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Un traitement prometteur de l’alcoolisme

Une étude publiée cette semaine dans le Proceedings of the National Academy of Sciences démontre qu’un nouveau traitement testé sur des rats de laboratoire est efficace pour diminuer la consommation excessive d’alcool et également diminuer le risque de rechute.

Cette nouvelle méthode consiste à augmenter la dose dans le cerveau d’une protéine dérivée des cellules gliales, surnommée facteur neurotrophique (GDNF), aussi utilisée auprès des personnes atteintes de la maladie de Parkinson.

Outre le fait que seulement 10 minutes après l’utilisation de cette technique, les rats n’avaient plus envie de boire d’alcool, les chercheurs se réjouissent qu’aucun effet secondaire désagréable n’ait été observé chez les rongeurs.

« Seulement trois médicaments ont été approuvés pour traiter l’alcoolisme, mais malheureusement, ils comportent des limites. Nos découvertes ouvrent la porte d’une nouvelle ère dans la lutte contre cette dépendance », a souligné le Dr Dorit Ron, l’auteur principal de la recherche.

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Comment vaincre la dépendance à l’ecstasy

Des scientifiques français ont identifié une molécule, dénommée 5-HT2B, qui joue un rôle-clé dans les effets psychostimulants de l’ecstasy. Ces effets vont de l’euphorie à des symptômes similaires à la dépression, observés quelques jours après la consommation de la drogue.

Les travaux du Dr Luc Maroteaux et son équipe ont permis de bloquer les récepteurs de la molécule 5-HT2B, ce qui a eu pour effet d’éliminer chez des souris les effets comportementaux associés à la prise d’ecstasy.
 
Pour le Dr Maroteaux, cette découverte pourrait sans doute mener vers un traitement des effets immédiats et à long terme de ce dérivé d’amphétamine, dont le principal élément chimique est le 3,4-methylenedioxymethamphétamine ou MDMA.

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Un traitement prometteur contre l’alcoolisme

Selon une étude publiée dans le Journal of Clinical Psychiatry, la nouvelle version du médicament Naltrexone, qui est maintenant injecté, réduit la consommation d’alcool deux jours après le traitement.

Le Naltrexone empêche l’action des opiacés sur leurs récepteurs du système nerveux central.

L’équipe du Dr Domenic A. Ciraulo, du département de médecine de l’Université de Boston, a testé le médicament auprès de 600 alcooliques. Les patients ont reçu deux doses mensuelles de Naltrexone XR pendant 24 semaines. Une thérapie a également été suivie par les participants.

Les chercheurs ont observé une baisse significative de la consommation d’alcool chez les sujets à qui l’on avait administré le Naltrexone XR, contrairement à ceux qui prenaient le placebo.

Le Dr Ciraulo se réjouit de tels résultats : « Les effets rapides et efficaces de la médication sur le système nerveux des patients facilitent grandement le traitement de l’alcoolisme et les motivent tout au long de ce processus à atteindre leurs objectifs de sobriété. »

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Réduire la dépendance à l’alcool

Selon une étude parue dans le Journal of the American Medical Association (JAMA), les alcooliques pourraient réduire leur dépendance en prenant un médicament dont la fonction première est de traiter les épileptiques.

Les chercheurs ont observé que le Topamax, lorsque pris par un alcoolique, permet d’espacer la consommation d’alcool ainsi que de réduire la quantité qu’il prend.

Selon Bankole Johnson, professeur à l’Université de Virginie, cette découverte pourrait permettre à un alcoolique de se sevrer lui-même chez lui au lieu de devoir se rendre dans un centre de désintoxication.

Les individus de l’étude ont augmenter le nombre de jours par mois où ils étaient sobres, sans alcool, en prenant le Topamax. Ils sont passés de trois jours par mois à plus de 16 jours par mois sans boire du tout.