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Le sexe et le sommeil devant la télé pourraient contribuer à la dépression

Le Daily Mail (UK) rapporte des conclusions étonnantes tirées d’une étude sur les troubles dépressifs en provenance du NHS, en Angleterre.

On y apprend qu’outre les facteurs de risques déjà connus en matière de dépression et de troubles de l’humeur, par exemple la vie sociale et amoureuse, l’argent et le stress professionnel, plusieurs autres peuvent venir s’ajouter à la liste et vous mener tout droit vers une dépression. Et certains ont de quoi surprendre…

À commencer par le sexe, qui semble laisser des traces de tristesse chez plusieurs personnes, malgré son effet bienfaiteur à très court terme. Un tiers des femmes, par exemple, ressentiraient cet effet retour, si l’on se base sur des chiffres issus d’une étude australienne.

Plus étonnant encore, un autre facteur de risque de la dépression serait de s’endormir devant la télévision. Si plusieurs personnes (célibataires surtout) semblent apprécier le doux ronron du téléviseur la nuit, il appert que ce dernier est très mauvais pour la santé mentale. Même son de cloche en ce qui concerne les ordinateurs et autres engins du genre.

Quelques autres facteurs sont également mentionnés, comme une baisse de consommation de viande rouge, une surutilisation de médicaments (surtout les antidépresseurs, ironiquement), et même votre posture lorsque vous êtes assis!

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La dépression frappe autant les hommes que les femmes

Plusieurs études et recherches tendent à vouloir démontrer que la dépression est un trouble qui frappe davantage les femmes que les hommes, ou à tout le moins que ces dernières présentent plus souvent des symptômes liés à la dépression que leurs congénères masculins.

Or, selon une étude rapportée par The National Library of Medicine, rien ne serait plus faux. Les conclusions de l’étude tracent plutôt un portrait équitable chez les deux sexes en matière de dépression, avec un pourcentage similaire d’environ 16 % de la population.

On suggère que l’impression générale actuelle, à savoir que les femmes sont plus sujettes aux symptômes de la dépression, pourrait bien être explicable par le fait que les hommes sont plus enclins à garder leurs émotions pour eux et à ne pas demander d’aide.

« Cela ne nous aide pas beaucoup de savoir que plus d’hommes souffrent de dépression que nous le pensions, si nous ne pouvons les amener à franchir la porte pour obtenir de l’aide », tranche Lisa Martin, auteure principale de l’étude en provenance du Michigan, aux États-Unis.

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Facebook peut rendre malheureux

Les utilisateurs du réseau social Facebook pourraient devenir malheureux, voire dépressifs, en croyant que leurs amis ont une meilleure vie qu’eux.
 
Selon la sociologue Hui-Tzu Grace Chou de l’Université Utah Valley, qui a interrogé 425 étudiants, voir des photos toujours souriantes d’amis de Facebook peut donner l’impression à certaines personnes que leur vie est peu passionnante et monotone.
 
La plupart des personnes interrogées ont répondu par l’affirmative lorsqu’on leur a demandé si elles croyaient que leurs amis de Facebook avaient une vie meilleure que la leur. Ce sentiment est pire lorsque les utilisateurs ont dans leurs amis des personnes qu’ils ne connaissent pas du tout.
 
La sociologue a elle-même vécu l’expérience; c’est ce qui lui a donné l’idée de faire cette recherche.
 
« Il y a quelques années, j’ai commencé à utiliser Facebook parce que des gens m’y avaient encouragée. Puis, je me suis mise à penser que sur ce réseau social, mes amis avaient l’air plus heureux que moi. Un sentiment étrange », dit-elle à TopSanté.
 
La solution est simplement d’avoir une vraie vie sociale et de sortir avec de vrais amis.

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La déshydratation affecte l’humeur

Le Journal of Nutrition dévoile que même une légère déshydratation, soit 1 % de moins que l’hydratation optimale, peut entraîner un état dépressif.
 
C’est du moins ce qui ressort de l’étude effectuée sur 25 femmes. On croit qu’avec les hommes, on obtiendrait sensiblement les mêmes résultats.
 
Nous savions que la déshydratation pouvait être un facteur de risque pour les maux de tête, la perte de concentration, la fatigue, et on ajoute maintenant les états dépressifs.
 
Il est donc très important de bien s’hydrater en buvant de l’eau plate et autres boissons non alcoolisées et sans caféine.
 
Toutefois, bien des experts affirment que la recommandation de boire huit verres d’eau par jour ne s’applique pas à tout le monde. La quantité de liquide nécessaire à une bonne hydratation dépendrait de chaque personne.
 
Une indication pour savoir si vous devez consommer plus d’eau est de surveiller la couleur de votre urine. Si elle est plus foncée, vous avez besoin de boire davantage.
 
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Le postpartum, pour les papas aussi

Nous savons déjà que la mère peut présenter de réels signes de dépression après son accouchement. Or, il semble que le phénomène du postpartum touche aussi le nouveau papa.

C’est ce qu’a remarqué une équipe de l’Université du Michigan en étudiant le cas de 1 746 pères d’enfants âgés de 1 an nés entre 1998 et 2000. Environ 7 % de ces papas étaient dépressifs, à différents degrés.

Il semble que les pédiatres pourraient jouer un rôle important dans la résolution de ce problème, car parmi les pères dépressifs, 77 % en avaient parlé au médecin de leur enfant durant la dernière année.

D’autre part, on a pu remarquer quelques liens avec l’attention que portait un père à son enfant et les punitions qu’il pouvait lui infliger avec l’apparition de symptômes dépressifs. Par exemple, 41 % des dépressifs avaient donné une fessée à leur enfant, comparativement à 13 % pour les autres.

Il semble que le plus grand rôle joué par les pères d’aujourd’hui les rapproche ainsi des problèmes que peuvent vivre les nouvelles mamans. Les résultats complets de cette recherche sont parus dernièrement dans Pediatrics.

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L’amitié et la dépression chez les jeunes

Parue dans Development and Psychopathology, une récente étude universitaire confirme que les enfants rejetés socialement sombrent plus dans la dépression.

On y voit les possibles effets à long terme de la stigmatisation de certains enfants.

L’étude, étalée sur 3 ans, portait sur 130 filles et 101 garçons. On les a suivis de la troisième à la cinquième année du secondaire.

Les participants étaient invités à évaluer eux-mêmes s’ils étaient timides ou s’ils préféraient la solitude.

On a vite remarqué que les enfants ont tendance à rejeter ceux qui ont de faibles aptitudes sociales. Ils sont souvent considérés comme des êtres immatures ou agressifs.

Les chercheurs ont finalement pu conclure que les jeunes qui avaient des amis avaient moins tendance à vivre des symptômes dépressifs que ceux qui n’en avaient pas.

Il semble que l’amitié pourrait venir à bout des effets à long terme du rejet et de la solitude chez l’enfant.

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La dépression augmente les risques pour les futurs bébés

Moins connue que la dépression post-partum, la dépression durant la grossesse aurait une incidence sur la santé des futurs bébés.

Selon une récente étude, des experts mentionnent que les femmes dépressives durant la grossesse avaient plus de chance de donner naissance à un bébé prématuré.

Il semblerait que ce phénomène soit plus fréquent qu’on ne le croit et qu’une ou deux femmes sur 10 présenteraient des symptômes de dépression.

Sur 791 femmes enceintes, 44 % présentaient des symptômes dépressifs et près de la moitié d’entre elles en avaient de sévères.

Ainsi, les femmes avaient deux fois plus de chance de donner naissance à leur enfant avant 37 semaines. Les prématurés représentent la principale cause de mortalité infantile.   

On suggère aussi que les femmes évitent le plus possible les antidépresseurs qui ne sont pas la seule option. Une thérapie ou simplement pouvoir parler, notamment avec un groupe de soutien, pourrait aider les futures mères à se sentir mieux.

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Les enfants, non épargnés par la dépression

Une recherche, dont les détails sont publiés dans The Journal of Child Psychology and Psychiatry, nous apprend que la dépression et l’anxiété touchent environ 15 % des enfants d’âge préscolaire.

De plus, les chercheurs ont également découvert que ces troubles psychologiques chez les bambins sont souvent liés à ceux de leur mère, qui avait des antécédents de dépression.

« Dès la première année, il existe des indications voulant que certains enfants soient plus à risque que d’autres de développer de hauts niveaux de dépression et d’inquiétude. Un tempérament difficile à cinq mois s’est avéré le plus important trait prédictif de la dépression et de l’anxiété chez l’enfant », a expliqué l’un des auteurs de l’étude, la Dre Sylvana M. Côté, du Département de médecine sociale et préventive de l’Université de Montréal.

Les chercheurs ont observé 1 758 enfants âgés de cinq mois à cinq ans pour en arriver à cette conclusion.

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L’exercice physique contre la fatigue

Le Dr Claudio Battaglini, de l’Université de Caroline du Nord à Chapel Hill, affirme que l’exercice physique diminue les symptômes de fatigue et de dépression attribués aux traitements pour les patients atteints de leucémie.

Ce dernier a travaillé avec 10 sujets qui pratiquent un sport malgré leur hospitalisation due aux traitements de leur maladie. Ces derniers ont ensuite poursuivi des séances d’étirement et d’aérobie adaptées pendant deux semaines.

« Nous avons découvert que ces patients avaient une réduction significative des symptômes de dépression et de fatigue, en plus d’une meilleure endurance cardiorespiratoire et musculaire », ont fait savoir les auteurs de cette étude publiée dans Integrative Cancer Therapies.

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Le statut d’employé et la dépression

Selon Amélie Quesnel-Vallée, sociologue à l’Université McGill, le statut précaire chez les employés semble avoir des conséquences sur leur santé mentale.

« Il semble que les travailleurs temporaires, qui ne peuvent compter sur un emploi stable à long terme, sont susceptibles de voir leur santé mentale décliner, et ce, aussi longtemps qu’ils continuent d’occuper des fonctions pouvant être perçues comme " jetables " ou " de deuxième classe " », a expliqué cette dernière lors de l’assemblée annuelle de l’Association américaine de sociologie.
 
Parmi les conséquences observées, on note davantage de symptômes de dépression et de détresse psychologique que chez les employés bénéficiant d’un statut permanent au sein d’une entreprise.