Catégories
Uncategorized

Un antidépresseur expérimental fort prometteur

Un nouvel antidépresseur, qui n’en est qu’aux phases expérimentales, pourrait s’avérer très prometteur, selon plusieurs experts.

C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui parle du traitement comme d’une nouvelle façon de faire en matière de traitement de la dépression. L’antidépresseur agirait de façon précise sur le cerveau, ciblant des zones spécifiques.

De plus, on vante les mérites à long terme du produit, pour l’instant appelé GLYX-13. Testé uniquement de façon intraveineuse en ce moment, il semble offrir de bons résultats sur certains patients qui n’ont pas (ou mal) réagi aux autres traitements et antidépresseurs connus.

Le traitement serait efficace presque immédiatement après l’administration, et son effet à long terme satisfait l’équipe de chercheurs chargée des essais cliniques.

Joseph Maskal, professeur en biomédecine, est l’un de ceux-là. Il explique : « On a constaté des effets robustes, rapides et à long terme. De plus, aucun effet secondaire majeur n’a été répertorié ».

Le Dr Bryan Bruno, de l’équipe de direction du département de psychiatrie de l’hôpital Lenox Hill de New York, parle d’un « développement fort excitant ».

Il s’agirait donc d’une excellente nouvelle pour les gens aux prises avec des troubles dépressifs qui ne réagissent pas ou peu aux traitements populaires retrouvés sur le marché, comme le Prozac, le Paxil ou encore le Zoloft.

Catégories
Uncategorized

Les antidépresseurs augmenteraient les risques de crise cardiaque

Une nouvelle recherche indique un facteur de risque de crise cardiaque un peu plus élevé chez les gens qui consomment des antidépresseurs que chez les autres, rapporte www.nlm.nih.gov.

L’étude cible les antidépresseurs bien connus, comme Prozac et Paxil, mais spécifie que si le risque augmente pour tous les usagers, un seul individu sur 10 000 subirait véritablement une crise cardiaque provoquée par la prise de ces médicaments.

Les statistiques démontrent que les risques sont au plus fort durant les premières semaines et premiers mois d’un traitement.

« Les médecins devraient être au fait de cette association de risque », affirme le Dr Daniel Hackam, professeur associé à la London Health Sciences Center of University Hospital, en Ontario.

Il ajoute : « Cependant, les gens qui ne font pas partie du groupe à haut risque ne devraient pas s’en faire outre mesure. Le risque ultime ne touche qu’un cas sur 10 000. Les risques diminuent grandement si vous êtes un utilisateur de longue date, sans effets précédents ».

Cette recherche analysait les données de 16 études sur le sujet, qui touchaient plus de 500 000 personnes au total.