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Lacunes observées dans la prévention de l’alcoolisme

Une étude rapportée par The National Library of Medicine fait état de certaines lacunes dans le dépistage ou la prévention de l’alcoolisme.

Les praticiens ne parviendraient pas, dans une majorité de cas, à diagnostiquer avec précision les cas d’alcoolisme chez leurs patients, explique l’étude.

Au lieu de se fier simplement à leur instinct et aux indices présentés par les patients, les médecins devraient utiliser certaines méthodes de dépistage connues, croient les auteurs de l’étude.

Après avoir compilé les données des dossiers de près de 1700 patients, les auteurs constatent que l’absence de diagnostic d’alcoolisme est observable dans 70 % des cas.

Il s’agit d’un constat alarmant, comme l’explique Bruce Goldman, directeur des Substance Abuse Services de l’hôpital Zucker Hillside de Glen Oaks (États-Unis).

« La consommation massive et à haut risque d’alcool est un contributeur majeur à plusieurs graves problèmes de santé observables dans notre société. Les praticiens sont parfaitement positionnés pour déceler ces troubles et diagnostiquer des problèmes de consommation chez leurs patients. »

Si plusieurs experts corroborent ces dires, d’autres affirment qu’il est plus difficile d’y parvenir en pratique qu’en théorie. Selon eux, plusieurs patients seraient réticents à consulter s’ils constataient que leur médecin se concentre davantage sur un problème d’alcool possible que sur leurs symptômes du moment.

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Les médicaments contre l’anxiété encore blâmés

On le sait, mais on ne le répètera jamais assez : si les médicaments contre la dépression et l’anxiété peuvent fonctionner et apporter une solution temporaire, il ne faut pas en abuser.

Il faut aussi mettre fin au traitement tôt ou tard, et plus tôt que tard sera certainement une bonne option.

Deux nouvelles études sur le sujet viennent de paraître et mènent à des recommandations que reprend Topsante.com.

Selon Bernard Bégaud, auteur en chef de l’étude, il y a d’abord un risque accru et vérifiable de démence chez les gens de 65 ans et plus qui utilisent ce genre de traitements.

Et ces « traitements » visés sont particulièrement ceux de benzodiazépines, prescrits pour traiter les troubles d’anxiété.

Selon les spécialistes questionnés, cette récente conclusion s’ajoute à la liste des autres risques observables en ce qui concerne les traitements par benzodiazépines.

On rappelle également que ces méthodes de traitement ne devraient être prescrites que lorsque d’autres méthodes ont échoué, notamment la thérapie.

De plus, les traitements de benzodiazépines peuvent créer une forte dépendance, laissant le patient aux prises avec un problème plus lourd qu’avant le traitement.

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La malbouffe peut créer une dépendance

Une étude canadienne vient confirmer ce que beaucoup pensaient déjà, c’est-à-dire que la malbouffe et les aliments gras peuvent créer une véritable dépendance.

Au même titre que la drogue et l’alcool, la nourriture grasse et malsaine provoquerait certains changements au cerveau, qui réagirait lorsqu’on cesse (ou tente de cesser) de manger de la malbouffe.

Un état de « manque » serait alors observable, ce qui confirme les pires craintes des différentes agences de santé dans le monde.

Ce sont des conclusions qui ont été publiées dans la plus récente édition de l’International Journal of Obesity, et rapportées notamment par santelog.com.

Pour en arriver à ce constat, les spécialistes canadiens ont analysé le comportement de souris qui étaient nourries « grassement » et à qui l’on offrait par la suite des repas sains et équilibrés. Plus de 90 rongeurs faisaient partie de l’étude.

Du lot, la plupart des souris ont ressenti des symptômes de manque comme de l’angoisse ou de l’anxiété, en plus de démontrer une motivation hors du commun lorsque placées devant des aliments sucrés ou gras.

Les chercheurs croient donc qu’il serait possible, et même nécessaire, de créer un médicament qui pourrait venir en aide aux gens qui voudraient se désintoxiquer de la malbouffe. Il existe déjà des traitements similaires pour contrer l’alcoolisme et la toxicomanie.

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Le bacoflène serait bel et bien efficace pour contrer l’alcoolisme

On vous parlait récemment de l’optimisme des spécialistes concernant le bacoflène, un médicament qui pourrait bien s’avérer un précieux allié dans le traitement de l’alcoolisme.

Voilà que l’on confirme ses propriétés, selon topsante.com, alors que des chercheurs français viennent de publier une étude sur le sujet.

Originalement, le bacoflène est un traitement neurologique utilisé dans certains cas, mais on lui a découvert récemment des propriétés qui faisaient croire aux spécialistes qu’il pourrait aussi servir de traitement contre l’alcoolisme.

Depuis, on a testé cette théorie sur une centaine de patients du Groupe Hospitalier Paul-Guiraud, tous diagnostiqués avec des problèmes de dépendance liés à l’alcool.

Les conclusions sont faciles à tirer pour les chercheurs : le bacoflène fonctionne vraiment.

Pratiquement tous les patients ont vu leur consommation d’alcool baisser, et « l’envie de boire » serait bel et bien moins envahissante.

Cependant, on note certains effets secondaires possibles. De la somnolence, des vertiges, des hallucinations, des nausées, de l’hypotension, de l’énurésie et des réactions dépressives sont tous des symptômes qui ont pu être observés chez les patients sous bacoflène.

Ceux-ci ne seraient cependant pas observables de façon systématique.

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Un gène pourrait être lié à la dépendance à l’alcool et au binge drinking

Santelog.com nous apprend que des chercheurs croient pouvoir affirmer qu’ils ont trouvé un gène qui serait à l’origine de certains comportements en lien avec l’alcool, dont le binge drinking.

Le binge drinking est un phénomène récent qui s’avère terriblement dangereux. Il se décrit comme le comportement d’une personne qui boit énormément d’alcool par séquences, s’arrête, puis recommence.

Le concept avait été mis à l’avant-plan de l’actualité à la suite de la mort de la chanteuse Amy Winehouse, qui était familière avec ce comportement.

Des chercheurs du King’s College de Londres ont publié une étude dans les Actes de l’Académie américaine des Sciences (PNAS) pour signifier l’importance du gène RASGRF2 dans la susceptibilité d’une personne de développer un problème d’alcool grave.

Toutefois, on rappelle que même si une personne est génétiquement plus sujette à ce type de dépendance, le gène n’explique et n’excuse pas tout le processus qui mène au passage à cet acte d’autodestruction.

On confirme simplement que le binge drinking peut avoir un effet plus intense chez certaines personnes que d’autres, en vertu de leurs gènes. Cela place certains individus devant une prédisposition à l’alcoolisme plus importante que chez les autres.

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Vers une notion officielle de dépendance au téléphone cellulaire?

Le débat est lancé depuis longtemps, mais on tarde à reconnaître officiellement si oui ou non, l’utilisation massive du téléphone cellulaire et de ses applications constitue une dépendance.

Plusieurs sont d’accord avec la notion de dépendance à la technologie, phénomène relativement récent dans l’histoire. D’autres ne croient pas que le cellulaire, Internet et les autres applications du Web puissent constituer une dépendance au même titre que l’alcoolisme ou la toxicomanie.

Deux chercheurs se sont penchés sur la question. James Roberts est l’un d’eux et il croit qu’effectivement, on peut parler de dépendance à la technologie.

Le professeur de l’Université Baylor, à Waco au Texas, explique : « Bien sûr, les téléphones cellulaires ont leur mérite. Il y a manifestement une valeur d’utilité à ces appareils, mais nous parlons de quelque chose qui est portable, transportable et accessible 24 heures sur 24. Donc, comme tout le reste, si on dépasse les bornes, ça peut devenir un problème ».

Selon le spécialiste, ce serait notamment vérifiable chez les gens qui continuent d’utiliser leur appareil, soit pour envoyer des messages ou surfer sur le Web, alors qu’ils sont en public ou en pleine discussion dans le monde réel.

Parions que vous pouvez nommer quelques personnes de votre entourage qui ont développé ce genre d’habitude.

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Colin Farrell a vu la mort de près à cause de l’alcool

L’acteur de Seven Psychopaths a senti qu’il se dirigeait vers la mort, en 2005, remarquant que son corps ne suivait plus.

Régulièrement, en effet, tant mentalement que physiquement, Colin Farrell ne contrôlait plus ce qu’il faisait. Il a longtemps mené le combat contre ses dépendances à l’alcool et aux drogues. C’est après son expérience de 2005 qu’il a décidé d’y mettre un terme définitif.

Il a expliqué au magazine Sunday Times : « Évidemment, je ne suis pas médecin, mais inutile d’avoir des études en médecine pour savoir que votre corps a abandonné la bataille. J’ai compris que je n’en avais plus pour longtemps ».

Farrell a poursuivi : « J’en étais au point où les seules voix qui faisaient leur chemin jusqu’à mon esprit étaient celles de la destruction et de l’oblitération ».

L’acteur de 36 ans a insisté, cependant, sur le fait qu’il a toujours eu une personnalité dépendante, surtout concernant la nourriture. « Demandez à ma mère, je suis dépendant d’un tas de choses depuis que je suis tout jeune. Sans blague. »

Farrell explique que tout ce qui lui « faisait du bien », dès l’âge de 7 ans, était une raison pour s’y coller pendant des mois. Qu’il s’agisse de Lion Bar, de Coco Pops, de purée de pommes de terre ou de thon en boîte, dès qu’il accrochait, c’était sans arrêt pour un minimum de 6 mois.

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Un vaccin pour contrer la dépendance à la méthamphétamine

Les statistiques concernant la consommation de drogues en Amérique du Nord sont légèrement en hausse. Les seuls changements observés sont cette tendance vers de nouvelles drogues, à commencer par la méthamphétamine.
 
Cette dernière, communément appelée « speed », fait des ravages chez les 18-34 et plusieurs chercheurs tentent de développer des méthodes pour aider ceux qui aimeraient s’en sortir, un peu à l’image de la méthadone pour l’héroïne.
 
Ce n’est que récemment qu’a été établie la notion de dépendance concernant cette drogue, vendue en pilules. Maintenant publics, les problèmes de dépendance à la méthamphétamine pourraient bien se frotter à une découverte récente.
 
C’est ce que rapporte www.santelog.com, qui annonce la création d’un nouveau « vaccin » pour aider les toxicomanes aux prises avec le « speed ». En effet, les chercheurs ont réussi à traiter et désintoxiquer des rats chez qui on avait créé cette forme de dépendance.
 
Il ne reste plus qu’à tester le vaccin sur les humains, mais le produit est prometteur, affirment les experts. Il permet de bloquer certains effets de la drogue, notamment au cerveau, et de créer une production supplémentaire d’anticorps.
 
D’autres résultats sont attendus sous peu.
 
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Les médicaments sont un « bon premier pas » pour traiter l’alcoolisme

Deux médicaments qui sont souvent utilisés dans le traitement de l’alcoolisme seraient également appropriés à différentes étapes de la thérapie, affirme une étude publiée sur www.nlm.nih.gov.

Campral et ReVia sont deux traitements qui ne déclenchent pas de dépendance, et qui ne rendent pas le patient malade s’il les mélange avec de l’alcool. Voilà qui peut s’avérer pratique pour ceux qui souhaitent arrêter progressivement de consommer, mais sans avoir recours à une cure en centre de désintoxication.

64 tests cliniques d’évaluation ont permis aux chercheurs californiens, à l’origine de l’étude, de découvrir que le Campral permettait d’aider efficacement les patients déjà sobres à ne pas rechuter. Le ReVia, quant à lui, permet de baisser la consommation d’alcool chez les cas plus lourds, en enlevant une partie de « l’appel » de la bouteille.

Au total, c’est 11 000 dossiers de patients qui ont été suivis, et les conclusions sont claires aux yeux des spécialistes : ces médicaments fonctionnent.

Et tout cela a du sens pour les experts en dépendances, vu la façon dont ces médicaments agissent sur le cerveau. Tout cela est logique et bénéfique, selon le Dr. Raymond Anton, du Center for Drug & Alcohol Programs de l’Université de Caroline du Sud.

Crédit photo : www.FreeDigitalPhotos.net

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La dépendance à l’Internet serait génétique

Des équipes des universités de Bonn et de Mannheim ont découvert que la dépendance à l’Internet pouvait avoir des origines génétiques.
 
Sur les 843 personnes interrogées sur leurs habitudes, 15 % présentaient des troubles de comportement et une variante génétique du gène CHRNA4 qui est déjà lié à la dépendance à la nicotine.
 
Le profil génétique des personnes dépendantes au Web a été comparé à un groupe témoin en bonne santé, et on a remarqué une différence chez 15 % des utilisateurs accros à l’Internet, rapporte le Journal of Addiction Medicine.
 
« Nous savions déjà qu’une mutation sur le gène du récepteur de l’acétylcholine dans le cerveau était associée à la promotion de comportements addictifs. La nicotine du tabac se fixe — comme l’acétylcholine, qui est produite par le corps — comme une clé dans ce récepteur. Ces deux neurotransmetteurs jouent un rôle important dans l’activation du système de récompense du cerveau. Cette connexion joue un rôle essentiel dans la dépendance à la nicotine, mais aussi à Internet », explique le Dr Montag.
 
Les femmes semblaient être les plus touchées par le phénomène.
 
Cette découverte doit cependant être validée par d’autres recherches.