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Homologation américaine pour le Previstage

Une filiale de DiagnoCure Inc., DiagnoCure Oncology Laboratories, a annoncé hier (26 août) qu’elle avait reçu l’homologation américaine Clinical Laboratory Improvement Amendments (CLIA) pour son test de dépistage contre le cancer colorectal, Previstage.

« Cette homologation réglementaire est une réalisation majeure dans la stratégie de croissance de DiagnoCure, puisqu’elle nous permet de solidifier notre position de chef de file dans le marché des diagnostics moléculaires à haute valeur ajoutée pour le cancer. Nous sommes désormais en mesure de fournir, aux médecins et aux patients, un test utilisant une technologie 100 000 fois plus sensible que la méthode actuelle de stadification », a expliqué le président de la société, John Schafer.

Déjà, la promotion du test est amorcée auprès des professionnels de la santé américains et plusieurs médecins ont déjà signifié leur intérêt pour le test.

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Le dépistage du cancer de la prostate contesté

Selon les médecins de la U.S. Preventive Services Task Force, passé les 75 ans, les examens de dépistage du cancer de la prostate causent plus de dommages que de bienfaits aux patients.

L’organisme, qui a publié cette recommandation hier, rapporte que les preuves du bienfait de tels examens « sont petites ou inexistantes. »

Cette mise à jour du guide des procédures est une première depuis 2002. 

Selon la Société canadienne du cancer, à compter de 50 ans, les hommes devraient demander à leur médecin s’il est nécessaire de passer un test de dépistage du cancer de la prostate.

Le cancer de la prostate se forme dans les cellules de la prostate, une glande de l’appareil reproducteur masculin. La prostate sert principalement à sécréter une partie du liquide (dit séminal) qui, combiné aux spermatozoïdes produits par les testicules, forme le sperme. Le sperme est éjaculé lors des relations sexuelles.

Le cancer de la prostate est le type de cancer le plus répandu chez les hommes au Canada. En général, le cancer de la prostate évolue lentement et peut souvent être guéri ou traité avec succès.

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Vers un programme national de dépistage du cancer du sein

Alors que le scandale d’erreurs de diagnostic du cancer du sein chez les femmes de Terre-Neuve bat son plein, l’Association canadienne des pathologistes croit qu’il est nécessaire d’instaurer un programme national de contrôle de la qualité des tests pour diagnostiquer ce type de cancer.

Selon le président de l’Association, M. Louis Gadoury, nulle femme canadienne n’est à l’abri d’une erreur de diagnostic : « Présentement, personne n’est capable de certifier que les prélèvements des tissus tumoraux effectués pour diagnostiquer le cancer du sein faits au Québec et dans plusieurs autres provinces canadiennes sont conformes. Aucune firme externe ne teste la validité des résultats, personne ne vérifie si les équipements sont bien calibrés et rien n’atteste que les techniciens en laboratoire sont qualifiés. »

Voilà pourquoi un plan d’action a été proposé à Ottawa afin de mieux encadrer les tests de dépistage du cancer du sein.

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Encore beaucoup à faire pour le dépistage du cancer du sein

Malgré son dixième anniversaire, le programme québécois de dépistage du cancer du sein est encore loin de son objectif, soit 70 % de la clientèle visée, alors que le taux de participation à l’échelle provinciale était de 51 % en 2006.

À titre d’exemple, dans la région de Québec, environ 250 000 mammographies ont été effectuées chez les 86 000 femmes âgées de 50 à 69 ans. De ce nombre, près de 1 000 cas de cancer du sein ont été diagnostiqués au 31 décembre 2004.

« On est content, parce que ça augmente progressivement », a mentionné la Dre Marie-Claude Messely, responsable du programme de dépistage pour la région.

Les femmes handicapées, celles issues de milieux défavorisés et les immigrantes sont toutefois des clientèles plus difficiles à rejoindre au moyen des campagnes de sensibilisation.

Selon les statistiques révélées hier, le programme de dépistage est à l’origine du taux de détection de cinq cancers pour 1000 examens initiaux.

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Une nouvelle méthode de diagnostic

Une recherche publiée dans le Journal of Proteome Research mentionne que les médecins pourront bientôt compter sur une autre méthode de diagnostic pour détecter la présence du cancer, des maladies cardiovasculaires ou chroniques : l’examen de la salive.

Grâce à l’analyse de 1166 protéines différentes dans la salive, trois équipes de chercheurs américains ont été en mesure d’établir le protéome salivaire, une carte complète des protéines qui contiennent des informations sur les gènes et le fonctionnement cellulaire.

Cette découverte permettrait donc de diagnostiquer, pour un coût inférieur aux tests sanguins, plusieurs maladies, dont celles d’Alzheimer et de Parkinson, les cancers du sein, colorectal et du pancréas, ainsi que le diabète.

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Bonne nouvelle pour le test PCA3

Des essais cliniques effectués sur 570 hommes démontrent que le test PCA3, qui est un marqueur du cancer de la prostate, peut drôlement faciliter le diagnostic de ce type de cancer. Le test PCA3, fabriqué par DiagnoCure, est le premier test génique urinaire capable de détecter le cancer de la prostate.

Selon les derniers résultats obtenus, 14 % des participants dont le score au PCA3 était inférieur à cinq avaient une biopsie positive, tandis que 69 % des hommes qui présentaient un score supérieur à 100 avaient une biopsie positive.

Pour le président de DiagnoCure, John Schafer, il n’y a pas de doute que le test développé par sa société permettra de diagnostiquer le cancer de la prostate. « Cette étude est une preuve supplémentaire que le PCA3 est réellement un marqueur précis du cancer de la prostate. Ces résultats concluants devraient favoriser l’adoption du test par les médecins, qui ont besoin de meilleurs outils pour aider leurs patients aux prises avec le cancer de la prostate », a-t-il mentionné.

Cette nouvelle coïncide avec les plans de commercialisation du test PCA3 en Europe.

 

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Un nouveau moyen pour dépister le cancer

Le cancer des ovaires est souvent découvert tardivement, ce qui diminue les chances de pouvoir bénéficier d’un traitement. Les symptômes de la maladie s’apparentent à ceux d’autres maux et il n’existe pas de tests pour la dépister.

La découverte de nouveaux marqueurs moléculaires permet toutefois de déterminer plus rapidement si le tissu prélevé de l’ovaire pour examen est cancéreux.

Selon les spécialistes, cette technique diagnostique pourra également s’appliquer au dépistage d’autres cancers. Un bon moyen pour détecter rapidement la maladie et ainsi sauver des vies.

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Le dépistage de MTS chez les hommes

Depuis 2003, le nombre de patients testés positifs pour des infections transmises sexuellement a énormément augmenté.

Par contre, la proportion d’hommes qui passent les tests de dépistage reste faible.

D’après les données du National Chlamydia Screening Programme, sur 150 000 individus ayant passé le test de dépistage en 2006-2007 en Angleterre, seulement un sur cinq était de sexe masculin.

Selon la Health Protection Agency (HPA), les hommes ne consultent pas assez les médecins, lesquels pourraient leur offrir un test de dépistage simple, soit un test d’urine.

Dorénavant, les collèges, les prisons ainsi que certains clubs offriront le service de dépistage de MTS.

De plus, un test à faire à la maison sera même disponible par commande dans Internet.

La HPA espère que ces services permettront la prise de conscience des hommes par rapport à l’importance des examens de dépistage.