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Les parents dépensent plus pour les enfants durant l’été

Les données du sondage du rapport annuel des dépenses estivales parentales de Post Office informent que les activités les plus populaires au Royaume-Uni sont les parcs d’attractions et les musées. D’autres parents profiteront de l’été pour manger au restaurant.

Female First mentionne que, selon le sondage, les parents s’attendent à piger dans leurs épargnes, à faire des heures supplémentaires ou à utiliser la carte de crédit pour couvrir les frais des activités avec les enfants.

Ils vont même jusqu’à se priver personnellement, entre autres de nouveaux vêtements, de revues ou de cafés quotidiens, afin de combler leurs enfants. Il y a même 8 % des parents qui sauteront un paiement hypothécaire.

Heureusement, 41 % des parents admettent avoir fait des économies en vue des vacances estivales. Mais cette décision, dans près de 30 % des cas, découle de dépenses plus importantes que prévu l’année précédente.

Cet été, pensez donc à des activités moins coûteuses, à commencer par des randonnées, à pied ou à vélo, dans les différents sentiers de votre région.

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Éviter les frais inutiles quand on a une famille nombreuse

Babycenter propose quelques trucs pour « survivre » lorsqu’on a plus de 4 enfants, surtout de nos jours, où la situation est considérée comme inhabituelle.

Partager une chambre

Il n’y a aucune règle écrite qui mentionne que chaque enfant se doit d’avoir sa propre chambre. Par le passé, c’est ainsi que les familles faisaient. Il n’y a aucune raison pour que ce soit différent en 2013. De plus, vous inculquez ainsi le partage et encouragez de bonnes relations entre frères et sœurs.

À l’encontre du standard de la société

Société de consommation oblige, vos enfants n’auront de cesse de vous casser les oreilles avec les nouveaux gadgets du voisin ou du nouveau copain à l’école. Cependant, vous devrez éviter de tomber dans le piège de la culpabilité. Il est impossible de vivre au même rythme que les familles moins nombreuses, à moins de courir vers la faillite.

Cuisiner pour se rassembler

Chaque fois que vous allez au restaurant, vous ressortez avec une facture qui représente l’équivalent de la moitié de votre épicerie. Apprenez à cuisiner, puis transmettez ces notions à vos enfants. Demandez-leur de l’aide, faites-en votre moment de rassemblement familial.

Au diable les vêtements neufs

Il n’y a rien de mal, bien au contraire, à utiliser les vêtements du plus vieux pour les plus jeunes. Cependant, pour éviter que ce soit toujours le cas, cherchez parmi vos contacts des amis ou de la famille avec des enfants plus vieux que les vôtres. Ainsi, les vêtements de seconde main proviendront aussi de l’extérieur et seront moins refusés par vos enfants.

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Comment économiser sur les articles pour bébé

Voici des dépenses que vous pouvez éviter, question de dépenser vos sous intelligemment.

Berceau de style Co-sleeper : Un berceau hybride qui s’attache au matelas du lit conjugal. Sérieusement? Vous pouvez soit investir un peu plus pour un vrai berceau ou encore pour un lit transformable, plus rentable. Sinon, prenez simplement bébé avec vous dans le lit. Vous économiserez de 100 à 300 $.

Ensemble de draps coordonnés : Cet ensemble, qui coûte en moyenne 300 $, est inutile. Bébé dormira aussi bien dans des draps achetés en solde, même si ce ne sont pas les personnages de Disney.

Bain pour bébé : Vous pouvez soit vous tordre le dos en allongeant bébé dans ce simili bain miniature, ou simplement utiliser l’évier de la cuisine. Cet objet, que l’on doit forcément entreposer, est un choix personnel, mais vous pouvez vous en passer.

Les vêtements neufs ou de marque : Friperie, amis, petites annonces, peu importe où vous vous procurerez des vêtements de seconde main, ils seront quand même neufs. Une robe pour bébé à 60 $ alors que vous payez les vôtres 40 $ est insensée.

Balançoire : Vous croyez sans doute que la balançoire est un essentiel, mais cela prend beaucoup d’espace dans une maison, et elle ne sert que quelques mois. Pensez plutôt à une chaise berçante, ou procurez-vous une balançoire de seconde main si vous y tenez vraiment.

Produits pour le bain et la peau : Un petit pain de savon et un peu de crème ou d’huile pour bébé suffisent. Inutile de dépenser outre mesure pour des produits coûteux. Les bébés ont une peau naturellement douce, qui ne présente aucun besoin autre que de l’eau tiède et un savon doux.

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De plus en plus de femmes avortent pour des raisons économiques

Selon 7 sur 7, les femmes choisissent d’avorter si leur bébé n’arrive pas au bon moment. En fait, elles tiendraient plutôt à ce que leur bébé arrive au moment opportun tant dans leur vie familiale que professionnelle.

Les femmes qui estiment ne pas avoir les moyens d’élever un enfant préfèrent donc reporter le moment où elles fonderont leur famille.

Selon la directrice générale du British Pregnancy Advisory Service, Ann Furedi, l’avortement est le plan d’urgence des femmes.

« Les femmes ont recours à l’avortement comme plan B quand la contraception échoue », soutient-elle.

Rappelons que le fait d’allaiter coûte cher aux mamans. Souvent contraintes d’arrêter de travailler pour pouvoir allaiter aisément, les femmes se condamnent à gagner moins d’argent ou tout simplement à dépendre de leur conjoint, car elles demeurent à la maison plus longtemps.

De plus, selon une étude effectuée en 2011, un enfant coûte aux parents environ 14 500 $ par an jusqu’à ses 21 ans.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Dépenses de santé des enfants en forte hausse

Les dépenses en soins de santé pour les enfants ont augmenté plus rapidement que celles des adultes entre 2007 et 2010, en raison de l’augmentation des prix pour toutes les catégories de biens et de services, selon un nouveau rapport du Health Care Cost Institute (HCCI).

Le document indique qu’il y a eu une forte augmentation des médicaments d’ordonnance et des services de santé mentale.

Au cours de cette période de quatre ans, les services de santé mentale et de toxicomanie chez les enfants ont augmenté de près de 24 %. L’utilisation de ces services a augmenté le plus pour les enfants âgés de 9 à 18 ans.

En outre, l’utilisation de médicaments du système nerveux central, tels que les antidépresseurs, les anxiolytiques et les médicaments utilisés pour traiter le trouble de déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH), a bondi de plus de 10 %.

La prise de médicaments du système nerveux central chez les adolescents était la plus élevée pour ceux âgés de 14 à 18 ans en 2010.

« Les données sur les dépenses pour la santé mentale et les services de toxicomanie sont particulièrement préoccupantes. Nous avons besoin de chercher plus loin les raisons pour lesquelles il y a une telle utilisation élevée de médicaments d’ordonnance pour des problèmes de santé mentale », a expliqué le rapport.

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Les touristes devraient dépenser plus cette année

Le tourisme devrait afficher cette année une croissance de 2,8 %, prédit le WTTC (Conseil mondial du voyage et du tourisme.) 

La croissance des dépenses dans le domaine du tourisme sera « légèrement supérieure à celui de l’économie », a expliqué le Conseil, lors du salon de Berlin.
 
C’est l’Asie qui affichera la plus forte croissance avec une hausse de 6,7 %. Même le Japon devrait en profiter malgré la catastrophe de Fukushima.
 
Par ailleurs, l’avenir ne sera pas rose pour le Moyen-Orient et l’Europe, qui écoperont d’une baisse du tourisme marquée, notamment causée par des mesures d’austérité dans plusieurs pays. 
 
Quant à l’Afrique du Nord, elle se remet doucement du printemps arabe. Le WTTC prédit d’ailleurs que le Maroc sera la destination la plus prisée, profitant du désintéressement des touristes pour l’Égypte et la Tunisie.
 
Pour 2012, le WTTC rapporte qu’au total, le tourisme devrait profiter à l’économie mondiale. En termes de chiffres, le tourisme devrait représenter, cette année, plus de 2000 milliards de dollars.
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Les touristes devraient dépenser plus cette année

Le tourisme devrait afficher cette année une croissance de 2,8 %, prédit le WTTC (Conseil mondial du voyage et du tourisme.) 

La croissance des dépenses dans le domaine du tourisme sera « légèrement supérieure à celui de l’économie », a expliqué le Conseil, lors du salon de Berlin.
 
C’est l’Asie qui affichera la plus forte croissance avec une hausse de 6,7 %. Même le Japon devrait en profiter malgré la catastrophe de Fukushima.
 
Par ailleurs, l’avenir ne sera pas rose pour le Moyen-Orient et l’Europe, qui écoperont d’une baisse du tourisme marquée, notamment causée par des mesures d’austérité dans plusieurs pays. 
 
Quant à l’Afrique du Nord, elle se remet doucement du printemps arabe. Le WTTC prédit d’ailleurs que le Maroc sera la destination la plus prisée, profitant du désintéressement des touristes pour l’Égypte et la Tunisie.
 
Pour 2012, le WTTC rapporte qu’au total, le tourisme devrait profiter à l’économie mondiale. En termes de chiffres, le tourisme devrait représenter, cette année, plus de 2000 milliards de dollars.
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La tendance des Maycation

Selon une étude d’ING Direct, 13 millions de Britanniques prendront cette année des vacances au printemps, des Maycation, au lieu de le faire durant l’été comme le veut l’habitude.

Une augmentation de 24 % a été remarquée auprès de la population du Royaume-Uni, en raison des hauts coûts reliés aux dépenses pendant la période estivale, mais aussi à cause des Jeux olympiques qui se tiendront à Londres à l’été 2012.

Il semblerait que profiter de vacances entre mars et mai, soit pendant la période scolaire, permettrait à la famille typique d’économiser près de 900 €, selon une étude de la banque.

Au cours des dernières années, le nombre de Britanniques sélectionnant leurs vacances dans la grille de l’été a passé de 13,2 millions en 2009 à une prévision de 11,9 millions pour 2012.

Une moyenne de 22,5 % de la population adulte au Royaume-Uni a choisi des vacances au printemps (mars à mai). Selon les prévisions, ce nombre risque d’augmenter à 27,8 % en 2012.

La différence entre le coût pour un séjour dans les hôtels et celui pour les déplacements et les activités durant la période du 7 au 14 mai 2012 et pour la période du 6 au 13 août 2012 a été calculée. Le pourcentage moyen d’augmentation de prix entre les deux périodes est de 61 % ou 880 €.

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Bannir la malbouffe : les Américains pourraient s’inspirer des Québécois

Des économistes de l’Université de l’Illinois se sont penchés sur l’effet qu’avait eu sur sa population l’interdiction de faire de la publicité aux enfants québécois pour de la malbouffe, entre 1984 à 1992.

C’est en comparant les provinces anglophones canadiennes au Québec que les chercheurs ont trouvé que réduire de 13 % la publicité reliée au fast-food chaque semaine permettait de consommer de 11 à 22 millions de repas gras en moins par an et ainsi éviter la prise de 2200 à 4400 millions de calories chez les enfants.

Bien que les résultats ne seraient pas aussi robustes qu’au Québec, l’interdiction pourrait être appliquée aux États-Unis. Pour nos voisins du sud, les chercheurs ne pensent pas que la modération a bien meilleur goût, et l’interdiction complète de publicité de malbouffe devrait être en vigueur.

Cependant, les chercheurs se disent inquiets de ne pas pouvoir atteindre leurs objectifs, puisque lorsque l’étude a été réalisée à la fin des années 80 au Québec, les jeunes regardaient moins la télévision et n’avaient pas accès aux jeux vidéo et à l’Internet comme c’est le cas aujourd’hui.

Un gros débat aux États-Unis entoure la façon de faire au Québec qui est d’interdire la malbouffe dans les publicités pendant les dessins animés ou sur des sites internet pour enfants, ou même sur l’emballage des produits dans les magasins.

Conscientes du problème croissant d’obésité, certaines entreprises alimentaires américaines de premier plan ont déjà signé pour limiter la publicité aux enfants.

Il semblerait qu’environ 11 milliards par année soient consacrés à la publicité pour malbouffe qui attire l’œil des enfants. La restauration rapide est l’une des catégories de produits les plus annoncées.