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Pas de carie, belles dents?

Près d’un enfant sur cinq ne serait jamais allé chez le dentiste. Selon un sondage présenté lors d’un récent colloque de santé bucco-dentaire organisé par des chirurgiens dentistes européens, 19 % des parents ont avoué n’avoir jamais fait passer d’examen dentaire à leur enfant.

Quant à ceux qui vont chez le dentiste avec leur progéniture, on lit sur Romandie qu’ils sont 46 % à s’y rendre une fois l’an. De plus, à peine plus du quart s’y rendent deux fois l’an.
 
Tristement, il semble que les parents faisant partie de classes socio-économiques plus faibles semblent ne pas emmener leur enfant chez le dentiste.

Malgré tout, 34 % des parents ont répondu que leur enfant voyait un dentiste tous les deux ans.

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Attention au rince-bouche!

Si le rince-bouche est parfait pour venir à bout de la mauvaise haleine, on voit souvent dans les publicités qu’il contribue aussi à une bonne santé dentaire en général.

Pourtant, selon des dentistes, cela n’est pas si vrai, apprend-on sur MedicMagic. Certains ingrédients peuvent entraîner des dommages aux dents et aux gencives.
 
Par exemple, le rince-bouche contient une grande quantité d’alcool, soit jusqu’à 26 %. Cet alcool est conservé dans du menthol et du thymol eucalyptus, lesquels peuvent pénétrer les dents et causer de la plaque.

Finalement, le rince-bouche peut avoir un effet déshydratant, encore une fois à cause de l’alcool qu’il contient. Cela a pour effet de créer une couche de mucus, afin que la bouche redevienne hydratée, ce qui fait réapparaître la mauvaise haleine.

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La santé dentaire : le plus tôt possible!

La santé buccale est reconnue comme un élément clé du développement de l’enfant, apprend-on sur Medical News Today.

Aussi, selon des experts, un enfant devrait être vu par un dentiste dès qu’il a un an ou dans un délai de six mois après l’apparition d’une première dent.

La prévention et le traitement s’en trouveraient beaucoup plus efficaces de cette façon. Le dentiste peut donner des conseils le plus tôt possible, que ce soit pour le nettoyage, le fluor ou les mauvaises habitudes buccales comme la suce.

On croit trop couramment que la santé dentaire est moins importante pour les bébés et les jeunes enfants. Pourtant, plus elle est prise en charge tôt, plus vite on peut arrêter le développement des bactéries causant les caries.

Les caries constituent l’infection la plus courante chez les tout-petits. Elles sont cinq fois plus fréquentes que l’asthme, par exemple. La prévention est la seule manière de les contourner.

Une première visite chez le dentiste devrait finalement consister en un examen des dents et des gencives, en une observation du développement des mâchoires et en une discussion sur la nutrition générale de l’enfant. Un nettoyage peut ensuite suivre, même si l’enfant ne présente que quelques dents.

Il faudrait donc mieux considérer la santé buccale et faire en sorte qu’elle fasse partie de la santé générale et du développement global de l’enfant dès son jeune âge.

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La carie, due au manque de vitamine D

Selon des chercheurs canadiens de l’Université du Manitoba, il vaut mieux faire le plein de vitamine D lors de la grossesse si l’on souhaite que le futur poupon ait moins de caries, une fois adulte.

206 femmes enceintes ont participé à cette étude où l’on a mesuré le taux de vitamine D lors de leur second trimestre de grossesse. Parmi celles-ci, seulement 10,5 % d’entre elles possédaient suffisamment de cette précieuse vitamine-soleil.

Les chercheurs ont aussi observé que 21,6 % des enfants nés des participantes avaient un émail dentaire plus mince et que 33,6 % avaient déjà des caries, ce qui laisse supposer un lien significatif entre le taux de vitamine D et la santé dentaire des enfants.

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Entente entre le gouvernement et les dentistes

Les membres de l’Association des chirurgiens dentistes du Québec ont accepté l’entente de principe proposée par le gouvernement du Québec il y a trois semaines.

Serge Langlois, le président de l’association professionnelle, est heureux de l’issue, compte tenu des circonstances : « Cette entente, qui se termine le 31 mars 2010, est acceptable dans les circonstances, car elle accorde aux dentistes qui travaillent dans le cadre du régime public de soins dentaires des tarifs raisonnables, même s’ils sont inférieurs à leurs honoraires habituels. »

Ainsi, Québec propose des mesures visant à améliorer les services et de l’accès aux soins. Un comité sera également mis sur pied afin d’étudier le litige à propos des frais d’exploitation des cliniques dentaires.

Avec cette entente acceptée, les dentistes seront réembauchés par la Régie de l’assurance maladie du Québec. Rappelons que ceux-ci s’étaient retirés du régime public afin de signifier au gouvernement son mécontentement. « Nous le déplorons profondément, nous n’avions nullement l’intention d’utiliser les moyens ultimes auxquels nous avons fini par recourir. Nous l’avons fait parce que nous n’avions pas le choix », a précisé M. Langlois.

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Des plombages dentaires pas si nocifs

Une recherche publiée dans le Journal of the American Dental Association contredit les rumeurs voulant que les plombages à base de mercure puissent nuire au développement du cerveau des enfants.

En effet, plusieurs scientifiques ne cachaient pas leur inquiétude et croyaient que des vapeurs nocives de mercure pouvaient s’échapper lors du remplissage de la cavité dentaire et ainsi endommager le système neurologique des bambins.

507 enfants américains âgés de 8 à 12 ans ont été suivis pendant sept ans. Ces derniers étaient répartis en deux groupes, selon l’utilisation de plombages de résine ou d’amalgames. Or, au terme de la période d’observation, on n’a trouvé aucune différence significative en matière de troubles neurologiques, de coordination ou d’audition.

L’usage d’amalgames pour les plombages demeure toutefois controversé. Un groupe d’experts américains recommande des études supplémentaires chez les femmes enceintes, dont les plombages pourraient avoir un effet négatif sur le foetus.