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Un examen du côlon plus simple et aussi efficace pour les femmes

Les femmes de moins de 70 ans ont un risque plutôt faible de voir apparaître une grosseur anormale dans la partie supérieure du côlon, suggère une étude rapportée par www.nlm.nih.gov.

Ainsi, toujours selon les chercheurs de l’étude, plusieurs femmes pourraient opter pour des tests de dépistage du cancer du côlon plus simples, moins intrusifs et tout aussi efficaces.

Même si plusieurs autres types de tests sont offerts, et même si les spécialistes américains ne recommandent une colonoscopie que tous les dix ans pour les femmes âgées de 50 ans et plus (en plus d’autres tests sporadiques), il semble que le choix de prédilection dans le domaine demeure le plus invasif et onéreux.

Thomas Imperiale, un gastro-entérologue de l’Université de l’Indiana, met en garde contre ce choix. Selon lui, les gens croient trop aisément que de subir une colonoscopie est suffisant, et qu’aucun autre test n’est nécessaire.

Il explique : « Plusieurs personnes ne subissent aucun autre test de dépistage du côlon, car ils croient qu’une colonoscopie est suffisante et indispensable. Il existe d’autres avenues ».

Ainsi, il est suggéré d’en discuter avec son médecin, afin de trouver les meilleures solutions de dépistage pour vous.

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Un soutien-gorge dépisteur de cancer

Topsante.com rapporte la création d’un soutien-gorge « dépisteur de cancer », par une compagnie américaine.

Il s’agit d’un soutien-gorge de type sport, tout ce qu’il y a de plus commun, mais qui contient un système peu banal. L’objet serait en mesure de détecter les signes précoces d’un cancer du sein, jusqu’à six ans avant qu’une mammographie puisse y parvenir!

C’est énorme, si l’on prend en considération que le dépistage sauve des vies, et que plus le diagnostic de cancer est fait tôt, plus les chances de survie sont excellentes.

Portant le nom de Breast Self Exam, le soutien-gorge est muni d’un système de capteurs qui peut analyser les changements de température des seins, indicateurs de la création de nouveaux vaisseaux sanguins, utiles à la prolifération de tissus cancéreux.

Tout un concept, qui semble futuriste, mais qui s’avère génial dans son intention. Des essais cliniques ont conclu à un taux d’efficacité de 90 %, mais plusieurs autres sont à venir pour assurer le fonctionnement total de l’appareil.

En attendant, les spécialistes conseillent vivement aux femmes de subir des tests de dépistage pour le cancer du sein dès 50 ans, mais plusieurs suggèrent maintenant de le faire dès la quarantaine.

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Dépistage précoce inutile pour le cancer de l’ovaire

Selon des cancérologues américains, les tests habituellement recommandés pour le dépistage précoce du cancer de l’ovaire s’avèrent généralement inutiles, voire néfastes, rapporte TopSanté.
 
Chaque année, on relève 333 000 nouveaux cas de cancer de l’ovaire. Ce type de cancer est le 7e plus fréquent chez les femmes, et le dépistage tardif rend malheureusement le pronostic plutôt sombre.
 
« Les tests de dépistage du cancer ovarien, qui consistent en une analyse de sang pour repérer une substance sécrétée par les cellules cancéreuses (Ca 125) et un scanneur des ovaires, ne permettent pas de réduire la mortalité », indiquent les chercheurs.
 
« Il n’existe aucune méthode efficace de dépistage du cancer ovarien permettant de réduire la mortalité », ajoute la Dre Virginia Moyer.
 
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Cancers dépistés en hausse pendant la grossesse

Une étude de grande envergure a été effectuée de 1994 à 2008 auprès de plus d’un million de femmes enceintes. Les résultats démontrent que plus de femmes sont désormais diagnostiquées du cancer, soit pendant la grossesse ou jusqu’à 12 mois après l’accouchement.

Certains facteurs, comme l’âge plus avancé des mères en croissance depuis quelques années, ont certes une incidence. Cependant, de façon générale, il semblerait que ce soit surtout les hormones qui jouent un rôle dans la vitesse de développement d’une tumeur.

Les cancers les plus fréquents découverts lors de la recherche étaient le mélanome de la peau, le cancer du sein, le cancer de la glande thyroïde et d’autres cancers d’ordre endocrinien ou gynécologique.

C’est la professeure Christine Roberts, du Kolling Institute of Medical Research de l’Université de Sydney qui a cosigné le rapport de l’étude. Elle affirme que la découverte de tumeurs engendre presque inévitablement la césarienne, une naissance prématurée et des bébés plus gros, malgré le terme inachevé de la grossesse.

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Un test sanguin pour dépister le plomb chez les femmes enceintes?

Leur point est soutenu par le fait que « la majorité des femmes aux États-Unis sont exposées très faiblement au plomb, seul environ 1 % des femmes en âge de procréer ont des niveaux de plomb plus élevés que la normale dans le sang (5 microgrammes par décilitre ou plus) », explique la Dre Eva K. Pressman, qui a travaillé sur les nouvelles recommandations de l’ACOG.

Ainsi, la spécialiste suggère en premier lieu aux médecins d’explorer le passé et d’en savoir plus sur l’histoire de leurs patientes, afin de voir s’il y a des risques que ces dernières soient concernées par un niveau élevé de plomb dans le sang. Si c’est le cas, des mesures de précaution peuvent être prises.

Mentionnons que le plomb peut être transmis par le placenta d’une femme enceinte au fœtus ou par le lait maternel au bébé. Il est toxique et particulièrement nocif pour le développement du système nerveux et peut grandement toucher le QI.

L’empoisonnement au plomb peut causer des changements comportementaux, de l’hypertension, des maux de tête et de la fatigue. Des niveaux très élevés de ce métal peuvent entraîner des convulsions, le coma ou même la mort, tant chez l’adulte que chez l’enfant.

Selon les experts, les femmes qui vivent dans des maisons anciennes ayant été peintes avec de la peinture au plomb à l’époque ou qui utilisent des cosmétiques importés ou des médecines alternatives pouvant être contaminées sont plus à risque d’avoir un taux de plomb élevé dans le sang.

La Dre Pressman met toutefois en garde les femmes inquiètes qui se sentent concernées et qui voudraient mettre un terme à leur grossesse. Dans le Reuters, elle spécifie que « des niveaux élevés de plomb ne signifient pas nécessairement que le bébé aura des problèmes ».

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Les jeunes homosexuels plus vigilants que leurs aînés

(Relaxnews) – Les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH) âgés de 18 à 25 ans sont plus attentifs aux dangers du VIH que leurs aînés.

D’après la nouvelle édition du Net Gay Baromètre (NGB) présentée dans le Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire (BEH) aujourd’hui (24 juillet), plus de la moitié des moins de 25 ans (53,9 %) affirment avoir réalisé un test de dépistage VIH dans les douze derniers mois, contre 40 % pour les hommes âgés de plus de 25 ans.

Trois jeunes répondants sur dix déclarent avoir eu recours au dépistage du VIH en raison d’un rapport sexuel non protégé, contre 27 % qui souhaitaient connaître leur statut sérologique pour avoir des relations sexuelles non protégées, et 23 % en raison d’un changement de partenaire.

Chez les HSH les plus âgés, le recours au dépistage du VIH est essentiellement lié au besoin de connaître régulièrement le statut sérologique (30 %).

D’après les résultats de ce nouveau baromètre, la prévalence du VIH observée chez les HSH âgés de 18 à 25 ans atteignait 2,5 % en 2009, contre plus de 14 % chez les HSH âgés de plus de 25 ans.

Ce baromètre a été réalisé en ligne, entre le 15 décembre 2008 et le 15 avril 2009, auprès de plus de 24 000 hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, dont plus de 3000 âgés de 18 à 25 ans.

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Un test de dépistage du sida autorisé pour la 1re fois en vente libre aux États-Unis

La FDA suit ainsi la recommandation unanime d’un comité consultatif de 17 experts indépendants qui s’était prononcé le 15 mai pour la mise sur le marché de ce test, OraQuick In-Home HIV, du laboratoire américain OraSure Technologies.

Un essai clinique mené par le fabricant a montré que le test permettait de détecter avec succès une infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) dans 92 % des cas, soit légèrement au-dessous du seuil de 95 % recommandé par la FDA.

Le OraQuick permet à une personne de collecter un échantillon de sa salive sur ses gencives à l’aide d’un tampon qu’elle place ensuite dans un récipient. Il faut de 20 à 40 minutes pour avoir le résultat.

Un résultat positif ne signifie pas forcément que la personne est séropositive, mais indique que des tests supplémentaires devraient être faits dans un centre médical pour une confirmation.

De même, un résultat négatif n’est pas une garantie absolue que le sujet n’est pas contaminé, surtout si ce dernier a été infecté au cours des trois mois précédents, précise la FDA dans un communiqué.

Il demeure que ce test a le potentiel d’identifier un nombre important de séropositifs qui n’ont pas été diagnostiqués, surtout dans les groupes à risque qui ne se font pas tester.

Quelque 240 000 personnes sur 1,2 million qui sont infectées par le VIH aux États-Unis ignorent qu’elles sont séropositives, selon les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC). Un test régulier est donc le moyen le plus efficace pour freiner le nombre des nouvelles infections.

Ce test sera en vente à partir d’octobre dans plus de 30 000 points de distribution aux États-Unis, a précisé OraSure Technologies, qui indique ne pas encore avoir établi le prix de détail.

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Un test vocal pour dépister le Parkinson

Le mathématicien Mike Petit du MIT est le directeur du projet Parkinson’s Voice qui vise à créer un test vocal permettant de déceler chez un patient la maladie de Parkinson avec une fiabilité de 86 %.

Avec l’objectif d’enregistrer 10 000 voix de personnes en bonne santé ou atteintes du Parkinson dans le monde, on demande aux gens de faire un appel anonyme de 3 minutes. Sept numéros sont proposés, qui correspondent à 7 pays et 7 langues différentes (Canada : 1-647-931-5776).

Comme le Parkinson engendre une rigidité des muscles, donc de la mâchoire et de l’articulation, on pense depuis quelque temps déjà que la voix est aussi affectée par la maladie que les mouvements, rapporte Santelog.

Ainsi, un simple test vocal rapide et non invasif permettrait d’établir un diagnostic précoce et de choisir un traitement adéquat pour chaque patient.

La maladie de Parkinson touche 6 millions de personnes dans le monde. Les recherches n’ont pas encore permis de trouver les biomarqueurs permettant de créer un test sanguin de dépistage.

L’analyse de la voix, qui pourrait se faire à distance par les patients eux-mêmes, représente donc une voie prometteuse pour un meilleur traitement du Parkinson.

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Un test buccal pour dépister l’autisme

Le test ARISk peut être utilisé aussi tôt qu’à l’âge de six mois par les médecins avec un échantillon de salive. Ce sont 65 marqueurs génétiques associés à l’autisme qui sont analysés en l’espace de quatre semaines en laboratoire, et les résultats sont remis au médecin de famille.

ARISk est pour le moment utilisé en priorité chez les enfants ayant déjà un frère ou une sœur atteint d’une forme d’autisme ou d’un trouble comportemental important. Il est démontré que les frères et sœurs d’enfants atteints d’autisme sont considérés comme plus à risque. Les garçons auraient 26 % plus de risques, et les filles 10 %.

Cependant, IntegraGen poursuit le développement de tests permettant d’évaluer le risque d’autisme chez des enfants sans antécédents familiaux.

Au coût de 2900 $, il faut dire que le parent doit avoir plusieurs soupçons de la présence de la maladie avant de vouloir investir une telle somme dans un test.

L’autisme étant considéré comme « génétiquement compliqué », car il n’y a pas qu’un seul chromosome ou gène responsable du développement de la maladie, il pourrait être mieux dépisté en observant plusieurs gènes à la fois.

Cette démarche permettrait d’accélérer l’évaluation, l’intervention et les traitements, et potentiellement d’améliorer la qualité de vie de l’enfant concerné à long terme.

Bien que les résultats puissent être fiables, les spécialistes croient que l’évaluation clinique ne sera pas à négliger à la suite du test d’ADN. La vigilance des parents sera de mise, car il se peut que certains gènes n’aient pas été démasqués.

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Une prise de sang pour dépister la dépression post-partum?

Environ une femme sur sept développe des symptômes de dépression deux semaines après l’accouchement, déclare le professeur en médecine moléculaire Dimitris Grammatopoulos de l’Université de Warwick, qui a présenté sa recherche au Congrès international d’endocrinologie cette semaine.

La dépression postpartum étant beaucoup plus grave que le « baby blues » — qui est de plus courte durée et moins intense —, elle peut provoquer des problèmes, tant chez les parents que les enfants.
 
C’est en observant des variantes génétiques spécifiques (BCL1 et rs242939), qui contrôlent l’activité de l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien libérant un certain nombre d’hormones dans le sang pour gérer les fonctions vitales du corps, que les chercheurs se sont aperçus que tout comme la dépression, la dépression postnatale était associée à un bouleversement hormonal.
 
En effet, parmi les 200 participantes enceintes qui ont fait le test de l’Edinburgh Postnatal Depression Scale (EPDS), lors de leur premier rendez-vous prénatal et de nouveau deux à huit semaines après avoir donné naissance, celles qui avaient le plus de risques de développer la dépression post-partum étaient génétiquement plus sensibles aux facteurs environnementaux qui déclenchent la dépression.
 
Grâce à ce constat, les chercheurs croient dorénavant être sur la bonne voie pour développer un test sanguin qui permettra de détecter précocement la maladie et concevoir un traitement médical approprié aux femmes concernées.