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Une étude trace un lien entre la foi et la dépression

Une nouvelle étude sur les impacts de la spiritualité et la religion dans la vie des croyants trace un parallèle entre la foi et un risque accru de dépression, révèle Top Santé.

Cette étude britannique vient pourtant contredire presque toutes les recherches et études similaires effectuées sur le sujet, qui concluaient massivement plutôt l’inverse.

Or, selon le professeur Michael King, qui signe cette nouvelle étude et la publie dans le magazine Psychological Medicine, les sujets qui se disent croyants et spirituels ont jusqu’à trois fois plus de chances de développer un trouble de l’humeur comme la dépression.

« … la religion, et davantage encore la spiritualité sans lien avec une religion formelle, se révèle impuissante à aider qui que ce soit à se sortir d’un moment de déprime. Pire, elles pourraient même constituer des facteurs aggravants », conclut l’équipe de King.

Il admet cependant que nombre d’études précédentes sur le sujet ont démontré le contraire, et croit que d’autres analyses restent à faire.

Le professeur King a-t-il raison ou ferait-il plutôt preuve… de mauvaise foi?

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Maltraitance chez les enfants, attention au stress post-traumatique

Une étude menée par des médecins de la NYU School of Medicine a été publiée récemment sur JAMA Pediatrics. Les résultats démontrent que les enfants d’âge préscolaire sont plus souvent victimes de maltraitance physique et psychologique lorsque leur mère est atteinte du trouble de stress post-traumatique (TSPT).

Le TSPT peut apparaître selon différents facteurs, à la suite d’un élément déclencheur unique (mort, agression, accident grave, viol, etc.) ou chez les personnes anxieuses et dépressives, notamment chez les femmes vivant une dépression post-partum sévère.

Selon l’étude, qui a gravité autour de 97 femmes ayant des enfants de 3 à 5 ans, 1 femme sur 4 qui était déprimée souffrait d’un TSPT, et la moitié d’entre elles étaient également en dépression. Cet état psychologique, reconnu comme étant propice à la maltraitance chez l’enfant et à un niveau plus élevé de colère et d’agressivité chez le patient, a démontré des résultats probants.

Les enfants de mères sans aucun symptôme dépressif ou de celles souffrant uniquement de dépression subissaient en moyenne 1,3 épisode de maltraitance. En contrepartie, les femmes combinant la dépression et le TSPT faisaient grimper la moyenne à 3,5 épisodes de maltraitance, et celles souffrant uniquement du TSPT à 5 épisodes.

Ainsi, si vous croyez souffrir du trouble de stress post-traumatique, n’attendez pas. Consultez un spécialiste pour vous aider.

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Le sexe et le sommeil devant la télé pourraient contribuer à la dépression

Le Daily Mail (UK) rapporte des conclusions étonnantes tirées d’une étude sur les troubles dépressifs en provenance du NHS, en Angleterre.

On y apprend qu’outre les facteurs de risques déjà connus en matière de dépression et de troubles de l’humeur, par exemple la vie sociale et amoureuse, l’argent et le stress professionnel, plusieurs autres peuvent venir s’ajouter à la liste et vous mener tout droit vers une dépression. Et certains ont de quoi surprendre…

À commencer par le sexe, qui semble laisser des traces de tristesse chez plusieurs personnes, malgré son effet bienfaiteur à très court terme. Un tiers des femmes, par exemple, ressentiraient cet effet retour, si l’on se base sur des chiffres issus d’une étude australienne.

Plus étonnant encore, un autre facteur de risque de la dépression serait de s’endormir devant la télévision. Si plusieurs personnes (célibataires surtout) semblent apprécier le doux ronron du téléviseur la nuit, il appert que ce dernier est très mauvais pour la santé mentale. Même son de cloche en ce qui concerne les ordinateurs et autres engins du genre.

Quelques autres facteurs sont également mentionnés, comme une baisse de consommation de viande rouge, une surutilisation de médicaments (surtout les antidépresseurs, ironiquement), et même votre posture lorsque vous êtes assis!

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Les problèmes mentaux et la drogue plus meurtriers que le sida

S’il est plus facile d’apposer des étiquettes et des statistiques sur des maladies précises comme le sida, par exemple, les troubles mentaux et de consommation de drogues demeurent, eux aussi, un grand fléau en cette ère moderne.

C’est exactement le constat que rapporte Santé Log, à la suite d’une étude publiée sur le sujet, qui classe maintenant les problèmes psychologiques et de drogues comme plus meurtriers que le sida et la tuberculose.

Selon les chercheurs américains et australiens qui se sont penchés sur des statistiques mondiales pour en arriver à ces conclusions, les décès liés à la consommation d’alcool et de drogues sont dramatiquement élevés.

Même chose pour les troubles et désordres psychologiques comme la dépression, les troubles bipolaires et du développement, la schizophrénie et l’anxiété chronique.

Les deux types de problèmes sont parfois intrinsèquement liés et mènent trop souvent à des suicides, des surdoses ou encore à d’autres problèmes de santé graves.

L’étude presse donc les organisations et spécialistes de la santé de partout dans le monde à placer ces troubles comme une priorité absolue des campagnes de sensibilisation et de prévention, dans le futur.

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Réduire les risques de dépression en vieillissant grâce au vin

Vieillir comme le bon vin pourrait bien être plus facile… grâce au vin!

En effet, selon les informations rapportées par Top Santé, le vin serait un allié de taille dans la prévention de la dépression chez les personnes qui commencent à prendre de l’âge, soit de 55 à 80 ans, en moyenne.

C’est justement cette tranche d’âge qu’ont analysé des chercheurs espagnols lors d’une étude qui trace un lien direct entre la consommation de vin et une réduction des risques de dépression chez les gens à l’âge de la retraite.

« Nous avons sélectionné 5500 personnes âgées de 55 à 80 ans et, pendant sept ans, nous avons suivi leur état de santé psychologique et mis en parallèle leur consommation de vin. Nous nous sommes rendu compte que le risque de dépression était diminué en moyenne de 32 % chez les personnes qui buvaient de deux à sept petits verres de vin par semaine », explique Miguel Martinez-Gonzalez, de l’Université de Navarre.

Donc, en moyenne, l’effet optimal pourrait se faire sentir avec un verre de vin bu quotidiennement, mais les excès risquent d’apporter plus de problèmes qu’ils n’en règlent!

Comme l’élément clé de cette réduction des risques de troubles dépressifs est le resvératrol, on suggère aussi de consommer des petits fruits comme la canneberge ou les mûres, par exemple.

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La dépression frappe autant les hommes que les femmes

Plusieurs études et recherches tendent à vouloir démontrer que la dépression est un trouble qui frappe davantage les femmes que les hommes, ou à tout le moins que ces dernières présentent plus souvent des symptômes liés à la dépression que leurs congénères masculins.

Or, selon une étude rapportée par The National Library of Medicine, rien ne serait plus faux. Les conclusions de l’étude tracent plutôt un portrait équitable chez les deux sexes en matière de dépression, avec un pourcentage similaire d’environ 16 % de la population.

On suggère que l’impression générale actuelle, à savoir que les femmes sont plus sujettes aux symptômes de la dépression, pourrait bien être explicable par le fait que les hommes sont plus enclins à garder leurs émotions pour eux et à ne pas demander d’aide.

« Cela ne nous aide pas beaucoup de savoir que plus d’hommes souffrent de dépression que nous le pensions, si nous ne pouvons les amener à franchir la porte pour obtenir de l’aide », tranche Lisa Martin, auteure principale de l’étude en provenance du Michigan, aux États-Unis.

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Le bénévolat pourrait bien vous faire vivre plus longtemps

Une stupéfiante nouvelle étude vante les mérites du bénévolat sur la santé, et même sur la longévité!

La recherche, rapportée par le Daily Mail (UK), parle d’un risque de mort prématurée réduit jusqu’à 20 %, chez les personnes qui se portent volontaires dans leur communauté.

Le bénévolat et l’aide communautaire auraient un effet appréciable sur la santé, croit l’équipe de chercheurs de l’Université d’Exeter, qui base ses conclusions sur l’analyse de 40 études internationales.

Aider les gens de sa communauté permettrait notamment une meilleure santé physique et mentale, un risque moindre de dépression, de même qu’un sentiment de plénitude et de satisfaction beaucoup plus élevé.

« Il n’est pas encore clair si les facteurs biologiques et culturels ainsi que les ressources sociales, qui sont souvent associées avec la bonne santé et la longévité, sont également reliés au désir de faire du volontariat au départ », précise Dre Suzanne Richards, leader de ces recherches.

L’étude va de pair avec une autre, parue récemment, qui traçait un lien entre l’altruisme et la longévité.

stupéfiante nouvelle étude vante les mérites du bénévolat sur la santé, et même sur la longévité!

La recherche, rapportée par le Daily Mail (UK), parle d’un risque de mort prématurée réduit jusqu’à 20 %, chez les personnes qui se portent volontaires dans leur communauté.

Le bénévolat et l’aide communautaire auraient un effet appréciable sur la santé, croit l’équipe de chercheurs de l’Université d’Exeter, qui base ses conclusions sur l’analyse de 40 études internationales.

Aider les gens de sa communauté permettrait notamment une meilleure santé physique et mentale, un risque moindre de dépression, de même qu’un sentiment de plénitude et de satisfaction beaucoup plus élevé.

« Il n’est pas encore clair si les facteurs biologiques et culturels ainsi que les ressources sociales, qui sont souvent associées avec la bonne santé et la longévité, sont également reliés au désir de faire du volontariat au départ », précise Dre Suzanne Richards, leader de ces recherches.

L’étude va de pair avec une autre, parue récemment, qui traçait un lien entre l’altruisme et la longévité.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Guérir la dépression par la thérapie sonore

De nouvelles recherches tendent à démontrer l’avenir prometteur de la thérapie sonore pour le traitement des troubles de l’humeur et de la dépression, selon le Daily Mail (UK).

Des chercheurs de l’Université d’Arizona, notamment, ont tenté l’expérience des ultrasons sur 14 étudiants volontaires, dont la moitié seulement ont reçu véritablement une « dose » d’ultrasons.

Les sujets croyaient participer à une étude sur la maîtrise de la douleur et n’y ont vu que du feu. Les chercheurs ont donc pu surveiller les variations de l’humeur de leurs sujets volontaires, quelque 10 minutes après l’expérience.

Les résultats, basés sur des échelles exhaustives de calcul des différentes émotions humaines possibles, révèlent des pointes de « bonne humeur » évidentes à la suite du traitement.

« Il est intéressant de constater que les ultrasons à la tête ont des effets sur le fonctionnement du cerveau et qu’ils peuvent influencer l’humeur. Il y a un potentiel d’aide contre la dépression clinique et l’anxiété. Toutefois, il faudra encore plus de travail et d’essais cliniques bien menés avant de pouvoir emmener ça en clinique », résume le professeur Nick Craddock, du Collège royal des psychiatres.

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La « dépression Facebook » : un phénomène bien réel?

Top Santé rapporte une étude fort intéressante sur l’impact du réseau social Facebook sur l’humeur de ses usagers.

Des chercheurs américains, en collaboration avec une équipe de chercheurs belges, ont cherché à comprendre les impacts de Facebook sur l’humeur et si ce dernier pouvait mener à des troubles comme la dépression.

Après avoir analysé les comportements et les réactions de 82 volontaires, les chercheurs concluent qu’en effet, le réseau social mène généralement à une moins bonne humeur générale.

Pour parvenir à cette réponse, on a fait répondre les sujets à plusieurs questionnaires avant l’étude, puis on a testé les réactions en temps réels de ceux-ci lors de l’utilisation de Facebook. Finalement, les volontaires ont repassé une série de questionnaires à la suite de l’étude.

Les résultats sont clairs : plus on utilise Facebook, moins on se sent bien.

Même si les chercheurs du Michigan ne souhaitent pas nier les avantages de Facebook en bloc, ils tiennent à mettre en garde la population, spécialement les gens qui souffrent déjà de troubles de l’humeur.

« Facebook peut constituer une ressource inestimable pour satisfaire le besoin humain de créer un lien social. Toutefois, plutôt que d’améliorer le bien-être, il semble le miner », conclut l’équipe de chercheurs américains.

op Santé rapporte une étude fort intéressante sur l’impact du réseau social Facebook sur l’humeur de ses usagers.

Des chercheurs américains, en collaboration avec une équipe de chercheurs belges, ont cherché à comprendre les impacts de Facebook sur l’humeur et si ce dernier pouvait mener à des troubles comme la dépression.

Après avoir analysé les comportements et les réactions de 82 volontaires, les chercheurs concluent qu’en effet, le réseau social mène généralement à une moins bonne humeur générale.

Pour parvenir à cette réponse, on a fait répondre les sujets à plusieurs questionnaires avant l’étude, puis on a testé les réactions en temps réels de ceux-ci lors de l’utilisation de Facebook. Finalement, les volontaires ont repassé une série de questionnaires à la suite de l’étude.

Les résultats sont clairs : plus on utilise Facebook, moins on se sent bien.

Même si les chercheurs du Michigan ne souhaitent pas nier les avantages de Facebook en bloc, ils tiennent à mettre en garde la population, spécialement les gens qui souffrent déjà de troubles de l’humeur.

« Facebook peut constituer une ressource inestimable pour satisfaire le besoin humain de créer un lien social. Toutefois, plutôt que d’améliorer le bien-être, il semble le miner », conclut l’équipe de chercheurs américains.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Potins

Oprah Winfrey au bord de la dépression

Après 25 ans à la tête d’un talk-show qui a été numéro 1 pendant toutes ces années, Oprah Winfrey décidait de tirer sa révérence en mai 2011 pour lancer sa propre chaîne de télévision, Oprah Winfrey Network (OWN). Seulement, elle croyait que le succès serait rapidement au rendez-vous.

La première année de la chaîne a été particulièrement difficile, n’attirant pas autant de téléspectateurs que l’on croyait. Winfrey a donc dû remanier grandement sa grille horaire pour tenter de mieux séduire les téléspectateurs. Toutefois, cette pression ressentie pour faire de OWN un succès l’a conduite vers la dépression nerveuse.

À l’été 2012, elle a donc pris un peu de recul. Elle a constaté qu’elle n’allait pas bien lorsqu’elle a interviewé Jason Russell, l’homme derrière la campagne Korn 2012, sur son effondrement émotionnel. « Jason a parlé du fait qu’il vivait une dépression nerveuse, et je me suis dit que j’avais aussi ces symptômes », a-t-elle confié à People.

Elle a alors senti le besoin de se retirer, et elle avoue que son partenaire de longue date, Stedman Graham, a été d’un grand secours. « Après 25 ans numéro 1, j’avais pris habitude du succès. Je ne m’attendais pas à un échec. J’ai été testée très profondément », raconte L’animatrice.