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La vitamine D est-elle indispensable pour le cerveau?

Alors que plusieurs débats et polémiques fusent concernant la vitamine D et son réel effet sur le corps humain, mais surtout en ce qui concerne les impacts d’une carence sur l’organisme, une nouvelle étude américaine affirme cette fois qu’une telle condition peut s’avérer dangereuse pour la santé cérébrale.

Ainsi, selon une équipe de chercheurs basée à l’Université du Kentucky, des carences en vitamine D pourraient paver la voie aux maladies dégénératives et à la démence, en provoquant certains dommages au cerveau.

Top Santé, qui rapporte ces plus récentes conclusions, rappelle une étude précédente sur le sujet, qui vantait les mérites d’une supplémentation en vitamine D pour éviter de tels dégâts. Or, la promotion des suppléments de vitamine D est précisément au cœur du débat opposant les observateurs et spécialistes du domaine de la santé.

Les chercheurs américains en tête de cette récente étude, par ailleurs étayée par de multiples essais sur des souris, ne vantent pas les mérites des compléments alimentaires, mais prônent plutôt des apports de vitamine D par une alimentation équilibrée, tout simplement.

Ils confirment cependant qu’un manque de cette vitamine peut effectivement mener à une hausse des risques de développer la maladie d’Alzheimer, ce qui ne sera pas pour rassurer les plus craintifs, qui risquent de bondir vers une boîte… de suppléments.

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Des baisses statistiques des cas de démence

Bien que les cas de démence, par exemple en ce qui concerne la maladie d’Alzheimer, sont pris au sérieux et confrontés plus que jamais par les spécialistes, il semble que ceux-ci soient généralement en baisse et moins hâtifs, selon des chiffres étonnants rapportés par Santé Log.

En fait, il semble qu’au cours des dernières années, les maladies dégénératives cérébrales liées au vieillissement, comme l’Alzheimer, ont ralenti en termes de progression moyenne, et frapperaient même plus tard dans la vie de plusieurs patients qu’auparavant.

Plusieurs facteurs peuvent expliquer le phénomène, à commencer par l’amélioration de la technologie et des soins de santé dans de tels cas, ainsi qu’une meilleure sensibilisation aux facteurs qui peuvent encourager le développement, à court ou très long terme, de maladies comme l’Alzheimer.

Du nombre, bien sûr, l’alimentation, le tabagisme, les habitudes en termes d’activité physique, le taux de sucre et le poids moyen.

Même si le combat contre la démence due au vieillissement n’en est pas à ses dernières batailles, les spécialistes américains (Californie, Michigan, Washington) qui publient leurs observations croient qu’il est important d’être optimiste et de continuer à miser sur la prévention pour les années à venir, le temps que l’on développe de nouveaux traitements.

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Le jogging et le vélo seraient aussi bénéfiques pour le cerveau

S’offrir un jogging ou une randonnée de vélo de façon régulière n’aurait pas que des impacts positifs sur votre santé physique, semble-t-il, alors que The National Library of Medicine rapporte une nouvelle étude sur le sujet qui vante les bienfaits des exercices aérobiques sur le cerveau.

Des activités comme la course et la bicyclette, donc, pourraient améliorer les capacités de la mémoire, en plus d’optimiser les performances du cerveau en général, selon les chercheurs texans en tête de la recherche.

Du coup, on peut prétendre que de tels impacts minimiseraient les risques de démence ou d’Alzheimer en vieillissant, croient également les experts.

On explique le phénomène notamment par une meilleure circulation sanguine au niveau des vaisseaux du cerveau, un effet particulièrement bienfaiteur chez les gens qui franchissent le cap de la cinquantaine.

L’équipe de l’Université du Texas croit donc qu’il est fort avantageux d’allier exercices aérobiques aux exercices mentaux (mots croisés, jeux vidéo ou interactifs, etc.), afin d’optimiser ses chances de vieillir en santé et de réduire les risques de maladies dégénératives.

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Apprendre une seconde langue pourrait freiner le développement de l’Alzheimer

Top Santé rapporte une étude qui étonne et qui rappelle à quel point les actions et la stimulation mentale d’un individu peut faire varier le destin de sa santé à long terme.

Cette fois, une équipe de chercheurs d’Édimbourg, en Écosse, a établi par le biais de ses recherches que les personnes qui parlaient plusieurs langues, soit au moins une de plus que leur langue maternelle, pouvaient voir le développement de la maladie d’Alzheimer et de la démence être retardé de plusieurs années.

Jusqu’à cinq ans, dans certains cas, peut-on lire dans cette recherche, une cause à effet des plus inattendues pour les amateurs de langues étrangères.

Les chercheurs impliqués dans l’étude ne s’en cachent pas, les raisons de ce phénomène restent à être éclaircies et expliquées. Ils sont cependant convaincus de ce qu’ils avancent, après avoir testé la nouvelle théorie lors d’essais sur des sujets volontaires.

On croit pour l’instant que la conversion entre les langues nécessite un effort de la part du cerveau comparable à une gymnastique mentale, ce qui permettrait de le garder plus en forme, plus longtemps.

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Une farine qui permettrait de réduire les risques de démence

Des chercheurs sont à mettre au point un nouveau type de farine, rapporte MedicalNewsToday, qui pourrait permettre de réduire les risques de démence.

C’est à tout le moins le souhait exprimé par l’équipe de chercheurs des universités de Loughborough, Bogor et d’Indonésie, qui concoctent une farine à base de tempe, un ingrédient largement répandu dans la cuisine asiatique.

Il s’agit donc d’une farine à base de soja, qui comprend un nombre considérable de vitamine B et de phyto-estrogènes, des éléments qui stimuleraient les fonctions cognitives et de la mémoire, selon plusieurs études précédentes.

Maintenant que les essais cliniques et les études sur les peuples asiatiques ont démontré la véracité de leur théorie, les chercheurs en tête du projet souhaitent maintenant commercialiser leur nouvelle farine.

« La prochaine étape est de voir si on peut répéter nos découvertes initiales sur la population occidentale. Si ça fonctionne, ce sera une étape majeure de franchie en prévention du déclin de la mémoire dû au vieillissement », résume Eef Hogervorst, l’un des directeurs du projet et chercheur à l’Université de Loughborough

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Fluor dans l’eau potable : une polémique mondiale

Ce n’est pas qu’au Québec que le dossier du fluor dans l’eau potable fait jaser, mais bien partout dans le monde.

C’est ce qu’on comprend de cet article publié par le Daily Mail (UK), qui révèle certaines données inquiétantes en lien avec ce dossier chaud. Les résultats et inquiétudes subséquentes de la part d’experts et d’observateurs découlent d’une récente étude sur le sujet, qui fait état d’une possible hausse des risques de démence chez les consommateurs d’eau potable dont on aurait manipulé les taux de fluor.

Des observations qui s’appliquent donc tout à fait chez nous, puisque les raisons avancées en territoire européen pour expliquer l’affaire sont sensiblement les mêmes que chez nous.

Dont la principale, soit celle qui vante les mérites du fluor dans l’eau pour contrer les caries dentaires, notamment chez les tout-petits. Moins de caries, mais aussi plus de chances de voir se développer des maladies cérébrales et neurologiques comme la démence, voilà une transaction qui n’est pas équitable, croient plusieurs chercheurs.

C’est l’opinion de Doug Cross, qui lance en conclusion : « Le problème va au-delà d’une histoire de plombages, car une exposition massive au fluor peut entraîner des problèmes dentaires. De plus, comme il est avancé qu’un tiers de nos personnes âgées de plus de 65 ans mourront d’Alzheimer, ajouter un risque supplémentaire est simplement fou ».

Pendant ce temps, au Québec, le dossier a littéralement sombré dans l’oubli.

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L’huile de poisson pourrait contrer les effets de l’alcool sur le cerveau

MedicalNewsToday rapporte une nouvelle étude qui se veut encourageante et qui prétend démontrer que la consommation d’huile de poisson peut contrer les effets dévastateurs de l’alcool sur le cerveau.

Une grande quantité d’alcool consommée régulièrement peut mener à des torts cérébraux irréparables et même à de la démence, qui est directement associée à ce type de problème de consommation d’alcool.

Selon les chercheurs de l’European Society for Biomedical Research on Alcoholism en Pologne, les oméga-3 retrouvés dans l’huile de poisson pourraient bien venir en aide aux gens qui se retrouvent dans cette grave situation.

Publiée et déposée dans le cadre du 14e congrès de l’ESBRA, l’étude démontre un effet positif vérifiable sur des rats.

Un groupe test de rongeurs s’est vu imposer un régime à forte teneur en alcool, alors qu’un deuxième a subi le même sort, mais doublé d’une consommation à forte teneur en oméga-3.

Les résultats sont aussi éloquents qu’étonnants, puisqu’on constate 95 % moins de dommages au cerveau des rats du deuxième groupe!

Les chercheurs, malgré leur enthousiasme devant cette belle découverte, ont tôt fait de mettre en garde les gens qui seraient tentés de continuer d’abuser de l’alcool, mais en avalant simplement des gélules d’huile de poisson.

Cependant, cette étude pourrait mener à plusieurs percées médicales intéressantes dans le futur.

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L’anesthésie et la perte de mémoire

Sur le site britannique du Daily Mail, un article cite nombre de recherches de différentes institutions sur le sujet.

Alors qu’il était déjà connu que l’utilisation des drogues de Morphée avait un impact négatif sur le système immunitaire, de plus en plus de dommages sont répertoriés.

Non seulement le fait de subir une anesthésie générale pourrait être responsable de pertes de mémoire temporaires, mais il est démontré que les patients âgés ont un plus grand risque de souffrir de troubles permanents, de démence et d’Alzheimer.

De plus, un lien a été découvert entre des troubles de la parole et d’apprentissage chez les enfants ayant été sous ce type d’anesthésie.

Voilà qui explique certaines des raisons pour lesquelles plusieurs professionnels de partout dans le monde se montreraient plus favorables à l’utilisation de l’anesthésie locale. Une technique moins dangereuse est notamment l’épidurale, un processus qui implique l’injection de drogues autour des nerfs afin de bloquer le signal de douleur se rendant au cerveau.

L’abandon systématique de l’anesthésie générale est déjà en cours dans plusieurs pays, mais certains se montreraient plus conservateurs malgré l’évidence des risques.

Il s’agit là d’un important rappel de l’importance de bien se renseigner avant une opération afin de connaître toutes les options ainsi que leurs effets potentiels sur votre santé.

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Une contre-étude diminue l’impact des antioxydants

Les antioxydants ont la cote depuis un bon moment maintenant, et ce n’était qu’une question de temps avant que des études moins flatteuses sur le sujet ne soient publiées.

C’est le cas de celle proposée par des chercheurs bostonnais et des Pays-Bas, et rapportée par The National Library of Medicine, qui minimise les impacts des antioxydants en ce qui concerne la prévention de certains problèmes de santé.

On parle entre autres des attaques cérébrales et des maladies dégénératives, qui ne seraient pas nécessairement moins probables chez les gens qui consomment des antioxydants.

« Les écrits concernant les antioxydants et les troubles dégénératifs du cerveau (dementia) ont été mélangés. Il y a une école de pensée qui dit qu’en fin de compte, les antioxydants peuvent être bénéfiques, mais c’est également vrai de dire qu’en regardant les antioxydants de près, on constate que chaque individu va réagir différemment à sa consommation. » Explique Elizabeth Devore, de la Brigham and Women’s Hospital de Boston.

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Parler deux langues serait bénéfique pour le cerveau

Plusieurs sources, dont topsante.com, rapportent une étude qui trace un lien entre la maîtrise de plusieurs langues et les performances cérébrales.

On parle d’au moins une seconde langue, comme parler l’anglais pour un francophone, ou l’inverse. Selon les chercheurs de l’Université du Kentucky, qui parlent de « flexibilité cognitive », le fait d’être bilingue (ou trilingue, pourquoi pas) aurait un réel impact sur le lobe cérébral frontal.

Ces variations et optimisations cognitives seraient observables de façon croissante tout au fil de la vie d’un individu qui parle plus d’une langue, toujours selon l’étude publiée dans la plus récente édition du Journal of Neuroscience.

Pour prouver ces dires, les chercheurs américains ont étudié les cas de 110 personnes (de 60 à 88 ans) à qui l’on faisait passer une série de tests afin d’évaluer cette fameuse « flexibilité cognitive ».

Les chercheurs ont pu constater que les sujets bilingues passaient les tests avec plus de facilité, en plus de dépenser moins d’énergie en le faisant (évalué sur le cortex préfrontal).

Plus étonnant encore, cette étude s’ajoute à une récente publication qui prétendait que le bilinguisme serait excellent dans la prévention de certaines maladies comme l’Alzheimer et la démence.