaintes cognitives que les scientifiques seront plus en mesure d’associer les troubles de flux sanguin vers le cerveau et démence.

La prédémence touche une personne sur 10 qui est âgée de plus de 60 ans. La majorité d’entre elles sont des hommes, et il a même été remarqué que les gens qui ont un faible revenu ou une moins bonne éducation sont davantage concernés, avance cette récente étude qui a mis au point un nouveau test qui permet de détecter la prédémence.

Il s’agit du test diagnostique du syndrome de risque de déficience cognitive et motrice (motoric cognitive risk syndrome : MCR) qui, en analysant la vitesse de la marche et en posant quelques questions aux personnes âgées, permet à tous les professionnels de la santé – en toute simplicité, rapidement et sans la présence de neurologue, de neuro-imagerie ou biomarqueurs – de détecter les premiers signes de démence.

Les résultats du nouveau test effectué auprès de 27 000 personnes âgées provenant de partout dans le monde ont été présentés dans la revue Neurology

 

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Une avancée majeure pour l’Alzheimer

Des tests effectués sur plus de 1000 personnes ont détecté un groupe de protéines dans le sang qui peut prédire le commencement de la maladie avec une précision de 87 %.

La recherche a été publiée dans la revue spécialisée Alzheimer’s & Dementia et sera utilisée pour améliorer les essais dans le cadre de nouvelle médication pour la démence.

Le réseau BBC rappelle que dans la dernière décennie (2002-2012), toutes les recherches pour prévenir ou renverser le processus de la maladie de l’Alzheimer ont échoué à 99,6 %.

Les médecins croient que ces échecs sont dus à des traitements trop tardifs, les symptômes apparaissant environ 10 ans après le déclenchement de la maladie.

Ce nouveau test sanguin, mis au point par diverses universités et industries scientifiques, devrait faire une différence. Ils ont été en mesure de détecter chez les participants, près de 9 fois sur 10, ceux qui développeraient la maladie l’année suivante.

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Gardez votre cerveau actif pour éloigner la démence

La nouvelle étude publiée dans la revue JAMA Neurology stipule qu’en « termes de prévention de la dépréciation cognitive [mentale], l’éducation et le maintien de l’activité cérébrale sont importants ».

Les résultats de ce processus ont démontré que peu importe le niveau d’éducation des candidats ou de leurs activités quotidiennes, l’effet bénéfique demeure le même.

Ce sont 2000 participants de 70 à 89 ans, patients de la clinique Mayo, qui se sont prêtés au jeu. Parmi eux, 1700 avaient encore un système cognitif « normal », alors que 300 souffraient d’une « légère dépréciation cognitive ».

Parmi eux, ceux qui avaient poursuivi divers apprentissages et maintenu leur stimulation intellectuelle avaient réussi à retarder les premiers symptômes de la démence, et ce, parfois jusqu’à 9 ans.

Même les participants porteurs du gène APOE, qui favorise l’Alzheimer, avaient retardé la maladie.

Cependant, Prashanthi Vemuri, spécialiste en radiologie à la clinique Mayo, spécifie que « la stimulation intellectuelle » est aussi importante avant le 3e âge.

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Le sommeil est crucial pour les gens de plus de 50 ans

Les scientifiques souhaitaient vérifier les conséquences du sommeil en vieillissant par rapport à la démence et la détérioration du système cognitif.

L’étude a commencé en 2007, et les chercheurs ont colligé les données de 6 nations à revenu moyen pour un total de 30 000 sujets, informe Science World Report.

Au terme de l’analyse, il se trouve que les personnes de 50 ans et plus qui dorment de 6 à 9 heures par nuit démontrent de meilleures habiletés cognitives. Ainsi, dans le futur, les chercheurs espèrent prévenir la démence en améliorant le sommeil des personnes présentant des symptômes.

« Nos résultats présentent une évidence incontestable de l’importance du sommeil », explique Theresa E. Gildner, auteure principale du projet et étudiante au doctorat dans le département d’anthropologie de l’Université de l’Oregon.

Les données se sont concentrées principalement chez les gens de la Chine, du Ghana, de l’Inde, du Mexique, de la Russie et de l’Afrique du Sud.

« Dans les 6 pays, malgré la grande différence culturelle, économique et environnementale, les profils qui émergeaient étaient très similaires », rapporte Gildner.