Étiquette : dépendance

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Les céréales contiennent plus de sucre que les gâteaux

Environmental Working Group (EWG), un organisme de santé américain, a analysé le contenu de plus de 80 différentes sortes de céréales transformées, rapporte Le Figaro.

S’il n’est pas surprenant que celles-ci contiennent toutes beaucoup de sucre, il reste que la quantité est dangereusement élevée, si l’on conçoit que désormais, le sucre est « reconnu » pour créer une dépendance.

Il agit non seulement sur l’humeur et la santé, mais de nos jours, selon plusieurs recherches, nous consommons au moins 3 fois trop de sucre.

Dans le cas présent, des céréales telles que les Smacks de Kelloggs (les pires du palmarès), les Coco Pops, Froot Loops, Captain Crunch et autres contiennent jusqu’à 50 % de sucre. En réalité, selon l’Organisation mondiale de la santé, les céréales ne devraient pas en contenir plus de 10 %.

Les médecins mettent en garde. Par le passé, le diabète de type 2 apparaissait chez les gens de 45 ans et plus. Aujourd’hui, les cas de 15 ans sont de moins en moins rares.

Laissez donc tomber les céréales transformées et préférez celles entières. Ajoutez-y des fruits des champs ou des bananes, qui offrent des sucres naturels.

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Robert Downey Jr. estime que ses dépendances passées étaient « normales »

Robert Downey Jr. y va d’une déclaration pour le moins étonnante, selon ce que rapporte BANG Media International. Il ne serait pas étonnant d’assister à une rétractation de sa part ou encore à une déclaration qui accuse la nouvelle d’être prise hors contexte.

L’acteur déclare en effet que ses précédentes dépendances aux drogues dures s’avèrent relativement normales, et qu’elles s’expliquent par une phase de la vie que presque tout le monde doit subir.

« Il est parfaitement normal que les gens deviennent obsessifs durant une période de leur vie. Pour certaines personnes, il ne s’agit que d’une question d’âge. Le travail est de sortir de cette cave. Plusieurs personnes en sortent, mais ne changent pas », explique Downey en entrevue avec le Vanity Fair.

Des propos que l’on peut comprendre et décoder, mais qui s’avèrent pour le moins surprenants, alors que son propre fils vient d’être intercepté en possession de drogue. Un comportement qu’a d’ailleurs décrié l’acteur, mais en défendant son fils sous prétexte que ses gènes le prédisposaient à cette tangente.

Robert Downey Jr. devra peut-être ralentir sa franchise s’il souhaite envoyer un message fort à la nouvelle génération et servir d’exemple positif.

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Robert Downey Jr. estime que ses dépendances passées étaient « normales »

Robert Downey Jr. y va d’une déclaration pour le moins étonnante, selon ce que rapporte BANG Media International. Il ne serait pas étonnant d’assister à une rétractation de sa part ou encore à une déclaration qui accuse la nouvelle d’être prise hors contexte.

L’acteur déclare en effet que ses précédentes dépendances aux drogues dures s’avèrent relativement normales, et qu’elles s’expliquent par une phase de la vie que presque tout le monde doit subir.

« Il est parfaitement normal que les gens deviennent obsessifs durant une période de leur vie. Pour certaines personnes, il ne s’agit que d’une question d’âge. Le travail est de sortir de cette cave. Plusieurs personnes en sortent, mais ne changent pas », explique Downey en entrevue avec le Vanity Fair.

Des propos que l’on peut comprendre et décoder, mais qui s’avèrent pour le moins surprenants, alors que son propre fils vient d’être intercepté en possession de drogue. Un comportement qu’a d’ailleurs décrié l’acteur, mais en défendant son fils sous prétexte que ses gènes le prédisposaient à cette tangente.

Robert Downey Jr. devra peut-être ralentir sa franchise s’il souhaite envoyer un message fort à la nouvelle génération et servir d’exemple positif.

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Demi Lovato estime avoir gaspillé trop d’années par complexe

La chanteuse Demi Lovato semble se porter beaucoup mieux depuis un bon moment maintenant, et l’interprète de Heart Attack n’hésite pas à partager ses expériences pour le bienfait de ses fans.

Après de dures années et un combat contre des troubles alimentaires et certaines dépendances, l’artiste estime que ses complexes lui ont coûté beaucoup trop de temps et qu’il est l’heure de s’accepter comme elle est, rapporte BANG Media International.

Celle qui affiche un corps plus en rondeurs que plusieurs de ses homologues du Top 40, et qui n’en est pas moins superbe, a publié une photo comparant ses tenues des quatre derniers années en marge des MTV Video Music Awards.

« Cette photo me fait ressentir des émotions mélangées. Je me souviens du jour où j’ai porté cette robe dans la première photo. J’avais demandé du Spanx pour aplatir mon estomac, parce que je me sentais tellement lourde et grosse. Maintenant en regardant cette photo, on peut clairement voir les os de mes hanches. Ça me rend triste, parce que j’ai perdu tant d’années à avoir honte de mon corps quand j’aurais pu vivre la vie heureuse et en santé », peut-on lire en légende de la photographie publiée via Instagram.

Un bel exemple pour ses fans qui vivent les mêmes expériences, mais du haut de ses 22 ans à peine, quelqu’un devrait expliquer à Demi Lovato qu’il lui reste toute la vie devant elle et que rien n’est vraiment gâché.

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Shia LaBeouf en traitement pour sa dépendance à l’alcool

L’acteur de 28 ans Shia LaBeouf doit combattre sa dépendance à l’alcool au plus vite, puisque son comportement est de plus en plus troublant. Il s’est volontairement soumis à une thérapie après avoir été arrêté lors d’une pièce de Broadway.

Il dérangeait la paix, jeudi dernier (26 juin), et a dû être menotté. Il en était à frapper les fesses des passants en criant à tue-tête. Il ne s’est pas gêné non plus pour dire sa façon de penser aux policiers.

Un représentant de la star a mentionné à Access Hollywood : « Shia LaBeouf n’est pas entré en centre de désintoxication, mais se soumet volontairement à un traitement contre la dépendance à l’alcool. Il comprend que ses récentes actions sont un symptôme d’un problème de santé plus important, et a fait le premier pas de plusieurs étapes vers le rétablissement ».

Quelques heures avant son arrestation, l’acteur s’obstinait avec un sans-abri à propos d’une casquette. Il portait un chandail avec un gros trou sur l’épaule, a rapporté une source, et ses propos ne faisaient aucun sens.

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Ed Sheeran admet avoir connu des problèmes d’alcool

Sous le visage angélique et inoffensif d’Ed Sheeran se cache quelques démons et quelques secrets, semble-t-il, alors que le chanteur pop a décidé de révéler ses problèmes d’alcool, rapporte ELLE Canada.

Plusieurs de ses fans seront probablement surpris d’apprendre que Sheeran buvait de façon quotidienne et sans retenue avant d’obtenir son premier contrat de disques. Le chanteur affirme cependant avoir stoppé ce comportement autodestructeur aussitôt son but atteint.

« Je buvais, fortement. J’allais jouer dans les pubs et les clubs, et on est souvent payé en alcool. Aussitôt que j’ai eu mon contrat de disques, je me suis dit : “Je dois me concentrer là-dessus cette année. Je ne peux rien laisser tout bousiller” », explique candidement Ed Sheeran.

Mais le démon de l’alcool l’attendait au coin de la rue, puisque le chanteur admet avoir retrouvé ses mauvaises habitudes une fois que son album a franchi le million d’exemplaires vendus.

L’interprète de The A-Team est également honnête lorsqu’il parle de drogues, affirmant que ce n’est pas « dans son cercle », mais qu’il sait que plusieurs célébrités ne se gênent pas pour en abuser.

On ne pourra taxer le chanteur de ne pas être transparent envers son public, alors que l’industrie fait tout pour cacher certains comportements typiques de ses protagonistes.

Ed Sheeran lance ce mois-ci un peu partout dans le monde X, son tout nouvel album.

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Richie Sambora lutte toujours pour rester sobre

L’ancien guitariste de Bon Jovi, Richie Sambora, admet avoir toujours du mal à rester sobre. Il s’agit pour lui d’une bataille de tous les instants, selon ce que rapporte Female First (UK).

Sambora et Bon Jovi avaient annoncé leur séparation de manière fracassante en pleine tournée, on se souviendra, ce qui avait causé une commotion chez les fans du groupe et dans l’industrie de la musique.

Le guitariste étoile a tenté à quelques reprises la désintoxication, avec un certain succès, mais continue de combattre contre les démons de l’alcool et de la drogue.

« Pour moi, ce n’était pas une question mentale, mais physique. Et ça se poursuit, je travaille là-dessus constamment. Je ne crois pas qu’on arrête », explique Sambora, qui témoignait lors d’un forum contre les drogues au New Jersey.

Le musicien se dit par ailleurs très heureux d’être encore en vie, alors que « neuf gars sur dix » avec qui il a collaboré dans le passé sont morts d’une surdose d’héroïne. Il n’aurait cependant lui-même jamais été tenté par cette drogue.

Richie Sambora continue sa route en solo et proposait récemment une nouvelle chanson intitulée Lighthouse.

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Deryck Whibley apparait frêle à la suite de son hospitalisation

Deryck Whibley, le leader de l’un des meilleurs groupes punk rock canadiens, Sum41, poursuit sa route sur le long chemin de la réadaptation après des années de consommation d’alcool, rapporte E!.

Les fans de Sum41 ne peuvent que constater depuis quelques années la déchéance du chanteur et guitariste de la formation, qui semble maintenant extrêmement frêle à la suite de son hospitalisation qui aura duré environ un mois.

Whibley expliquait récemment qu’il avait dû être transporté d’urgence à l’hôpital après s’être écroulé chez lui, et que ces problèmes découlaient de sa consommation massive d’alcool qui dure depuis des années.

« Ça m’a finalement rattrapé. Je buvais sévèrement chaque jour. Puis une nuit, j’étais assis à la maison et je me versais un autre verre quand soudainement, je ne me suis pas senti très bien. Je suis tombé au sol, inconscient », explique le leader de Sum41.

C’est sa fiancée, Jocelyn Aguilar, qui lui a sans doute sauvé la vie, maintenant que l’on sait que sa chute a été causée par l’arrêt de certains organes vitaux.

Deryck Whibley tente maintenant de retrouver une vie normale et se dit inspiré à écrire de nouvelles chansons. Une bonne nouvelle pour les fans, qui se sont manifestés en grand nombre pour son soutien.

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Dépression dans les facultés de droit

On pourrait croire que d’être admis à l’université afin de poursuivre des études supérieures en droit serait suffisant pour contribuer au bonheur de ces élus, mais une spécialiste dévoile plutôt le côté sombre de la chose et rapporte de nombreux cas de dépression chez ces étudiants.

Les propos de la professeure Marilyn Poitras, rapportés par Radio-Canada, ont de quoi surprendre.

« Certains étudiants nous disent qu’ils voudraient mourir. D’autres vomissent régulièrement avant les examens. Pour d’autres encore, tout s’effondre à la venue des examens, et les familles se désagrègent », explique Mme Poitras.

Cette dernière croit donc qu’il est important d’accompagner et d’offrir de l’aide à ces étudiants, une pratique peu commune sur les différents campus.

Ce sera cependant le cas de l’Université de Saskatchewan, qui lance l’initiative Droit et bonheur, un séminaire qui propose aux étudiants de l’aide afin de traverser leurs études et de faire face adéquatement aux problèmes de dépression et de dépendance auxquels ils peuvent être confrontés.

« Droit et bonheur est devenu un événement où les étudiants peuvent parler de ce qu’ils vivent. C’est devenu un groupe tissé très serré », lance Marilyn Poitras.

La professeure et ses collègues souhaitent maintenant que l’idée fasse des petits un peu partout, en entend même mettre sur pied un programme qui viendrait en aide aux juges et aux avocats.

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Tom Hardy détestait l’école

L’acteur de 36 ans Tom Hardy n’a jamais aimé l’école. Il préférait se donner corps et âme dans le sport et mettre le moins d’efforts possible sur ses résultats scolaires.

Cependant, quand on lui a dit qu’il « crèverait de faim » s’il ne faisait rien, il a été secoué et s’est inscrit à l’école d’art dramatique.

« Je n’étais pas un grand fan de la paperasse scolaire, de l’idée que si tu faisais ce qu’ils disaient, tu deviendrais intelligent », raconte-t-il au magazine Total Film. « Comme si un diplôme te rendait automatiquement fiable. »

Hardy se rend compte avec le recul qu’il était borné, mais dans sa jeunesse, il était plus « impulsif ». « J’étais jeune, j’étais stupide, ça n’avait rien de tangible ni de logique à mes yeux. »

Lorsqu’il est sorti de l’école d’art dramatique, il avait 24 ans et se rappelle à quel point il a eu de la difficulté à aborder l’industrie. Il devait d’abord se reprendre en main et sortir de sa dépendance à l’alcool et au crack.

C’est en 2003 que Tom Hardy est entré en désintoxication. Sa sobriété aura permis de le propulser vers des rôles comme ceux de The Dark Knight Rises et Lawless.