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Un enzyme pour vaincre la dépendance à la cigarette et l’alcool

Des chercheurs américains ont découvert que l’enzyme kinase C (PKC) epsilon pouvait contrôler la réponse du cerveau à la nicotine et l’alcool.
 
On croit que les inhibiteurs de cette enzyme pourraient éventuellement aider à créer un traitement afin de libérer les personnes aux prises avec ce type d’accoutumances.
 
Pour le moment, les recherches effectuées pendant quatre semaines sur des souris semblent prometteuses, rapporte le Proceedings of the National Academy of Sciences.
Les souris qui avaient été génétiquement modifiées pour avoir moins de cette enzyme consommaient moins d’eau contenant de la nicotine.
 
D’autres études avaient démontré des résultats similaires avec l’alcool.
 
Cette découverte permettrait donc d’aider éventuellement les fumeurs et alcooliques avec un médicament contenant une molécule pouvant inhiber cette enzyme.

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La dépendance est réellement une maladie

L’American Society for Dependance Medicine vient de définir la dépendance comme une maladie chronique du cerveau.

Cette nouvelle définition pourra peut-être inciter les médecins à mieux déceler les symptômes chez leurs patients, mais cela apporte également une nouvelle compréhension de la pathologie.

Que ce soit une dépendance à l’alcool, aux drogues, au jeu, ou encore des troubles alimentaires, il s’agit dans tous les cas d’une maladie.

Les patients passent par l’excitation, le manque, et parmi les symptômes, il y a tout ce qu’ils sont prêts à faire pour vivre cette excitation et éviter ce manque.

Comme toutes les maladies, la dépendance nécessite un long traitement, et les rechutes sont tout à fait possibles. Ce qui explique pourquoi certaines personnes, par exemple, ont besoin de plusieurs cures de désintoxication.

Aussi, tout le monde peut en souffrir à un moment ou à un autre de sa vie.</pquo;American Society for Dependance Medicine vient de définir la dépendance comme une maladie chronique du cerveau.

Cette nouvelle définition pourra peut-être inciter les médecins à mieux déceler les symptômes chez leurs patients, mais cela apporte également une nouvelle compréhension de la pathologie.

Que ce soit une dépendance à l’alcool, aux drogues, au jeu, ou encore des troubles alimentaires, il s’agit dans tous les cas d’une maladie.

Les patients passent par l’excitation, le manque, et parmi les symptômes, il y a tout ce qu’ils sont prêts à faire pour vivre cette excitation et éviter ce manque.

Comme toutes les maladies, la dépendance nécessite un long traitement, et les rechutes sont tout à fait possibles. Ce qui explique pourquoi certaines personnes, par exemple, ont besoin de plusieurs cures de désintoxication.

Aussi, tout le monde peut en souffrir à un moment ou à un autre de sa vie.

Crédit photo : smokedsalmon / FreeDigitalPhotos.net

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Les lits de bronzage provoquent une dépendance

Malgré les nombreux avertissements d’un risque accru de cancer de la peau, des millions de personnes dans le monde continuent de fréquenter les salons de bronzage et les chercheurs viennent de découvrir pourquoi. 

Une équipe du UT Southwestern Medical Center a suivi un groupe de personnes durant deux séances sur des lits de bronzage. Chaque participant avait reçu un composé qui permettait de déterminer le débit sanguin cérébral.
 
Lorsque les personnes étaient exposées aux rayons UV, l’activité cérébrale et le flux sanguin était similaires à ce qui est observé chez les accros à la drogue et à l’alcool.
 
Ainsi, ceux qui utilisent fréquemment les lits de bronzage seraient stimulés par une dépendance neurologique, mentionne le Daily Mail.
 
Ces séances de bronzage provoquent donc des changements au cerveau qui sont similaires à l’usage de drogue et d’alcool.
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Potins

Matthew Perry en centre de réadaptation pour prévenir une rechute

L’acteur de 41 ans, connu pour son rôle de Chandler Bing dans la série Friends, se remet en question, faisant coïncider son introspection avec celle de son personnage de la nouvelle série Mr. Sunshine, qu’il coécrit.

Matthew Perry n’a pas encore souffert de rechute, mais il souhaite se recentrer pour éviter de reproduire les mêmes erreurs.
 
Selon Female First, Perry planifie donc de s’éclipser pour une période d’un mois dans un centre de désintoxication, et ce, afin de s’assurer de poursuivre sa sobriété qui date de 2001.
 
Il s’agissait à l’époque de sa deuxième visite dans un centre, à la suite d’une hospitalisation due à une pancréatite. L’abus d’alcool constituait alors le talon d’Achille de l’acteur. 
 
Sa première cure de désintoxication remonte à 1997, alors qu’il avait développé une dépendance aux analgésiques puissants prescrits après un accident. Il avait alors avoué prendre de 20 à 30 comprimés quotidiennement.

Il a déclaré aux médias : « J’effectue ce séjour d’un mois afin de poursuivre dans la sobriété, question de continuer sur le bon chemin. Surtout, n’hésitez pas à vous payer ma tête sur Internet ».

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On peut devenir dépendant à la nourriture

Les Archives of General Psychiatry dévoilent une nouvelle étude qui établit clairement un lien entre la nourriture et la dépendance.
 
48 jeunes femmes corpulentes en bonne santé ont participé à cette étude. Devant un appétissant lait frappé au chocolat, leur activité cérébrale a été accrue dans certaines zones du cerveau, les mêmes que l’on remarque chez les toxicomanes devant de la cocaïne.
 
Selon l’équipe de l’Université Yale, une dépendance à la nourriture est donc possible avec une plus grande activation de zones précises du cerveau chez certaines personnes. Ainsi, ces dernières ne peuvent que difficilement maîtriser leurs fringales.
 
Cette découverte est importante, puisque le taux d’obésité de cesse d’augmenter. Cela pourrait s’expliquer en partie par la publicité alimentaire omniprésente, qui devient alors une grande source de stimulation pour le cerveau.
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Maman fumeuse, bébé fumeur

Une recherche finlandaise a démontré que le tabagisme de la femme enceinte peut grandement faire en sorte que l’enfant soit dépendant de la nicotine plus tard. De plus, ce dernier aurait tendance à commencer à fumer à un âge plus jeune.

Selon Medical News Today, cette étude faite sur des souris a prouvé que l’exposition prénatale à la nicotine rendait vulnérable à celle-ci.

Ainsi, l’enfant, une fois au stade de l’adolescence, aura plus tendance à subir les effets de la dépendance à cette substance.

Puisque l’on comprend mieux de quelle façon la nicotine bloque certains récepteurs, on peut considérer qu’il s’agit là d’une explication possible de l’usage courant de la nicotine.

Finalement, cette recherche ouvre la voie à de possibles médicaments pour traiter la dépendance aux drogues et à la cigarette.

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L’exercice pour vaincre sa dépendance au cannabis

La revue PLoS ONE mentionne que l’exercice physique peut aider à réduire une dépendance envers le cannabis.
 
Une étude menée avec de gros fumeurs (en moyenne 5,9 joints par jour), qui ne souhaitaient pas être traités, démontre que des séances sur un tapis roulant d’une durée de 10 à 30 minutes par jour pendant deux semaines ont permis de réduire la consommation de cannabis de moitié chez les participants.
 
Jusqu’à présent, aucun médicament ne peut donner de tels résultats contre cette dépendance, ce qui ouvre la voie à de nouvelles stratégies. « Cela montre que l’exercice peut vraiment changer la façon dont le cerveau fonctionne », explique le directeur du Vanderbilt Addiction Center, Peter Martin.
 
D’autres recherches ont démontré des résultats similaires pour la cigarette. Une seule séance de dix minutes quotidiennement permettrait de vaincre le tabagisme. L’exercice produit notamment de la dopamine qui procure de la bonne humeur, donc qui remplace aisément la cigarette.
 
De plus, l’exercice réduit le stress et les risques de dépression, souvent liés aux dépendances. La clé est simplement de choisir un sport que l’on aime pour que cela ne devienne pas une corvée.
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Les aliments gras et sucrés créent une dépendance

Ne vous demandez plus pourquoi vous ne pouvez pas résister à un gâteau, une barre de chocolat ou encore à un hamburger de la chaîne de restauration rapide de votre coin. Des chercheurs américains ont trouvé que les aliments gras et sucrés créaient le même genre de dépendance que la drogue.
 
L’étude effectuée sur des rats s’est échelonnée sur trois ans. Les aliments gras et sucrés ont créé chez les animaux une véritable dépendance, similaire à ce que l’on constate avec la consommation de drogue.
 
Les rongeurs habitués à ce type d’alimentation pouvaient en manger compulsivement, au point de devenir obèses en seulement quelques mois.
 
Les chercheurs croient donc que comme la drogue, l’obésité aurait les mêmes fondements neurologiques.
 
Les effets obtenus chez les rats pourraient donc également se confirmer chez l’homme.
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La dépendance à la pornographie à un trop jeune âge cause des problèmes sexuels

Selon les experts en sexologie de la Société médicale italienne d’andrologie, les hommes qui deviennent dépendants de la pornographie dès le début de l’adolescence souffrent plus souvent d’impuissance ou d’anorexie sexuelle, une fois dans la vingtaine. Cette période devrait pourtant être charnière dans leur épanouissement sexuel.

Mentionnons au passage que l’anorexie sexuelle est la perte de libido.

Selon les statistiques rapportées par MedicMagic, parmi les hommes qui ont développé une dépendance à la pornographie, 3,9 % sont dépendants depuis l’âge de 13 ans et 5,9 % ont commencé à développer cette accoutumance entre 14 et 18 ans.

Selon les mêmes observations, les hommes qui ont commencé à consommer de la pornographie à un jeune âge souffrent plus souvent d’anorexie sexuelle à l’âge de 20 ans.

En 2009, une étude de l’Université de Montréal était parvenue à des résultats similaires.

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Nouvelle avenue pour les bébés de mères toxicomanes

Un nouveau médicament, la buprénorphine, permettrait aux bébés nés de mères toxicomanes de rester moins longtemps à l’hôpital et de vivre un sevrage plus supportable, et ce, à un moindre coût.

Les résultats d’une étude publiée dans le New England Journal of Medicine indiquent en effet que ce médicament est tout aussi efficace chez la mère et chez son bébé que la méthadone.

Dans le cadre de cette étude, les bébés qui ont reçu de la buprénorphine ont eu besoin de moins de morphine que ceux soignés avec la méthadone pour traiter leur syndrome d’abstinence néonatale.

De plus, moins de jours ont été nécessaires au traitement de ce syndrome (4,1 au lieu de 9,9). Les poupons ont donc été hospitalisés moins longtemps, soit 10 jours au lieu de 17,5.

Beaucoup d’espoir réside donc en ce médicament qui pourrait réduire en plus les coûts liés au sevrage de la mère et de l’enfant. Finalement, les bébés en cause connaîtraient un soulagement plus rapide de leurs souffrances.