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Nouveau mode de dépistage pour le cancer du col de l’utérus

Voilà une avancée intéressante pour toutes les femmes : le frottis habituel pour permettre de faire un dépistage du cancer du col de l’utérus pourrait éventuellement être remplacé.
 
15 000 femmes ont participé à une étude sur un nouveau type de dépistage à partir d’un simple test d’urine.
 
Selon L’Express, ce test consiste à recherche le virus du papillome humain dans l’urine. Ce virus cause la majorité des cancers du col de l’utérus.
 
Durant les tests urinaires, 24 % des cas se sont avérés positifs, alors que pour le frottis habituel, les résultats anormaux étaient trois fois plus élevés que dans la population en général.
 
Le développement de ce test nouveau genre est toujours en cours, mais il représente une solution éventuelle intéressante.
 
Rappelons que les jeunes filles peuvent maintenant être vaccinées contre le virus du papillome humain. On recommande également de commencer à vacciner les jeunes hommes.
 
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Un test de dépistage du cancer colorectal fait ses preuves

Radio-Canada nous apprend qu’un test de dépistage maison du cancer colorectal semble faire ses preuves en Ontario.
 
Depuis cinq ans maintenant, le test de recherche de sang occulte dans les selles est offert gratuitement dans les pharmacies. Les examens de dépistage dans les hôpitaux ont ainsi chuté de 22 % dans la province.
 
Ce test est simple d’utilisation et peut se faire à la maison. Le tout est ensuite envoyé à un laboratoire par la poste. Cela permet à un plus grand nombre de gens d’avoir un examen, sans être freinés par la gêne occasionnée par le type d’examen nécessaire à ce cancer.
 
Ce test cible les personnes de 50 ans et plus qui n’ont pas d’antécédents familiaux. Il est recommandé tous les deux ans s’il s’avère négatif. S’il est positif, une coloscopie est nécessaire.
 
Le cancer colorectal est le deuxième plus meurtrier au Canada. Le pays est le plus touché dans le monde avec les États-Unis et la Grande-Bretagne. Pourtant, lorsque ce cancer est détecté à un stade précoce, il est curable dans 90 % des cas.
 
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Le plomb peut contaminer les maisons et la santé de bébé

Plutôt que d’attendre que le bébé naisse et soit prisonnier d’une maison contaminée par le plomb, les spécialistes croient que l’inspection des domiciles susceptibles d’être contaminés par le plomb est favorable et devrait même être incorporée dans les tests prénataux de routine.

Une inspection de ce genre peut être évaluée à 200 $ par maison. L’exposition la plus fréquente au plomb se trouve aujourd’hui dans les résidences construites avant 1950.

Aux États-Unis, le gouvernement fédéral a fixé le niveau de préoccupation pour l’exposition au plomb à 10 µg/dl. Les Centers for Disease Control and Prevention, eux, ont recommandé que cela soit abaissé à 5 µg/dl.

« Il n’y a pas de niveau sécuritaire pour les enfants. L’exposition au plomb, même à faibles niveaux, est fortement associée à une diminution de l’intelligence, à un mauvais rendement scolaire, à un trouble d’hyperactivité avec déficit de l’attention et à un risque accru d’incarcération à l’âge adulte », a déclaré le Dr Daniel Berg des Centres de soins pour la famille à Saint-Louis.

Au moment où un enfant a été exposé à 10 µg/dl de plomb, il y a déjà eu une perte de plus de sept points de QI, ajoute-t-il.

L’étude visait à déterminer si un modèle de prévention primaire pourrait prévenir les intoxications aux enfants à risque avant leur naissance. On a réussi à prouver qu’un enfant avait une concentration de plomb moyenne moins élevée dans le sang si la maison où il vivait avait été examinée et remise en état.

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Le taux d’hormones thyroïdiennes des mères a-t-il un effet sur le QI des enfants?

Des études observationnelles antérieures avaient laissé croire que le traitement de l’insuffisance thyroïdienne pendant la grossesse permettrait d’améliorer le QI des enfants pendant l’enfance. Une association entre de faibles niveaux d’hormones thyroïdiennes chez les mères et une altération de la fonction cognitive chez leurs enfants avait alors été sous-entendue par les spécialistes.

Voilà qu’une nouvelle étude de l’Université de Cardiff au Pays de Galles, publiée dans le New England Journal of Medicine, démontre que le traitement ou non d’un faible taux d’hormones thyroïdiennes n’a aucune influence sur le QI d’un enfant de trois ans, par exemple.

Les résultats ont démontré que le QI moyen était de 99,2 chez les enfants dont les mères avaient été traitées pour de faibles taux d’hormones thyroïdiennes, et de 100,0 pour ceux dont les mères n’avaient pas été traitées. Pour ceux qui avaient un QI de moins de 85, aucune différence n’a été remarquée.

Les chercheurs ont testé le concept dans un essai aléatoire qui incluait 21 846 femmes enceintes ayant fourni des échantillons de sang à moins de 16 semaines de grossesse. L’étude a été menée dans 10 centres au Royaume-Uni et un en Italie.

Malgré le constat, les experts recommandent tout de même aux médecins de tester la fonction thyroïdienne chez les futures mères qui sont à risque accru.

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50 % des femmes enceintes bénéficient d’un dépistage précoce de la trisomie 21

L’Agence de biomédecine vient de confirmer que sur un total de 850 000 naissances, près de 400 000 femmes ont subi, au premier trimestre de leur grossesse, l’échographie et la prise de sang qui permettent de détecter si le fœtus est porteur d’une anomalie génétique, le syndrome de Down.

Cette démarche précoce permet de réduire le recours à des prélèvements invasifs susceptibles d’être dangereux pour le fœtus. Rappelons qu’auparavant, une biopsie était systématiquement suggérée aux femmes de plus de 38 ans.

Mis en place depuis 2010, le dispositif de dépistage précoce est apprécié des femmes, car en plus d’être sécuritaire, il intervient plus tôt dans la grossesse et réduit l’angoisse générée par des tests tardifs.

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Un meilleur dépistage du cancer du col de l’utérus

Le ministre de la Santé, Yves Bolduc, a annoncé de nouvelles directives québécoises concernant le dépistage du cancer du col de l’utérus.
 
À l’instar des nouvelles normes canadiennes pour dépister le cancer du sein, le dépistage du cancer du col de l’utérus pourra se faire aux deux à trois ans chez les femmes sexuellement actives, ou qui l’ont été et qui sont âgées de 21 à 65 ans.
 
De plus, le gouvernement met sur pied un comité d’experts pour continuer les nouvelles directives. Ce comité sera formé de professionnels et présidé par la gynécologue-obstétricienne Céline Bouchard, du Centre hospitalier universitaire de Québec.
 
Ces mesures ont pour but d’améliorer les diagnostics et ainsi augmenter les chances de guérison pour les patientes.
 
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Meilleure compréhension du cancer des ovaires

Des chercheurs français de l’Institut Curie viennent d’identifier deux signatures génétiques pour le cancer des ovaires.
 
La première, « stress oxydant », permet de cibler les tumeurs agressives et leur sensibilité au traitement.
 
Le stress oxydant est causé par la respiration qui provoque une production dérivée d’oxygène pouvant agresser les cellules. Lorsque celles-ci n’ont plus de ressources antioxydantes, le stress oxydant cause une altération qui favorise le développement du cancer.
 
Ce processus accélère l’évolution du cancer, mais d’un autre côté le Nature Medicine ajoute que cela améliore également sa réponse au traitement.
 
La deuxième signature génétique est « fibrose », qui détecte les tumeurs à haut risque de développer des métastases.
 
Ces découvertes ouvrent la voie à des tests sur le pronostic de l’évolution possible de la maladie et des traitements mieux adaptés.
 
Le cancer des ovaires est un des plus difficiles à détecter, et lorsque les symptômes apparaissent, le stade de la maladie est souvent déjà avancé.
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La majorité des poupons ont le C difficile

Il semble que l’on n’aurait même pas à dépister le Clostridium difficile chez les poupons, car la prévalence de cette bactérie est très forte, et surtout sans risque accru.

On apprend en effet sur Pediactric News que 70 % des bébés naissants sont atteints du C difficile. Au cours de leurs deux premières années de vie, ce pourcentage chute, car un microbiome intestinal sain s’est développé chez la plupart d’entre eux.

Ainsi, des experts soutiennent que le dépistage du C difficile apparaît injustifié dans le cas d’une diarrhée chez le poupon. On soutient que pour les bébés de moins de deux ans, les autres possibilités de diagnostic devraient tout d’abord être envisagées, en particulier s’il n’y a pas encore eu exposition aux antibiotiques.

C’est à partir de deux ans, lorsque la flore intestinale commence à se transformer, qu’il faudrait alors l’envisager. À cet âge, le Clostridium difficile ne fait plus partie d’une microflore normale.

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Le dépistage réduit les chirurgies de la hanche

Un dépistage à l’échographie six semaines après la naissance est associé à une baisse de chirurgies à la hanche prodiguées chez les poupons, apprend-on dans le Journal of Pediatrics.

Des chercheurs ont suivi 466 enfants qui avaient subi une chirurgie pour une dysplasie de la hanche, ainsi que 1173 sujets témoins, lesquels ont été évalués grâce à une enquête téléphonique.

Pour le premier groupe, le dépistage par échographie avait été réalisé dans 77,1 % des cas, alors qu’il avait été fait dans 89,1 % des cas dans le groupe témoin.

On estime donc qu’un tel dépistage a été efficace à 52 % pour éviter une première chirurgie, et ce, sans prendre en considération le type d’intervention.

Toutefois, même après dépistage au cours des six premières semaines de vie, il n’est pas toujours possible d’éviter des chirurgies subséquentes, dans le cas d’une dysplasie de la hanche.

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Mise en garde contre un test de dépistage du VIH

Santé Canada et le ministère de la Santé mettent en garde la population contre un test de dépistage du VIH vendu par la compagnie Accu-metrics basée à Toronto.
 
Ce test peut être fait à la maison, mais le ministère informe les gens qu’aucune de ces trousses, ni le test de salive Accu-VIH 1 et 2 ou le test VIH n’ont été approuvés au pays.
 
Santé Canada n’a même pas évalué l’efficacité du produit et au pays, il est illégal de vendre ou de faire la promotion de produits médicaux qui n’ont pas été autorisés.
 
Les résultats peuvent s’avérer inexacts et induire les gens en erreur. Par exemple, le test pourrait détecter le VIH alors que la personne n’est pas infectée en réalité, et vice versa.
 
Ceux qui ont acheté cette trousse doivent communiquer avec un professionnel de la santé. Accu-metrics a retiré le produit de son site internet pour se soumettre à la loi.

 

Les plaintes peuvent être adressées au ministère au 1-800-267-9675.