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Hollywood PQ Potins

Clodine Desrochers: «Elle avait appelé au salon funéraire pour commander mon petit cercueil»

Clodine Desrochers, qui a illuminé nos écrans pendant de nombreuses années avec Les saisons de Clodine, fait graduellement son retour sous les projecteurs, notamment en tant que participante à Sortez-moi d’ici!.

Elle était aussi présente à l’émission La vraie nature, où elle a évoqué à nouveau sa malformation congénitale au niveau du système digestif, une condition que les médecins étaient incapables d’identifier à sa naissance.

Une période très difficile qui a plongé sa mère dans une dépression graduelle, craignant éventuellement de perdre sa fille, allant même jusqu’à lui magasiner des effets pour ses funérailles.

«Même que ma mère, elle avait appelé au salon funéraire pour commander mon petit cercueil. Mais tu sais, mon père rappelait par après pour dire: Écoutez, là, Jane ne va pas très bien. Elle avait acheté ma petite robe», témoigne Clodine.

Heureusement, la troisième opération de Clodine s’est bien déroulée. Lorsque le docteur est venu annoncer la grande nouvelle à ses parents, qu’elle était maintenant hors de danger, sa mère a perdu connaissance et a dû être hospitalisée dans la même chambre qu’elle.

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Capture TVA

Des confidences bouleversantes qui nous vont directement au cœur!

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Ton petit look

Kaley Cuoco s’ouvre sur sa dépression après son divorce

L’actrice a même entamé une thérapie…

Kaley Cuoco, une actrice américaine bien connue pour ses nombreux rôles à la télévision comme dans The Big Bang Theory et The Flight Attendant, s’est récemment ouvert sur sa dépression qui a suivi son divorce avec son deuxième mari, Karl Cook.

C’est en septembre de l’an dernier que Kaley Cuoco et Karl Cook ont mis un terme à leur mariage, et l’actrice a vécu des moments très difficiles suite à cette séparation. Dans une entrevue accordée au magazine Variety, Kaley Cuoco explique s’être jetée tête première dans son travail – elle tournait la seconde saison de la série The Flight Attendant – au point où elle faisait un déni total de ce qu’elle vivait. Pourtant, cette nouvelle séparation lui a causé beaucoup de tort émotionnel, la menant même en dépression.

https://www.instagram.com/p/CeBfCtjLovP/?hl=fr-ca

Question de rendre les choses encore plus difficiles pour l’actrice, son personnage dans The Flight Attendant vit aussi de gros défis dans la deuxième saison, et jouer le rôle est devenu un défi quotidien pour l’actrice. Dans son entrevue avec Variety, elle explique qu’elle est arrivée à un point où elle ne «pouvait pas tout faire», et c’est à ce moment qu’elle a décidé de planifier une «intervention» avec tous les producteurs de la série. Durant cette rencontre, elle s’est confiée sur sa situation et elle a heureusement reçu un bel appui de la part des producteurs.

https://www.instagram.com/p/Cddkk7PAntU/?hl=fr-ca

Comme Kaley Cuoco avait l’impression de ne pas pouvoir s’en sortir seule, elle a fait appel à un thérapeute afin de l’aider à naviguer à travers toutes les émotions ressenties suite au divorce et au tournage intensif de la série.

L’honnêteté et la vulnérabilité de l’actrice sont rafraîchissantes dans un monde où il faut avoir l’air sans failles.

Les actrices et acteurs vivent eux aussi des moments difficiles, et lorsqu’ils s’ouvrent ainsi sur leurs problèmes, ça permet de lever davantage le tabou entourant la santé mentale, la dépression et l’anxiété.

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Divertissement Potins

Dakota Johnson: «Je serai en thérapie le reste de ma vie»

La star de Fifty Shades of Grey s’ouvre sur sa quête en santé mentale.

Dakota Johnson croit qu’il existe une bonne chance qu’elle soit «en thérapie le reste de sa vie», un fait qui ne la dérange pas du tout, bien au contraire.

«J’ai été chanceuse d’être entourée de personnes qui m’ont encouragée à creuser plus loin à l’intérieur de moi-même. Même durant le confinement (…) Je serai probablement en thérapie le reste de ma vie. Tu ne finis jamais vraiment d’en apprendre sur le fait d’être un humain», explique-t-elle lors d’un passage à The Drew Barrymore Show.

L’actrice de 31 ans révèle par ailleurs suivre aussi des cours en psychologie, s’attardant ainsi aux deux tableaux en santé mentale!

Johnson révélait l’an passé souffrir de troubles dépressifs depuis un très jeune âge, et vantait dès lors les mérites de la thérapie.

En vedette de The High Note, Dakota Johnson sera de quelques projets d’ici 2022, dont The Lost Daughter.

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Divertissement Potins

Dakota Johnson: «Je serai en thérapie le reste de ma vie»

La star de Fifty Shades of Grey s’ouvre sur sa quête en santé mentale.

Dakota Johnson croit qu’il existe une bonne chance qu’elle soit «en thérapie le reste de sa vie», un fait qui ne la dérange pas du tout, bien au contraire.

«J’ai été chanceuse d’être entourée de personnes qui m’ont encouragée à creuser plus loin à l’intérieur de moi-même. Même durant le confinement (…) Je serai probablement en thérapie le reste de ma vie. Tu ne finis jamais vraiment d’en apprendre sur le fait d’être un humain», explique-t-elle lors d’un passage à The Drew Barrymore Show.

L’actrice de 31 ans révèle par ailleurs suivre aussi des cours en psychologie, s’attardant ainsi aux deux tableaux en santé mentale!

Johnson révélait l’an passé souffrir de troubles dépressifs depuis un très jeune âge, et vantait dès lors les mérites de la thérapie.

En vedette de The High Note, Dakota Johnson sera de quelques projets d’ici 2022, dont The Lost Daughter.

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Hollywood PQ

«L’Amour est dans le pré»: Deven se confie sur sa dépression

Un autre ancien couple de téléréalité était à À table avec mon ex en début de semaine. Dans l’épisode de lundi et celui de mercredi, on a pu retrouver Deven et Jessica de la septième saison de L’Amour est dans le pré. Ensemble, ils sont revenus sur les raisons de leur rupture survenue peu après la fin des tournages, il y a près de deux ans, mais l’agriculteur s’est également ouvert sur la dépression qui l’a affligé plus tard et durant laquelle il a bien failli commettre l’irréparable…

Comme on l’avait vu à l’émission, le couple n’a pas survécu à son retour de voyage. Dans le Sud, les tourtereaux avaient eu plusieurs petites confrontations (sur le volume de la musique, entre autres) qui avaient donné à Deven le sentiment que la relation commençait sur de mauvaises bases et qu’il valait mieux y mettre un terme. Jessica a avoué, tant à À table avec mon ex qu’à L’Amour est dans le pré, avoir trouvé cette rupture plutôt difficile. D’abord, elle reste sous l’impression qu’elle s’est fait laisser au téléphone, même si son ex considère plutôt qu’ils se sont officiellement séparés au chic Madrid 2.0 (et que c’était un moment plutôt agréable, wink, wink!). Ensuite, il y a le fait que Deven s’était affiché en couple dès la fin de l’épisode de retrouvailles. S’il est à nouveau célibataire, ça ne change pas que Jessica l’avait pris un peu comme une claque dans la face.

Crédit:Capture d’écran Noovo

N’empêche que les anciens amoureux ont vécu un beau tête-à-tête ensemble à l’émission, assez pour que Deven décide de se confier sur une épreuve particulièrement difficile de sa vie. Comme on le sait, la détresse psychologique peut être grande pour les agriculteurs, entre le dur labeur et l’isolement social. « J’ai frappé un mur », a-t-il lancé après avoir assuré qu’il va heureusement mieux aujourd’hui. Sa dépression n’avait rien à voir avec sa participation à l’émission, mais était plutôt en lien avec des soucis financiers, lui qui venait de s’acheter une maison.

« Quand tu fais une dépression, tu t’éloignes de tes chums, a-t-il expliqué avec sincérité. J’ai repoussé mes amis parce que j’avais besoin d’être seul. Je me suis épaulé sur mon ex. Elle m’a aidé, mais ce n’était pas la bonne épaule, en fait. »

Dans le deuxième épisode, Deven a abordé avec énormément de courage sa tentative de s’enlever la vie, un témoignage puissant et émouvant qui rappelle que le suicide n’est jamais une option. « J’ai failli passer à l’acte », a-t-il confié au bord des larmes en expliquant que c’est un appel de son ami Simon qui a tout changé. « J’avais choisi ma chanson. Je savais où je mourrais. J’étais détaché, j’étais près. Juste avant que je fonce — parce que oui, j’étais en camion —, il m’a appelé. Il m’a sauvé la vie, ce gars-là. »

Le message de Deven ne s’arrête pas là, puisqu’il a aussi abordé la lumière au bout du tunnel : « Quand tu vois la mort, après tu vois la vie d’un autre sens. Vis-la ta vie, vis-la à fond, à 100%. » « J’ai frappé le mur, mais depuis que je l’ai frappé, il y a plein de belles choses qui arrivent. »

On ne peut que remercier l’agriculteur pour son témoignage qui, espérons-le, saura interpeller ceux et celles qui ont besoin de se faire rappeler que la vie mérite d’être vécue.

Si vous êtes en détresse, contactez la ligne de prévention du suicide 1 866 APPELLE.

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Art de vivre

Je pense que j’ai fait une dépression post-partum

Découvrir la maternité avec son tout premier bébé est une expérience haute en couleur; autant les couleurs vives que les ternes. 

D’ailleurs, en devenant maman, j’ai appris qu’il faut parfois du temps pour en saisir toutes les nuances. 

À la naissance de mon garçon, j’ai été submergée par une vague immense de bonheur et d’amour. Il était beau, calme. Toute ma famille et toutes mes amies ont pris soin de moi et de lui lors de notre retour à la maison. Nous étions sur un petit nuage. Les visites étaient nombreuses, tout comme les petits plats et les offres d’aide. Tous les membres de mon entourage s’offraient pour bercer pendant que je faisais une sieste. Puis, naturellement, la vie a repris son cours pour tout le monde.

Les visites se sont espacées, les offres d’aide aussi et je comprends, ça ne pouvait pas durer éternellement, c’est normal. 

Papa est retourné au travail. Bébé et moi nous sommes retrouvés ensemble, seuls à la maison. Je me sentais bien, en contrôle, petit bébé était si calme. Nous profitions de tous nos moments ensemble et je pouvais me reposer en même temps que lui.

Après plusieurs semaines de cette routine, la solitude s’est mise à me peser fort sur les épaules. L’angoisse qui n’est jamais bien loin pour moi s’est réveillée. 

Et si je ne stimulais pas assez mon bébé? Et s’il ne dormait pas assez? Et si je ne le faisais pas boire assez? Comment je le saurais? Et si, à cause de moi, bébé devenait sauvage? 

Je ne lui fais pas voir assez de gens. Je n’ai pas envie de sortir et de toute façon, toutes les autres mères sont meilleures que moi. Tranquillement, tout est devenu une montagne. Habiller bébé pour aller marcher était devenu une source de stress pour moi. S’il ne s’intéressait pas au jouet que je lui montrais, je m’imaginais tout de suite qu’il avait un problème. Même chose quand il n’évoluait pas en suivant à la lettre les étapes de développement du Mieux Vivre. Je pleurais plusieurs fois par jour et je me sentais mal de faire vivre ça à mon petit.

Pendant que je le vivais, j’avais tendance à me dire que c’était normal; que c’était probablement ça, être maman. 

Je n’ai donc pas consulté et je n’en ai parlé à personne. Seulement, quelques mois plus tard, alors que je reprenais le dessus, je me suis rendu compte que ce n’était pas correct de se sentir ainsi. 

Je pense que j’ai fait une dépression post-partum, ou que je n’en étais pas loin. Si j’ai un deuxième enfant, je vais me donner le droit d’aller consulter. Parce qu’avoir un enfant, c’est à la fois merveilleux et difficile, et qu’on a le droit d’avoir de l’aide, surtout quand on traverse une période difficile.

Avez-vous vécu une période difficile ou une dépression post-partum après l’arrivée de votre bébé?

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Ton petit look

J’ai révélé ma dépression et j’ai été surprise de la réaction

J’ai toujours été du genre à me refermer sur moi-même et à ne jamais divulguer mes vraies émotions, car c’est comme cela que j’ai été élevée. Laissez-moi vous expliquer; je viens d’une famille haïtienne dans laquelle on ne parle pas de sentiments et de santé mentale. Ça ne se fait tout simplement pas chez moi. Je me suis surprise moi-même lorsque j’ai décidé de dévoiler sur Internet, dans mon premier article publié ici, que je souffrais d’une dépression sévère.

Je me sentais prête; je voulais que mon entourage découvre cet aspect de ma vraie personne. J’admets aussi que j’ai choisi de partager mon témoignage sur Internet parce que je sais pertinemment que ma mère n’est pas sur Facebook et donc, qu’elle ne le saura pas. J’ai décidé de l’exclure de ma révélation, car je me souviens encore que lorsque j’avais 16 ans et que mes premiers symptômes de dépression sont apparus, elle m’a regardée dans le blanc des yeux et m’a dit « [d’]arrêter de faire la folle et de [me] comporter comme une personne normale ». Ce fut la dernière fois que j’ai essayé de lui parler de mes émotions.

Mais maintenant, j’ai eu le courage de le dire au monde avec le soutien de mon copain. Je dois l’avouer, il a été très patient et présent. Je n’arrêtais pas de lui donner une porte de sortie, mais chaque fois, il me rassurait en me répétant qu’il était là pour le bon et le mauvais. J’avais besoin de l’entendre chaque jour et il le savait. Il a été le premier à être fier de mon courage et de ma détermination, mais j’avais peur de la réaction de mon entourage malgré tout.

J’ai vite réalisé que j’avais tort d’avoir peur. Je ne m’attendais pas à avoir un tel nuage d’amour dirigé vers moi après la publication de mon article. Les gens ont commenté et m’ont dit que ce que je faisais était courageux et qu’ils étaient de tout coeur avec moi. Certaines personnes m’ont même envoyé un message privé pour savoir comment j’allais, me demander si j’avais besoin de parler et me dire qu’ils étaient là pour m’écouter. Je crois que je n’ai jamais ressenti une vague d’amour aussi pure.

Mais la réaction qui m’a le plus touchée est celle de ma belle-mère. Cette femme-là est mon modèle dans la vie, et ce, dès la première fois que je l’ai vue. La mère de mon copain m’a toujours accueillie à bras grand ouverts, comme si j’étais sa propre fille et lorsqu’elle a su la nouvelle, elle n’a pas voulu commenter sur Internet. Elle m’a appelée et malheureusement, je ne pouvais pas répondre à ce moment-là. Quand j’ai écouté le beau message qu’elle m’a laissé, j’ai fondu en larmes. Elle m’a dit qu’elle m’aimait, qu’elle aurait voulu le savoir pour être là pour moi et qu’elle avait beaucoup de peine de ne pas l’avoir remarqué par elle-même.

Elle a eu exactement la réaction que j’ai tant souhaité obtenir de ma propre mère quand j’avais 16 ans. Donc, je voulais prendre le temps de la remercier du fond du coeur. Merci de toujours être là pour moi et de m’accepter comme je suis. Je t’aime, Claire.

Ton Petit EXTRA

Du 4 au 10 mai, c’est la Semaine de la santé mentale portée par l’Association canadienne pour la santé mentale et son porte-parole, le psychologue Marc-André Dufour, adresse plusieurs phrases clichées que nous avons tous et toutes (malheureusement) trop entendues… N’est-ce pas?

Une autre belle occasion de nous rappeler l’importance de prendre soin de nous et d’aller chercher de l’aide lorsqu’on en a besoin!

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Ton petit look

7 trucs pour sortir d’une petite déprime saisonnière

Voici une liste des 7 éléments qui m’aident personnellement à gérer une petite déprime saisonnière (pas une dépression hein, juste une petite déprime) et que j’ai testés dans les dernières semaines – parce que ce qui peut m’être inutile peut bien être utile à quelqu’un d’autre, hein!

De toute façon, c’est toujours une bonne chose de trouver des moyens de prendre soin de soi, ou faire des activités qui peuvent nous aider à se sentir mieux.

Avertissement:

Si vous souffrez, que vous avez besoin d’aide, parlez-en à un médecin ou appelez une ressource comme Écoute Entraide au 1 844 294-2130.

Le selfcare n’est pas un remède miracle à une dépression. 

1. Bouger !

On le sait déjà, on préfère s’emmitoufler dans nos couvertures et rester à l’abri des températures changeantes d’octobre: l’exercice est un super moyen d’améliorer notre humeur et de prendre soin de soi à la fois. Je raconterais bien toute l’histoire des hormones et tout, mais on le sait déjà, on est juste trop concentrés à écouter Riverdale ou même Insatiable (je m’inclus là-dedans).

Mon truc? Je travaille de la maison (lire ici: je ne bouge vraiment pas beaucoup, à part pour faire le ménage ou quand je sors). Donc, à quelques moments dans la journée, je mets de la musique, je me lève de ma chaise, et je fais simplement bouger, danser! C’est même possible de le faire entre deux épisodes Netflix, pendant quelques minutes et ça change déjà notre énergie.

2. Faire le ménage d’automne

Un autre élément que j’ai testé: j’ai fait un gros ménage récemment. Premièrement pour trier les vêtements que, de toute évidence, je ne porterai plus pour quelques mois, mais aussi pour pouvoir faire le ménage dans les anciens papiers, les anciennes notes, les tiroirs qu’on a laissés devenir de plus en plus bordéliques pendant les dernières semaines.

Il y a plusieurs « méthodes » pour faire du tri, faire le ménage, ou pour « declutter », mais le plus important, je crois, est de le faire dans le plaisir et de le faire pour se sentir bien. Alors, c’est le temps de mettre de la musique et de faire le tour de son appartement pour faire le tri et changer un peu l’ambiance!

3. Luminothérapie, aromathérapie…

Encore plusieurs solutions qu’on retrouve sur Internet; une chose que je me suis assurée de ne PAS faire quand j’ai mangé « la claque », c’est de m’isoler, de ne pas sortir. J’ai l’habitude de sortir – personnellement, c’est souvent avec ma mère – et j’ai continué de sortir, même si je me sentais plus ou moins fatiguée, paresseuse, découragée.

Les suggestions qu’on retrouve souvent parle de lampe de luminothérapie ou même d’huiles essentielles pour l’aromathérapie… pas besoin de se compliquer la tête. Sortir simplement dehors, prendre l’air, aller cueillir des pommes ou même aller marcher au parc ou jusqu’au dépanneur – même si c’est pour aller chercher un snack pour continuer sa série Netflix pref’, mais c’est important de ne pas rester dans sa petite bulle sans prendre d’air ou aller profiter un peu de la lumière.

 

4. Prendre soin de son alimentation

J’ai travaillé ééééénormément sur mon alimentation au cours des derniers mois. Je ne suis vraiment pas ici pour faire un cours d’alimentation, mais c’est évident que ce qu’on met dans notre corps peut énormément changer comment notre cerveau se sent.

Bien sûr, se gâter est important, et manger pour le plaisir aussi! Il faut tout simplement trouver l’équilibre pour donner à notre corps l’énergie 

5. Bien s’entourer

Ça va de pair avec sortir, prendre l’air et s’exposer à la lumière, mais prendre le temps de s’entourer de proches, d’amis et de notre famille peut énormément changer notre humeur et notre niveau d’énergie.

On passe notre été à faire différentes choses, on profite de la chaleur, on s’amuse, on va à des BBQ… maintenant c’est le temps de profiter des bonheurs simples des belles forêts remplies de couleurs, de profiter des cafés entre amis ou de planifier des soupers en famille .

6. Changer sa routine un peu

Pour moi, chaque saison est un peu une routine différente: mes heures de sommeil, de repas, les sorties que je fais, mes heures de productivité pour le travail… et je trouve ça bien. J’adore avoir des « routines » qui se ressemblent assez de jour en jour pour créer du momentum, mais j’aime aussi beaucoup le changement pour sortir de ma zone de confort et changer mes horizons.

Les routines de tout le monde dépendent généralement de nos obligations. Faire de petits changements peut apporter des effets sur notre humeur facilement: nos heures de sommeil, essayer différentes sorties, de nouveaux restaurants, sortir dans un nouveau lieu ou même tenter une soirée par soi-même… Les options sont infinies, et ça permet aussi de tester notre zone de confort!

7. Faire un changement de décoration à la maison

Pour aller de pair avec le truc #2, faire un changement dans la décoration peut aussi permettre de se sentir à nouveau bien chez soi et de s’y créer une nouvelle ambiance.

Mon lieu préféré dans ma maison est ma chambre, parce que c’est aussi mon lieu pour me réfugier pour lire, méditer et faire des étirements de yoga. Alors, comme ce n’est pas encore fait, je vais de ce pas aller faire un petit ménage et changer un peu l’ambiance de ce petit coin de détente pour moi!

Bref, en quelques jours, j’ai déjà changé beaucoup de choses, et j’ai vu une différence dans mon humeur. Je vais essayer de continuer sur cette lancée.

Quel(s) truc(s) allez-vous essayer?

Psssiiit: Pour lire d’autres conseils sur l’automne, voici 5 petits trucs inusités pour mieux vivre l’arrivée de l’automne.

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Art de vivre

C’est l’été et je suis en pleine déprime saisonnière!

(chronique)

Je suis, moi aussi, une enfant des années 1980. Chez ma « gardienne », dès qu’il faisait beau, nous avions l’interdiction d’être à l’intérieur, car cette dame faisait de la couture industrielle dans son sous-sol, et ne voulait pas être dérangée. Mais ça me plaisait parce que dehors, je suis dans mon élément.

J’ai choisi des carrières qui m’ont permis de travailler à l’extérieur.

Premièrement, comme inspectrice en bâtiment et en environnement, puis, je me suis réorientée en agriculture. Il n’y a rien qui me rend plus zen que de passer mes journées dans les champs.

Je suis maintenant maman à la maison depuis près de 4 ans, même si je suis libre de mes activités, la routine qu’exigent 4 enfants de 3 ans et moins fait en sorte que je passe beaucoup trop de temps à mon goût dans la maison. Les repas et le ménage ne se font pas de l’extérieur, et je ne m’éloigne pas trop loin des enfants lors des siestes. Et bien honnêtement, prévoir des grosses sorties, à la gang, ça demande beaucoup d’énergie. Bref, si nous sommes 2-3 heures dehors par jour, c’est un exploit.

Depuis quelques semaines, nous avons la chance qu’il fasse une température PAR-FAI-TE! Mais moi, ça me déprime de la regarder de l’intérieur par mes fenêtres. J’ai l’impression de passer à côté de l’été. Je rêve d’évasion, de partir en road trip sur un nowhere. Mais on est encore en période cocon pour la petite dernière. Alors je ronge mon frein, et je suis bougonneuse…

Je rêve du moment où les enfants seront suffisamment autonomes pour que ça soit simple de passer la journée dehors?

Est-ce que vous avez déjà vécu quelque chose de semblable?

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Cinéma

Gwyneth Paltrow : sexe et dépression

Après avoir secoué son image en abordant certaines thématiques sexuelles par l’entremise de son entreprise et de son magazine, Gwyneth Paltrow remet ça.

Cette fois, l’actrice oscarisée aborde plusieurs questions comme le sadomasochisme, les relations à trois ou encore le sexe tantrique dans la plus récente édition de Goop, ce qui n’a pas manqué d’en faire réagir plusieurs.

Mais, c’est dans le cadre de l’enregistrement de son podcast proposé sur le site de Goop que l’actrice et femme d’affaires se livre le plus, révélant avoir souffert de dépression à la suite de la naissance de son second enfant.

« C’était très choquant pour moi parce que je ne pensais pas être une personne qui souffrirait de dépression post-natale. J’étais si euphorique quand Apple est née, j’ai assumé que ça arriverait aussi avec Mosley et ça a juste… pris un moment. J’ai vraiment été dans un endroit très sombre », explique Gwyneth Paltrow en compagnie de sa mère Blythe Danner pour une édition spéciale de son podcast.

L’édition sexe du magazine Goop sera disponible dès le 3 mai 2018.

Le podcast Gwyneth x Blythe : On Mothers and Daughters est disponible dès maintenant.

Crédit photo : BANG/BIG