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Fumer augmente les risques de démence

Les personnes qui fument beaucoup, soit deux paquets de cigarettes par jour, doublent leurs risques de souffrir d’une sorte de démence plus tard.
 
Les Archives of Internal Medecine mentionnent que l’équipe de la chercheuse américaine Rachel A. Whitmer a analysé les résultats de 21 123 patients qui ont répondu à des questionnaires lors de leurs rendez-vous médicaux entre 1978 et 1985. Ces personnes avaient de 50 à 60 ans.
 
Le quart a reçu un diagnostic de maladie, soit 1 136 personnes atteintes d’Alzheimer et 416 souffrant de démence vasculaire.
 
Ces personnes étaient en général de gros fumeurs. Par contre, les anciens fumeurs ou encore ceux qui fument moins d’un demi-paquet par jour n’ont pas plus de risques de souffrir d’une forme de démence que les non-fumeurs, mentionnent les chercheurs.
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L’Alzheimer coûte plus de 600 milliards de dollars par année

En ce moment dans le monde, il y aurait 35 millions de personnes qui souffrent de la maladie d’Alzheimer ou d’une forme de démence apparentée.
 
Selon les données du World Alzheimer Report 2010, le traitement des personnes malades et les pertes y étant associées représentent un coût de 604 milliards de dollars américains pour l’économie mondiale. Ce chiffre, qui est au-delà des revenus de grandes entreprises comme Walmart ou Exxon Mobil, est équivalent à un peu plus de 1 % du produit intérieur brut mondial.
 
La situation ira même en se dégradant, car d’ici 20 ans, on estime que le nombre de personnes atteintes d’Alzheimer sera doublé et d’ici 2050, il sera triplé.
 
On demande aux gouvernements de voir à la situation, notamment en augmentant le financement de la recherche sur cette maladie.
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De bons liens sociaux protègeraient de la démence

Pendant 15 ans, des chercheurs français ont suivi 2 089 personnes âgées. Ils ont constaté que les plus de 65 ans qui disaient être satisfaites de leurs relations sociales avaient 23 % moins de risques de développer une forme de démence comme l’Alzheimer.
 
Selon les auteurs de l’étude, l’important est la qualité des relations et non la quantité. En vieillissant, nous accordons plus de valeur à la satisfaction émotionnelle. Ainsi, les aînés choisissent un groupe restreint pour leurs relations, contrairement aux plus jeunes qui ont un réseau social élargi. Les relations doivent d’abord être enrichissantes.
 
Les bienfaits des amis et de bonnes relations ont déjà été démontrés par le passé. Avoir un bon réseau d’amis et participer à des activités sociales permet de conserver de bonnes fonctions cognitives en vieillissant.
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Les pertes de mémoire ne sont pas normales au vieillissement

Le Daily Mail rapporte que les pertes de mémoire ne feraient pas partie du processus normal du vieillissement.
 
Cette nouvelle étude vient contredire une vieille notion qui disait qu’en vieillissant, on pouvait avoir des trous de mémoire. Selon les experts, ce serait plutôt les premiers signes de démence.
L’Alzheimer est sans doute la forme la plus commune de démence. C’est une maladie mortelle du cerveau et seule une autopsie peut vraiment confirmer sa présence. Sinon, le patient doit se soumettre à de nombreux examens pour établir un diagnostic.
 
Après quelques tests, les chercheurs ont constaté que ceux qui n’avaient pas de pertes de mémoire avaient un cerveau sain, alors que les autres, qui avaient des problèmes avec leur mémoire, commençaient à présenter des lésions.
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Effet trompeur des jeux intellectuels sur la démence

Des chercheurs américains du Rush University Medical Center confirment que s’adonner à des jeux intellectuels comme des mots croisés ou sudokus retarde l’apparition du déclin intellectuel et la démence. Toutefois, les amateurs de ces loisirs voient leur condition se détériorer plus rapidement une fois le diagnostic posé, rapporte le journal Neurology.
 
On croit en fait que la maladie progresse plus rapidement, car elle est déjà avancée lorsqu’on la diagnostique chez le patient.
 
Après avoir suivi 1 000 personnes âgées pendant 10 ans, on conclut notamment que la maladie d’Alzheimer évolue plus rapidement chez les amateurs de mots croisés et autres loisirs de ce genre. 
 
Les maladies neurodégénératives touchent près de 290 000 Canadiens de 65 ans et plus.
 
Par contre, il ne faut pas mettre ces petits loisirs de côté pour autant, car comme ils retardent la maladie, les personnes doivent vivre moins d’années en étant atteintes.
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De nouveaux moyens pour combattre la démence

Après avoir suivi 1 433 personnes de plus de 65 ans en bonne santé pendant quelques années, on constate qu’il y a certains facteurs de risques que l’on peut modifier afin de freiner les nouveaux cas de démence, rapporte le Bristish Medical Journal.
 
Bien que les causes de la démence demeurent encore inconnues, certains facteurs jouent un rôle dans l’apparition des symptômes et certains peuvent être modifiés à un jeune âge.
 
Ainsi, il faut combattre les pathologies cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux, l’hypertension, l’obésité, le diabète, le cholestérol élevé, les antécédents de dépression, l’alimentation, les habitudes de consommation d’alcool et le niveau d’éducation.
 
Quatre de ces facteurs se démarquent et ont un impact significatif sur l’apparition des nouveaux cas de démence. Ainsi, améliorer ses capacités intellectuelles diminue les nouveaux cas de 18 %, alors que combattre la dépression, surveiller le diabète et consommer plus de fruits diminuent de 21 % les risques de développer la maladie.
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La dépression augmente les risques de démence

La dépression pourrait augmenter considérablement les risques de développer certains types de démences plus tard, dont la maladie d’Alzheimer.

Une nouvelle étude parue dans la revue Neurology renforce donc l’hypothèse d’un lien entre la dépression et la démence. Les scientifiques ne s’expliquent toutefois pas le phénomène. Par contre, on croit que l’inflammation du cerveau qui se produit lors d’une dépression peut jouer un rôle, de même que certaines protéines présentent dans le cerveau, ainsi que le style de vie de la personne.

La présente recherche a été réalisée sur 1 000 personnes qui ne souffraient pas de démence au début de l’étude. Cent vingt-cinq ont été classées comme dépressives. Après 17 ans de recherches, 164 personnes souffraient de démence, dont 136 avaient l’Alzheimer. De ces malades, 22 % avaient été classés comme dépressifs au début, comparativement à 16,6 % chez ceux qui ne présentaient pas de symptômes de dépression.

Des études plus approfondies sont maintenant nécessaires pour confirmer les résultats.

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Le jus de pomme améliore l’humeur des personnes ayant l’Alzheimer

Des chercheurs américains de l’Université Massachusetts-Lowell ont découvert que le jus de pomme améliorait l’humeur des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, rapporte l’American Journal of Alzheimer’s Disease & Other Dementias
 
Après avoir fait des tests sur 21 personnes hospitalisées, atteintes de la maladie à des niveaux modérés et sévères, on a constaté que deux verres de 120 ml de jus de pomme par jour réduisaient de 27 % les symptômes comportementaux et psychotiques qui sont associés à la démence.
 
Ceci améliore non seulement le quotidien des patients, mais aussi celui des personnes qui en prennent soin, réduisant leur charge de travail et la rendant plus facile également.
 
Les changements les plus importants ont été observés au niveau de l’anxiété des personnes malades, de l’agitation et des délires.
 
Selon Ruth Remington, professeure associée des soins infirmiers de l’université et ses collègues, le jus de pomme devrait être considéré comme un complément intéressant qui agit directement sur la baisse de moral qui accompagne la maladie d’Alzheimer.
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Les personnes qui souffrent de démence ne peuvent reconnaitre les saveurs

La revue Cortex publie une étude de l’Université de Washington, aux États-Unis, et de la City University de Londres, en Grande-Bretagne, qui affirme que les personnes démentes ne peuvent plus identifier correctement les saveurs.
 
Les chercheurs ont analysé le goût de personnes ayant la maladie de Pick, une maladie neurologique qui résulte d’une démence sémantique. Tous les participants étaient en bonne santé, mais avaient une démence sémantique.
 
On leur a demandé de goûter une panoplie de bonbons en leur demandant d’identifier les saveurs en plus de juger de la validité de certaines associations de goût.
 
Bien que tous les participants aient pu dire s’ils aimaient les saveurs, aucun n’a pu les reconnaître et aucun n’a pu dire si les associations étaient appropriées ou non, par exemple la vanille et le cornichon.
 
Cette découverte montre clairement que le cerveau joue un rôle important dans les préférences alimentaires. De plus, on comprend un peu mieux comment fonctionne le mécanisme du goût, qui est également relié aux fonctions du cerveau.
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L’obésité influencée par la taille du cerveau

Il semblerait que l’obésité ait un lien avec un cerveau de moindre volume, selon des chercheurs de la faculté de médecine de l’Université de Boston.
 
De plus, selon leurs observations, l’obésité augmenterait le risque de développer de la démence, comme l’Alzheimer.
 
733 personnes, dont la moyenne d’âge était de 60 ans, ont participé à cette étude. Les chercheurs ont mesuré leur indice de masse corporelle (IMC), leur graisse abdominale et le volume de leur cerveau grâce à l’imagerie par résonnance magnétique (IRM). De plus, on a observé la densité des plaques dans leur cerveau, qui caractérisent souvent les maladies comme l’Alzheimer.
 
« Nos résultats confirment la relation entre l’accroissement de l’IMC et la réduction du volume du cerveau, chez les sujets les plus âgés et d’âge moyen, observée précédemment dans un groupe de moins de 300 sujets. Encore plus important, ces données montrent un lien plus fort entre l’obésité, particulièrement l’excès de graisse se trouvant dans les viscères, et un risque accru de démence et de maladie d’Alzheimer », mentionne le Dr Sudha Seshadri.
 
Ces découvertes pourraient donc conduire à de nouvelles stratégies de prévention. Selon les données de 2005 de l’Organisation mondiale de la santé, 4,6 millions de nouveaux cas de démence sont enregistrés chaque année dans le monde.