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Tom Hardy détestait l’école

L’acteur de 36 ans Tom Hardy n’a jamais aimé l’école. Il préférait se donner corps et âme dans le sport et mettre le moins d’efforts possible sur ses résultats scolaires.

Cependant, quand on lui a dit qu’il « crèverait de faim » s’il ne faisait rien, il a été secoué et s’est inscrit à l’école d’art dramatique.

« Je n’étais pas un grand fan de la paperasse scolaire, de l’idée que si tu faisais ce qu’ils disaient, tu deviendrais intelligent », raconte-t-il au magazine Total Film. « Comme si un diplôme te rendait automatiquement fiable. »

Hardy se rend compte avec le recul qu’il était borné, mais dans sa jeunesse, il était plus « impulsif ». « J’étais jeune, j’étais stupide, ça n’avait rien de tangible ni de logique à mes yeux. »

Lorsqu’il est sorti de l’école d’art dramatique, il avait 24 ans et se rappelle à quel point il a eu de la difficulté à aborder l’industrie. Il devait d’abord se reprendre en main et sortir de sa dépendance à l’alcool et au crack.

C’est en 2003 que Tom Hardy est entré en désintoxication. Sa sobriété aura permis de le propulser vers des rôles comme ceux de The Dark Knight Rises et Lawless.

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Les boissons énergisantes augmentent les risques de troubles mentaux

Comme si les boissons énergisantes n’avaient pas déjà assez mauvaise presse et d’ennemis dans la communauté médicale comme cela, voilà qu’une nouvelle étude en rajoute.

Le Daily Mail (UK) rapporte en effet que des chercheurs estiment maintenant que ces boissons pourraient également être dangereuses pour la santé mentale, et mener à diverses dépendances.

Cette théorie s’ajoute bien entendu aux effets nocifs potentiels des boissons énergisantes sur la santé cardio-vasculaire, déjà bien connus des spécialistes.

L’étude ici rapportée parle d’un danger accru de dépendances diverses chez les adolescents, encouragés par la consommation de boissons énergisantes. Des troubles dépressifs seraient aussi liés à une consommation accrue de ces boissons, dans plusieurs cas.

Les chercheurs canadiens en tête de l’étude s’inquiètent également de la tendance qui voit les jeunes mélanger boissons énergisantes et alcool, un cocktail explosif et dangereux.

« Les campagnes de marketing semblent entièrement dédiées à inciter les jeunes et les jeunes adultes. », s’insurge l’auteur de l’étude, le Dr Sunday Azagba.

Les résultats de cette étude sont publiés dans le journal Preventive Medicine

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Les jeunes fumeurs altèrent la structure de leur cerveau

Selon Medical news today, les jeunes fumeurs, adolescents et jeunes adultes représentent le groupe de fumeurs le plus important en Amérique.

Or, à l’adolescence, le cerveau est encore en développement, et la cigarette a des conséquences directes sur la structure neurobiologique du cerveau, même si le jeune ne fume pas depuis longtemps. Ces changements apportent une plus grande dépendance à l’âge adulte.

C’est une recherche menée à la UCLA, chapeautée par Edythe London, professeure en psychiatrie et en médecine pharmacologique et moléculaire, qui a présenté cette conclusion. Les données sont publiées dans la revue Neuropsychopharmacology.

En tout, 42 participants de 16 à 22 ans ont contribué à l’étude. À l’aide d’une résonance magnétique de haute définition, les chercheurs ont découvert une altération du cortex insulaire, partie du cerveau fortement associée à la dépendance.

Parmi les candidats, 18 étaient des fumeurs. Chez ceux qui avaient commencé à fumer à environ 15 ans, le cortex insulaire était plus mince et s’amincissait encore plus lorsque le nombre d’années de consommation de nicotine augmentait.

London affirme que la recherche était modeste et doit donc faire l’objet d’une étude de plus grande ampleur, afin d’appuyer les présents résultats.

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Le bronzage en cabine chez les jeunes entraîne d’autres dépendances

Selon une nouvelle étude menée auprès de 25 861 jeunes Américains entre 2009 et 2011, les conséquences du bronzage en cabine vont bien au-delà des risques de cancer. La recherche était menée dans le cadre du sondage national Youth Risk Behavior, qui englobait 15,5 millions d’étudiants du secondaire.

Les résultats chez ceux qui utilisaient régulièrement les cabines de bronzage ont été surprenants, puisqu’ils présentaient des risques élevés de consommation de substances illicites ou d’autres dépendances. Notamment, l’utilisation de stéroïdes, la cigarette, le sexe avec plusieurs partenaires et des tentatives de suicide.

Le chercheur, Dr Gery P. Guy Jr., des Centers for Disease Control and Prevention d’Atlanta, et ses collègues ont également réalisé que les comportements étaient différents chez les filles et les garçons.

Du côté masculin, le bronzage en cabine était plutôt associé à la consommation de stéroïdes, à la cigarette et aux tentatives de suicide. Quant aux filles, elles étaient plus sujettes à la consommation de drogue et aux relations sexuelles avec 4 partenaires ou plus.

On estime que 13,3 % des jeunes de l’école secondaire fréquentent les établissements de bronzage en cabine.

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Les personnes impulsives plus à risque d’obésité

Une nouvelle étude américaine trace un parallèle entre l’impulsivité et une hausse des risques d’obésité, rapporte Santé Log.

Selon des chercheurs de l’Université de Géorgie, un comportement impulsif peut mener rapidement à une prise de poids. La même chose s’applique à l’abus d’alcool et de drogues, mais le phénomène serait particulièrement sournois en matière d’alimentation.

Ce lien a pu être tracé grâce à l’analyse de sujets volontaires, que l’on a soumis à deux types de tests. Le premier vérifiait le niveau de dépendance alimentaire et les habitudes de consommation, alors que le deuxième s’attardait au degré d’impulsivité des sujets. 233 de ces volontaires à l’étude ont permis d’établir le lien exposé par les chercheurs.

Ils croient ainsi qu’il est possible de s’attaquer à l’obésité et aux troubles alimentaires de la même façon qu’on le fait pour traiter d’autres dépendances découlant de l’impulsivité.

Cette étude s’ajoute donc à plusieurs autres qui ont précédemment établi que la surconsommation de nourriture et certains troubles alimentaires sont des phénomènes similaires aux autres dépendances.

Les aliments gras, salés, sucrés ou réconfortants permettent tous de créer une réaction dans la « zone de récompense » du cerveau, pavant ainsi la voie aux abus et à l’obésité.

D’autres études et recherches sont attendues afin d’analyser les possibles méthodes de traitements afin de venir en aide aux personnes impulsives qui souhaiteraient améliorer leurs habitudes de consommation de nourriture.

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La dépendance des adolescents aux jeux vidéo doit être prise au sérieux

Selon l’Institut national de la santé (INSERM), il ne faut plus s’inquiéter uniquement de la consommation de drogues chez nos ados, mais réaliser que l’Internet et les jeux vidéo représentent aussi un danger addictif.

Les données cumulées remontent à 2011. On peut donc imaginer qu’elles ont même évolué depuis. Ce sont 5 % des adolescents de 17 ans qui passent de 5 à 10 heures par jour à jouer à des jeux vidéo. Fait similaire du côté d’Internet, avec 3 à 5 % des jeunes qui naviguent plus de 10 heures quotidiennement.

La dépendance est bien réelle, rapporte l’institut. « Les critères de dépendance sont en discussion, mais un consensus semble émerger sur l’usage problématique avec des critères qui intègrent l’isolement, la perte de contrôle et les conflits avec l’entourage. L’adolescent ressent rarement de la souffrance, à l’inverse de son entourage. »

Soyez donc attentif aux signes conséquents de cette surutilisation, notamment l’isolement, la tristesse et l’anxiété, mais aussi des difficultés à dormir et des problèmes somatiques et psychiques.

Top santé rappelle également que les jeux vidéo sont reliés à l’utilisation de tabac, drogues et boissons énergisantes.

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Le poker en ligne crée les plus graves dépendances

De tous les jeux de hasard en ligne, le poker est celui qui présenterait les plus grands dangers de dépendance, selon ce que rapporte Top Santé.

Si on connaissait les dangers relatifs au poker en ligne, une nouvelle étude dévoile maintenant quelques statistiques pour illustrer les risques de dépendance découlant de ce loisir, qui peut parfois prendre des allures de cauchemar.

L’étude française, proposée par l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT), explique qu’un joueur de poker en ligne sur cinq parie de façon quotidienne, contre un sur dix pour les autres amateurs de jeux de hasard.

La moyenne de dépense annuelle est également la plus élevée chez les joueurs de poker en ligne, et se situe à près de 1200 dollars (CAN).

Mais la statistique la plus éloquente est celle qui dévoile la moyenne d’âge des amateurs de ces sites de poker. La moitié des joueurs auraient moins de 33 ans, et les trois quarts moins de 41 ans.

L’étude rappelle donc l’importance d’être vigilant, de jouer avec modération et de se souvenir que ce genre de jeu relève du hasard. Les allégations de tricheries et de collusion du côté de certains sites américains rendent donc la chose encore plus dangereuse, et les consommateurs de poker en ligne doivent être conscients du grand nombre de risques inhérents à cette activité.

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Leonard Nimoy souffre de MPOC

Malgré qu’il ait arrêté la cigarette il y a plus de 30 ans, Leonard Nimoy, l’ancien interprète de Spock, annonce que sa mauvaise habitude l’a rattrapé.

En effet, l’acteur de 82 ans souffre de MPOC, soit de maladie pulmonaire obstructive chronique. Ce mal se présente sous la forme d’une bronchite chronique, et celle mieux connue de tous, l’emphysème. La progression de la maladie entraîne chez les personnes atteintes un essoufflement qui limite l’activité et réduit la qualité de vie.

En l’annonçant sur son compte Twitter, Nimoy écrit : « J’ai cessé de fumer il y a 30 ans. Apparemment, pas assez tôt. Je souffre de MPOC. Grand-père vous dit d’arrêter maintenant!! LLAP [Live Long And Prosper, qui veut dire “longue vie et prospérité”, paroles populaires prononcées en accompagnement du salut Vulcain dans Star Trek].

Leonard Nimoy avait ravi les fans en acceptant de faire quelques apparitions dans la nouvelle franchise de Star Trek réalisée par J.J. Abrams. On a également pu le voir dans la série Fringe, dans le rôle du Dr William Bell.

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Leonard Nimoy souffre de MPOC

Malgré qu’il ait arrêté la cigarette il y a plus de 30 ans, Leonard Nimoy, l’ancien interprète de Spock, annonce que sa mauvaise habitude l’a rattrapé.

En effet, l’acteur de 82 ans souffre de MPOC, soit de maladie pulmonaire obstructive chronique. Ce mal se présente sous la forme d’une bronchite chronique, et celle mieux connue de tous, l’emphysème. La progression de la maladie entraîne chez les personnes atteintes un essoufflement qui limite l’activité et réduit la qualité de vie.

En l’annonçant sur son compte Twitter, Nimoy écrit : « J’ai cessé de fumer il y a 30 ans. Apparemment, pas assez tôt. Je souffre de MPOC. Grand-père vous dit d’arrêter maintenant!! LLAP [Live Long And Prosper, qui veut dire “longue vie et prospérité”, paroles populaires prononcées en accompagnement du salut Vulcain dans Star Trek].

Leonard Nimoy avait ravi les fans en acceptant de faire quelques apparitions dans la nouvelle franchise de Star Trek réalisée par J.J. Abrams. On a également pu le voir dans la série Fringe, dans le rôle du Dr William Bell.

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Leonard Nimoy souffre de MPOC

Malgré qu’il ait arrêté la cigarette il y a plus de 30 ans, Leonard Nimoy, l’ancien interprète de Spock, annonce que sa mauvaise habitude l’a rattrapé.

En effet, l’acteur de 82 ans souffre de MPOC, soit de maladie pulmonaire obstructive chronique. Ce mal se présente sous la forme d’une bronchite chronique, et celle mieux connue de tous, l’emphysème. La progression de la maladie entraîne chez les personnes atteintes un essoufflement qui limite l’activité et réduit la qualité de vie.

En l’annonçant sur son compte Twitter, Nimoy écrit : « J’ai cessé de fumer il y a 30 ans. Apparemment, pas assez tôt. Je souffre de MPOC. Grand-père vous dit d’arrêter maintenant!! LLAP [Live Long And Prosper, qui veut dire “longue vie et prospérité”, paroles populaires prononcées en accompagnement du salut Vulcain dans Star Trek].

Leonard Nimoy avait ravi les fans en acceptant de faire quelques apparitions dans la nouvelle franchise de Star Trek réalisée par J.J. Abrams. On a également pu le voir dans la série Fringe, dans le rôle du Dr William Bell.