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Le café et le thé remportent la bataille des boissons

Si le thé est unanimement cité comme boisson santé par excellence, le café soulève beaucoup plus la polémique, et les avis sur cette boisson matinale divergent selon les chercheurs et les études proposées.

Une nouvelle étude rapportée par Epicurious rassure les amateurs de café et pointe plutôt du doigt les boissons gazeuses. On observe notamment des risques de dépression beaucoup moins grands chez les buveurs de café que chez les amateurs de colas, une différence appréciable.

L’étude croit que l’eau, le café et le thé sont les trois choix de prédilection des gens en bonne santé, au détriment des autres boissons sucrées comme les jus et les boissons gazeuses diverses.

On réitère aussi les vertus du thé sur la santé, déjà bien connues.

On peut donc conclure que les deux boissons chaudes remportent la bataille, mais c’est la première fois qu’une étude établit de façon claire un risque accru de dépression ou de trouble psychologique chez les buveurs de cola, qui serait 30 % plus à risque de troubles dépressifs que les amateurs de thé et de café.

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Le Botox associé à un risque accru de dépression

Si vous pensiez avoir recours au fameux Botox pour conserver votre mine des beaux jours, vous voudrez peut-être jeter un coup d’œil à cet article avant de passer à l’acte.

Selon une étude rapportée par Top Santé, les injections de Botox n’ont pas toujours l’effet escompté par le patient ou la patiente. Si le fait d’améliorer son image procure en soi un effet de joie, les chercheurs de l’Université de Cardiff croient qu’il existe également un effet retour.

En fait, les chercheurs pensent fermement qu’en « bloquant » ainsi les expressions du visage, le corps envoie des messages mixtes au cerveau. Lorsqu’une personne sourit, l’expression faciale affichée envoie un message au cerveau qui indique que nous sommes heureux, content.

Mais lorsque le sourire ne change plus notre expression, et que celle-ci est « figée », le cerveau ne reçoit jamais ces messages de bonheur et croit finalement, à long terme, que son propriétaire est dépressif.

« … les expressions de notre visage affectent aussi notre moral. Nous sourions parce que nous sommes heureux, mais c’est aussi le fait de sourire qui nous rend heureux », explique le Dr Lewis, en tête de l’étude.

Il faut noter que cette cause à effet est notable selon le type et l’endroit de l’intervention. Si l’on « fige » des parties du visage qui s’activent lorsque nous sommes fâchés ou déprimés, on pourrait alors être témoin de l’effet inverse, soit de moins ressentir les émotions négatives.

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Les séquelles psychologiques chez les survivants de cancers pédiatriques

Des chercheurs de Hong Kong ont analysé les données provenant de 137 enfants et jeunes âgés de 9 à 16 ans, qui avaient reçu un traitement pour un cancer au moins six mois auparavant (la leucémie dans 79 % des cas).

Des enfants en santé ont également été recrutés pour former un groupe de contrôle. Tous ces enfants ont complété des auto-évaluations concernant la dépression et l’estime de soi.

Plus de la moitié (52,6 %) des enfants ayant eu un cancer rapportaient un niveau de dépression qui dépassait le seuil clinique et qui était beaucoup plus élevé que celui des enfants en santé. La dépression semblait plus élevée chez les enfants plus jeunes, que chez les adolescents. Le niveau d’estime de soi des enfants survivants était aussi plus bas que celui des individus du groupe de contrôle.

Parmi les symptômes problématiques rapportés par les survivants au cancer, beaucoup d’enfants ont dit souffrir de fatigue, de pertes de mémoire, de mauvaise concentration, d’absence de bien-être et d’intolérance à des activités. Les enfants ont aussi affirmé qu’ils éprouvaient beaucoup d’incertitudes et de craintes, rapporte Medscape.

 

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Le stress excessif durant la grossesse est lié à des problèmes d’humeur chez les enfants

Selon les chercheurs, cette enzyme, appelée 11ß-HSD2, protègerait normalement le foetus du stress vécu par la mère en neutralisant le cortisol, aussi appelée « l’hormone du stress ».

Pour tester leur hypothèse, ils ont modifié la génétique de souris qui ne possédaient plus cette enzyme protectrice. Les bébés nés de ces souris ont eu une croissance réduite et ont développé des troubles de l’humeur à l’âge adulte.

Les chercheurs, qui poursuivent leur recherche et espèrent bientôt effectuer des tests sur des humains, souhaitent que les professionnels de la santé tirent des leçons de ces données.

En effet, les bébés exposés à un environnement difficile, que ce soit la maltraitance, la malnutrition, le deuil, etc., seront plus à risque de développer des problèmes de l’humeur tels que la dépression, et ces enfants devraient être suivis et aidés si ces problèmes se développent, selon Science Daily.

Les résultats ont été présentés lors du récent congrès de la British Neuroscience Association.

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Les enfants dépressifs risquent plus de développer des problèmes de santé

Des chercheurs américains ont étudié les données provenant de 201 enfants dépressifs avec un âge moyen de 9 ans, ainsi que 195 de leurs frères et sœurs qui n’avaient jamais souffert de dépression.

Pour former un 3e groupe de contrôle, 161 enfants du même âge et du même sexe, qui n’avaient pas d’historique de dépression, ont également été inclus.

À l’âge de 16 ans, ces jeunes ont été évalués à nouveau, s’attardant entre autres aux taux de tabagisme, d’obésité et d’activité physique au sein des trois groupes.

22 % des enfants qui avaient souffert de dépression étaient obèses, comparativement à 17 % de leurs frères et sœurs, et 11 % des enfants du groupe de contrôle.

Un tiers des enfants dépressifs fumaient quotidiennement, comparativement à 13 % de leurs frères et sœurs, et seulement 2 % des autres.

Les données étaient similaires pour ce qui est de l’activité physique : les jeunes dépressifs étaient les moins actifs, et ceux appartenant au groupe de contrôle l’étaient le plus.

Les chercheurs ont également remarqué qu’un historique de dépression était associé à un risque accru de développer des problèmes cardiaques, peu importe si les jeunes de 16 ans souffraient toujours de dépression ou pas, selon Science Daily.

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Les enfants dépressifs risquent plus de développer des problèmes de santé

Des chercheurs américains ont étudié les données provenant de 201 enfants dépressifs avec un âge moyen de 9 ans, ainsi que 195 de leurs frères et sœurs qui n’avaient jamais souffert de dépression.

Pour former un 3e groupe de contrôle, 161 enfants du même âge et du même sexe, qui n’avaient pas d’historique de dépression, ont également été inclus.

À l’âge de 16 ans, ces jeunes ont été évalués à nouveau, s’attardant entre autres aux taux de tabagisme, d’obésité et d’activité physique au sein des trois groupes.

22 % des enfants qui avaient souffert de dépression étaient obèses, comparativement à 17 % de leurs frères et sœurs, et 11 % des enfants du groupe de contrôle.

Un tiers des enfants dépressifs fumaient quotidiennement, comparativement à 13 % de leurs frères et sœurs, et seulement 2 % des autres.

Les données étaient similaires pour ce qui est de l’activité physique : les jeunes dépressifs étaient les moins actifs, et ceux appartenant au groupe de contrôle l’étaient le plus.

Les chercheurs ont également remarqué qu’un historique de dépression était associé à un risque accru de développer des problèmes cardiaques, peu importe si les jeunes de 16 ans souffraient toujours de dépression ou pas, selon Science Daily.

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Les antipsychotiques peu efficaces contre la dépression

The National Library of Medicine rapporte une étude qui dément les propriétés thérapeutiques des antipsychotiques chez les patients atteints de dépression.

On croyait, à tort semble-t-il, que ces médicaments pourraient venir en aide aux patients dépressifs lorsque les antidépresseurs connus n’ont aucun effet.

Or, selon les chercheurs de la Metropolitan State University, de St. Paul au Minnesota, il n’en est rien. Pour eux, les améliorations notables sont bien trop minimes en comparaison des divers effets secondaires possibles, ce qui rend la manœuvre inutile.

« Les preuves supportant la prise d’antipsychotiques dans des cas de dépression sont marginales. D’autres options pourraient s’avérer aussi efficaces, ou plus efficaces, sans le bagage d’effets secondaires », explique le chercheur Glen Spielman.

Les effets secondaires avancés pourraient se matérialiser sous la forme de fatigue, de somnolence, de gain de poids et d’une hausse des taux de cholestérol, entre autres.

De plus, les chercheurs du Minnesota s’inquiètent de voir les autorités de la santé américaines minimiser, ou carrément cacher, les résultats de ces tests sur le sujet. Ils tiennent à rétablir la vérité et à protéger les patients contre des traitements inutiles et risqués.

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Les enfants autistes sont plus à risque d’être suicidaires

Les chercheurs ont analysé les données provenant de 791 enfants avec un TSA, 186 enfants se développant de manière typique, ainsi que 35 enfants qui n’étaient pas autistes, mais faisaient une dépression. Ces enfants et jeunes étudiés étaient âgés de 1 à 16 ans.

Même en tenant compte de facteurs cognitifs et démographiques, les enfants avec un TSA étaient 28 fois plus susceptibles d’être décrits par leurs parents comme ayant des pensées suicidaires ou ayant déjà fait des tentatives de suicide « de parfois à très souvent » que les enfants typiques. Leur risque était toutefois moins élevé que celui des enfants dépressifs.

Les idées suicidaires étaient deux fois plus communes chez les garçons que les filles, mais les tentatives étaient similaires entre les deux sexes.

Un enfant autiste sur 10 dont un des parents était un professionnel avait pensé au suicide, comparativement à 16 % des enfants dont les parents occupaient d’autres métiers.

Il y avait également une forte corrélation ethnique : le taux était de 33 % pour les jeunes Noirs, de 24 % pour les Hispaniques, de 13 % pour les Caucasiens et de 0 % pour les Asiatiques, selon Science Daily.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue médicale Research in Autism Spectrum Disorder.

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Le somnambulisme comporte ses dangers

Le somnambulisme, ou le fait de marcher ou d’évoluer durant l’état de sommeil, n’est pas toujours un phénomène bénin. S’il peut parfois être sans risque, il comporte aussi son lot de dangers.

C’est ce que l’on apprend d’une étude sur le sujet, rapportée par The National Library of Medicine, qui affirme que plusieurs incidents sont rapportés par des gens aux prises avec ce trouble du sommeil.

Du nombre des gens qui marchent en dormant,  58 % en moyenne auraient expérimenté des comportements violents ou agressifs. On craint donc pour l’intégrité physique de ces patients, en plus de celle de leurs proches, qui ne se rendent pas toujours compte de ces comportements nocturnes.

Outre ces conséquences potentiellement dangereuses, les somnambules sont souvent victimes de sévères fatigues durant le jour et sont souvent portés vers la dépression.

Pour contrer le phénomène, les experts français en tête de l’étude conseillent de se documenter sur le sujet et d’éviter les déclencheurs de ce trouble, comme de mauvaises habitudes de sommeil ou un stress trop important.

On conseille vivement à ces patients de bien verrouiller les portes et de même dormir au niveau du sol, s’il le faut. Installer une cloche aux portes n’est pas une mauvaise idée, puisque cela pourrait réveiller le dormeur qui tente d’en franchir une.

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L’hyperactivité favoriserait les idées suicidaires

L’étude proposée par l’Hôpital pour enfants de Boston émet un constat inquiétant après avoir suivi 232 enfants atteints du TDAH jusqu’à l’âge adulte.

Le principal responsable de la recherche, le Dr Barbaresi, est particulièrement inquiet des résultats, puisque l’échantillonnage a été prélevé sur une population de classe moyenne ayant facilement accès aux soins de santé. Malgré cela, seulement 37 % des enfants participant à l’étude n’ont pas développé de trouble mental additionnel à l’âge adulte.

Le TDAH touche 3 garçons pour 1 fille et atteint plus ou moins 7 % des enfants. Alors que la pensée populaire juge que l’affection est « surtraitée », le Dr Barbaresi pense tout le contraire.

D’une part, le TDAH ne diminue pas nécessairement à l’âge adulte. La recherche démontre que 29 % des jeunes étaient toujours aux prises avec le trouble. Chez 57 % des cas étudiés, un trouble psychiatrique s’est déclaré dès l’âge adulte, ou plus tôt.

Il s’agissait principalement de toxicomanie, de troubles de la personnalité, d’anxiété ou dépression majeure, ou encore d’épisodes hypomaniaques et de suicide.

Le Dr Barbaresi insiste auprès des parents. Il est primordial de maintenir un suivi serré jusqu’à l’adolescence, puis il faut observer de près les signes de toxicomanie, de dépression et d’anxiété, même chez les plus jeunes.

Les résultats ont été publiés dans la revue Pediatrics.