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Les dépenses des Fêtes des Canadiens freinées par les contraintes financières

Et vous, dépenserez-vous moins cette année?

Alors que les conditions économiques sont défavorables et que les consommateurs canadiens se sentent pessimistes face à une éventuelle récession, le magasinage du temps des Fêtes risque d’en être largement affecté.

Selon un sondage sur le magasinage des fêtes 2023 mené par Deloitte Canada, les Canadiens prévoient moins dépenser cette année.

Il s’agit d’une baisse d’environ 11%, qui était à prévoir alors que les pressions financières s’intensifient.

Effectivement, 67% des Canadiens sont préoccupés par la possibilité d’une récession, 55% ont peur de l’augmentation du loyer ou de l’hypothèque et 33% par le paiement des cadeaux. D’ailleurs, une diminution de 18% est à prévoir pour les cadeaux et une baisse de 14% pour les cartes-cadeaux.

Les dons de bienfaisance aussi en mangeront un coup avec une diminution de 40%…

Conformément aux données recueillies, cette année, les Canadiens magasineront en fonction des meilleures offres et s’assureront d’avoir le meilleur rapport qualité-prix pour leurs dépenses des fêtes.

En effet, 77% des Canadiens rechercheront de meilleures offres et 71% vont courir les articles en solde.

C’est-à-dire que les consommateurs risquent de se montrer beaucoup plus prudents dans leurs dépenses, en plus d’être davantage sélectifs.

Et vous, dépenserez-vous moins cette année?

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Actualité

18 000 $ de dépenses non essentielles par année

Selon une nouvelle recherche, chaque mois, un Américain débourse 1 497 $ dans des produits et services qui peuvent être considérés superflus.

Au cours d’une vie, c’est donc plus d’un million de dollars que nos voisins du sud gaspilleront, alors qu’ils auraient pu utiliser cette fortune à bien meilleur escient.

La recherche a été effectuée par OnePoll auprès de 2000 Américains. Il y a fort à parier que les Canadiens ne sont guère plus responsables dans la façon de dépenser leur argent.

Décortiquées, les dépenses moyennes présentes de petits montants, mais qui lorsqu’additionnés, finissent par faire des sommes importantes. 

Ainsi, l’Américain moyen dépense 20$ par mois en cafés209$ dans les restaurants, ou encore 189$ pour sortir avec des amis.

S’ajoutent à ces montants, 91$ pour le câble, 23$ pour un service de cinéma en continu, 23$ dans diverses applis, ou 73$ par mois pour son abonnement au gym.

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Le sondage indique aussi qu’en moyenne, l’Américain moyen fait au moins 5 achats compulsifs par mois.

Photo : Bernd Wüstneck/picture-alliance/Cover Images

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Hugh Jackman a dépensé 330 000 $ en loteries pour l’équipe technique

L’acteur ne lésine pas à la dépense quand vient le temps de divertir les troupes et les techniciens présents sur les plateaux de ses films, rapporte BANG Media International.

Jackman a une manière bien à lui de récompenser les membres de l’équipe technique, lui qui aurait dépensé jusqu’ici pas moins de 330 000 $ en loteries instantanées au cours des 14 dernières années.

Ces billets à gratter feraient le bonheur d’une majorité de travailleurs, et le moral des troupes sur les plateaux de tournage des films mettant en vedette Hugh Jackman n’en serait que grandement amélioré, confirme une source.

Malheureusement, aucun gros lot n’aurait encore été gagné, selon l’acteur.

« Il y a bien eu des gagnants, mais personne n’a été cherché quelque chose de très gros », se désole celui qui incarne le Wolverine au cinéma.

Même si on peut se questionner sur la chance de Hugh Jackman dans le choix de ces loteries, on ne pourra taxer l’acteur de ne pas être généreux avec ses confrères de travail.

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Nouvelles quotidiennes

Mondial 2014 : combien dépenseront les touristes au Brésil?

Ils dépenseront en moyenne 2693 $ (5500 R$) par personne sur place, selon les nouveaux chiffres publiés par le ministère brésilien du tourisme.

Les touristes se déplaçant au Brésil pour la Coupe du monde assisteront en moyenne à quatre matchs. Les touristes étrangers seront les plus dépensiers.

Au total, qu’ils soient Brésiliens et internationaux, les touristes qui se déplaceront pour les événements liés au Mondial représenteront 1,9 million de personnes, et leurs dépenses directes s’élèveront à près de 2 milliards de dollars sur un mois.

Par ailleurs, 1,8 million de touristes seront dans le pays, mais ne se déplaceront pas. Le tournoi se déroulera dans douze villes.

70 % des touristes interrogés pendant la Coupe des Confédérations de 2013 (considérée comme une répétition générale du Mondial) ont déclaré vouloir retourner au Brésil en 2014.

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Les ventes de médicaments toujours en hausse au Canada

Rien n’indique que les Canadiens consomment moins ou tentent de consommer moins de médicaments qu’auparavant, alors que les statistiques indiquent une nouvelle hausse de consommation et de ventes de ces produits pharmaceutiques.

Ces révélations sont celles de l’Institut canadien d’information sur la santé, qui publie une nouvelle fois son rapport en matière de santé au Canada. On note une hausse considérable et un nouveau record de ventes de médicaments au pays, avec des chiffres avoisinant les 30 millions de dollars.

La seule « bonne nouvelle », cependant, se cache du côté de statistiques de dépenses en médicaments des citoyens, qui bénéficient largement de l’accès aux médicaments génériques sur le marché.

« Si on regarde l’Alberta, par exemple, la contribution des médicaments génériques a augmenté beaucoup au cours des dix dernières années. C’était autour de 20 %, il y a une dizaine d’années, pour arriver maintenant à plus de 40 % au niveau des médicaments génériques. Cette situation-là varie d’une province à l’autre », résume Claude Lemay, porte-parole de l’Institut canadien d’information sur la santé, en entrevue à Radio-Canada.

M. Lemay explique aussi que le changement d’attitude des gouvernements envers les médicaments génériques y est pour quelque chose.

Malgré tout, il faut admettre que ce nouveau record de ventes demeure inquiétant, et qu’une sensibilisation en matière de surconsommation de médicaments reste à faire au pays.

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Dépensez-vous une fortune en jouets qui ne servent pas?

Plus de 94 % des 1211 parents ayant participé au sondage mené par MyVoucherCodes.co.uk ont avoué acheter plusieurs jouets à leurs enfants. Plusieurs d’entre eux ont même admis que la plupart de ces jouets finissaient à la poubelle.

Cependant, 71 % des parents ont affirmé conserver les vieux jouets, expliquant qu’en moyenne, seulement 10 % des jouets étaient utilisés régulièrement par leurs enfants.

Le site Madeformums.com suggère en fait d’acheter des jouets unisexes dont pourront profiter votre fils ainsi que votre fille. Aussi, on suggère de se procurer quelques jouets prétendument « indémodables » comme des blocs LEGO, des jouets de sable, des peluches, des poupées ou encore le bon vieux M. Patate.

Cependant, le divertissement préféré des enfants serait leur animal de compagnie. Les animaux piqueraient davantage la curiosité des petits, et c’est ce qui ferait en sorte que les jeunes les préfèrent aux jouets. C’est du moins ce que révèle une étude des chercheurs de l’Université de Virginie.

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Bébé coûte cher, même avant son arrivée

Plusieurs parents ne regardent pas à la dépense pendant la grossesse. Une étude anglaise, qui a interrogé 2000 parents, déclare que ces derniers dépensent en moyenne 2825 $ durant les 9 mois d’attente.

Le compte en banque diminuerait même de 14 516 $ pour les parents anglais plus fortunés (6 %). La décoration de la chambre et la congélation de cellules souches viendraient en tête de la liste des dépenses de ces derniers.

L’emballement, l’excitation et la peur de l’inconnu pousseraient même certains parents à connaître de lourds problèmes financiers après la naissance de leur bébé. En effet, un quart des parents interrogés dans l’étude a confirmé ce fait.

Selon Alistair Clayton, la porte-parole d’une émission qui prépare les adultes à devenir parents, « en prévision de l’arrivée de leur bébé, les parents se sentent souvent et pour la première fois sous pression. Ils dépensent pour faire face à toute éventualité : des vêtements, du matériel de puériculture coûteux et des gadgets qu’ils n’utiliseront jamais. Le manque d’argent, les contraintes, les soins à donner à la naissance, c’est une combinaison toxique pour le couple ».

Après la grossesse vient la vie normale. Il semblerait, selon une étude de 2011, qu’un enfant coûte aux parents environ 14 500 $ par an jusqu’à ses 21 ans.

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Des milliers d’enfants maltraités enregistrés dans les hôpitaux

Près de 4600 enfants ont été admis dans un hôpital aux États-Unis en 2006 à la suite de mauvais traitements physiques, et 300 sont morts pour cause de sévices, selon les chiffres de chercheurs de l’Université Yale à New Haven, au Connecticut.

Les spécialistes ont remarqué que les enfants de moins d’un an étaient beaucoup plus nombreux à subir un mauvais sort. Étrangement, les enfants dont les parents avaient une assurance avec une compagnie en particulier, soit Medicaid, étaient davantage admis dans les hôpitaux.

Selon le rapport publié dans Pediatrics, à l’échelle nationale, le coût de la violence physique au cours de l’année a été estimé à 73,8 millions de dollars. Les coûts à long terme d’une année incluant toutes les formes de violence physique envers les enfants — sévices sexuels et psychologiques ainsi que négligence – sont évalués à environ 124 milliards de dollars.

Dans l’ensemble, on a constaté que 4569 enfants ont été admis à l’hôpital pour des blessures abusives, comparativement à 189 414 pour des cas de blessures non violentes et 2,29 millions pour d’autres raisons.

En moyenne, les chercheurs ont constaté que les enfants maltraités séjournent plus de temps à l’hôpital, soit 7,4 jours, que le coût au système de santé pour des traumatismes violents est significativement plus élevé et que le risque de mourir est également plus élevé chez les enfants maltraités.

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Perdre du poids a un prix

Un récent sondage du Canadian Obesity Network révèle que dans la dernière année, les personnes qui ont tenté de perdre du poids ont dû payer plusieurs centaines de dollars.
 
En fait, elles ont déboursé 900 $ pour un programme de perte de poids commercial, 766 $ pour un abonnement au gym, 600 $ pour des médicaments amaigrissants sous ordonnance et 400 $ pour un régime spécial.
 
L’étude démontre qu’il est faux que croire que l’obésité est liée à la paresse. Les personnes qui en souffrent veulent maigrir. Le quart des répondants disent avoir perdu le compte de leurs nombreuses tentatives pour perdre du poids et les trois quarts des gens affirment combattre leur surplus de poids depuis plus de 11 ans.
 
Plusieurs de ces personnes ont remarqué un changement dans leur relation avec leur entourage et une personne sur six a reçu un diagnostic de dépression ou d’anxiété.
 
On recommande de donner plus d’encadrement et de soutien aux personnes qui souhaitent perdre du poids, car elles sont souvent confuses et ignorent à qui s’adresser pour recevoir de l’aide.
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Nouvelles quotidiennes

Le Canada est bon pour le tourisme du Mexique

Une étude divulguée par Visa démontre que les Canadiens ont augmenté de 21 % leurs dépenses au Mexique en 2010, par rapport à l’année précédente, en 2009.

Si l’étude ne souligne que l’activité économique des Canadiens détenteurs d’une carte de crédit de la compagnie, le nombre de ces détenteurs est amplement suffisant pour que cette tendance s’applique à l’ensemble des touristes du pays en visite au Mexique.

En 2009, les touristes canadiens ont dépensé 445 millions de dollars en utilisant leur carte alors qu’en 2010, ce montant est passé à 538 millions de dollars, une augmentation de 21 %.

Le Canada est le 2e pays en ce qui a trait aux dépenses touristiques, selon Visa, loin derrière les États-Unis qui y ont laissé 3,1 milliards de dollars en 2010, une augmentation de 7 % par rapport à 2009 avec 2,9 milliards de dollars.