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Les livres de croissance personnelle au secours des gens dépressifs

On apprend par l’entremise de The National Library of Medicine qu’une nouvelle étude redonne ses lettres de noblesse aux livres de croissance personnelle retrouvés sur le marché.

Ceux-ci sont souvent victimes de préjugés, à tort ou à raison, mais il appert qu’ils pourraient bien s’avérer bénéfiques dans certaines situations données.

Ce serait le cas notamment en ce qui concerne les gens aux prises avec des troubles liés à la dépression, croient les chercheurs britanniques qui publient leurs conclusions dans l’édition du 26 février du BMJ.

C’est après avoir analysé le cas de plusieurs patients dépressifs et leurs réactions face à ce type de traitement « doux », comme les livres de croissance personnelle, qu’ils se sont rendu compte que la méthode pouvait porter des fruits.

Peter Bowers, de l’Université de Manchester, croit donc que les thérapeutes et praticiens devraient songer à utiliser ces outils dans le cadre de la thérapie offerte aux patients.

On souligne également le coût très bas de ces livres, par rapport à celui de thérapies extensives et onéreuses.

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L’insomnie pourrait mener droit au suicide

C’est une nouvelle qui frappe, alors que Santé Log rapporte une étude de la Georgia Health Sciences University qui trace un lien possible entre l’insomnie et le suicide.

On parle plus spécifiquement d’un point de non-retour où la personne qui souffre d’insomnie perd carrément l’espoir de s’endormir un jour… et pourrait alors entrevoir que mettre fin à ses jours s’avère une « solution » efficace.

Publiée dans le journal Clinical Sleep Medicine, l’étude analyse les réactions en chaîne que peut causer une insomnie chronique.

« Il s’avère que l’insomnie peut conduire à un type très spécifique de désespoir puissant prédicateur de suicide », conclut le Dr W. Vaughn McCall, du département de psychiatrie de l’Université de Géorgie.

C’est après avoir analysé les cas de 50 patients âgés de 20 à 80 ans, souffrant de problèmes connexes à la dépression en milieu hospitalier, que les chercheurs sont arrivés à ce constat. On a ensuite établi des liens avec les problèmes de sommeil des sujets, qui peuvent finir par causer un effet de spirale.

Ceux qui commençaient à douter sérieusement de trouver le sommeil un jour démontraient des symptômes suicidaires alarmants.

Bien qu’il reste encore des preuves à faire pour parler de cause à effet, les chercheurs semblent convaincus de ce qu’ils avancent.

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Alcool et déprime vont de pair

Si vous buvez parce que vous êtes déprimé et que vous ne semblez jamais voir le fond (du problème), c’est peut-être parce que vous buvez que vous êtes déprimé.

C’est au fond le constat que proposent des chercheurs de l’Université de Californie à San Diego en publiant une étude sur le sujet dans la prochaine édition du Journal of Studies on Alcohol and Drugs, rapportée par Santé Log.

Pour eux, le lien entre déprime et alcool est très facile à établir. L’inverse ne serait pas nécessairement vrai, cependant, c’est-à-dire de « boire parce qu’on est déprimé ». Les gens qui utilisent cette excuse pourraient bien retrouver un peu de joie de vivre en lâchant le goulot, concluent les spécialistes américains.

Ces derniers croient également qu’il faudrait regarder du côté des habitudes de consommation d’alcool des patients avant de prescrire des antidépresseurs pour les plus déprimés et dépressifs.

Peu importe la façon dont on analyse les données de l’étude, les résultats sont clairs : l’alcool déprime. Et elle sera difficile à contrer, cette étude, puisqu’elle comptabilise des données sur 397 sujets masculins depuis 30 ans!

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Les tout-petits sont affectés par la violence et la dépression

La revue médicale JAMA Pediatrics publie les résultats d’une étude menée auprès de 2422 enfants. Parmi ceux-ci, 58 de leurs parents avaient affirmé avoir vécu à la fois de la violence conjugale et de la dépression avant que l’enfant atteigne l’âge de 3 ans, 69 avaient vécu uniquement de la violence, 709 avaient eu des symptômes de la dépression.

Chez les enfants âgés de 3 à 6 ans, 3,3 % avaient reçu un diagnostic de TDAH, près de 9 % avaient des troubles de comportement, 0,7 % étaient dépressifs, 0,3 % avaient des problèmes de sommeil, et 1,7 % avaient des problèmes d’adaptation.

Les enfants dont les parents étaient dépressifs étaient environ 2 fois plus susceptibles de souffrir de TDAH après l’âge de trois ans que les enfants dont les parents n’avaient pas rapporté cette condition. Lorsque les parents avaient vécu à la fois la violence et la dépression, ce risque était 3 fois plus élevé.

Les auteurs ont rappelé que les pédiatres « jouent un rôle crucial » dans la surveillance des familles qui peuvent peut-être vivre de la violence et de la dépression, ce qui pourrait leur permettre d’intervenir rapidement, selon MedPageToday.

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Le blues de l’hiver, pas nécessaire

Allez! On se retrousse les manches et on ne se laisse pas aller à la déprime hivernale!

Pour plusieurs personnes susceptibles de souffrir de dépression saisonnière, le « blues de l’hiver » semble être un incontournable. Voilà qui n’est pas la bonne attitude pour la contrer, bien au contraire. Ne vous laissez pas abattre par le froid et votre prédisposition à la déprime hivernale!

Voici d’ailleurs quelques suggestions pour vous aider à garder le moral malgré les froids sibériens, selon The National Library of Medicine.

D’abord, vous aurez sans doute remarqué qu’une bonne partie du blâme de votre morosité repose sur la luminosité, ou le manque de lumière en hiver. Il serait alors bon de revisiter votre routine de sommeil. Essayez de vous coucher plus tôt, afin de vous lever plus tôt. Ainsi, vous profiterez de plus de lumière qu’en utilisant ces heures le soir et la nuit.

Variez aussi vos activités, et reprenez ce passe-temps ou cette passion que vous chérissez tant! Pas d’excuses, l’hiver n’est pas la période de l’année pour s’empêcher de faire ce que l’on aime.

Même chose en matière d’alimentation, ce n’est pas du tout le moment de faire de la culpabilité et de vous mettre au régime draconien.

Faites-vous plaisir et essayez de pratiquer une ou des activités extérieures! Si vous y parvenez, vous verrez sans doute un changement radical dans votre humeur… et votre attitude.

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21 janvier : la plus déprimante de 2013?

Bienvenue en ce 21 janvier! Bienvenue dans la journée… la plus déprimante de 2013?

C’est ce qu’affirme Top Santé, qui parle d’une constante en ce qui concerne le troisième lundi du mois de janvier. En effet, il semble que ce fatidique troisième lundi soit scientifiquement le plus déprimant de l’année!

Selon une étude réalisée par FirstCare (qui étudie notamment l’absentéisme et les comportements au travail), il ne s’agirait pas d’un mythe. Plus encore, on a même baptisé ce jour le Blue Monday, qui voit le taux d’absentéisme au travail battre des records presque chaque année.

« Blue Monday a été décrit comme le jour le plus déprimant de l’année avec les taux d’absentéisme les plus élevés. Nous conseillons aux patrons de bien soutenir leurs employés dans ces moments difficiles pour éviter le surcoût dû à l’absentéisme », lance un porte-parole de la société FirstCare.

C’est une combinaison de plusieurs facteurs qui permet à ce lundi d’obtenir la palme de la déprime, notamment la météo, le niveau de la dette, l’écart entre aujourd’hui et le temps des fêtes, qui n’est maintenant qu’un souvenir, et la luminosité.

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Les boissons gazeuses diètes reliées à des risques de dépression

Les gens qui consomment des boissons gazeuses diètes pourraient développer des troubles de dépression, suggère une étude rapportée notamment par www.nlm.nih.gov.

L’étude américaine trace cependant des paramètres, stipulant qu’on parle ici plus précisément des adultes et des gens qui boivent plusieurs de ces boissons quotidiennement.

La même chose s’appliquerait aussi aux buveurs de jus de fruits concentrés (qui ne contiennent généralement pas de fruits) ainsi qu’aux amateurs de thé glacé.

En contrepartie et dans la même veine, les buveurs de café seront heureux de lire que ceux qui consomment plusieurs cafés par jour ont moins de risque de devenir dépressifs.

Le même phénomène serait observable en ce qui concerne toutes les boissons sucrées, mais les statistiques concernant les boissons diètes, comme les sodas, sont plus élevées en matière de risques de développement de la dépression et de troubles de l’humeur.

Cependant, pour la professeure en psychiatrie Eva Redei, ceci soulève autant de questions que de réponses, et elle croit qu’on ne peut citer un facteur unique en ce qui a trait à la dépression.

D’autres études sur le sujet sont donc à prévoir.

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Des tests au cerveau permettent d’identifier les risques de troubles bipolaires

Une nouvelle étude prétend qu’il est possible de détecter les personnes susceptibles de développer des troubles bipolaires à un très jeune âge.

C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, alors que des chercheurs australiens ont utilisé des tests à résonnance magnétique au cerveau sur de jeunes sujets pour en arriver à ces conclusions.

« Nous avons trouvé, chez les gens qui ont un historique de bipolarité dans leur famille, une réponse cérébrale moins grande lors d’expressions faciales données, comme celles de la peur, que chez ceux qui n’ont pas (ou moins) de risques de développer ces troubles. Il s’agit d’une percée extrêmement prometteuse », explique l’auteur en chef de l’étude, Philip Mitchell, de l’Université New South Wales.

Le chercheur australien poursuit en expliquant que la zone cérébrale en question en est une qui doit justement réguler plusieurs réponses émotionnelles.

Cette étude permettrait de faire avancer la qualité des soins et traitements concernant les troubles bipolaires, en plus d’assurer une meilleure prévention, alors que d’autres recherches sont prévues à la suite de ce succès.

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Des tests au cerveau permettent d’identifier les risques de troubles bipolaires

Une nouvelle étude prétend qu’il est possible de détecter les personnes susceptibles de développer des troubles bipolaires à un très jeune âge.

C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, alors que des chercheurs australiens ont utilisé des tests à résonnance magnétique au cerveau sur de jeunes sujets pour en arriver à ces conclusions.

« Nous avons trouvé, chez les gens qui ont un historique de bipolarité dans leur famille, une réponse cérébrale moins grande lors d’expressions faciales données, comme celles de la peur, que chez ceux qui n’ont pas (ou moins) de risques de développer ces troubles. Il s’agit d’une percée extrêmement prometteuse », explique l’auteur en chef de l’étude, Philip Mitchell, de l’Université New South Wales.

Le chercheur australien poursuit en expliquant que la zone cérébrale en question en est une qui doit justement réguler plusieurs réponses émotionnelles.

Cette étude permettrait de faire avancer la qualité des soins et traitements concernant les troubles bipolaires, en plus d’assurer une meilleure prévention, alors que d’autres recherches sont prévues à la suite de ce succès.

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Dépression saisonnière : soyez proactifs

On parle beaucoup de dépression saisonnière avec l’arrivée de l’hiver et bien qu’elle soit dite « normale », cela ne veut pas dire que rien n’est possible pour tenter d’en inverser les effets.

Si vous êtes victime d’une baisse de régime, d’énergie, de vitalité ou de moral en cette saison hivernale, ne restez pas les bras croisés à attendre que ça passe. Soyez proactifs, suggère notamment www.nlm.nih.gov.

Car si vous ressentez massivement les effets de la dépression saisonnière, de simples gestes sont à votre portée pour améliorer votre sort.

Notamment, on suggère de sortir faire des marches à l’extérieur lors des pointes de soleil, afin de faire le plein d’énergie et de luminosité tout en pratiquant un effort physique (aussi moindre soit-il).

Il est d’ailleurs fortement conseillé de poursuivre, ou d’entamer, son programme d’activité physique durant l’hiver. On suggère trois fois 30 minutes par semaine, pour un effet maximal.

Pour ceux qui ne peuvent profiter de l’extérieur ou pour les victimes de tempêtes hivernales, il est possible de se procurer certaines lampes de luminothérapie.

Au final, il semble que la socialisation soit parmi les meilleurs moyens de garder la forme mentalement, alors ce n’est pas le temps de vous enfermer et d’hiberner! Visitez vos proches et amis, et sortez aussi souvent que vous le pouvez.