Catégories
Potins

Drew Barrymore: Les hauts et les bas de la maternité

Drew Barrymore fait partie de la longue liste de mères ayant eu de la misère à trouver la recette de la parfaite maman. Se confiant au magazine People, Barrymore avoue avoir souffert d’une dépression après la naissance de sa deuxième fille, aujourd’hui âgée de 17 mois.  

«Je n’ai pas été dépressive après la naissance de ma première fille, donc je ne comprenais pas ce que c’était, je me sentais bien!», explique-t-elle. 

«La seconde fois, je me suis dit : Whoa, là je vois de quoi les gens parlent, je comprends. C’était accablant. J’étais prise dans un nuage gris», dit-elle. 

Elle parle aussi de comment la pression d’être parfaite lui a nuit alors qu’elle craignait qu’on ne juge sa façon d’agir avec les petites. Certains ont même insinué qu’elle devait avoir honte en pensant que ses filles connaîtront un jour le passé tumultueux de leur mère. Sa solution : écrire un livre honnête dans lequel elle explique son parcours afin que ses filles comprennent mieux les difficultés qui l’ont mené à faire les choix qu’elle a faits. 

En pause depuis sa dernière grossesse, le dernier film de Drew Barrymore a été Famille recomposée, une comédie romantique américaine réalisée par Frank Coraci, sortie en 2014.

Catégories
Potins

Hayden Panettiere en dépression post-partum

Hayden Panettiere a demandé de l’aide pour soigner sa dépression post-partum. 

La nouvelle maman s’est rendue dans un centre de soins dix mois après la naissance de sa petite fille, Kaya, qu’elle a eu avec son conjoint, le boxeur Wladimir Klitschko. 

Le porte-parole de la star de 26 ans confirme: «Hayden a volontairement demandé de l’aide d’un centre de traitement alors qu’elle souffre présentement d’une dépression post-partum. Elle demande aux médias de respecter sa vie privée pendant cette période».

Récemment invitée sur le plateau de l’émission Live with Kelly and Michael, Hayden racontait justement son expérience de la dépression postnatale.

«Quand on vous parle de dépression post-partum, vous pensez que c’est du genre : J’ai des sentiments négatifs envers mon enfant, je veux le blesser. Je n’ai jamais, jamais eu ces sentiments. Certaines femmes, si. Mais vous n’imaginez pas l’étendue du spectre lié à ce problème, dans lequel vous pouvez vous retrouver. C’est quelque chose dont on doit parler. Les femmes doivent savoir qu’elles ne sont pas seules et que cela se guérit», racontait-elle.

La dépression postnatale touche un grand nombre de femmes. À Hollywood, d’autres stars l’ont vécu ouvertement comme Brooke Shields, Courteney Cox et Gwyneth Paltrow.

Catégories
Uncategorized

Éviter la dépression postnatale et favoriser l’allaitement grâce à la péridurale

C’est une étude chinoise qui avance que la péridurale n’aurait pas seulement des bienfaits pour apaiser la douleur durant l’accouchement, mais aussi pour diminuer le risque que les femmes souffrent d’une dépression postnatale, quelques semaines après avoir mis au monde leur enfant.

Les scientifiques ont même remarqué que les femmes qui contrôlaient la douleur grâce à la péridurale étaient davantage portées à allaiter.

Pour arriver à ces conclusions, l’étude, parue dans la revue Anesthesia & Analgesia, a divisé en deux groupes des femmes qui accouchaient par voie vaginale. Parmi celles qui ont pris la péridurale, 14% ont été touchées par la dépression post-partum, et 70% ont allaité, contre 35% et 50% respectivement pour le groupe qui a décidé de mettre au monde leur bébé sans antidouleur.

La Dre Katherine Wisner, psychiatre périnatale à la Northwestern University, croit que «le contrôle de la douleur permet aux mères de prendre un bon départ avec leur bébé plutôt que de démarrer cette vie en étant épuisée par un accouchement douloureux ».

Ce sont 14,5 % des femmes dans le monde qui sont victimes de dépression postnatale. D’anciennes études révélaient que les facteurs biologiques et émotionnels favorisent la dépression post-partum, indique Top Santé. La nouvelle étude chinoise serait l’une des rares à faire un lien entre la douleur pendant le travail et les risques de dépressions chez les nouvelles mamans.

Catégories
Uncategorized

La peur de l’accouchement augmente le risque de dépression post-partum

La recherche a été entreprise auprès de 500 000 mères. Les chercheurs ont déterminé que le taux de dépression suivant la naissance était plus élevé chez les femmes ayant leur premier enfant et chez celles ayant un historique dépressif.

D’autre part, les mères avec un historique de dépression sont 3 fois plus susceptibles de subir un épisode de dépression post-partum. Les autres facteurs en cause les plus préoccupants sont l’accouchement par césarienne, la naissance prématurée et les malformations congénitales chez le bébé.

Comme l’indique The Bump, le baby blues et la dépression post-partum sont deux choses distinctes. La dépression a des symptômes plus sévères, persistants, qui disparaissent rarement sans traitement.

Selon les données, 50 à 80 % des nouvelles mamans souffrent de baby blues. Mais seulement de 10 à 15 % subiront une réelle dépression.  

Les chercheurs de cette étude espèrent que les résultats encourageront les spécialistes de la santé à être plus attentifs aux signes précurseurs lorsque la femme craint l’accouchement. Celles-ci devraient être mieux encadrées avant et après la naissance.

Catégories
Uncategorized

L’anxiété post-natale une autre forme de dépression post-partum

Comme l’indique parentsociety.com, les conséquences de la dépression suivant la naissance d’un enfant sont parfois dévastatrices. Les symptômes ont une influence physique, mentale et émotionnelle, sans compter que le partenaire de vie est lui aussi affecté.

Jonathan Abramowitz, président associé et directeur de l’Anxiety and Stress Disorders Clinic à l’Université de la Caroline du Nord, explique que trop de femmes souffrent en silence de la cousine de la DPP : l’anxiété post-partum. « Nous appelons l’anxiété post-partum le trouble caché, puisqu’il y a encore tellement peu de femmes qui le reconnaissent, et il est mal diagnostiqué. »

L’anxiété post-natale peut être similaire à la dépression post-partum et même être développée conjointement. Ce trouble se définit par des comportements excessifs. Notamment, nettoyer la maison et les bouteilles du bébé sans arrêt, vérifier que l’enfant va bien en continu, avoir peur de rester seule avec le bébé et, surtout, être persuadée qu’il se passera quelque chose de terrible et que vous ne pourrez pas l’éviter.

Puisque ce trouble peut vous empêcher de fonctionner au quotidien, il est important de vous tourner sans attendre vers un spécialiste lorsque vous en reconnaissez les symptômes.

Lors de l’étude menée à ce propos, sur les 1000 participantes, 11 % souffraient d’anxiété post-partum (APP).

Catégories
Uncategorized

Post-partum moins élevé chez les mères qui prennent un congé prolongé

On peut se compter très chanceuse si on a droit à un congé de maternité plus long que les 12 semaines accordées par la loi fédérale aux États-Unis. D’ailleurs, d’un pays à l’autre, les normes diffèrent énormément.

Au Québec, par exemple, on peut prendre jusqu’à 1 an de congé. Voilà une bonne nouvelle pour les futures mamans, puisque selon une étude menée par le Dr Rada Dagher à l’Université du Maryland, un congé plus long pourrait vous éviter les blues post-partum.

« Notre étude démontre que les femmes qui retournent travailler plus tôt que 6 mois après la naissance de l’enfant ont un risque accru de symptômes dépressifs post-partum », a déclaré le Dr Dagher dans un communiqué.

La recherche a pu compter sur la participation de 800 femmes du Minnesota. Celles-ci ont été suivies pendant la première année suivant leur accouchement. 87 % des mères sont retournées au travail avant 6 mois, dont environ 7 % à l’intérieur de 6 semaines, et 46 % à l’intérieur de 12 semaines.

Au cours de cette année, 13 % de ces mères (plus d’une centaine) ont souffert de dépression post-partum.

Les informations relevées indiquent également, selon webmd.com, que plus long était le congé de maternité, et moins grand était le nombre de femmes qui souffraient de ces symptômes.

Catégories
Uncategorized

Prédire la dépression postnatale

C’est dans le Journal of Psychiatry Research qu’ont été publiés les résultats fort prometteurs d’une nouvelle recherche concernant la prédiction de la dépression postpartum. Le nombre de femmes en souffrant est estimé à 1 sur 7.

Lors de leurs recherches, les spécialistes de l’Université de Warwick en Angleterre et des hôpitaux du NHS ont trouvé deux gènes identifiés comme étant impliqués dans la réponse au stress, GE et CRH-R1.

Les prélèvements sanguins de 200 femmes enceintes ont révélé deux modifications génétiques dans ces gènes, et il a été déterminé que les femmes portant ces mutations avaient un risque élevé de souffrir d’une dépression postnatale.

Lors de l’accouchement, il se produit un changement du taux de corticotrophine, une hormone produite par le placenta. Le tout vient déséquilibrer l’axe HHS, un réseau biologique constitué de glandes et d’hormones liées au stress.

Ce type de déséquilibre peut alors causer des symptômes dépressifs tels que l’anxiété, l’irritabilité, des pleurs sans raison et des difficultés relationnelles.

Heureusement, moyennant des recherches plus approfondies, une simple prise de sang pourrait déterminer les risques d’une future maman de souffrir de ce trouble malheureusement très commun.

Catégories
Uncategorized

Une femme sur 7 souffrirait de dépression post-partum

Une nouvelle étude portant sur 10 000 nouvelles mères a révélé que 14 % d’entre elles souffraient de dépression post-partum. De ce nombre, 826 ont subi une évaluation psychiatrique complète.

Près de 20 % d’entre elles avaient déjà pensé à se faire du mal. Ce nombre est très préoccupant quand on sait qu’un décès post-partum sur 5 est lié au suicide, et que cette cause de mort est la 2e plus importante chez les nouvelles mères, après les complications liées à l’accouchement.

De plus, 30 % des femmes qui souffraient de dépression ont affirmé qu’elles étaient déjà dépressives avant leur grossesse, et le même nombre souffrait de dépression durant celle-ci. Près de deux tiers de ces femmes souffraient également d’anxiété. 22 % avaient un trouble bipolaire, qui n’avait jamais été diagnostiqué par leur médecin.

« La majorité des nouvelles mères qui souffrent de dépression post-partum ne sont jamais identifiées ni traitées, même si elles sont à haut risque de développer des problèmes psychiatriques. Il s’agit d’un problème de santé publique énorme. La santé mentale d’une mère a un impact énorme sur le développement du foetus, ainsi que sur le développement physique et mental du bébé », a expliqué la Dre Katherine Wisner, selon PscyhCentral.

Catégories
Uncategorized

Le baby blues

Environ 40 à 80 % des nouvelles mamans vont vivre un baby blues, c’est-à-dire une courte période de dépression causée par tous les bouleversements physiques, hormonaux et psychologiques liés à l’arrivée d’un nouveau bébé.

Le premier symptôme est souvent un sommeil perturbé. Il y a aussi une attitude hypervigilante et hyperactive, des problèmes d’alimentation (de la mère et du bébé), le sentiment d’être complètement dépassée par la situation (l’allaitement, les pleurs et les cris du bébé), une tristesse prononcée, le sentiment de doute constant…

Le baby blues peut durer de quelques heures à quelques jours, et peut être plus ou moins sévère. Certaines femmes s’en tireront avec une seule bonne crise de larmes, alors que d’autres se sentiront presque paralysées. Au-delà de 10 jours par contre, il est possible que la mère souffre plutôt de dépression post-partum, qui demande un suivi médical et possiblement psychologique.

Pour passer à travers le baby blues, il faut en parler, parce que mettre des mots sur ces émotions difficiles peut réellement aider. N’hésitez pas à avoir recours à un professionnel, qui vous procurera de l’écoute, des soins et une orientation.

Si possible, demandez également l’aide d’un proche qui pourra prendre soin de bébé, ne serait-ce que pour quelques heures, ce qui vous permettra de vous reposer et de vous retrouver au moins un peu.

Catégories
Uncategorized

Encore trop de dépressions post-partum

Alors que la naissance d’un enfant représente souvent la réalisation d’un voeu précieux et de nombreux moments de pur bonheur en perspective, 10 % des femmes sombrent dans une dépression post-partum, et plusieurs d’entre elles ne seront jamais décelées, rapporte le site Top Actus Santé.

Cette dépression peut survenir peu après l’accouchement, mais aussi jusqu’à 1 an plus tard, alors que certaines femmes se sentent isolées avec leur bébé, sans trop savoir comment gérer tous les aspects de la maternité. En plus, la plupart des mamans dans cette situation n’osent pas parler de leur état et ne reçoivent donc pas l’aide nécessaire.

Or, il est maintenant fortement recommandé à toutes les femmes enceintes d’avoir un entretien prénatal précoce, dès le début du second trimestre de grossesse. Cet entretien permet de parler de tous les sujets voulus, rassurer la future maman et déceler un risque possible de dépression post-partum.

L’entretien prénatal précoce représente donc un bon espoir pour mieux combattre ce type de dépression. Cependant, le manque de personnel apte à recevoir les femmes pour un entretien et le fait que ce rendez-vous ne soit pas obligatoire, ou du moins bien ancré dans les habitudes de suivi de grossesse, sont deux points à travailler pour en augmenter l’efficacité.