Catégories
Hollywood PQ

Feu vert pour les nouveaux films de Denys Arcand, Robin Aubert et Louise Archambault

La Société de développement des entreprises culturelles (SODEC) a annoncé aujourd’hui les 14 longs métrages de fiction qu’elle soutiendra financièrement dans le cadre de son programme d’aide à la production.

On compte entre autres la comédie écrite et réalisée par Denys Arcand, Testament, qui témoignera « d’une époque où rectitude politique, évolution identitaire, protestations en tous genres, scandales culturels, militantisme et autres tempêtes médiatiques » font partie du quotidien, faisant perdre foi en l’humanité à un homme âgé, forcé de trouver de nouveaux repères.

Robin Aubert a quant à lui obtenu le financement pour Tu ne sauras jamais, un drame qu’il coécrit avec Julie Roy et qui portera sur un homme en fin de vie, isolé dans une chambre d’un CHSLD en pleine pandémie, qui cherchera à retrouver son amoureuse dont il est sans nouvelles et qui loge dans le même établissement que lui.

Louise Archambault pourra, de son côté, réaliser la comédie dramatique Le temps d’un été écrite par Marie Vien, un film qui porte sur un curé qui fréquente les sans-abri de la métropole, alors qu’il est à l’aube de devoir fermer son église. Comme un coup de main du seigneur, le destin lui fera hériter d’une propriété où il pourra amener des itinérants, qui devront, eux aussi, faire face aux locaux et à « leur propre vérité ».

India Desjardins signe son premier scénario — excepté bien sûr les adaptations cinématographiques de ses romans Aurélie Laflamme — avec la comédie romantique 23 décembre, qui sera réalisée par Miryam Bouchard. Ce film de Noël a de quoi particulièrement attirer notre attention, surtout après la sortie de l’essai Mister Big ou la glorification des amours toxiques, qui se penche notamment sur les modèles plutôt négatifs qu’ont pu nous transmettre nos comédies romantiques favorites.

Sophie Dupuis a obtenu le financement pour Drag, un drame qui suivra Simon, une étoile montante du monde de la drag à Montréal, alors qu’il tombe amoureux d’Olivier, le petit nouveau du métier avec qui il développera une relation toxique. En même temps, il renouera avec sa mère, de retour au pays après plus d’une décennie ailleurs… et touchera le fond.

Anne Émond réalisera de son côté La meute, un drame adapté de la pièce éponyme de Catherine-Anne Toupin, qui signera le scénario. L’histoire porte sur Sophie, une femme traumatisée qui se retrouve dans un Airbnb pour fuir sa réalité. C’est là qu’elle fera la connaissance de Martin et de Louise, avec qui elle partagera des soirées arrosées et une complicité grandissante. Mais si elle n’avait pas atterri là par hasard…?

Francis Leclerc a reçu le feu vert pour son film Le plongeur, coécrit avec Éric K. Boulianne et adapté du roman éponyme de Stéphane Larue. L’histoire nous conduira dans « un monde où le sommeil est rare, où les amitiés sont éphémères et où les tentations sont nombreuses », alors qu’un étudiant en graphisme dépendant aux jeux d’argent obtiendra un boulot de plongeur dans le monde de la restauration, où il découvrira un rythme de vie effréné.

Stéphane Lafleur réalisera Viking, une comédie de science-fiction coécrite avec Éric K. Boulianne qui racontera l’histoire d’un professeur d’éducation physique qui a toujours rêvé d’être astronaute et qui se retrouvera à faire partie d’une mission sur Mars où il devra « anticiper les réactions des vrais astronautes confrontés à divers problèmes interpersonnels ». Mais ce travail lui offrira également des révélations sur lui-même.

Kanaval d’Henri PardoPas d’chicane dans ma cabane! de Sandrine Brodeur-Desrosiers, Un goût amer d’éternité de Dominique Chila et Samer NajariLa mécanique des frontières d’Hubert Caron-GuayLa mort n’existe pas de Félix Dufour-Laperrière et Le dernier repas de Maryse Legagneur sont les autres films qui recevront du financement de la SODEC.

Catégories
Cinéma Divertissement

Denys Arcand, Robin Aubert et Francis Leclerc financés par la SODEC

La Société de développement des entreprises culturelles (SODEC) vient d’annoncer la liste des 14 longs métrages de fiction qu’elle soutiendra financièrement dans le cadre de son programme d’aide à la production.

Parmi les films choisis, notons entre autres la comédie écrite par Denys Arcand, Testament. Le film raconte les travers d’une époque où rectitude politique, évolution identitaire, protestations en tous genres, scandales culturels, militantisme et autres tempêtes médiatiques forment la toile de fond d’un récit touchant mettant en scène un homme âgé qui, n’ayant plus foi en l’humanité, découvre pourtant de nouveaux repères, et ainsi son bonheur.

De son côté, Robin Aubert obtient un financement pour aller de l’avant avec le film qu’il a co-scénarisé, Tu ne sauras jamais. Le drame racontera l’histoire de Paul Vincent, un vieil homme en fin de vie, enfermé dans sa chambre d’un CHSLD en temps de pandémie COVID-19. L’attente est longue. Le manque d’effectifs se fait sentir. Sans nouvelles de son amoureuse qui vit aussi dans la même résidence, monsieur Vincent mettra tout en œuvre pour la retrouver. Il sait qu’elle est encore en vie. Il doit la rejoindre.

Le cinéaste Francis Leclerc de son côté pourra mettre en chantier son projet Le plongeur. Adapté du roman à succès de Stéphane Larue, le film raconte un monde où le sommeil est rare, où les amitiés sont éphémères et où les tentations sont nombreuses. Stéphane, étudiant en graphisme à la dérive, évite depuis des mois ses amis, ment et s’endette, aspiré par sa dépendance aux loteries vidéo. L’hiver installé, à bout de ressources, il devient plongeur à La Trattoria. Pendant un mois et demi, il enchaînera les quarts de travail de soir et les doubles avec son mentor, Bébert, ogre infatigable au bagou de rappeur, déjà usé par l’alcool et la drogue. On découvre ainsi le train survolté d’un restaurant à l’approche des fêtes et sa galerie mouvante de personnages. C’est en leur bruyante compagnie que, débordé de toutes parts, le plongeur tente de juguler son obsession en traversant comme il peut cette saison chaotique.

Outre ces trois productions attendues, la SODEC finance aussi des projets de Louise Archambault ou d’India Desjardins.

La SODEC a pour mandat de promouvoir et de soutenir le développement des entreprises culturelles au Québec et à l’étranger dans les secteurs du cinéma et de la production télévisuelle, du livre, des métiers d’art, du marché de l’art ainsi que de la musique et des variétés. 

Catégories
Potins

Le dernier film de Denys Arcand sera célébré au TIFF

L’heure est à la fête!

Lors d’une nouvelle annonce concernant la programmation du plus grand événement du septième art au Canada, on apprend avec plaisir que quatre réalisateurs québécois se sont ajoutés à la liste des oeuvres canadiennes, incluant déjà Kim Nguyen, qui seront célébrées cette année au Festival International du Film de Toronto.

En tout, 19 titres canadiens se sont ajoutés à la programmation.

Notamment, le dernier long-métrage de Denys Arcand y sera exposé en présentation spéciale lors d’une soirée dont la date sera précisée à la sortie de l’horaire complet, le 21 août.

En entrevue avec La Presse canadienne, le programmateur Steve Gravestock a louangé le travail du réalisateur : 

« Je pense que c’est l’un de ses films politiques les plus pointus depuis un bon moment », souligne-t-il. 

« D’une certaine façon, même s’il fait état de toutes sortes de corruption, il offre une note d’espoir. »

La chute de l’empire américain, mettant en vedette Alexandre Landry et Maripier Morin, avait attiré une foule de vedettes lors de sa première il y a quelques semaines.

Serge Cloutier

Le nouveau film de Sébastien Pilote, le très excitant La disparition des lucioles, y sera également présenté, de même que La grande noirceur de Maxime Giroux, ainsi que Les sal*pes ou le sucre naturel de la peau de Renée Beaulieu.

Le TIFF se déroulera du 6 au 16 septembre prochain.

À lire aussi : 

Les Québécois sont au rendez-vous pour aller voir 1991

Emmanuel Auger et Maxime Gibeault ensemble au grand écran

La chute de l’empire américain: Maripier Morin émue aux larmes

Source : La Presse canadienne

Catégories
Cinéma

« La chute de l’empire américain » millionnaire

Selon les chiffres compilés par Films Séville, le film qui trace un portrait satirique du rapport des gens avec l’argent a franchi hier (10 juillet) cette importante marque.

Même s’il est paru le 28 juin dernier, La chute de l’empire américain ne dérougit pas au box-office. Il a engrangé 205 274 $ le week-end dernier. C’est le film de science-fiction américain Ant-Man and the Wasp qui fut le plus populaire au Québec durant cette période.

Le réalisateur Denys Arcand a confié la semaine passée qu’il était « touché » de l’accueil de son plus récent long métrage auprès du public québécois. 

La chute de l’empire américain met en vedette Alexandre Landry, Maripier Morin et Rémy Girard, notamment.

Au chapitre des films les plus payants de l’histoire du cinéma québécois, Bon Cop, Bad Cop (8 973 867 $), De père en flic (8 814 309 $) et Un homme et son péché (8 121 715 $) arrivent en tête.

Catégories
Potins

Maripier Morin défend Denys Arcand

Denys Arcand a dû encaisser quelques flèches depuis la sortie de son plus récent long-métrage, La chute de l’empire américain (voyez d’ailleurs nos photos du tapis rouge!) Dans une critique particulièrement virulente, l’auteur Alexandre Fontaine-Rousseau a d’ailleurs qualifié à plusieurs reprises le dernier film du réalisateur de « cinéma de mononc’ », soulevant que le ton condescendant du cinéaste était arrivé à son paroxysme dans ce nouveau volet. Convié à une table ronde au micro de Christiane Charette afin d’expliquer davantage ses critiques, l’auteur était accompagné de Franco Nuovo, Philippe-Audrey Larrue-St-Jacques et Maripier Morin, qui tient la vedette du film avec Alexandre Landry. Inutile de dire que le feu a pogné ben raide!

Crédit : Serge Cloutier

L’auteur de la critique acérée sur la revue 24 Images a défendu son point en soulignant que le cynisme de Denys Arcand était devenu, il y a de cela bien longtemps maintenant, une sorte de caricature d’elle-même :

« En fait à partir du Confort et de l’indifférence, autant je trouve que c’est un film très fort, autant je trouve qu’il y a comme un cynisme qui s’installe chez Denys Arcand qui finit par dégénérer. J’ai réécouté récemment Le Déclin de l’empire américain et pour moi ce n’est pas un film qui a si bien vieilli que ça, je trouve que c’est un film dont le discours est un peu daté. C’est ce cynisme qui a fini par dégénérer et par devenir une sorte de caricature de lui-même et je dois dire qu’à un certain point ça donne l’impression, dans sa manière d’écrire qui est très typée, qu’il y a un côté donneur de leçons. Dans la manière d’écrire les dialogues, dans la manière de parler de la société, je trouve que le cynisme s’est transformé en condescendance. »

Cette critique a vite fait de trouver une réponse chez Maripier Morin, qui a promptement défendu le réalisateur en évoquant son impressionnante filmographie :

« On peut donner à César ce qui revient à César. Denys Arcand a fait beaucoup pour le cinéma québécois, ce n’est pas un os*** de cave non plus, et je pense qu’il faut quand même avoir du respect pour l’oeuvre et l’homme et pour son propos. Tu n’es pas obligé d’être d’accord avec ce qu’il fait et avec ce qu’il écrit, mais je pense que là, toi tu as l’air de t’acharner. »

Mais le débat avait beau s’échauffer, l’actrice a souligné la belle ouverture avec laquelle les panélistes ont échangé :

« Ce qui est le fun, c’est la discussion, et c’est ce qu’on fait en ce moment! »

Catégories
Cinéma

Denys Arcand se dit « très touché » de l’accueil de son film

La chute de l’empire américain, le plus récent film de Denys Arcand, obtient des chiffres fort respectables en salles.

Si les recettes de plus de 500 000$ comptabilisées en date du 4 juillet semblent maigres, il s’agit en fait d’une cagnotte plus qu’honorable pour un film québécois en plein mois de juillet, contre des monstres sacrés comme Jurassic World : Fallen Kingdom et The Incredibles 2.

Denys Arcand s’est d’ailleurs dit « très touché » de l’accueil de son film, rapporte La Presse.

Il s’agissait du premier week-end en salles pour La chute de l’empire américain.

On peut donc s’attendre à ce que le plus récent film d’Arcand, qui nous aussi offert Les invasions barbares dans le passé, dépasse le cap du million de dollars en recettes au cours des prochains jours.

La chute de l’empire américain met en vedette Alexandre Landry, Maripier Morin et Rémy Girard, notamment.

Crédit photo : Les Films Séville, Sony

Catégories
Potins

Denys Arcand se dit « très touché » de l’accueil de son film

La chute de l’empire américain, le plus récent film de Denys Arcand, obtient des chiffres fort respectables en salles.

Si les recettes de plus de 500 000$ comptabilisées en date du 4 juillet semblent maigres, il s’agit en fait d’une cagnotte plus qu’honorable pour un film québécois en plein mois de juillet, contre des monstres sacrés comme Jurassic World : Fallen Kingdom et The Incredibles 2.

Denys Arcand s’est d’ailleurs dit « très touché » de l’accueil de son film, rapporte La Presse.

Il s’agissait du premier week-end en salles pour La chute de l’empire américain.

On peut donc s’attendre à ce que le plus récent film d’Arcand, qui nous aussi offert Les invasions barbares dans le passé, dépasse le cap du million de dollars en recettes au cours des prochains jours.

La chute de l’empire américain met en vedette Alexandre Landry, Maripier Morin et Rémy Girard, notamment.

Crédit photo : Les Films Séville, Sony

Catégories
Cinéma

Maripier Morin : « Je suis vraiment stressée »

L’animatrice Maripier Morin n’est pas dans sa zone de confort. Pour la première fois depuis longtemps, celle qui brille à la télévision ressent un stress démesuré.

Dans les prochaines heures, les cinéphiles découvriront le nouveau film du cinéaste Denys Arcand La chute de l’empire américain. Après l’énorme succès du Déclin de l’empire américain sorti en 1986, le réalisateur oscarisé revient avec un autre film sur sa vision de l’Amérique du Nord.

Arcand n’a pas hésité à donner l’un de ses principaux rôles à Maripier Morin, totalement néophyte dans le métier d’actrice. La pétillante animatrice interprète le rôle de l’escorte la plus chère de Montréal, Aspasie.

L’animatrice de Face au mur à TVA est fébrile à la veille de la sortie du film : « Je suis vraiment stressée. Je ne sais pas pourquoi je le suis autant », confiait la jolie brune au Journal de Montréal lors de la première médiatique du long métrage.

Maripier Morin souhaite que le nouveau film de Denys Arcand soit un succès au box-office : « J’espère que la réponse va être positive et que les gens vont se déplacer pour voir le film. Je veux que ce soit un succès, parce qu’évidemment dans la vie, je me mets toujours de la pression », avoue-t-elle.

Cette première incursion dans le monde du cinéma de Maripier Morin laissera des traces : « C’est une expérience qui m’a changée à jamais », certifie la star au micro de TVA.

p.p1 {margin: 0.0px 0.0px 11.0px 0.0px; line-height: 13.0px; font: 11.0px Verdana; color: #000000; -webkit-text-stroke: #000000}
span.s1 {font-kerning: none}
span.s2 {text-decoration: underline ; font-kerning: none; color: #0000ee; -webkit-text-stroke: 0px #0000ee}

La chute de l’empire américainavec Alexandre Landry, Maripier Morin, Rémy Girard, Louis Morissette, Maxim Roy et Pierre Curzy prendra l’affiche partout au Québec le 28 juin prochain.

Photo : Capture d’écran YouTube

Catégories
Potins

Voyez Maripier Morin pour Denys Arcand

Le teaser du prochain film de Denys Arcand a été révélé, et les images de ce film paqueté de vedettes s’annoncent déjà prometteuses. Auparavant intitulé Triomphe de l’argent, le réalisateur a renommé son plus récent long-métrage La Chute de l’empire américain, un lien évident avec son classique de 1986, Le Déclin de l’empire américain, qui lui avait valu sa première nomination aux Oscars.

Mettant en vedette Louis MorissetteRémy GirardYan EnglandMaxim RoyPierre CurziFlorence LongpréVincent LeclercEddy KingMariana Mazza et Benoît Brière, entre autres, le film explorera les dilemmes moraux qui s’imposent au personnage de Pierre-Paul Dubé, joué par Alexandre Landry, qui hésitera à rapporter un double meurtre à la police ou à garder le silence de même que l’argent trouvé entre les corps.

Il s’agira d’ailleurs d’un premier rôle au cinéma pour Maripier Morin, qui y incarnera une travailleuse du sexe.

Sous la bande-annonce, le réalisateur signe un texte expliquant sa démarche de remise en question du système capitaliste :

« Je fais des films en essayant, à ma façon, d’obéir à la consigne séculaire : tendre un miroir à la vie et au temps. Même dans les coins les plus reculés de notre planète, nous sommes tous des sujets de l’empire américain. Cet empire se meurt et ses convulsions nous touchent brutalement. Ceux qui mettent tous leurs espoirs dans le départ de Trump, oublient qu’après Caligula est venu Néron, et trois siècles d’inexorable désintégration. Nous, au Canada, vivons confortablement sous le parapluie de la « pax americana », mais la pourriture morale de l’empire commence à nous infecter. L’omnipuissance de l’argent en est un des symptômes. Trouverons-nous des antibiotiques assez puissants pour combattre cette gangrène? »

Le film fera sa sortie en salles le 28 juin 2018.

À lire aussi :

Tous les looks des stars au party des Oscars

Ludivine Reding: Un jeu d’actrice intense et assumé [PHOTOS]

Voyez cette réécriture de Winnie l’Ourson avec Ewan McGregor

Catégories
Potins

Fin de tournage pour Denys Arcand et sa troupe

C’est dans la boîte : le tournage du prochain long métrage de Denys Arcand, Le triomphe de l’argent, est officiellement terminé.

L’information a été confirmée par Louis Morissette qui, sur son compte Instagram a publié une photo de lui et du cinéaste, tout sourire. 

« Dernière journée de tournage. Je vais m’ennuyer de cet homme », écrit le compagnon de Véronique Cloutier en légende du cliché.

Louis Morissette fait effectivement partie de la belle distribution du film qui compte également Alexandre Landry, Maripier Morin ou encore Maxim Roy et Mariana Mazza.

Le nouveau long métrage de Denys Arcand, appelé donc Le triomphe de l’argent, est inspiré de la tuerie du Flawnego survenue dans le Vieux-Montréal en mars 2010. Le long métrage est attendu sur les écrans pour 2018.

Une nouvelle ? : scoop@buminteractif.com