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Le sucre est-il la nicotine de l’ère moderne?

« Le sucre est le nouveau tabac », lance Simon Capewell, un professeur d’épidémiologie clinique à l’Université de Liverpool.

Son opinion va de pair avec celle exprimée par bon nombre de ses confrères et spécialistes de la santé, comme on le sait, et un groupe composé d’Américains et de Britanniques lance maintenant une campagne de sensibilisation afin d’obliger les multinationales et compagnies productrices d’aliments à baisser les taux de sucre dans leurs produits d’au moins un tiers.

Pour étayer leurs propos, les chercheurs affectés à cette campagne ont décidé de tester plusieurs produits et aliments pour en dévoiler leur teneur en sucre. Ainsi, rapporte le Daily Mail (UK), on découvre que presque tout contient du sucre, même des yogourts « sans sucre », des eaux vitaminées embouteillées et de la soupe aux tomates (Heinz).

« Nous devons entamer un plan structuré et cohérent afin de doucement réduire le nombre de calories consommé par les gens en retirant le sucre ajouté des aliments et des boissons », lance le professeur Graham MacGregor, de Londres.

Pour ces chercheurs, le sucre s’est infiltré dans tout ce qu’on mange, et la donne doit changer afin d’assurer la sécurité du public contre des multinationales qui ne « songe qu’aux profits, et non à la santé des consommateurs ».

En se basant sur cette prémisse, le sucre pourrait bien effectivement être la nicotine de l’ère moderne.  

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Bradley Cooper a pratiquement ruiné sa vie

L’acteur Bradley Cooper, que l’on peut voir dans American Hustle, a cessé l’alcool et la drogue, puis a redressé sa situation à la suite de l’échec de son mariage avec Jennifer Esposito en 2006.

« Si je continuais, j’allais saboter ma vie en entier », a confié Cooper, 38 ans, au magazine GQ.

Il avoue que son travail écopait aussi, même s’il ne le réalisait pas à l’époque. Même s’il est demeuré professionnel en se présentant sur les plateaux de tournage, cela ne voulait pas dire qu’il faisait un bon travail pour autant.

Lorsqu’il a décidé de cesser toute consommation de drogue et d’alcool, Bradley Cooper a dû se redécouvrir en tant qu’acteur. Le fait de pouvoir travailler avec les autres en étant lui-même était une expérience nouvelle et enrichissante.

« J’ai rencontré Sandra Bullock et toutes ces personnes, et j’étais sobre et je me disais, “Oh mon Dieu, je suis moi-même, je n’ai pas à être quelqu’un d’autre”. »

Récemment en entretien avec Ramzy Malouki de jetsetmagazine.net, Bradley Cooper a admis qu’il aimerait bien avoir des enfants. « J’adorerais être papa, car je sais à quel point mon père était heureux et fier de moi. Il a disparu récemment, et avoir une famille était sa plus grande joie. »

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Bradley Cooper a pratiquement ruiné sa vie

L’acteur Bradley Cooper, que l’on peut voir dans American Hustle, a cessé l’alcool et la drogue, puis a redressé sa situation à la suite de l’échec de son mariage avec Jennifer Esposito en 2006.

« Si je continuais, j’allais saboter ma vie en entier », a confié Cooper, 38 ans, au magazine GQ.

Il avoue que son travail écopait aussi, même s’il ne le réalisait pas à l’époque. Même s’il est demeuré professionnel en se présentant sur les plateaux de tournage, cela ne voulait pas dire qu’il faisait un bon travail pour autant.

Lorsqu’il a décidé de cesser toute consommation de drogue et d’alcool, Bradley Cooper a dû se redécouvrir en tant qu’acteur. Le fait de pouvoir travailler avec les autres en étant lui-même était une expérience nouvelle et enrichissante.

« J’ai rencontré Sandra Bullock et toutes ces personnes, et j’étais sobre et je me disais, “Oh mon Dieu, je suis moi-même, je n’ai pas à être quelqu’un d’autre”. »

Récemment en entretien avec Ramzy Malouki de jetsetmagazine.net, Bradley Cooper a admis qu’il aimerait bien avoir des enfants. « J’adorerais être papa, car je sais à quel point mon père était heureux et fier de moi. Il a disparu récemment, et avoir une famille était sa plus grande joie. »

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4 % de la population du Québec seraient considérés comme dépendants

Radio-Canada rapporte une nouvelle étude québécoise qui affirme que 4 % de la population de la province seraient dépendants à quelque chose, que ce soit à une substance ou à un comportement.

350 000 personnes donc, si on fait le calcul, qui seraient aux prises avec une forme ou une autre de dépendance sur le territoire québécois, notamment aux drogues ou au jeu.

Si le nombre ne semble pas si alarmant, il n’en demeure pas moins que sur ces 350 000 personnes, seulement 55 000 auraient cherché de l’aide au cours de la dernière année, des statistiques qui semblent se répéter depuis un certain moment.

L’Association des centres de réadaptation en dépendance du Québec (ACRDQ), qui publie l’étude, croit que les deux tiers de la population du Québec ignorent carrément qu’il existe des organismes et un réseau de soutien qui vient en aide aux personnes dépendantes, ce qui ajoute au problème.

D’autres auront du mal à accepter qu’il existe un problème dans leur comportement, alors que plusieurs seront envahis d’un sentiment de honte et seront gênés de demander de l’aide.

Les trois phénomènes peuvent être contrés par des efforts de sensibilisation, croit l’ACRDQ, comme l’instauration de la Semaine de prévention de la toxicomanie, qui s’entame ce lundi (18 novembre).

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4 % de la population du Québec seraient considérés comme dépendants

Radio-Canada rapporte une nouvelle étude québécoise qui affirme que 4 % de la population de la province seraient dépendants à quelque chose, que ce soit à une substance ou à un comportement.

350 000 personnes donc, si on fait le calcul, qui seraient aux prises avec une forme ou une autre de dépendance sur le territoire québécois, notamment aux drogues ou au jeu.

Si le nombre ne semble pas si alarmant, il n’en demeure pas moins que sur ces 350 000 personnes, seulement 55 000 auraient cherché de l’aide au cours de la dernière année, des statistiques qui semblent se répéter depuis un certain moment.

L’Association des centres de réadaptation en dépendance du Québec (ACRDQ), qui publie l’étude, croit que les deux tiers de la population du Québec ignorent carrément qu’il existe des organismes et un réseau de soutien qui vient en aide aux personnes dépendantes, ce qui ajoute au problème.

D’autres auront du mal à accepter qu’il existe un problème dans leur comportement, alors que plusieurs seront envahis d’un sentiment de honte et seront gênés de demander de l’aide.

Les trois phénomènes peuvent être contrés par des efforts de sensibilisation, croit l’ACRDQ, comme l’instauration de la Semaine de prévention de la toxicomanie, qui s’entame ce lundi (18 novembre).

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Des biscuits Oreo qui créent une dépendance similaire à la cocaïne

Les Oreo peuvent-ils créer une dépendance? Mieux encore, les Oreo peuvent-ils créer une dépendance similaire à celle produite par la cocaïne?

Voilà une question qui peut sembler farfelue, mais que s’est véritablement posé un chercheur du Connecticut, aux États-Unis, selon le Daily Mail (UK).

Joseph Schroeder, un neuroscientifique du College Connecticut, aurait en effet démontré une forte dépendance liée au fameux biscuit Oreo, en testant sa théorie sur des rongeurs.

Les rats ont démontré des symptômes de dépendance similaires à ceux observables chez les cocaïnomanes, et ont choisi systématiquement le biscuit aux autres options proposées.

Mais il y a plus encore… Il semble que les rongeurs aussi préfèrent manger la crème de l’Oreo en premier! Des révélations qui font sourire, cela va de soi.

Même si l’étude semble étrange et inutile, elle démontre pourtant une fois de plus l’impact des produits hautement sucrés et très gras sur notre corps et notre cerveau, particulièrement sur la zone de récompense de ce dernier.

Au final, la zone de récompense réagit un peu de la même façon lorsqu’on mange ce genre d’aliment, à savoir ici un Oreo, que lorsqu’on consomme une drogue comme la cocaïne. Ceci explique d’ailleurs partiellement combien il est difficile de stopper la consommation de ces produits, au profit d’aliments plus sains pour la santé. 

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Jada Pinkett Smith a lutté contre plusieurs dépendances

L’actrice de 42 ans Jada Pinkett Smithne dévoile pas de quelles substances elle était dépendante, mais affirme qu’il y en avait plusieurs et « de toutes sortes ».

Son fils Jaden, 15 ans, et sa fille Willow, 12 ans, ne semblent pas suivre les traces de leur mère, et pour cause. Ces années-là l’ont rendue plus forte et maître de sa vie, ce qu’elle transmet sans conteste à ses enfants.

C’est sur son compte Facebook, lors de son anniversaire le 18 septembre, qu’elle a publié ces sages paroles : « J’ai fait face à plusieurs dépendances, et de plusieurs sortes, afin de m’aider à traverser les épreuves de la vie lorsque j’étais plus jeune. Mais aujourd’hui, à 42 ans, j’ai ma sagesse, mon cœur et ma conscience comme seuls outils pour surmonter les obstacles inévitables de la vie. Je suis vraiment fière d’être une personne qui, aujourd’hui, résout sans autre chose que ces outils tout ce que la vie m’envoie ».

Jada Pinkett Smith peut aussi être fière de la famille unie qu’elle représente avec ses enfants et son mari, Will Smith, depuis les 16 dernières années, surtout dans le tumulte de la vie que les deux stars mènent.

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Jada Pinkett Smith a lutté contre plusieurs dépendances

L’actrice de 42 ans Jada Pinkett Smithne dévoile pas de quelles substances elle était dépendante, mais affirme qu’il y en avait plusieurs et « de toutes sortes ».

Son fils Jaden, 15 ans, et sa fille Willow, 12 ans, ne semblent pas suivre les traces de leur mère, et pour cause. Ces années-là l’ont rendue plus forte et maître de sa vie, ce qu’elle transmet sans conteste à ses enfants.

C’est sur son compte Facebook, lors de son anniversaire le 18 septembre, qu’elle a publié ces sages paroles : « J’ai fait face à plusieurs dépendances, et de plusieurs sortes, afin de m’aider à traverser les épreuves de la vie lorsque j’étais plus jeune. Mais aujourd’hui, à 42 ans, j’ai ma sagesse, mon cœur et ma conscience comme seuls outils pour surmonter les obstacles inévitables de la vie. Je suis vraiment fière d’être une personne qui, aujourd’hui, résout sans autre chose que ces outils tout ce que la vie m’envoie ».

Jada Pinkett Smith peut aussi être fière de la famille unie qu’elle représente avec ses enfants et son mari, Will Smith, depuis les 16 dernières années, surtout dans le tumulte de la vie que les deux stars mènent.

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Le buzz du menteur

Avez-vous déjà fait la connaissance d’un menteur compulsif? Peut-être avez-vous en ce moment dans votre entourage un personnage du genre, qui semble apprécier le moindre petit mensonge, tel un passe-temps tordu…

Selon une étude rapportée par le Daily Mail (UK), ce type de personnalité pourrait bien trouver un réel plaisir physique dans le mensonge, un peu comme les personnes dépendantes à différentes substances.

On parle donc d’un véritable « buzz du menteur » dans cette étude publiée par des chercheurs de l’Université de Washington dans le Journal of Personality and Social Psychology.

Ainsi, chaque petit mensonge serait accompagné d’une « récompense » au niveau cérébral, ce qui pousserait l’individu à recommencer… encore et encore!

Cependant, chez la plupart des cas recensés et démontrés, ce plaisir coupable ne serait efficace que si le mensonge n’a pas de réelles conséquences et qu’il ne fait pas de véritable tort à la personne qui le reçoit.

Tricher à un examen ou à un jeu, par exemple, a semblé éveiller la plus grande émotion positive chez ces menteurs, remarquent les chercheurs après avoir analysé plus de 1000 sujets.

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Le processus de dépendance à l’alcool s’éclaircit

Encore un pas est franchi dans la compréhension des dépendances et du développement des habitudes, selon Santé Log, qui rapporte une recherche exhaustive sur le sujet.

« L’humain est une créature d’habitudes », lance-t-on bien souvent, avec raison. Oui, mais pourquoi, et surtout, comment?

Selon cette nouvelle étude en provenance du Scripps Research Institute, et initialement publiée dans le PNAS, le cerveau démontre diverses réactions en fonction de nos actions, comme la consommation d’alcool justement.

Ainsi, un abus d’alcool chronique pourrait faire passer l’action de boire un verre de la « zone de décision » à la « zone d’habitude », pavant ainsi la voie à une dépendance à proprement parler.

C’est après avoir testé les effets de l’alcool sur le striatum dorsal du cerveau, impliqué dans le développement des habitudes, que les chercheurs ont pu confirmer leur théorie initiale.

Plus les comportements sont fréquents et abusifs, plus la « zone d’habitude » prédomine sur la « zone de décision », et il devient conséquemment de plus en plus difficile de cesser le comportement.

Cette étude, ainsi que les précédentes sur le sujet, permettrait de mieux combattre les troubles de dépendance dans l’avenir.