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Brad Pitt et Angelina Jolie tentent d’aider Shia LaBeouf

Arrêté le mois dernier à New York pour conduite en état d’ébriété, Shia LaBeouf se ferait traiter pour ses problèmes de dépendance à l’alcool. Par contre, selon son agent, il ne serait pas en cure de désintoxication.

Face à cette réalité et autres constats, Brad Pitt tenterait de soutenir et d’aider Shia LaBeouf qu’il a connu sur le plateau du film Fury.

Pendant le tournage, Brad Pitt se serait d’ailleurs aperçu que LaBeouf se comportait de façon étrange. Il refusait de se laver et se serait arraché lui-même des dents pour entrer dans la peau de son personnage. Pitt se serait alors demandé si LaBeouf était réellement troublé ou si ce comportement inquiétant était symptomatique.

Une source a mentionné au magazine OK! : « Brad et Angelina admirent toute personne qui travaille à améliorer son sort. C’est pour cela qu’ils veulent aider Shia à sortir du pétrin. Ils savent à quel point c’est difficile d’affronter de vieux démons ».

Rappelons que Jolie a connu des problèmes de dépendances également dans son passé. Une vidéo de l’ex-dealer de la star – la montrant sous l’influence de la drogue – a d’ailleurs voulu refaire surface, il y a quelques semaines. Une ordonnance de non-publication a toutefois été déposée.

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Les enfants indisciplinés plus à risque de développer des dépendances

 

De plus, ceux atteints de symptômes d’inattention seraient particulièrement à risque de devenir dépendant à la nicotine, selon les chercheurs du Centre Hospitalier Universitaire Sainte-Justine, à Montréal. Les résultats de cette recherche ont été publiés dans le Molecular Psychiatry.

L’étude a démontré qu’à l’âge de 21 ans, 13,4 % des enfants dans l’une ou l’autre de ces situations abusaient ou étaient dépendants à l’alcool tandis que ce chiffre s’élevait à 9,1 % pour le cannabis et 2 % pour la cocaïne. Le problème le plus commun était la dépendance au tabac, présente chez plus 30,7 % d’entre eux.

« En prenant en compte l’unique effet de l’inattention et de l’hyperactivité, qui ont rarement été considérés séparément auparavant, nous en sommes venus à réaliser que le lien entre les symptômes du TDAH durant l’enfance étaient surestimés. De même, l’hyperactivité ne semble pas, dans cette étude, les prédisposer pour des dépendances ultérieures », a expliqué l’auteur principal de la recherche, Jean-Baptiste Pingault.

Les résultats démontrent que le sexe n’a aucune incidence sur la susceptibilité de développer ces dépendances. Toutefois, les filles consommeraient davantage de cigarettes tandis que les garçons consommeraient du cannabis et de l’alcool.

Rappelons que les enfants susceptibles de développer de telles dépendances montreraient déjà des signes d’instabilité avant la maternelle, selon une précédente étude néo-zélandaise.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

 

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Déceler les dépendances des enfants dès trois ans

En fait, les enfants susceptibles de développer de telles dépendances montreraient déjà des signes d’instabilité avant la maternelle.

Parue dans la revue Psychological Science, l’étude en question révèle que les enfants ayant un tempérament perturbé seraient deux fois plus à risque d’être dépendants au jeu ou à des substances illicites à l’âge de 21 et 32 ans que des enfants équilibrés.

Les experts ont analysé le comportement, le parcours intellectuel, économique et psychologique de plus de 1000 sujets, de leur naissance jusqu’à l’âge de 32 ans.

Dix pour cent de ces enfants, à trois ans, avaient un tempérament perturbé. Ils avaient un manque de contrôle d’eux-mêmes, des humeurs changeantes et un comportement impulsif, entre autres.

Les scientifiques ont constaté qu’une fois adultes, les mêmes personnes avaient encore un sentiment d’isolement et une tendance au pessimisme. De plus, ils montraient une dépendance au jeu ou à la drogue.

À l’issue de cette recherche, les chercheurs ne peuvent pas encore expliquer ce lien entre le tempérament durant l’enfance et les dépendances à l’âge adulte. Ils supposent cependant que le jeu est une échappatoire aux émotions négatives ressenties.

De plus, rappelons que les enfants souffrant du trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité sont deux à trois fois plus enclins à avoir des problèmes de dépendance.