L’American Society for Dependance Medicine vient de définir la dépendance comme une maladie chronique du cerveau.
Cette nouvelle définition pourra peut-être inciter les médecins à mieux déceler les symptômes chez leurs patients, mais cela apporte également une nouvelle compréhension de la pathologie.
Que ce soit une dépendance à l’alcool, aux drogues, au jeu, ou encore des troubles alimentaires, il s’agit dans tous les cas d’une maladie.
Les patients passent par l’excitation, le manque, et parmi les symptômes, il y a tout ce qu’ils sont prêts à faire pour vivre cette excitation et éviter ce manque.
Comme toutes les maladies, la dépendance nécessite un long traitement, et les rechutes sont tout à fait possibles. Ce qui explique pourquoi certaines personnes, par exemple, ont besoin de plusieurs cures de désintoxication.
Aussi, tout le monde peut en souffrir à un moment ou à un autre de sa vie.</pquo;American Society for Dependance Medicine vient de définir la dépendance comme une maladie chronique du cerveau.
Cette nouvelle définition pourra peut-être inciter les médecins à mieux déceler les symptômes chez leurs patients, mais cela apporte également une nouvelle compréhension de la pathologie.
Que ce soit une dépendance à l’alcool, aux drogues, au jeu, ou encore des troubles alimentaires, il s’agit dans tous les cas d’une maladie.
Les patients passent par l’excitation, le manque, et parmi les symptômes, il y a tout ce qu’ils sont prêts à faire pour vivre cette excitation et éviter ce manque.
Comme toutes les maladies, la dépendance nécessite un long traitement, et les rechutes sont tout à fait possibles. Ce qui explique pourquoi certaines personnes, par exemple, ont besoin de plusieurs cures de désintoxication.
Aussi, tout le monde peut en souffrir à un moment ou à un autre de sa vie.
Crédit photo : smokedsalmon / FreeDigitalPhotos.net
Malgré les nombreux avertissements d’un risque accru de cancer de la peau, des millions de personnes dans le monde continuent de fréquenter les salons de bronzage et les chercheurs viennent de découvrir pourquoi.
L’acteur de 41 ans, connu pour son rôle de Chandler Bing dans la série Friends, se remet en question, faisant coïncider son introspection avec celle de son personnage de la nouvelle série Mr. Sunshine, qu’il coécrit.
Il a déclaré aux médias : « J’effectue ce séjour d’un mois afin de poursuivre dans la sobriété, question de continuer sur le bon chemin. Surtout, n’hésitez pas à vous payer ma tête sur Internet ».
Maman fumeuse, bébé fumeur
Une recherche finlandaise a démontré que le tabagisme de la femme enceinte peut grandement faire en sorte que l’enfant soit dépendant de la nicotine plus tard. De plus, ce dernier aurait tendance à commencer à fumer à un âge plus jeune.
Selon Medical News Today, cette étude faite sur des souris a prouvé que l’exposition prénatale à la nicotine rendait vulnérable à celle-ci.
Ainsi, l’enfant, une fois au stade de l’adolescence, aura plus tendance à subir les effets de la dépendance à cette substance.
Puisque l’on comprend mieux de quelle façon la nicotine bloque certains récepteurs, on peut considérer qu’il s’agit là d’une explication possible de l’usage courant de la nicotine.
Finalement, cette recherche ouvre la voie à de possibles médicaments pour traiter la dépendance aux drogues et à la cigarette.
Selon les experts en sexologie de la Société médicale italienne d’andrologie, les hommes qui deviennent dépendants de la pornographie dès le début de l’adolescence souffrent plus souvent d’impuissance ou d’anorexie sexuelle, une fois dans la vingtaine. Cette période devrait pourtant être charnière dans leur épanouissement sexuel.
Mentionnons au passage que l’anorexie sexuelle est la perte de libido.
Selon les statistiques rapportées par MedicMagic, parmi les hommes qui ont développé une dépendance à la pornographie, 3,9 % sont dépendants depuis l’âge de 13 ans et 5,9 % ont commencé à développer cette accoutumance entre 14 et 18 ans.
Selon les mêmes observations, les hommes qui ont commencé à consommer de la pornographie à un jeune âge souffrent plus souvent d’anorexie sexuelle à l’âge de 20 ans.
En 2009, une étude de l’Université de Montréal était parvenue à des résultats similaires.
Un nouveau médicament, la buprénorphine, permettrait aux bébés nés de mères toxicomanes de rester moins longtemps à l’hôpital et de vivre un sevrage plus supportable, et ce, à un moindre coût.
Les résultats d’une étude publiée dans le New England Journal of Medicine indiquent en effet que ce médicament est tout aussi efficace chez la mère et chez son bébé que la méthadone.
Dans le cadre de cette étude, les bébés qui ont reçu de la buprénorphine ont eu besoin de moins de morphine que ceux soignés avec la méthadone pour traiter leur syndrome d’abstinence néonatale.
De plus, moins de jours ont été nécessaires au traitement de ce syndrome (4,1 au lieu de 9,9). Les poupons ont donc été hospitalisés moins longtemps, soit 10 jours au lieu de 17,5.
Beaucoup d’espoir réside donc en ce médicament qui pourrait réduire en plus les coûts liés au sevrage de la mère et de l’enfant. Finalement, les bébés en cause connaîtraient un soulagement plus rapide de leurs souffrances.