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L’arthrose affecte le moral des personnes atteintes

Selon une enquête menée par la firme Angus Reid Strategies, 67 % des 45 ans et plus souffrant d’arthrose affirment qu’ils ont l’impression d’être plus vieux. 54 % d’entre eux se sentent déprimés lorsque la maladie les empêche de s’adonner à leurs activités et loisirs préférés, y compris les tâches ménagères simples.

L’arthrose est une forme d’arthrite très répandue. Elle affecte 3 millions de Canadiens. Parmi les 55 ans et plus, 80 % démontrent des signes de la maladie lors des radiographies. Par contre, les symptômes, majoritairement la douleur, se font souvent sentir dès 45 ans.

Toutefois, l’étude révèle également que malgré tout, les patients souhaitent demeurer actifs et ne veulent pas laisser leur état déterminer ce qu’ils sont en mesure de faire ou non.

Pour aider à soulager les symptômes, on recommande de faire des exercices lents et réguliers, de protéger les articulations et à des traitements de chaud ou de froid.

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Au lit plus tôt!

Selon le psychiatre James Gangwisch, de l’Université Columbia à New York, l’heure du coucher pourrait jouer un rôle dans le risque de dépression et de pensées suicidaires chez les adolescents.

Le taux de troubles dépressifs est moins élevé chez les jeunes lorsque leurs parents les ont mis au lit avant 22 h, comparativement à ceux que l’on pourrait surnommer les oiseaux de nuit.

« Cette étude apporte des arguments à la théorie qui veut que la privation de sommeil soit associée à la dépression. Les adolescents que les parents ont couchés plus tôt sont moins à risque de souffrir de dépression ou d’avoir des pensées suicidaires », a fait savoir M. Gangwisch, qui a présenté les résultats de sa recherche lors du congrès annuel de l’Associated Professional Sleep Societies.

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Association entre anxiété, dépression et insomnie

Une recherche effectuée auprès de 749 paires de vrais jumeaux, de 687 paires de faux jumeaux et de leurs parents insomniaques laisse entrevoir que l’association entre l’anxiété, la dépression et l’insomnie pourrait être d’ordre héréditaire.

Parmi les participants, 19,5 % des jumeaux avouaient souffrir d’insomnie, bien qu’ils soient âgés de 8 à 17 ans.

« Ce ne sont pas les jumeaux monozygotes qui avaient le risque plus élevé d’insomnie. Toutefois, dès que l’un d’entre eux est insomniaque, son jumeau est plus à risque d’avoir aussi ce trouble du sommeil que s’ils étaient dizygotes », a expliqué l’auteur derrière ces résultats, le Dr Philip Gehrman du département de psychiatrie de l’Université de la Pennsylvanie.

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La dépression, un signe annonciateur du Parkinson

Une nouvelle étude démontre que les symptômes dépressifs seraient le premier élément de la maladie de Parkinson. Ils précèderaient les tremblements et la rigidité des muscles.

Les chercheurs ont découvert qu’une thérapie avec antidépresseurs était associée à un risque accru de développer le Parkinson dans les deux années suivantes.

Bien qu’on ait établi un lien entre les deux maladies, on ignore si l’une cause l’autre ou si elles découlent de mécanismes communs.

Sur les patients observés qui avaient commencé à prendre des antidépresseurs, les risques d’avoir le Parkinson augmentaient de 85 %.

On suggère aux personnes qui présentent des signes de dépression et qui commencent à avoir des problèmes de circulation de consulter afin d’écarter la possibilité d’un début de Parkinson.

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Association entre le cancer et la dépression

Une recherche menée sur des rats et publiée dans le Proceedings of the National Academy of Sciences a prouvé que la dépression chez les cancéreux pourrait être causée par la tumeur elle-même, et non par une réaction liée au stress provoqué par la maladie.

Selon le U.S. National Cancer Institute, environ 15 à 20 % des patients ayant reçu un diagnostic de cancer présentent des symptômes liés aux troubles dépressifs.

Les scientifiques ont remarqué que les rongeurs avec un cancer étaient moins motivés à s’échapper lorsqu’on les faisait nager. Ils refusaient également de boire de l’eau sucrée, une friandise qu’ils apprécient généralement.

De plus, l’équipe du Dr Brian Prendergast, de l’Université de Chicago, a découvert que ces rats présentaient un taux plus élevé de corticostérone, une hormone de stress.

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Association entre le cancer et la dépression

Une recherche menée sur des rats et publiée dans le Proceedings of the National Academy of Sciences a prouvé que la dépression chez les cancéreux pourrait être causée par la tumeur elle-même, et non par une réaction liée au stress provoqué par la maladie.

Selon le U.S. National Cancer Institute, environ 15 à 20 % des patients ayant reçu un diagnostic de cancer présentent des symptômes liés aux troubles dépressifs.

Les scientifiques ont remarqué que les rongeurs avec un cancer étaient moins motivés à s’échapper lorsqu’on les faisait nager. Ils refusaient également de boire de l’eau sucrée, une friandise qu’ils apprécient généralement.

De plus, l’équipe du Dr Brian Prendergast, de l’Université de Chicago, a découvert que ces rats présentaient un taux plus élevé de corticostérone, une hormone de stress.

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Taux de dépression et vie rurale

Une étude menée par Samia Mechakra-Tahiri, du Département de médecine sociale et préventive de l’Université de Montréal, nous apprend que le taux de dépression chez les aînés est plus élevé selon l’endroit où ils habitent.

Ainsi, la dépression touche 17 % des personnes âgées lorsqu’elles habitent en campagne, comparativement à 15 % en milieu urbain.

Cet écart entre la campagne et la ville a particulièrement été observé chez les 85 ans et plus, alors que la prévalence de la dépression est plus du double en milieu rural (24,3 %) qu’en région métropolitaine (10 %).

Selon les chercheurs, plusieurs facteurs, comme un cercle social important, du bénévolat ou la présence d’un conjoint et d’enfants au quotidien, peuvent aider à prévenir la dépression.

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La dépression nuit au diabète

Une vaste recherche, menée auprès de 11 525 diabétiques de type 2 pendant près de 10 ans, a réussi à démontrer que ceux qui avaient souffert de dépression au cours de cette période, soit 6 % du groupe, avaient un taux plus élevé d’hémoglobine A1C, qui permet d’évaluer et de mieux contrôler la glycémie.

L’auteur de cette étude, le Dr Leonard Egede de l’Université de la Caroline du Sud, déplore ces résultats, d’autant plus qu’on estime qu’environ 30 % des personnes souffrant de diabète vont un jour être aux prises avec la dépression.

De plus, toute hausse du taux d’hémoglobine A1C entraîne des complications du diabète.

Tous les détails de cette recherche sont publiés dans le General Hospital Psychiatry.

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L’alcool exacerbe le risque de dépression

Une recherche, menée auprès de 1 055 personnes nées en 1977, a permis au Dr M. Ferguson et ses collègues, du Christchurch School of Medicine & Health Sciences de Nouvelle-Zélande, de conclure que la surconsommation et la dépendance d’alcool pourraient augmenter le risque de dépression de 1,9 fois.

« Les mécanismes derrière cette association demeurent mystérieux. Plusieurs recherches proposaient que ce risque pouvait augmenter à cause des facteurs héréditaires, alors que l’alcool agit sur les marqueurs génétiques qui haussent l’incidence de dépression majeure », a souligné M. Ferguson, qui recommande que d’autres recherches soient menées afin d’en avoir le coeur net.

Les détails de cette recherche se retrouvent dans l’édition de mars du Archives of General Psychiatry.

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Dépression va de pair avec cancer

Selon la Dre Susanne O. Dalton et ses collègues de la Société danoise du cancer à Copenhague, les cancéreux sont plus à risque d’être hospitalisés parce qu’ils souffrent de dépression majeure.

Ce risque d’hospitalisation est plus élevé dans l’année qui suit un diagnostic de cancer et demeure, même après une rémission de la maladie.

Pour mieux comprendre l’association entre la dépression et le cancer, les chercheurs ont analysé les dossiers médicaux de 608 591 adultes ayant reçu un diagnostic de la maladie. Ils ont découvert que l’incidence d’hospitalisation pour cause de dépression doublait dans la première année où les patients apprenaient qu’ils souffraient d’un cancer.

Les chercheurs espèrent donc que les médecins porteront une attention particulière aux symptômes de la dépression chez leurs patients cancéreux afin d’agir plus rapidement et de prévenir l’hospitalisation.