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Qu’est-ce qui peut provoquer la dépression infantile?

Dès l’âge de 5 ans, plusieurs enfants souffrent déjà de dépression et de grave anxiété, rapporte la BBC à la suite d’un constat fait par des spécialistes au Royaume-Uni.
 
En s’appuyant sur l’histoire de plusieurs jeunes, des experts ont tenté de démontrer à quel point une thérapie précoce peut être bénéfique à court et long terme pour les petits.
 
Sarah Brennan, directrice de l’organisme de bienfaisance Young Minds, explique : « Intervenir le plus tôt possible auprès des enfants est indispensable pour réduire la probabilité que cette jeune personne développe des symptômes plus sévères une fois adulte. Il est vital que nous nous investissions dans la santé mentale des jeunes enfants afin de prévenir une génération souffrant des mêmes problèmes de santé mentale que les adultes ».
 
Traiter les bambins dans des lieux spécialisés grâce à un suivi avec des professionnels est la clé du succès, pense Mme Brennan. Elle avance d’ailleurs que plus de services d’aide devraient être offerts dans les communautés et les écoles, car les institutions spécialisées et les hôpitaux insécurisent et intimident souvent les enfants.
 
Dernièrement, le gouvernement britannique a accordé une aide financière de 22 millions de livres pour développer plus de thérapies psychologiques et former davantage de travailleurs communautaires pour venir en aide dès l’âge de 3 ans aux enfants malades mentalement.
 
Mentionnons qu’au Royaume-Uni, les prescriptions de Prozac ont augmenté en flèche entre le printemps et l’automne 2011.
 
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Traiter la dépression infantile

Des enfants d’à peine trois ans peuvent démontrer des symptômes de la dépression. Ceux-ci peuvent en fait être les signes avant-coureurs d’un trouble de l’humeur, par exemple.

Or, on apprend dans le Journal of Child Psychology and Psychiatry qu’une nouvelle approche psychosociale permettrait aux enfants atteints de mieux gérer leurs émotions et ainsi mieux fonctionner dans leur vie en général.

Le Parent Child Interaction Therapy-Emotion Development (PCIT-ED), élaboré par une équipe de la Washington University, aurait en effet apporté des résultats probants.

Basé sur une approche pratique, ce programme a été suivi par une cinquantaine d’enfants âgés de 3 à 7 ans et leurs parents, en comparaison avec une approche déjà existante de psychoéducation.

Après 12 semaines, on a comparé les résultats au sein des 2 groupes de sujets. Tous les enfants avaient démontré une amélioration de leurs symptômes de dépression.

Chez les enfants qui avaient suivi le PCIT-ED, une amélioration avait particulièrement été remarquée quant à leur degré d’anxiété, d’hyperactivité, leurs troubles du comportement, leur hostilité et leur inattention.

Quant à ceux qui avaient suivi la méthode déjà connue de psychoéducation, ils ont démontré une amélioration quant à leur angoisse de séparation.

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Lien entre la dépression infantile et la maladie de Crohn

Selon un médecin de Children’s Hospital de Pittsburgh, Dr Arvind Srinath, il existerait un lien entre la maladie de Crohn et la dépression infantile, lisons-nous sur Med Page Today.

En fait, la dépression semble courante chez les enfants atteints de cette maladie qui se plaignent de douleurs abdominales, et ce, même si leur mal semble minime ou inactif.
 
La comparaison de données touchant 500 jeunes patients fonctionne tout à fait entre la dépression et cette maladie inflammatoire. Parmi eux, 23 % ont reçu un diagnostic de dépression. L’âge moyen du groupe était de 14 ans et autant de filles que de garçons en faisaient partie. On a aussi relevé que l’anxiété était tout autant reliée à la maladie de Crohn.

Dr Srinath recommande donc fortement à ce que l’on évalue les enfants atteints d’une maladie inflammatoire de l’intestin pour savoir le plus tôt possible lesquels souffrent d’une dépression ou en présentent les premiers signes.

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Nouvelle méthode de détection de la dépression infantile

En mesurant l’épaisseur corticale, les médecins seraient peut-être bientôt en mesure de diagnostiquer rapidement une dépression infantile. Cette percée provient des travaux de chercheurs de la Wayne State University.

On pourrait ainsi déceler chez les enfants normaux un trouble dépressif majeur, de même que chez ceux souffrant déjà d’un trouble obsessionnel compulsif. Le syndrome dépressif est assez courant chez les enfants et les adolescents; cette méthode serait donc pleine d’espoir.
 
Pour en arriver à ce constat, on a étudié l’épaisseur corticale chez 24 patients dépressifs, chez 24 autres souffrant d’un trouble obsessionnel compulsif et chez 30 patients en santé.
 
On a par ailleurs relevé que les enfants ayant un historique familial de dépression avaient une épaisseur corticale différente.

Les résultats complets de cette découverte sont parus dernièrement dans Archives of General Psychiatry.