Catégories
Uncategorized

Dépression post-partum : données inquiétantes

Presque la moitié des mères qui souffrent d’une dépression post-partum n’en parleraient pas à leur médecin. Un rapport anglais sonne l’alarme quant à cette triste réalité, nous apprend Mail Online.

On apprend par ailleurs que près de 70 000 femmes souffrent d’une dépression postnatale, et ce, au Royaume-Uni seulement. Mentionnons que ce mal touche tout autant les femmes qui n’ont jamais connu de problèmes de santé mentale. Le rapport indique que 49 % de toutes les femmes atteintes ne demandent pas d’aide.

L’une des raisons majeures de ce silence serait que les femmes craignent qu’on leur enlève leur bébé si elles recevaient un tel diagnostic. Un tiers des femmes dépressives n’en parleraient à personne pour cette raison.

On apprend aussi, par ce rapport présenté par 4Children, que près du tiers des femmes concernées n’avaient pas réalisé qu’elles souffraient d’une dépression. Plus de la moitié des répondantes ne pensaient pas, quant à elles, que leurs symptômes étaient assez sérieux pour recourir à un traitement.

On recommande que plus d’efforts soient mis dans la prévention et la détection de la dépression postnatale, car plus tôt elle est diagnostiquée, plus les effets de son traitement sont efficaces.

Catégories
Uncategorized

La dépression postnatale, pour la vie?

Selon une recherche parue dans le Journal of the American Academy of Child and Adolescent Psychiatry, la dépression postnatale pourrait avoir des répercussions sur l’enfant.

En fait, si ce type de dépression se résout le plus souvent quelque temps après la naissance, elle pourrait en entraîner une chez l’enfant si la mère en souffre durant une plus longue période.

Les premiers signes pourraient en être reconnus dès l’enfance et, dans la majorité des cas, durant l’adolescence. Plus précisément, les enfants dont la mère avait souffert d’une dépression postnatale étaient 40 % plus enclins à en vivre une, une fois l’âge de 16 ans atteint.

De plus, l’âge moyen des premiers signes d’une dépression a été établi à 14 ans. Les signes d’un problème d’attachement à la mère durant l’enfance seraient aussi en lien avec le développement de ce mal.

Ces chiffres ont été établis selon 100 mères, dont 58 avaient reçu un diagnostic de dépression postnatale. À différentes étapes de l’étude, soit à 18 mois, puis à 5, 8, 13 et 16 ans, l’enfant et la mère ont ensuite fait l’objet d’une évaluation.

Les chercheurs rappellent donc, à la lumière de ces résultats, l’importance du dépistage de la dépression chez les nouvelles mamans afin d’offrir le soutien nécessaire le plus tôt possible.

Catégories
Uncategorized

La dépression postnatale serait-elle hormonale?

On cherche toujours les vraies raisons de la dépression postnatale, laquelle affecte de nombreuses nouvelles mamans.

Si plusieurs voies ont jusqu’ici été abordées, on se tourne maintenant du côté des hormones. Des chercheurs des universités de Bâle en Suisse et de Trèves en Allemagne ont présenté une étude ayant porté sur 98 femmes enceintes. Ils avancent un possible lien entre la dépression postnatale et l’ocytocine.
 
Rappelons que l’ocytocine est une hormone peptidique qui est notamment libérée pendant l’allaitement. Elle est fortement sollicitée lors de l’accouchement, ce qui empêcherait le bébé de souffrir durant sa naissance, selon une récente recherche.
 
On lui accorde aussi un rôle dans les relations sociales et amoureuses, de même que lors de situations requérant l’altruisme et l’attachement, entre autres.
 
Ainsi, on peut lire sur Santé Log que les femmes ayant un faible taux sanguin d’ocytocine durant leur grossesse se trouvent plus à risque de vivre une dépression après la naissance de leur enfant.

Toutefois, mentionnons que les chercheurs de cette étude ont émis un bémol. Selon eux, des investigations subséquentes devront suivre, car plusieurs autres facteurs peuvent entrer en ligne de compte quant à la dépression postnatale. On pense ici à des conditions physiologiques (les fluctuations d’hormones, par exemple) ou psychologiques.

Catégories
Uncategorized

Un autre avis quant à l’huile de poisson

On apprenait dernièrement que la classique huile de foie de morue serait à bannir durant la grossesse, car elle pourrait causer des dommages au fœtus.

Une nouvelle recherche nous dit maintenant qu’elle serait bénéfique, de même que le poisson, pour prévenir la dépression postnatale, apprend-on sur Mail Online.
 
La grande quantité d’oméga-3 que ces aliments contiennent soutiendraient cette hypothèse. Il semble qu’en faire des réserves durant la grossesse donnerait une meilleure force mentale aux femmes quelques mois plus tard.
 
Toutes les méthodes de prévention de la dépression postnatale doivent bien sûr être prises en compte, car ce mal touche 13 % des mères.
 
Malgré ces résultats d’une équipe de l’Université du Connecticut, il semble que les doses doivent être quand même raisonnables, car trop d’huile de poisson durant la grossesse peut contrer le développement du bébé.

De plus, de nombreux poissons contiennent de forts taux de mercure. Ainsi, une femme enceinte ne devrait pas en prendre plus de deux fois par semaine.