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L’huile d’olive agirait aussi sur les os

Une autre propriété santé de l’huile d’olive aurait été confirmée par des chercheurs espagnols, rapporte le Daily Mail (UK).

La populaire huile végétale à base d’olives serait en effet également bénéfique pour la santé des os, selon une équipe de spécialistes basée à l’Université de Madrid qui s’est penchée sur les effets de l’ingrédient sur l’organisme.

Après deux ans de recherches, les chercheurs concluent que les personnes qui consomment de l’huile d’olive présentent de plus hauts taux d’ostéocalcine dans le sang, un marqueur d’une ossature forte et en santé.

Cette nouvelle étude complète celle publiée précédemment par l’Université d’Athènes, qui prêtait le même genre de vertu à l’huile d’olive, lorsque combinée à de faibles apports en viandes rouges, spécialement chez la femme.

Par ailleurs, il appert que les statistiques d’ostéoporose, une maladie des os, seraient plus faibles chez les gens qui adoptent une diète de style méditerranéenne, qui utilise justement quantité d’huile d’olive et d’huiles végétales.

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Un verre de vin par jour protège les os

L’American Journal of Clinical Nutrition avance qu’un verre de vin par jour permet de préserver la densité osseuse, mais la bière et les spiritueux n’ont pas cet effet.
 
L’étude menée auprès de 1000 jumelles dans la mi-cinquantaine a examiné la relation entre l’alimentation et la densité osseuse. En plus d’un questionnaire sur leurs habitudes alimentaires, les femmes ont également passé des scans pour vérifier la densité minérale de leurs os.
 
On constate qu’une consommation modérée de vin est liée à une densité osseuse plus grande, donc à un moindre risque de fractures.
 
Par contre, un régime comportant du poisson frit, des fèves au lard, des pâtés à la viande ou de la charcuterie a des effets néfastes sur les os, les rendant plus fragiles.
 
Certains scientifiques ne croient pas que ce soit le vin lui-même qui protège les os, mais bien les polyphénols contenus dans la peau des raisins.
 
N’oublions pas, toutefois, que l’abus d’alcool affecte négativement les os et peut causer bien d’autres problèmes de santé.

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Le soccer serait le sport idéal

Il semblerait que le soccer serait le sport idéal pour les femmes. Les impacts légers, répétitifs et variés de ce sport aident à renforcer les os, contrairement au jogging qui offre des impacts réguliers et dommageables.
 
Des chercheurs danois viennent de démontrer que le soccer a des effets bénéfiques, même sur des femmes qui ne sont a priori pas sportives.
 
On a recruté 25 non sportives de 20 à 47 ans pour leur faire suivre un entrainement de soccer pendant 14 semaines. À la fin de l’étude, la densité minérale osseuse de leurs tibias avait augmenté de 2,6 % et 2,1 % en moyenne.
 
25 autres femmes ont plutôt pratiqué le jogging et elles n’ont pas vu d’amélioration de leur densité osseuse.
 
Par le passé, les scientifiques avaient déjà noté que les joueurs de soccer avaient une densité minérale osseuse au-dessus de la moyenne. Cette fois, on voit que cela peut également être bénéfique pour des personnes qui ne sont pas des adeptes de sports.
 
De plus, celles qui s’étaient adonnées au soccer avaient vu leur puissance musculaire être accrue de 3 %, alors que les joggeuses n’ont pas connu cet effet.
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La densité des seins augmente les récidives de cancer

La majorité des femmes ignorent la densité de leurs seins et devraient le demander à leur médecin, car cela a une incidence sur le cancer du sein.

Auparavant, on avait déterminé qu’une densité élevée augmentait les risques de développer un cancer du sein. Maintenant, une nouvelle étude réalisée par une équipe de l’Université de Toronto révèle que cela joue aussi un rôle important sur les risques de récidive du cancer sur le même sein.

Cette nouvelle étude s’est déroulée sur 10 ans. On a étudié 335 femmes qui avaient eu un cancer invasif et avaient subi une chirurgie mammaire conservatrice entre 1987 et 1998.

On a réparti les femmes en trois groupes selon la densité de leur sein, faible, moyenne et élevée. La moyenne d’âge était de 63 ans pour la première catégorie, de 58 ans pour la deuxième et de 55 ans pour la dernière.

Une femme aurait 10 % des chances de voir réapparaître un cancer du sein dans le sein affecté auparavant. Ce taux passerait à 21 % pour les femmes ayant des seins plus denses. Cela démontre donc que la densité des seins est un facteur important dans la maladie.