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Les blessures à la tête n’augmenteraient pas les risques de démence

Si les risques de démence en vieillissant ne sont pas augmentés par une blessure à la tête au cours de votre vie, il en va autrement des risques de nouvelles blessures, selon une nouvelle étude sur le sujet.

C’est www.nlm.nih.gov qui rapporte ces recherches, alors que plusieurs personnes s’inquiètent de leur avenir à la suite d’une blessure sérieuse à la tête.

C’est notamment le cas des sportifs, qui subissent souvent ce genre de chocs.

« Il y a beaucoup de peur chez les gens qui ont eu une blessure à la tête ou au cerveau, peur de développer d’horribles problèmes à long terme en vieillissant. Ce n’est pas vrai. Par contre, nous avons constaté un risque de nouvelle blessure similaire », explique l’auteure Kristen Dams-O’Connor, de l’école de médecine du Mount Sinai Medical Center à New York.

Voilà qui rassurera les principaux intéressés, surtout que l’étude est exhaustive, rassemblant des données depuis plus de 16 ans et analysant les cas de plus de 4000 adultes ayant déjà subi ce genre de blessures à la tête.

Les résultats ont été publiés récemment dans le Journal of Neurology, Neurosurgery & Psychiatry.

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La solitude pourrait mener à la démence

C’est une bien triste étude que rapporte www.nlm.nih.gov, alors que des chercheurs tracent un lien possible entre la solitude et la démence. On signale ce phénomène notamment chez les personnes âgées.

Selon l’étude, les aînés qui vivent seuls et qui n’ont pas fréquemment de la visite sont plus sujets à sombrer dans la démence.

Les chercheurs tiennent à spécifier qu’il existe une différence entre « se sentir seul » et « vivre seul ».

L’étude a été publiée dans la plus récente édition du Journal of Neurology, Neurosurgery and Psychiatry et retraçait le parcours de plus de 2000 personnes de l’âge d’or n’ayant aucun signe préalable de démence ou de maladie dégénérative.

Près de la moitié des participants à l’étude vivaient seuls, alors que les trois quarts affirmaient n’avoir aucun soutien social. 20 % d’entre eux avouaient se sentir seuls.

Après trois ans de suivi, 13 % des gens qui disaient se sentir seuls ont développé des symptômes de démence, le plus haut total de tous les groupes. Tous les autres groupes ont également eu des statistiques similaires.

Au final, les chercheurs parlent d’un risque de démence 70 % plus élevé chez ceux qui vivent seuls ou qui n’ont pas de contexte social, comparativement à ceux qui sont mariés ou qui vivent avec d’autres personnes.

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Des résultats décevants pour la vitamine D dans le traitement de la démence

Les chercheurs espéraient pouvoir faire une corrélation entre la vitamine D et le traitement de la démence et de certaines maladies dégénératives, mais il semble que les résultats soient plutôt décevants.

C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, alors qu’une nouvelle étude sur le sujet vient d’être publiée dans le Journal of the American Geriatrics Society.

Malgré tout, plusieurs experts gardent espoir de voir la vitamine D donner des résultats en matière de traitement de la démence, notamment.

Pour en arriver aux conclusions de la présente étude, des chercheurs du HealthPartners Institute for Education and Research, une branche à but non lucratif de la HMO (Health Maintenance Organization), ont analysé les dossiers de plus de 2000 patientes qui ont reçu des suppléments de vitamine D et de calcium.

La Dre Rebecca Rossom explique : « Je crois que l’étude ne regarde que les effets directs de la vitamine D sur la démence, mais elle demeure importante néanmoins, car elle fait le bilan des habitudes des femmes concernant celle-ci ».

De plus, on rappelle que le calcium, ainsi que la vitamine D, demeurent d’excellents alliés pour un vieillissement sain, à commencer par leurs effets protecteurs sur les os.

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Un médicament contre le psoriasis pourrait être utilisé dans des cas d’Alzheimer

C’est une nouvelle stupéfiante que nous rapporte Santelog.com, alors que des chercheurs de Zurich prétendent pouvoir faire un lien entre un médicament utilisé contre le psoriasis et la maladie d’Alzheimer.

C’est que ce traitement pourrait aussi être utilisé pour contrer les effets de la terrible maladie d’Alzheimer, pour laquelle on cherche toujours activement des traitements efficaces.

Ces conclusions ont été publiées dans le magazine Nature Medicine et révèlent que les chercheurs de l’Université de Zurich ont effectué sur des animaux des tests qui leur permettent de croire au double effet du médicament.

De plus, vu la composition du traitement en question (l’ustekinumab, aussi appelé Stelara), ces conclusions vont de pair avec la théorie qui veut que le développement de la démence soit encouragé par un système immunitaire déficient.

Plusieurs autres études et tests seront effectués sur le sujet, mais les données enregistrées sur des souris permettent de croire que ce type de traitement peut « bloquer » la progression de la maladie d’Alzheimer.

Le même processus pourrait aussi s’appliquer sur des patients souffrant de déficience cognitive légère, ce qui s’avère une excellente nouvelle.

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Les personnes ayant grandi à la campagne sont plus à risque de souffrir d’Alzheimer

Les personnes nées à la campagne et qui y ont grandi sont deux fois plus à risque de souffrir de la maladie d’Alzheimer, révèle le Telegraph.
 
Une équipe de l’Université d’Édimbourg a analysé 51 articles scientifiques basés sur des données de dossiers médicaux de 12 580 personnes.
 
Les personnes de la campagne souffrent plus de la maladie d’Alzheimer que les personnes qui ont grandi en ville, mais on ignore pourquoi.
 
Les scientifiques émettent certaines hypothèses pouvant expliquer le phénomène, comme l’accessibilité des soins ou une exposition à des substances de la campagne qu’on ne retrouve pas en ville.
 
Les études devront être approfondies pour trouver les mécanismes sous-jacents de cette découverte.
 
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Le chocolat chaud pour améliorer la mémoire

Une étude italienne dévoile que les flavonoïdes contenus dans le cacao amélioreraient les fonctions cognitives et aideraient à prévenir la démence liée à l’âge.

90 personnes avec de légers troubles de mémoire ont participé à cette recherche, qui consistait notamment à faire boire à un certain nombre de personnes du chocolat chaud à différents dosages (990 mg, 520 mg et 45 mg), et ce, chaque jour pendant huit semaines.

Ensuite, les participants se sont soumis à des tests de mémoire verbale, de capacités à raisonner et de passage d’une tâche à l’autre.

Les personnes ayant pris du cacao ont obtenu de meilleurs résultats que les autres.

Le cacao est parmi les aliments les plus riches en flavonoïdes qui ont aussi la propriété de réduire les risques de maladie cardiovasculaires, notamment en abaissant le niveau de mauvais cholestérol.

« Cette étude apporte une preuve encourageante que la consommation des flavonoïdes du cacao, dans le cadre d’une alimentation équilibrée, pourrait améliorer les fonctions cognitives des individus. Il s’agit d’une piste pour prévenir ou ralentir l’apparition des troubles de mémoire mineurs et les démences de type Alzheimer » , mentionne le Dr Giovambattista Desideri, au Telegraph.

Crédit photo : FreeDigiotalPhotos.net

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Les suppléments d’huile de poisson ne protègent pas contre la démence

Alors que diverses données tendent à vanter les avantages des suppléments d’oméga-3 pour prévenir la démence et le déclin cognitif, une nouvelle étude affirme plutôt le contraire, avance le Cochrane Review.
 
Les experts du Cochrane Dementia and Cognitive Improvement Group ont effectué une méta-analyse et revu toutes les preuves scientifiques concernant les suppléments d’huile de poisson.
 
On note que les consommateurs n’obtiennent pas de meilleurs résultats à des tests de mémoire ou à des tests de performance mentale.
 
Ainsi, les experts concluent que bien que les oméga-3 venant des poissons gras comme le saumon aient des effets bénéfiques sur le cerveau, les suppléments pris en capsules n’offriraient aucune protection supplémentaire contre le déclin cognitif et la démence.
 
Rappelons que les oméga-3 demeurent essentiels au bon fonctionnement du cerveau.
 
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Nouvelles données concernant les effets de l’alcool sur le cerveau

Depuis bien longtemps, on prône les bienfaits d’une consommation modérée d’alcool sur la santé cardiaque.
 
Depuis, on a également trouvé des effets bénéfiques sur le déclin cognitif et la démence, mais cette association demeure encore floue.
 
Selon les chercheurs, il serait encore prématuré de recommander de consommer de l’alcool modérément et régulièrement afin de prévenir les troubles de démence.
 
Selon le Psychiatry Investigation, l’étude confirme qu’une consommation légère d’alcool peut réduire de 35 à 45 % le déclin cognitif et la démence chez les personnes âgées.
 
Seulement, pour une consommation modérée, les choses demeurent à être éclaircies.
 
Pour les bienfaits cardiaques, tout est plus défini, mais pour le cerveau, les données sont encore trop récentes, rappellent les experts.
 
Bien que la tendance semble prometteuse, il importe de demeurer prudent. Quoi qu’il en soit, une grande consommation d’alcool sera toujours néfaste pour la santé.
 
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Une substance chimique du vin rouge pour traiter des problèmes de santé

 

Une substance chimique que l’on retrouve notamment dans le vin rouge, le resvératrol, était déjà reconnue pour augmenter l’espérance de vie et imiter les effets d’un régime pauvre en calories. On ignorait cependant de quelle façon elle redonnait de l’énergie aux cellules.
 
Des chercheurs ont découvert que cette substance incite les cellules à croire qu’elles sont privées d’énergie, ce qui augmente alors la production de protéines.
 
Selon le journal Cell, cette découverte pourrait mener à l’élaboration de nouveaux traitements pour la maladie d’Alzheimer, les maladies cardiaques et le diabète, en utilisant soit le resvératrol ou des agents plus puissants qui travailleraient de la même manière sur les cellules.
 
Consommer du vin rouge n’est pas suffisant, car pour avoir une dose significative de resvératrol, il vous faudrait boire 700 bouteilles. Voilà pourquoi, on souhaite créer un médicament qui aura les mêmes effets.
 
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Nouvel espoir pour la maladie d’Alzheimer

Pour la toute première fois, des scientifiques sont parvenus à créer en laboratoire des cellules endommagées par la maladie d’Alzheimer.
 
Cette première pourra maintenant aider les chercheurs à mieux comprendre comment la maladie affecte le système nerveux et ainsi trouver des traitements plus efficaces.
 
Jusqu’à présent, les recherches ne pouvaient se faire qu’avec des cellules non neurales ou sur un modèle animal.
 
Une équipe de l’Université de la Californie a donc trouvé le moyen de développer un mode de culture de cellules humaines.
 
L’Alzheimer est caractérisée par une perte de neurones et de synapses, ce qui entraîne une perte progressive de la mémoire et des difficultés avec la langue et les émotions.
 
Il n’existe aucun remède pour soigner cette maladie. Le seul traitement offert aux patients est la prise de médicaments qui peuvent ralentir la progression de la maladie.