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Club Sexu lance un tout nouveau festival, Le DépistaFest!

Un nouveau festival débarque à Montréal, et c’est le fabuleux DépistaFest, premier festival du dépistage des ITSS. Grâce à une collaboration avec la clinique Prélib et plus de 30 autres partenaires, cette initiative du Club Sexu arrivera à sensibiliser les Québécois de 18 à 35 ans à l’importance de passer un test de dépistage des ITSS de manière régulière.

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Les spécialistes pensent qu’une hausse des ITSS pourrait avoir lieu cet été vu la fébrilité incomparable qu’on a tous ressentie à l’annonce du déconfinement. Ils craignent même une augmentation des comportements sexuels à risque! C’est donc au Prélib, à l’Actuel, au Quorum et au Rézo à Montréal (ainsi qu’au IRIS Estrie à Sherbrooke et au MIELS-Québec à Québec) que les « fessetivaliers » et les « fessetivalières » pourront se rendre afin de se faire dépister. Prélib s’assure même de rembourser les frais qui tournent autour de 10 à 15$ pour les personnes qui ont une assurance maladie! Vous n’avez donc aucune raison valable pour ne pas souhaiter vous joindre aux festivités.

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« Selon le Ministère de la Santé et des Services sociaux, 40 000 nouveaux cas d’ITSS sont déclarés chaque année dans notre belle province. 32,5 % des 2 600 répondant.e.s de notre sondage (mars 2021) qui ont déjà passé un test de dépistage ont indiqué avoir déjà reçu un résultat positif. Néanmoins, les personnes âgées entre 18 et 24 ans étaient les plus enclines à avoir évité ou annulé un rendez-vous parce qu’elles ne se percevaient pas être à risque. Il est absolument essentiel d’ouvrir un dialogue décomplexé sur la question de la santé sexuelle avec ces jeunes, » déclare le Club Sexu.

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Voici la programmation de la toute première édition du DépistaFest:

  • Un site web créé spécialement pour l’événement (récits, témoignages, entrevues, textes éducatifs, articles scientifiques, billets ludiques, etc.)
  • Du contenu original sur les réseaux sociaux ainsi que des associations exclusives avec des personnalités publiques
  • Une douzaine d’articles en ligne (VIH, herpès, comment recevoir un diagnostic d’ITSS, trucs pour dévoiler à un.e partenaire qu’on lui a transmis une ITSS, et plus encore)
  • Une campagne d’affichage ludique et colorée dans les rues de Montréal
  • Une escouade de sensibilisation terrain : distribution de surprises et des méthodes de protection (condoms, digues sexuelles, etc.) dans des lieux publics
  • Une dizaine de partenaires de dépistage
  • Plus de 30 organismes partenaires en santé sexuelle partout au Québec

Et voici quelques articles intéressants à retrouver sur le site web du Club Sexu:

Le dépistage des ITSS en couple monogame, est-ce nécessaire?

Crédit: Aless MC

« Dans la culture nord-américaine, on a tendance à attribuer plusieurs bénéfices à la monogamie, dont un risque plus faible – voire inexistant – de contracter une infection transmissible sexuellement (ITSS). En principe, si l’on se base sur une définition conservatrice de la monogamie, qui serait l’exclusivité sexuelle et amoureuse à vie, cette croyance tient […] »

Par Léa Séguin

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Quel type de fessetivalier ou fessetivalière es-tu?

Crédit: Aless MC

« Transformons-nous en une mouette glorieuse l’instant d’un vol plané au-dessus des plaines veloutées et suaves du DépistaFest pour décortiquer ces différents types de trippeuses et trippeux de rock’n’roule. Qui sait seigneur, tu reconnaîtras peut-être ton alter ego parmi cet éventail festif! »

Par Justin Roy

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Recevoir un dévoilement d’ITSS – les dos and don’ts

Crédit: Aless MC

« C’est facile d’avoir l’impression que contracter une ITSS, ça n’arrive qu’aux autres. Et on te souhaite avec tous nos doigts croisés que cette prophétie s’autoréalise! Mais avec 40 000 nouveaux cas d’ITSS déclarés chaque année par le Ministère de la Santé et des Services sociaux dans notre belle province, il y a pas mal de […] »

Par Morag Bosom

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Ton petit guide pratique des essentiels de festival – édition DépistaFest

Crédit: Aless MC

« On t’a donc concocté un petit guide pratique des essentiels en vue de la première édition du DépistaFest, pour être prêt.e à toute éventualité. »

Par Laïma A. Gérald

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Dévoiler un diagnostic positif d’ITSS – les dos and don’ts

Crédit: Aless MC

« Tu viens de recevoir un résultat positif pour une ITSS. Ouf ! Ça ne faisait probablement pas partie de ta to do list du moment – et devoir en parler à ton/ta/tes partenaire.s encore moins. On te comprend; une grande stigmatisation et plusieurs mythes entourent les ITSS. C’est déjà une étape d’accepter qu’on en […] »

Par Morag Bosom

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COVID-19: Vous pouvez maintenant faire votre test de dépistage sans sortir de votre maison

Vous n’avez pas envie (ou le temps dans votre journée de télétravail) de vous rendre dans une clinique de dépistage pour la Covid-19 près de chez vous afin de passer votre test? La Clinique Medfuture est là pour vous. Elle a annoncé plus tôt aujourd’hui le lancement de sa trousse d’auto-prélèvement de salive que vous pouvez faire directement de votre maison pour le dépistage du virus.

La clinique offre déjà des tests de dépistages à Mirabel grâce à sa clinique à l’auto en plus de ses unités mobiles qui se déplacent dans vos maisons ou entreprises dans la grande région de Montréal. Par contre, depuis le mois d’avril 2020, l’équipe de la clinique a commencé à mettre en place des tests de salive à distance pour pouvoir minimiser les contacts, afin de combattre la pandémie.

Cette trousse de prélèvement de salive est donc disponible sur internet pour une commande en ligne et est expédiée à travers le Québec en une seule journée ouvrable. Ce prélèvement autonome permet même le retour express de l’échantillon puisqu’il est payé dans la commande, et se fait directement avec un appel au transporteur pour prévoir le ramassage à votre domicile. Les résultats du test sont aussi rendus de manière rapide, grâce à un courriel le lendemain de la réception.

La Clinique Medfuture peut envoyer plusieurs milliers de paquets par jour, et ceux-ci sont disponibles au coût de 295$.

Vous pouvez l’acheter juste ici.

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COVID-19: Un test de moins de 13 minutes approuvé par Santé Canada

Santé Canada vient tout juste de donner le feu vert à l’utilisation d’un « nouveau » test de dépistage de la COVID-19, plus rapide que ceux présentement utilisés au pays.

Le test ID Now, produit par l’entreprise Abbott Diagnostics, fournit en effet des résultats en moins de 13 minutes, et serait utilisé aux États-Unis depuis plusieurs mois déjà. D’ailleurs, sur le site web du fabricant, il est mentionné que non seulement ce test fournit un résultat hyper rapide, mais qu’il peut aussi être effectué l’endroit même où le prélèvement est recueilli.

Cependant, malgré que ce test soit en vigueur depuis un bon moment chez nos voisins du Sud et ait largement prouvé son efficacité, on ne sait pas encore à quelle date précise il sera distribué au Canada. Ni le fabricant, ni le gouvernement fédéral n’ont voulu spécifier. On peut toutefois s’attendre à son entrée dans les cliniques de dépistage canadiennes dans « les prochaines semaines ».

Mardi passé, le gouvernement Trudeau révélait aussi avoir conclu une entente d’achat de 7,9 millions de tests de dépistage et 3 800 appareils ID Now effectuant le processus d’analyse — appareils d’analyse portatifs, qui pèsent moins de 3 kg et peuvent être transportés presque partout, éliminant ainsi le besoin d’analyse en laboratoires.

Finalement, selon une porte-parole de la ministre des Services publics et de l’Approvisionnement, Anita Anand, 2,5 millions de ces « nouveaux » tests devraient être disponibles au Canada d’ici la fin de l’année.

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Elizabeth Hurley en campagne de sensibilisation contre le cancer du sein

Elizabeth Hurley part en croisade contre le cancer du sein et urge les femmes à subir un test de dépistage le plus tôt possible.

La toujours très séduisante actrice de 49 ans presse ses compatriotes féminines de ne pas attendre et de subir une mammographie, assurant que le processus permet de sauver des vies.

Hurley a notamment perdu sa grand-mère en 1992en raison de cette terrible maladie, rapporte BANG Media International.

« J’intimide pratiquement mes amies et les membres de ma famille pour qu’elles procèdent à une inspection de leurs seins chaque mois et subissent une mammographie annuelle passé 40 ans. J’en ai même donné (des mammographies) pour des anniversaires », explique avec humour la star, qui prend toutefois le sujet très au sérieux.

À la suite du décès de sa grand-mère, Elizabeth Hurley avait lancé une vaste campagne de sensibilisation en collaboration avec Evelyn Lauder, pour laquelle elle fut la muse pendant des années.

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Une prise de sang pour dénicher le cancer

Un test sanguin développé par l’Organisation japonaise des nouvelles énergies et technologies industrielles (Nedo) pourrait faire en sorte qu’à compter de 2019, 13 sortes de cancers soient dépistés, grâce à un prélèvement sanguin.

Les cancers de l’estomac, de l’œsophage, du poumon, du foie, des voies biliaires, du pancréas, du côlon, de l’ovaire, de la prostate, de la vessie et les cancers du sein sont les plus susceptibles d’être trouvés à l’aide d’une seringue.

L’équipe asiatique croit même que le test sanguin permettrait de détecter le sarcome et les tumeurs gliales (cérébrales) et découvrir de façon précoce des maladies neurodégénératives telles que la maladie d’Alzheimer, écrit Top Santé.

Évalué à près de 80 millions de dollars canadiens, le projet scientifique tentera de découvrir des molécules « marqueurs » des cancers. Dans le corps humain, il y aurait plus de 2 500 sortes de molécules qui pourraient servir de marqueurs.

 « Cette méthode est beaucoup plus rapide que la batterie d’examens parfois lourds existant actuellement », a confié Tomomitsu Hotta président du Nedo.

En parallèle, les États-Unis et l’école de médecine de Stanford sont également sur le dossier du CAPP-Seq : un test sanguin apte à réaliser la même mission.  

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La dépression affecte la guérison du cancer de la prostate

Selon le Dr Jim Hu, chef du service de chirurgie mini-invasive à la David Geffen School of Medicine de l’Université de la Californie, la dépression dans le combat contre le cancer de la prostate peut être lourde de conséquences, car les patients qui en ont été atteints se font dépister leur cancer plus tardivement.

En fait, les visites médicales seraient tellement axées sur la santé psychique du patient que les médecins seraient moins enclins à surveiller la santé physique, avance le chercheur.

Les hommes qui ont donc déjà souffert d’une dépression ne recevraient pas le même dépistage hâtif pour le cancer de la prostate que les autres.

Les chercheurs, dont l’étude a été publiée dans le Journal of Clinical Oncology, ajoutent que « la maladie mentale peut aussi influencer le choix du traitement et les issues du cancer de la prostate », écrit le site Top Santé.

Cette étude exigera d’autres analyses, car il s’agit de la première recherche qui découvre une relation de cause à effet entre la dépression et le cancer de la prostate.

Plus de 40 000 hommes diagnostiqués avec un cancer de la prostate ont été suivis durant cette recherche. Parmi eux, 1894 étaient dépressifs deux ans avant d’apprendre qu’ils avaient un cancer.

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Des chiens capables de détecter un cancer de la prostate

Alors que la quête des meilleurs tests possible de dépistage du cancer se poursuit, une équipe de chercheurs italiens annonce qu’elle est parvenue à entraîner deux chiens dépisteurs capables de détecter la maladie.

Il s’agit de deux femelles nommées Zoé et Liu, rapporte Top Santé, qui seraient maintenant capables de détecter la présence du cancer de la prostate en reniflant simplement des échantillons d’urine prélevés des patients.

Il s’agit d’une toute nouvelle utilisation, aussi brillante qu’intrigante, de l’odorat développé des canidés, qui a déjà fait ses preuves dans un grand nombre d’autres situations.

C’est l’équipe du Dr Luigi Taverna, de l’hôpital Humanitas Research de Milan, qui a annoncé cette découverte pour le moins étonnante.

Plus étonnant encore, les résultats de ces deux chiens pisteurs frôlent la perfection. Sur une base de 902 échantillons, dont 362 étaient positifs, les chiens Zoé et Liu auraient reniflé la présence de la maladie avec une précision de 100 % et 99 %, respectivement.

« Ce type de diagnostic est reproductible, peu coûteux et non invasif », se réjouit le Dr Taverna, qui devra maintenant convaincre le reste du monde de la pertinence et de l’efficacité de son idée.

Cette recherche, par ailleurs présentée au Congrès annuel de l’Association américaine d’urologie d’Orlando, abonde dans le même sens que certaines précédentes, qui indiquaient de telles possibilités pour les canidés, notamment en matière de dépistage du cancer du poumon.

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Un nouveau test de dépistage du cancer de l’utérus approuvé par la FDA

Une alternative au fameux PAP test vient d’être approuvée par la FDA aux États-Unis, rapporte notamment le New York Times.

Il s’agit d’une manœuvre controversée visant à remplacer un test déjà controversé, comme quoi on ne s’en sort pas dans ce dossier.

Créé par la compagnie Roche, le nouveau test de dépistage serait capable de détecter la présence et l’ADN du VPH, qui mène souvent au cancer de l’utérus, par un simple échantillon prélevé du col de l’utérus d’une patiente.

La FDA croit que les essais et études menés par Roche sont concluants, et approuve donc l’alternative au PAP test, qui utilise pour sa part un bon vieux microscope afin de détecter des anomalies.

Mais comme dans le dossier du PAP test, un regroupement de femmes et de consommateurs s’opposent à l’approbation de la FDA, que l’on juge hâtive et non fondée. Les spécialistes de la FDA semblent toutefois sûrs de leur évaluation, même si les essais sont menés par la même compagnie qui produit le nouveau test.

Une pratique qui serait peut-être à revoir, d’ailleurs, ne serait-ce que pour calmer les doutes d’une population de plus en plus méfiante envers l’industrie pharmaceutique et le système de santé.

Le cancer de l’utérus ferait environ encore 4000 morts annuellement, aux États-Unis seulement, selon l’American Cancer Society.

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Les adolescents ne se protègent toujours pas pendant les relations sexuelles

En France, à la veille du  lancement du nouveau programme de sensibilisation contre le SIDA, la Smerep (association étudiante) dévoile les résultats d’une enquête fort inquiétante.

Sur 500 étudiants en provenance de la France et un échantillon additionnel de 700 d’Île-de-France, les résultats de la Smerep ont démontré que 30 % des garçons et 39 % des filles ne se protégeaient pas pendant les relations sexuelles.

Les raisons invoquées, selon Top Santé :

– 60 % d’entre eux affirment que les 2 partenaires ont passé un test de dépistage.

– 30 % font le test dès qu’ils changent de partenaire sexuel (sans que l’autre le fasse nécessairement).

– 50 % des jeunes n’utilisent aucune protection parce que l’autre partenaire a déjà un moyen de contraception.

– 20 % n’utilisent pas de protection pour éviter de « briser la magie » du moment.

Là où les résultats sont les plus alarmants, c’est que malgré tout, 38 % des adolescents en France n’ont jamais passé de test pour les maladies transmissibles sexuellement, alors qu’en Île-de-France, ce taux est de 32 %.

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La mammographie démontre certaines lacunes

Les campagnes de prévention du cancer du sein et de sensibilisation à l’importance de la mammographie chez les femmes abondent depuis quelques années, et le test de dépistage gagne en popularité.

Sans complètement discréditer l’affaire, une nouvelle étude américaine place cependant un bémol et estime que la mammographie démontre certaines lacunes, rapporte par Top Santé. Selon les chercheurs de Harvard qui dirigent cette nouvelle étude, les médecins surestiment le pouvoir de la mammographie, qui ne serait pas aussi précise qu’on voudrait le croire.

Les chercheurs croient plutôt que la mammographie permet de réduire les risques de mortalité due au cancer du sein d’environ 20 %, sans plus. La diminution du risque augmente toutefois à mesure que l’âge d’une femme progresse, dépassant les 30 % après 60 ans.

« Il y a eu récemment beaucoup de confusion autour du dépistage du cancer du sein, et nous avons souhaité mettre tout cela à plat, à l’attention des médecins. Au cours de nos recherches, nous nous sommes rendu compte que les bénéfices des mammographies sont plus petits qu’on le pensait, et que leurs dangers, comme des radiographies à répétition ou des biopsies pour des tumeurs qui s’avèrent non cancéreuses, sont vraiment sous-estimés », précise la Dre Nancy Keating.

L’étude conclut également que certaines femmes seront diagnostiquées et traitées pour une tumeur qui ne serait jamais devenue maligne ou mortelle, une donnée étonnante qui fait réfléchir.

Les conclusions de l’étude de Harvard ont été publiées dans le Journal of the American Medical Association.