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Les scanneurs et la radiation

Alors qu’il est devenu très important de vérifier ce que pourraient transporter les passagers de chaque avion, plusieurs s’inquiètent sur la radiation à laquelle ils sont exposés au moment de passer le dépistage.

Sur le site de Medlineplus, on fait le compte-rendu d’une recherche commandée par l’American Association of Physicists in Medicine (AAPM).

Les résultats ont démontré qu’à la dose de radiation absorbée lors du test, il faudrait en subir 22 500 en une année afin de dépasser la limite saine recommandée. De quoi rassurer les utilisateurs de services aériens!

À ce propos, un des auteurs de la recherche déclare : « Nous pensons que le point le plus important à retenir pour les passagers concernés est de garder une perspective appropriée. La dose de radiation reçue par un passager lors d’un dépistage est comparable à ce que ce même passager recevra en 12 secondes durant le vol lui-même ou en deux minutes d’exposition au rayonnement naturel ».

La raison pour laquelle les passagers d’un vol reçoivent en effet une dose de radiation est due à l’altitude de croisière qui expose le corps au radon, aux radiations cosmiques de l’espace et à une dégénération du potassium dans l’organisme. Bien entendu, il s’agit là aussi d’une dose relativement infime.

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Un nouveau test pourrait mieux définir le traitement de la dépression

Les antidépresseurs demeurent une bonne avenue pour soigner certains cas de dépression, mais on constate de plus en plus que certains abus pourraient être évités.

De plus, beaucoup d’études commencent à démontrer, voire prouver, que la solution la plus efficace à long terme pour permettre une véritable rémission s’avère la bonne vieille psychothérapie.

Bien entendu, chaque situation commande une action différente, et c’est justement ce principe qui a mené des chercheurs d’Atlanta, en Géorgie, à mettre au point un test qui permet de mieux comprendre chaque situation et d’offrir le bon traitement qui s’y rattache, explique le Daily Mail (UK)

Le test, sous forme de numérisation, analyse différents taux et différentes fonctions du cerveau qui, sans entrer dans les détails complexes, permettent de poser un bien meilleur diagnostic que celui d’une simple dépression.

Un diagnostic plus précis signifie inéluctablement un traitement plus efficace.

« Ces nouvelles données suggèrent que si vous traitez un patient selon le type de cerveau (et de ces résultats d’analyse), vous augmentez les chances de rémission de celui-ci », confirme la Dre Helen Mayberg, professeure de psychiatrie et auteure principale de cette étude fort intéressante.

De plus en plus de spécialistes s’accordent pour dire que la hausse des prescriptions d’antidépresseurs représente un problème de société relativement inquiétant.  

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Un test sanguin pourrait permettre la détection précoce du cancer par VPH

La plus récente menace en matière de maladies et infections transmissibles sexuellement est certainement la montée fulgurante du VPH, virus du papillome humain.

Plus qu’une simple infection, on découvre que le VPH peut également favoriser le développement d’un cancer, notamment de la gorge et des ovaires.

Les déclarations et le cas médiatisé de Michael Douglas, récemment, ont ouvert les yeux sur cette possibilité, qui s’avère bien réelle.

The National Library of Medicine rapporte maintenant que des chercheurs affirment avoir découvert une façon de détecter le développement du cancer dû au VPH, ce qui augmenterait grandement les chances de rémission.

Le test en est un sanguin, et il permettrait de découvrir la maladie même des années avant son apparition et son développement!

C’est grâce à l’apparition de certains anticorps que les spécialistes pourraient réussir ce tour de force, ce dont se réjouit Paul Brennan, de l’Agence Internationale de Recherche sur le Cancer.

« Des outils de détection seront offerts pour le dépistage précoce dans le futur », conclut-il.

 

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Du vinaigre, efficace et pas cher pour dépister le cancer du col de l’utérus

Une technique simple et bon marché de dépistage du cancer du col l’utérus avec du vinaigre peut sauver des milliers de vies de femme dans les pays pauvres, révèle un vaste essai clinique effectué en Inde.

Cette étude, menée pendant 15 ans parmi 150 000 femmes indiennes de 35 à 64 ans qui ont été examinées une fois tous les deux ans, indique une réduction de 31 % de la mortalité résultant d’un cancer du col utérin grâce à cet examen, ont précisé ces chercheurs dans une présentation à la conférence annuelle de l’American Society of Clinical Oncology (ASCO).

Ils estiment que ce simple test pourrait sauver chaque année 22 000 vies en Inde et 73 000 vies dans d’autres pays à bas revenus où le cancer du col de l’utérus est une des principales causes de mortalité chez les femmes.

Dans ces pays, il y a très peu ou pas d’accès au test Pap, la procédure normale de détection de ce cancer dans le monde industrialisé. Il consiste à détecter par prélèvement des changements dans les cellules du col utérin susceptibles de devenir cancéreuses.

La méthode de détection visuelle du cancer utérin testée en Inde est à la portée de tous en utilisant du vinaigre, de la gaze et une lampe halogène qui requiert une simple formation des personnels infirmiers ou de travailleurs médicaux qualifiés.

Les 150 000 femmes recrutées pour cette étude n’avaient pas d’antécédents de cancer du col utérin. La moitié a subi un examen biennal avec le vinaigre, et l’autre moitié n’a subi aucun test, ce qui est la norme en Inde.

L’incidence de cancer utérin a été comparable dans les deux groupes, 26,5 pour 100 000 chez celles soumises au dépistage, et 26,7 pour 100 000 chez les autres. Le test a cependant permis une réduction de 31 % du taux de mortalité.

Le cancer du col de l’utérus, qui est évitable, est responsable de 275 000 décès par an dans le monde,  dont 80 % sont enregistrés dans les pays en développement.

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Les États-Unis proposent le dépistage systématique du cancer du poumon chez les fumeurs chroniques

Certains spécialistes américains croient qu’il serait bénéfique de faire du dépistage systématique au sein de la population qui affiche des antécédents de tabagisme chronique.

On désigne cette portion de gens, aussi appelés « gros fumeurs », par ceux qui ont fumé plus de 20 cigarettes par jour durant des décennies.

Ainsi, l’American College of Chest Physicians propose de faire un travail accru de prévention auprès des gens de 55 à 74 ans qui ont ce genre d’historique.

On croit du côté de ces chercheurs, comme décrit dans leur étude rapportée par Santé Log, qu’on pourrait faire baisser les décès dus au cancer du poumon de 20 % chez ce groupe cible.

On aimerait implanter de telles mesures pour tout le monde, mais les coûts astronomiques d’une telle manœuvre ne sont pas à négliger. En ciblant les personnes les plus à risque statistiquement, les spécialistes de l’American College of Chest Physicians croient qu’il s’agit d’un très bon début.

Les États-Unis mettront-ils sur pied un tel programme et, surtout, d’autres nations suivront-elles l’exemple?

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Les implants mammaires nuisent à la prévention et au traitement du cancer du sein

Plusieurs spécialistes affirment que les implants mammaires nuisent au processus de traitement du cancer du sein, mais aussi à sa détection.

C’est ce que rapporte Santé Log, alors qu’une étude canadienne sur le sujet est publiée dans le British Medical Journal.

On parle d’un retard considérable sur les diagnostics, et donc d’une baisse des chances de rémission subséquente.

Les mammographies seraient moins efficaces chez les femmes qui portent des implants, suggèrent les chercheurs basés à Ottawa et Toronto, car ceux-ci peuvent masquer certains tissus cancéreux et les rendre difficiles à repérer.

Les risques de décès augmenteraient même parfois jusqu’à 38 % chez les femmes avec implants, des statistiques basées sur l’analyse de plusieurs études précédentes sur le sujet.

Les chercheurs concluent en affirmant qu’ils ne souhaitent pas inquiéter les femmes qui choisissent de modifier leurs seins, mais qu’elles devraient simplement redoubler de vigilance en prévention.

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Un nouveau test de dépistage des drogues bientôt sur les routes?

The National Library of Medicine rapporte une percée suédoise qui pourrait faciliter le travail des policiers qui patrouillent dans le monde entier, en plus d’améliorer la sécurité des honnêtes citoyens.

En effet, des chercheurs suédois auraient réussi à détecter, grâce à un tout nouveau test de dépistage, des traces de marijuana et de cocaïne chez des consommateurs de drogues.

D’autres drogues seraient aussi détectables grâce à ce nouveau procédé, selon les conclusions rapportées dans la plus récente édition du Journal of Breath Research.

L’alprazolam, notamment, aurait été détecté pour la toute première fois à l’aide d’un test du genre. Ceci indiquerait que la nouvelle méthode ne connait pratiquement aucune limite.

Finis les comportements insouciants des consommateurs de stupéfiants sur les routes si les policiers mettaient la main sur cette invention.

« Considérant que les échantillons ont été pris 24 heures après la prise de drogue, on a été surpris de constater qu’il y avait encore des traces bien détectables de plusieurs stupéfiants connus », lance l’auteur de l’étude, Olof Beck.

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Une mèche de cheveux qui en dit long sur votre santé cardiaque

Une simple mèche de cheveux permettrait aux spécialistes de déterminer la santé et l’avenir cardiaques d’un individu, rapporte Santé Log.

C’est du moins ce que révèle une étude surprenante sur le sujet, effectuée par des chercheurs de l’Institut Médical Erasmus de Rotterdam.

Publiée par Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, l’étude propose une nouvelle solution simple pour prévenir, ou prédire, d’éventuels incidents cardiaques et possiblement sauver des vies.

Ainsi, en prélevant aussi peu que trois centimètres de cheveux, soit une simple mèche, les chercheurs ont pu établir, chez les sujets de l’étude, le niveau de stress et de santé cardiovasculaire, et conséquemment prédire les risques d’ACV ou de problèmes cardiaques éventuels.

C’est la cortisone, qui serait facilement analysable dans le cheveu humain, qui permet de définir l’état du cœur chez l’humain et d’observer si un individu sera affecté par le stress de sa vie quotidienne, ou par d’autres facteurs de risque.

« Les cheveux capturent des informations sur l’évolution des niveaux de cortisol au fil du temps, et leur analyse nous donne un nouvel outil d’évaluation », résume la Dre Laura Manenschijn.

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Un test de dépistage… du crime?

Top Santé rapporte une nouvelle percée qui relève directement de la science-fiction. Il s’agit de la possibilité de repérer les criminels avant qu’il ne passe à l’acte, et qu’il soit donc trop tard.

Les cinéphiles penseront immédiatement au film Minority Report de Steven Spielberg, mettant en vedette Tom Cruise. Mais contrairement au film, on ne parle pas ici de prédire l’avenir littéralement!

Il s’agirait plutôt d’utiliser l’imagerie par résonnance magnétique (IRM), communément utilisée dans les hôpitaux pour détecter plusieurs maladies ou problèmes de santé. Avec ce procédé, il serait possible de détecter les individus qui sont susceptibles de commettre un crime, ou alors de récidiver à la suite d’une première offense.

« Pour la première fois, les IRM du cerveau seraient capables de repérer les récidivistes », annonce le spécialiste en neurologie Kent Kiehl, qui revendique la paternité de cette incroyable avancée.

Plusieurs publications scientifiques citent Kiehl et croient que le processus est réaliste, mais on mentionne que plusieurs façons de tromper le test seraient efficaces. Il faudra donc s’assurer que les criminels soumis au test n’usent pas de ruse.

Et on ne parle même pas du caractère anticonstitutionnel de la manœuvre! Une histoire à suivre…

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Un test de dépistage… du suicide

Top Santé rapporte une percée par l’entremise des chercheurs australiens concernant un fléau universel.

On parle du suicide, un sujet toujours chaud et un problème de société qu’il faut absolument combattre avec force.

C’est justement la mission que se sont donnée les chercheurs de l’Université New South Wales, en tentant de créer le premier test de dépistage du suicide au monde.

Ce sont d’abord les Suédois qui ont parlé en premier de cette possibilité, en faisant la découverte et démontrant l’impact d’une molécule neurotoxique appelée acide quinoléique. Cette dernière pourrait être à blâmer dans différents cas de suicides, en plus d’être déjà au banc des accusés en ce qui a trait à plusieurs maladies dégénératives comme l’Alzheimer.

« Nous connaissons maintenant le mécanisme et la molécule impliquée, donc nous devons trouver un moyen simple de le tester. Nous pensons que cela prendra environ 12 mois pour développer un test qui pourrait donner aux médecins des résultats en 24 à 48 heures. », explique le professeur Gilles Guillemin, de l’équipe de chercheurs impliquée dans le dossier.

Si plusieurs autres spécialistes doutent de la possibilité d’un test de dépistage du suicide, on ne pourra pas blâmer les chercheurs australiens, puisqu’eux, ils auront tenté le coup.