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Paris Jackson a lancé un appel à l’aide

Hier (5 juin), la fille du défunt Michael Jackson, Paris Jackson, a été transportée à l’hôpital pour une tentative de suicide. People rapporte que l’adolescente de 15 ans s’était coupé les poignets avec un couteau de cuisine et avait avalé 20 comprimés d’ibuprofène. Elle avait même laissé une note de suicide.

Une source proche de la famille mentionne que la jeune fille ne va pas bien du tout. « Paris est très, très déprimée depuis un certain temps. Elle a eu des crises, des colères, elle donnait des coups de pieds, criait et s’automutilait. »

« Son père lui manque beaucoup. (Le 25 juin marquera le quatrième anniversaire du roi de la pop.) Elle était le centre de l’univers pour Michael, mais c’est très différent maintenant. Elle dit qu’elle est seule et ne se sent pas aimée », ajoute le proche.

Sandra Ribera, l’avocate de Katherine Jackson, la mère du défunt chanteur, confirme que Paris va physiquement bien maintenant et qu’elle recevra toute l’aide nécessaire.

« Paris dit qu’il lui manque quelque chose dans sa vie. C’est un appel à l’aide », ajoute une seconde source. « Paris est très malheureuse et seule. Elle vit dans un endroit à haute sécurité avec ses oncles parasites. Elle est seule, et c’est une des raisons pour lesquelles elle a tendu la main à sa mère. Elle veut une famille, son père lui manque. »

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La thérapie devrait être privilégiée après un diagnostic de dépression

La montée en flèche des prescriptions et de la consommation d’antidépresseurs a de quoi inquiéter. Véritable solution miracle qui permet de ne pas faire face à la racine du mal, de plus en plus de spécialistes s’accordent pour dire que les statistiques en matière d’antidépresseurs dépassent les bornes.

Des opinions qui seront renforcées par cette nouvelle étude rapportée par Top Santé, qui fait état des taux de succès de la psychothérapie, presque aussi efficace que le Prozac et ses homologues.

La recherche, en provenance de la Suisse, compile les résultats obtenus par différentes approches tentées auprès de patients dépressifs (198 études compilées, 15 000 patients au total).

Les résultats sont clairs pour le Dr Jürgen Barth, il faudra manifestement privilégier les options de thérapie dans le futur.

Moins dangereuses que les antidépresseurs, les différentes thérapies possibles ont également l’avantage de creuser le problème original et de tenter de régler le trouble dépressif à la source.

Il est à souhaiter que ce genre de message fasse son chemin à travers la population mondiale.

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Le yogourt pourrait contribuer au traitement de la dépression

S’il semble utopique de croire qu’un geste aussi simple que celui de manger du yogourt puisse traiter la dépression nerveuse, il semble qu’il peut néanmoins contribuer à l’amélioration des symptômes et favoriser un traitement efficace.

C’est ce qui ressort des conclusions rapportées par le Daily Mail (UK), alors que des chercheurs américains ont analysé les comportements de certains patients atteints de dépression.

Ils ont pu constater que les sujets qui recevaient deux portions de yogourt par jour voyaient les zones du cerveau associées aux émotions et à la douleur s’agiter beaucoup moins.

Moins d’activité pour moins de symptômes, donc, une réaction qui serait attribuable à la présence de probiotiques dans le produit.

Ces bactéries seraient capables d’envoyer un signal au cerveau et d’ainsi changer la mécanique découlant d’une dépression.

La réaction est telle que les chercheurs en cause dans cette recherche croient qu’il serait possible de voir apparaître incessamment un « traitement probiotique », qui pourrait venir en aide notamment aux personnes souffrant d’anxiété, d’Alzheimer, d’autisme et, bien sûr, de dépression.

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La dépression chez les femmes de plus de 40 ans pourrait mener à l’infarctus

Top Santé rapporte une étude exhaustive concernant les troubles dépressifs chez les femmes de plus de quarante ans, qui laisse croire qu’un lien de cause à effet est possible entre la dépression et certains problèmes cardiaques.

Après avoir suivi plusieurs femmes de 47 à 52 ans sur une période de 12 ans, les chercheurs de l’Université du Queensland, menés par le Dr Jackson, concluent que les femmes victimes de dépression une fois dans la quarantaine voient leurs risques de subir un infarctus augmenter d’un peu plus du double (2,4 fois).

L’étude corrobore donc les résultats de recherches précédentes effectuées sur des femmes de 60 ans et plus qui faisaient état d’un risque trois fois plus important de crise cardiaque à la suite d’un diagnostic de dépression.

Cette nouvelle étude est importante, car elle permet de souligner un autre facteur de risque d’AVC et de maladies cardiovasculaires, première cause de mortalité chez la femme. Les antidépresseurs seraient également risqués pour le cœur, ce qui fait alors bondir les statistiques!

Les chercheurs veulent sensibiliser les femmes de 40 ans et plus à se mettre au sport, qui permet non seulement de garder un cœur en santé, mais aussi de tenir à l’écart plusieurs problèmes psychologiques et troubles de l’humeur. 

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Les stéroïdes ne seraient pas dangereux que pour la santé physique

Bien que les stéroïdes anabolisants permettent des prouesses athlétiques et des gains musculaires spectaculaires, il est bien reconnu que d’en faire l’utilisation comporte sa part de risques pour la santé.

Mais pas uniquement pour la santé physique, apprend-on des informations rapportées par Santé Log, alors qu’une nouvelle étude en provenance de Suède fait état d’importants risques pour la santé mentale, à moyen et long terme.

Selon l’étude parue dans le British Journal of Sports Medicine, des recherches effectuées sur des athlètes suédois démontrent un lien direct entre l’utilisation des stéroïdes et le développement de certains troubles mentaux et psychologiques.

On parle notamment de problèmes de dépression, de concentration et de troubles comportementaux divers, qui peuvent survenir des années plus tard.

Le Dr Fahlke, auteur principal de l’étude, parle d’un « cercle vicieux » dont seraient victimes plusieurs athlètes au cours de leur vie, voyant certains problèmes de santé mentale être renforcés par l’utilisation de stéroïdes, et pouvant ensuite mener à des abus d’autres drogues ou d’alcool.

Un cercle vicieux que les chercheurs souhaitent éviter pour la nouvelle génération de sportifs, qui se doivent d’être sensibilisés à la cause et au phénomène.

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Comment gérer l’anxiété prénatale sévère

En effet, selon Today’s Parent, l’anxiété prénatale doit être prise en charge au même titre qu’une dépression qui suit la naissance de l’enfant.

Si plutôt que de ressentir la joie d’être enceinte, vous multipliez les scénarios catastrophes, parlez-en à votre médecin. Une femme portée sur l’anxiété peut effectivement réagir très négativement à l’annonce d’une grossesse, sans être en mesure de gérer ses émotions.

Celles-ci se transformeront rapidement en cercle vicieux. Est-ce que je saurai m’occuper d’un enfant? Est-ce que mon mariage en souffrira? Et si jamais il était handicapé ou qu’il m’arrivait quelque chose pendant la grossesse et que mon conjoint doive s’occuper seul de l’enfant…

Vous vous sentez concernée? Il n’y a aucune honte à avoir. Mais vous devez être recommandée à un spécialiste rapidement afin de vous aider à traverser cette période, dès que les symptômes de votre anxiété deviennent physiques. Ils vont du trouble du sommeil au sentiment de resserrement de la poitrine ou à des palpitations cardiaques.

Il arrive que l’intensité des symptômes nécessite un traitement médical, mais dans la plupart des cas, rassurez-vous, un bon thérapeute sera suffisant. Parler de ce qui nous inquiète avec un spécialiste est d’une aide précieuse. Celui-ci pourra également vous conseiller une thérapie cognitive complémentaire, notamment en yoga ou en méditation.

Ceci étant dit, si vous vivez déjà avec des troubles anxieux, soyez prévoyante. Si vous désirez des enfants, faites part de votre crainte à votre médecin.

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L’effet antidépresseur de l’exercice physique vanté

Alors que plusieurs études et rapports de spécialistes indiquent qu’il serait peut-être bon de revoir à la baisse le nombre de prescriptions d’antidépresseurs et de diagnostics « préventifs » de dépression, voici une étude qui vante l’exercice comme méthode alternative.

Pour les Drs Chad Rethors et Madhukar Trivedi de l’Université du Texas, l’activité physique permet non seulement de garder une bonne santé générale, mais aussi mentale, rapporte Top Santé

Peu onéreux et très efficace, l’exercice est une option de choix en prévention ou en traitement de troubles dépressifs. Cependant, les chercheurs croient qu’il existe des contextes et des paramètres précis pour assurer le bon fonctionnement de ce traitement alternatif.

D’abord, il ne faut pas lésiner. On conseille vivement jusqu’à cinq séances par semaine d’exercice physique, de 45 minutes minimum chacune, à bonne intensité.

On constate que cette façon de faire commence à porter des fruits après la quatrième semaine de labeur, et qu’il faut maintenir le rythme durant près de 12 semaines pour assurer un « traitement » complet.

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Le risque de dépression peut varier selon la qualité de votre relation amoureuse

Les relations amoureuses et sociales peuvent s’avérer déterminantes dans le développement des troubles dépressifs, rapporte Santé Log, alors qu’une étude sur le sujet vient de paraître dans la revue PLoS ONE.

On y avance que les relations d’amitié et amoureuses sont au cœur de plusieurs cas de dépressions nerveuses, et qu’une personne malheureuse en couple voit ses risques de développer de tels problèmes psychologiques augmenter grandement.

Si on analyse bien les chiffres démontrés, on parle même d’un risque accru pouvant aller jusqu’à 50 %!

On conseille donc le célibat, au lieu de faire perdurer une relation qui n’a manifestement pas d’avenir ou qui est constamment teintée d’émotions négatives et de conflits.

Cette étude en est une autre qui ouvre le débat sur les impacts de la vie sociale et générale sur la dépression, qui ne se forme pas toujours « par elle-même ». Bien qu’on parle de « maladie », plusieurs dépressions ne sont pas aléatoires et pourraient être prévenues par les patients si ceux-ci étaient attentifs aux aspects négatifs de leur vie.

On note également une différence de risque de dépression selon la classe sociale et le revenu, des conclusions qui font avancer la cause dans la bonne direction.

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La foi au service de la santé mentale

S’il existe un sujet tabou en cette ère où les valeurs morales semblent de plus en plus être laissées de côté, c’est bien celui de la foi.

Pourtant, le fait de croire en quelque chose est une arme puissante remplie d’optimisme et d’espoir, mais on s’oblige à reléguer la foi aux oubliettes, comme s’il s’agissait d’un conte, d’une histoire pour enfants.

Pourtant, les gens portés par un sentiment de foi sont souvent plus souriants et optimistes que ceux qui ne croient nullement à une forme de vie après la mort.

Santé Log corrobore cette théorie en rapportant une étude de la Harvard Medical School, publiée récemment dans le Journal of Affective Disorders.

L’étude vante les mérites de la foi et avance que ceux qui ne craignent ainsi pas la mort sont moins enclins à développer des troubles dépressifs. Parmi ceux qui seront tout de même aux prises avec des symptômes de dépression, on dit que la foi permet un rétablissement bien plus rapide.

Bref, une meilleure santé mentale est observable chez les sujets qui croient, et malgré le tabou entourant le sujet, on ne peut que trouver de la logique dans ce raisonnement.

Après tout, vivre en étant convaincu que le néant nous attend au coin de la rue, c’est franchement déprimant.

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La dépression pourrait bien se transmettre d’une personne à l’autre

Top Santé rapporte une étude sur la dépression qui révèle des faits étonnants au plan scientifique, mais dont plusieurs personnes se doutaient probablement.

Selon les chercheurs américains qui se sont penchés sur le sujet, la dépression serait transmissible, ou « contagieuse », selon le type de personnes qui gravitent autour de la personne qui en souffre.

Ainsi, les personnes plus vulnérables à l’énergie des autres ou plus susceptibles de développer des troubles dépressifs elles-mêmes pourraient être influencées par une personne dépressive, et voir leur humeur changer radicalement.

L’étude, publiée récemment dans le magazine Clinical Psychological Science, parle de « vulnérabilité cognitive » et prétend que les jeunes sont particulièrement sensibles au phénomène.

L’environnement de ces derniers devient donc primordial pour assurer leur développement, le succès dans leurs études et sur le marché du travail, et pour éviter d’éventuels troubles dépressifs.

« Si vous incitez ces jeunes à s’entourer de personnes positives, vous éviterez à certains de sombrer dans la dépression. Alors que s’ils s’entourent de personnes moroses, ils ont de fortes chances de céder à leurs idées noires », concluent les chercheurs.