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Un nouveau test de dépistage du Parkinson pourrait voir le jour

Santé Log rapporte une possible percée en matière de dépistage de cette maladie. Elle pourrait, qui plus est, être effectuée dans un avenir rapproché.

Ce sont des spécialistes de la fameuse clinique Mayo qui font cette promesse, alors qu’ils affirment avoir mis au point un nouveau système qui permet de détecter les cas de Parkinson.

Le test s’effectue à partir de la glande sous-maxillaire et des glandes salivaire des patients. Il pourrait non seulement améliorer les diagnostics, mais aussi préparer le terrain pour de nouveaux traitements.

On apprend du même coup que 30 % des diagnostics de Parkinson sont émis à tort, un chiffre qui a de quoi surprendre.

On est déjà bien avancé dans les phases de test, affirment les chercheurs de la clinique Mayo. D’ailleurs, ils présenteront le fruit de leurs efforts dans une étude détaillée qu’ils déposeront en mars prochain.

On aurait déjà testé le procédé sur 15 patients, fin soixantaine, atteints de Parkinson depuis au moins dix ans. 9 résultats sur les 11 cas détectés se sont avérés concluants à l’aide de la biopsie de la glande sous-maxillaire.

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Les scans seraient plus bénéfiques que mauvais pour la santé

Une polémique fait rage concernant les fameux CT Scans, ces tests par imagerie utilisés dans bon nombre de départements de médecine pour prévenir et diagnostiquer plusieurs maladies graves.

Le problème, pour certains, se trouve dans les radiations qu’émettent les grosses machines utilisées pour les scans, qui pourraient provoquer certains types de problèmes de santé.

Entrer à l’hôpital en santé et y ressortir en moins bon état après un test du genre, voici ce que dénonce le groupe du « contre ».

Une nouvelle étude sur le sujet vient contredire les détracteurs du CT Scan, alors qu’elle démontre que, statistiquement, les effets sont plus positifs que négatifs sur la population en général.

Ainsi, plusieurs des cas de décès ou de maladies graves rapportées à la suite de ces tests seraient explicables par le fait que ces patients connaissaient déjà des ennuis de santé à leur arrivée à l’hôpital.

« Il faut réaliser que plusieurs de ces personnes sont arrivées avec de sérieux problèmes de santé préalables. La perception des gens face aux risques peut être biaisée s’ils ne voient pas le portrait global de la situation », pense la Dre Susanna Lee, une radiologue de la Harvard Medical School.

Pour d’autres, dont un radiologue, cette étude est mince et n’apporte pas de preuves concluantes.

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Dépistage prénatal de la trisomie 21 – le nouveau traitement est accepté en France

En fait, jusqu’à présent, ce sont les femmes à risque de fausse couche qui sont généralement traitées à l’aide de cette nouvelle méthode.

Celle-ci a été proposée pour la première fois en 2011, puis validée en septembre 2012 par le spécialiste londonien en médecine fœtale, le professeur Kypros Nicolaides.

Le test, à ce moment, se nommait Harmony prenatal. Les résultats de l’étude du professeur Nicolaides statuaient que l’analyse sanguine non invasive permettrait d’éviter plus de 300 fausses couche (de fœtus en santé) par année, seulement au Royaume-Uni.

La France s’est prononcée aujourd’hui, par le biais du Collège national des gynécologues et obstétriciens de France (CNGOF). Ils sont favorables à la généralisation de l’utilisation du dépistage de la trisomie 21 par analyse d’ADN.

Le procédé est appelé le DPNI ou diagnostic prénatal non invasif. Le seul hic pour l’instant, c’est que très peu de laboratoires sont en mesure d’interpréter les tests et de fournir l’analyse. La généralisation en est donc à un stade encore embryonnaire.

Cependant, Santé Log indique que d’autres pays comme la Suisse, l’Allemagne, l’Autriche, en plus de la Russie, la Turquie et la Bulgarie, pour ne nommer que ceux-là, ont donné leur accord au PraenaTest.

Il s’agit du tout premier test prénatal en circulation pour dépister la trisomie 21 sans prélèvement invasif. L’objectif : éliminer complètement l’amniocentèse.

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La calvitie et le cancer de la prostate associés

Une nouvelle étude australienne tente de démontrer qu’il existe un lien entre la calvitie dite « précoce » et les risques de cancer de la prostate chez l’homme, rapporte Santé Log.

On veut sensibiliser la population masculine à ces risques, mais on précise toutefois qu’il n’y a pas lieu de s’alarmer.

Selon les conclusions de l’étude, présentées et publiées dans la plus récente édition du magazine Cancer Epidemiology Biomarkers and Prevention, il existerait une corrélation entre la calvitie chez les jeunes hommes et les chances de voir ceux-ci développer un cancer de la prostate.

Lorsque l’on parle de « précoce », on parle d’avant la quarantaine, puisqu’il est commun de voir les hommes perdre du volume capillaire passé cet âge. Ainsi, on suggère à ces hommes plus jeunes de songer à commencer les tests de dépistage pour le cancer de la prostate plus tôt que prévu, bien que l’on conseille à tous les hommes de le faire en général.

Aussi, on stipule qu’il ne faut pas croire que la calvitie est un gage de cancer, et que plusieurs types de cancer de la prostate ne sont pas très agressifs et « facilement » traitables.

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Le Canada veut changer les règles de dépistage du cancer du col de l’utérus

Un groupe de chercheurs et de spécialistes unis pour étudier les méthodes de prévention et de traitement du cancer du col de l’utérus ont rendu leurs conclusions, rapporte notamment Le Devoir.

Celles-ci semblent vouloir indiquer que des changements sont à prévoir au Canada en ce qui a trait à la prévention de cette maladie.

D’abord, on parle beaucoup des fameux tests PAP ces temps-ci, et l’étude suggère justement de faire passer ce test de dépistage aux trois ans (il est aujourd’hui suggéré annuellement).

Ces tests peuvent comporter leur lot de désagréments, semble-t-il, et il serait possible d’avoir un système de prévention tout aussi efficace en évitant les méthodes intrusives chaque année.

La prévention du cancer du col de l’utérus devrait commencer à 25 ans environ et être mieux ciblée. On veut donc rendre les choses plus efficaces pour les femmes qui doivent subir le test.

Pour terminer, notons que le risque de cancer du col de l’utérus est passé de 1,5 % à 0,66 %. Les taux de mortalité sont aussi en baisse, passant de 0,94 % à 0,22 % depuis la mise en place du fameux test PAP.

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Un chien pour flairer le C. difficile!

Plusieurs centres hospitaliers dans le monde sont aux prises avec le même problème : la bactérie C. difficile.

Le Québec ne fait pas exception, bien au contraire, alors que les statistiques concernant le C. difficile sont en hausse. Nombreuses sont les histoires de gens qui affirment être entrés à l’hôpital moins mal en point qu’une fois à l’intérieur des murs, justement à cause de ce virulent problème.

Les autorités de partout sont donc pressées de trouver des solutions, et des chercheurs néerlandais en ont peut-être trouvé une. En effet, santelog.com rapporte que les chercheurs croient que le meilleur ami de l’homme, le chien, pourrait encore une fois venir à sa rescousse.

C’est que selon eux, certains chiens seraient en mesure de flairer la présence du C. difficile en milieu hospitalier, et ce, avec une grande précision.

Ces conclusions ont été publiées dans la dernière édition du MBJ Open et parlent d’un taux de réussite de détection de la bactérie par des canins qui frôlerait la perfection.

Cliff, un beagle, est la star de cette recherche, lui qui aurait réussi à démontrer parfaitement la théorie des chercheurs, en « analysant » une salle complète d’hôpital en moins de dix minutes.

D’autres études sont à venir, mais on souhaite que ce procédé puisse devenir une solution viable contre le fléau C. difficile.

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De nouveaux tests sanguins pour détecter les signes précoces de cancer

www.nlm.nih.gov rapporte qu’une nouvelle étude parle de la possibilité de voir apparaitre de nouveaux tests sanguins, qui pourraient s’avérer fort utiles dans le dépistage du cancer.

Selon les conclusions de l’étude, les praticiens de partout pourraient avoir accès à ces nouveaux types de tests et ainsi être en mesure de diagnostiquer plus rapidement les signes précurseurs de cancer chez leurs patients.

Cependant, les recherches n’en sont qu’à leur stade préliminaire, et les questions concernant cette percée sont encore nombreuses, notamment concernant les coûts et l’interprétation des résultats de ces tests.

Malgré tous ces points d’interrogation, il n’en demeure pas moins qu’un test sanguin basé sur l’ADN et la génétique serait toute une avancée dans le domaine.

C’est ce que croit le Dr Victor Velculescu, codirecteur du programme Cancer/Biologie du Johns Hopkins Kimmel Cancer Center de Baltimore : « Ce serait une bonne façon de détecter les stades précoces du cancer chez nos patients, et d’en déterminer le niveau au fur et à mesure des traitements ».

D’autres tests sont aussi en essais, dont un qui pourrait même aller jusqu’à détecter les cellules cancéreuses dans le sang bien avant le développement de la maladie.

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Une association plaide pour des tests de dépistage du VIH systématiques

Un influent panel américain, qui regroupe plusieurs professionnels de la santé, fait l’apologie des tests de dépistage du VIH systématiques et aimerait voir ce système être intégré aux façons de faire en santé.

D’abord, l’association croit que de faire du dépistage systématique chez les gens âgés de 15 à 65 ans permettrait d’éliminer la notion de « gêne » que les gens peuvent ressentir lorsqu’ils demandent à passer des tests de dépistage pour cette terrible maladie (virus).

En intégrant ces tests dans les examens de routine chez le médecin, plus besoin d’être embarrassé, puisque ce serait la norme.

De plus, il s’agit de contrer la prolifération du VIH par des gens qui ignorent qu’ils en sont atteints. On recense 1,2 million de personnes atteintes du VIH aux États-Unis, dont 20 à 25 % ne seraient pas au courant. Voilà en effet une statistique alarmante.

La requête est maintenant appuyée par le gouvernement. Le Dr Douglas Owens, de l’Université Stanford, précise : « La première recommandation concernait les adultes à haut risque et les adolescents, mais cette fois on aimerait cibler carrément tout le monde. ».

Des tests pourraient aussi être implantés systématiquement pour les femmes enceintes.

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Nouveau test de dépistage du VIH et du cancer de la prostate

Un prototype de test de dépistage vient de voir le jour et il semble fort prometteur, selon ce qu’affirme santelog.com.

De plus, il serait facile d’accès et peu onéreux, ce qui pourrait le rendre efficace non seulement pour aider les gens sur notre continent, mais aussi ceux qui vivent dans des pays moins bien développés.

Ainsi, le test de dépistage permet de déceler rapidement des stades précoces du VIH et du cancer de la prostate, et ce, à l’œil nu! Des indicateurs colorés apparaitraient sur la peau lorsque le procédé est effectué, permettant de prévenir rapidement les praticiens de la présence de ces maladies.

Il s’agit d’un système de nanoparticules d’or qui, au contact d’un bio-marqueur, permet de voir les résultats presque instantanément. Les chercheurs à l’origine de ce test avançaient, lors de la parution d’un article dans le magazine scientifique Nature Nanotechnology, que ce système est dix fois plus performant que les modes de dépistage actuels.

Voilà une excellente nouvelle pour les praticiens de partout, et spécialement pour ceux qui doivent travailler dans des zones plus pauvres, où le matériel et les ressources sont parfois limités.

Crédit photo : www.FreeDigitalPhotos.net

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Des mammographies 3D plus efficaces et sécuritaires

Des scientifiques ont trouvé une technique plus efficace en matière de dépistage du cancer du sein, rapporte www.nlm.nih.gov.

Il s’agit d’une mammographie 3D, plus précise, qui permet aux praticiens d’obtenir des images en trois dimensions et, donc, une meilleure analyse des résultats.

Ce système serait deux à trois fois plus efficace que son prédécesseur, et la dose de radiation dégagée serait moins élevée.

Le professeur Jianwei Miao, de l’Université de Californie à Los Angeles, explique : « Les mammographies comptent en ce moment sur des images en deux dimensions. Cela pourrait expliquer pourquoi 10 à 20 % des tumeurs passent inaperçues lors des tests. Les scans actuels peuvent aussi voir en 3D, mais ne sont pas considérés utiles ou plus efficaces pour détecter les tumeurs. De plus, les praticiens sont inquiets de la dose massive de radiation que le système actuel engrange ».

« Pour améliorer le système de détection du cancer du sein, nous avons développé une nouvelle façon de visualiser la maladie en trois dimensions, avec un taux de radiation moins élevé que la mammographie traditionnelle utilisée aujourd’hui. »

Voilà des propos rassurants et intéressants pour tous les praticiens, oncologues et femmes à travers le monde, alors que le cancer du sein fait toujours des ravages.