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Matthew Perry parle de ses abus

Alors qu’il était au sommet de son succès, Matthew Perry combattait de très fortes dépendances. Malgré tout, il dit lui-même avoir été très doué pour dissimuler ses problèmes à ses amis et collègues de Friends, Jennifer Aniston, Courteney Cox, David Schwimmer, Matt Leblanc et Lisa Kudrow. Ils ont cependant fini par s’en rendre compte.

Au fil de temps, l’acteur de 43 ans s’est battu contre ses dépendances à l’alcool, au Vicodin, aux opiacés, à la méthadone et aux amphétamines. Il admet aujourd’hui avoir beaucoup de mal à regarder des photos de lui de cette époque.

« C’est effrayant à regarder. J’étais un homme vraiment très malade », dit-il en se confiant à Mail Online.

Depuis son rétablissement, il participe activement à aider d’autres toxicomanes dans leur bataille. Il a entre autres transformé son manoir sur le bord de l’eau de Malibu en maison de transition pour les hommes qui sortent de traitements.

Il explique sa motivation en disant : « À la fin d’un traitement, quand on retourne dans le vrai monde, la route est parfois trop cahoteuse ».

Il travaille également de pair avec le spécialiste en dépendance Earl Hightower sur son projet Perry House pour lequel il a récemment été prisé par la Maison-Blanche.

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15 000 $ de drogue pour Lindsay Lohan

Un trafiquant de drogue appelé David « DJ » Joseph aurait révélé au magazine Star qu’il ne croit pas que la désintoxication de l’actrice changera grand-chose.

Bien qu’il ne semble pas considérer que Lindsay Lohan n’avait pas d’autre choix pour échapper à la prison, il dit : « Lindsay a encore envie de faire la fête. Elle croit que d’aller dans ce centre va lui sauver la face auprès du public ».

Lohan aurait dépensé entre 10 000 et 15 000 $ en cocaïne et en ecstasy. DJ dit même avoir eu à arrêter d’en vendre à la sa cliente, car elle n’arrivait pas à contrôler sa consommation. C’est sans compter le médicament Adderall dont elle a tant de difficulté à se défaire.

Visiblement inconscient de l’impact du marché dans lequel il se trouve, le revendeur affirme : « Lindsay ne faisait pas attention à ce qu’elle prenait, donc j’ai tourné les talons. J’avais peur qu’elle prenne de la cocaïne en plus de pilules et qu’elle en meure. Mon travail ne consiste pas à aider les gens à se tuer ».

Bref, souhaitons que cet homme ait tort et que Lohan ressorte de sa désintox avec une nouvelle vision de la vie et avec de nouvelles priorités plus constructives.

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15 000 $ de drogue pour Lindsay Lohan

Un trafiquant de drogue appelé David « DJ » Joseph aurait révélé au magazine Star qu’il ne croit pas que la désintoxication de l’actrice changera grand-chose.

Bien qu’il ne semble pas considérer que Lindsay Lohan n’avait pas d’autre choix pour échapper à la prison, il dit : « Lindsay a encore envie de faire la fête. Elle croit que d’aller dans ce centre va lui sauver la face auprès du public ».

Lohan aurait dépensé entre 10 000 et 15 000 $ en cocaïne et en ecstasy. DJ dit même avoir eu à arrêter d’en vendre à la sa cliente, car elle n’arrivait pas à contrôler sa consommation. C’est sans compter le médicament Adderall dont elle a tant de difficulté à se défaire.

Visiblement inconscient de l’impact du marché dans lequel il se trouve, le revendeur affirme : « Lindsay ne faisait pas attention à ce qu’elle prenait, donc j’ai tourné les talons. J’avais peur qu’elle prenne de la cocaïne en plus de pilules et qu’elle en meure. Mon travail ne consiste pas à aider les gens à se tuer ».

Bref, souhaitons que cet homme ait tort et que Lohan ressorte de sa désintox avec une nouvelle vision de la vie et avec de nouvelles priorités plus constructives.

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Percée prometteuse dans la lutte à la dépendance à l’héroïne

Des chercheurs basés en Californie croient avoir franchi un pas considérable vers le traitement d’une des plus sournoises et puissantes dépendances connues, soit celle à l’héroïne.

En effet, selon Top Santé, des spécialistes en toxicomanie de l’Institut de recherche Scripps (TSRI) seraient parvenus à créer un vaccin expérimental capable de soigner cette dépendance. Du moins, on confirme la réussite du traitement sur des rats, souvent un bon indicateur du succès d’un essai clinique.

Il ne reste plus qu’à confirmer son efficacité sur des humains, et les chercheurs pourraient ensuite annoncer l’une des plus belles percées de la science des dernières années en matière de lutte à la toxicomanie.

On imagine déjà le nombre de vies qui pourraient être sauvées grâce à cette spectaculaire avancée, mais plusieurs étapes restent à franchir.

« L’héroïne se métabolise très vite et se transforme en une substance appelée 6-acétylmorphine, qui va dans le cerveau et provoque la plupart des effets de la drogue. Le vaccin sera administré aux héroïnomanes avec d’autres traitements », explique Kim Janda, professeur du TSRI, acteur principal de ces recherches.

Une belle lueur d’espoir pour les victimes de cette drogue dévastatrice et leur famille.

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Pete Wentz explique son divorce d’Ashlee Simpson par sa dépendance aux drogues de prescription

Pete Wentz, qui effectue un retour plus que remarqué avec sa formation Fall Out Boy, a décidé de commenter l’échec de son mariage, rapporte Female First.

Le musicien prend le blâme et avoue que c’est probablement sa dépendance aux médicaments qui a tué son couple, une information qui a de quoi surprendre.

Wentz aurait été aux prises avec un sérieux problème de consommation de drogues de prescription, et c’est son fils Bronx qui lui aurait donné la volonté et le courage de demander de l’aide.

Son union avec Ashlee Simpson aura duré deux ans et demi, et aurait pu s’étirer sur une plus longue période s’il n’avait pas connu une autre rechute, de son aveu même.

Cette dépendance aurait débuté avant la naissance de son fils, comme l’explique Wentz : « J’étais probablement accro mentalement et physiquement. Ça a commencé avec de l’insomnie et de l’anxiété en avion, puis la spirale s’est enclenchée… »

Le bassiste de 33 ans va maintenant beaucoup mieux, et le succès remporté par le retour de Fall Out Boy lui permettra peut-être de garder la voie de la sobriété.

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Un autre traitement contre l’alcoolisme fait son apparition

Plusieurs tentatives de création de traitement contre l’alcoolisme ont été effectuées dans les dernières années, et le fruit de ces efforts commence à apparaitre sur le marché.

Voici qu’un nouveau traitement fait maintenant son entrée commerciale, bien que déjà utilisé dans certains pays, et il fait jaser à cause d’un élément peu banal qu’il contient.

En effet, selon Top Santé, l’Alcover est conçu à base de GHB. Oui, ce même GHB qualifié de « drogue du viol », et qui cause des ravages. C’est en fait l’oxybate de sodium qui serait l’ingrédient actif important ici. Il permettrait (selon des prévisions préliminaires) de guérir ou d’aider grandement 70 % des gens aux prises avec des problèmes d’alcool, et qui tentent l’expérience Alcover.

La France, entre autres, va conduire des tests incessamment afin de savoir si le traitement passera l’étape suivante. Ceux-ci seront effectués par la firme D&A Pharma, qui se spécialise dans les diverses dépendances connues.

On retrouve déjà l’Alcover sur les tablettes d’Autriche et de l’Italie, notamment.

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Un premier traitement contre la dépendance à l’alcool est autorisé

L’Europe innove en autorisant la vente d’un nouveau produit destiné à aider les gens à réduire leur consommation d’alcool, rapporte Santé Log.

Il s’agit d’une première, puisque le Selincro est le premier traitement du genre à passer toutes les étapes d’accréditation avec succès. Produit par les laboratoires Lundbeck, le traitement s’adresse aux gens qui ont des problèmes de consommation d’alcool qualifiés de « risqués ».

Les essais cliniques ont été suffisamment convaincants pour que les autorités de la santé permettent sa vente sur le territoire européen. On note une diminution de 60 %, en moyenne, de la consommation d’alcool chez les gens qui ont testé le produit jusqu’à maintenant.

Le Selincro agit sur le cerveau et la zone régulatrice de la récompense, qui serait mal réglée chez plusieurs personnes souffrant d’alcoolisme.

On conseille vivement d’associer le produit à une thérapie ou à un suivi psychologique professionnel, afin d’assurer un traitement complet adéquat.

On croit que plus de 90 % des gens aux prises avec des problèmes d’alcool en Europe ne reçoivent aucune aide pour leur permettre de s’en sortir.

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Plus de partenaires sexuels pourraient signifier plus d’alcool

Si vous êtes célibataire, que vous cumulez les conquêtes et que votre consommation d’alcool dépasse les posologies prescrites, sachez qu’il y a peut-être un lien à tracer entre les deux comportements.

C’est du moins ce que rapporte Top Santé, alors qu’une nouvelle étude néo-zélandaise sur le sujet fait son apparition. On y apprend que le nombre de partenaires sexuels aurait une incidence sur la consommation d’alcool, un fait qui serait vérifiable même chez la femme.

Surtout chez la femme même, si l’on croit les statistiques offertes par l’étude. Ainsi, les femmes seraient plus à risque de développer un problème de consommation d’alcool si elles vivent des relations sexuelles avec plus de trois partenaires entre l’âge de 18 et 20 ans.

Les chiffres explosent, se multipliant par sept, lorsqu’on analyse les données concernant les femmes de 21 à 25 ans. La courbe devient exponentielle chez les femmes de 32 ans, à tout le moins chez celles qui ont eu beaucoup de partenaires sexuels durant la deuxième moitié de la vingtaine.

L’étude croit que les deux comportements sont similaires à bien des égards, affirmant que « les personnes impulsives ont plus de chances de s’engager dans plusieurs activités et d’être dépendantes à certaines substances ».

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Boire jeune, boire trop

Il appert que plus un individu commence à consommer de l’alcool tôt dans sa vie, plus il a de chance de boire trop et d’éprouver des problèmes de consommation.

C’est Santé Log qui rapporte une étude sur le sujet, qui cible particulièrement ce phénomène moderne qu’on appelle binge drinking. Les recherches, publiées dans la plus récente édition du magazine Alcoholism: Clinical & Experimental Research, démontrent des statistiques qui en disent long.

Ainsi, les 39 000 dossiers analysés par l’équipe de chercheurs de l’Université de Washington tendent à démontrer que les sujets qui ont commencé à boire de l’alcool avant l’âge de 21 ans sont aussi moins portés à en consommer avec modération.

Le binge drinking est un phénomène défini par le fait d’une personne qui consomme des quantités abusives d’alcool sur une période de temps donnée, un comportement de plus en plus populaire et remarqué chez les jeunes, particulièrement les étudiants.

Ce comportement mènerait, dans bien des cas, à des problèmes qui suivent les individus jusque dans leur vie d’adulte.

Cette étude avait pour but de déterminer si le fait de permettre à des jeunes de 18 ans de consommer de l’alcool légalement était une mesure responsable.

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Demi Lovato a vaincu ses peurs

Demi Lovato accepte de parler de ses peurs, de ses relations amoureuses et du chemin qu’elle a parcouru jusqu’à présent dans une entrevue accordée au Cosmo on Campus, rapportée par le magazine Us.

On apprend que la jeune chanteuse a déjà un solide bagage d’expériences, obtenu à la dure et au fil de relations interpersonnelles qui n’ont pas toujours été roses.

« Je suis dans une période où je peux finalement faire confiance, aimer et être une meilleure personne pour la personne avec qui je suis en relation, au lieu d’être une copine dépendante et jalouse », avoue candidement la juge de X Factor.

Elle ajoute qu’il est malsain pour une jeune femme de se dévouer entièrement à un garçon, en négligeant ses amis et sa famille. Elle sait de quoi elle parle, puisque c’est exactement ce qu’elle a fait alors que, de son propre aveu, elle ne pouvait tolérer d’être seule.

« J’ai passé la dernière année à me concentrer sur moi, et ça a été fantastique », assure Lovato.

Un bel exemple pour plusieurs jeunes femmes qui vivent exactement le même genre d’expériences personnelles.