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Une protéine dans le sang liée à l’état dépressif

On apprend par l’entremise de www.nlm.nih.gov que des chercheurs viennent d’identifier une protéine spécifique qui pourrait indiquer l’état dépressif, voire mener à la maladie.

Les chercheurs danois qui publient cette étude croient avoir remarqué que les taux de la protéine C réactive dans le sang sont clairement plus élevés chez les gens qui souffrent de dépression que chez les autres.

Il est d’autant plus intéressant d’apprendre cet état de fait que la hausse de C réactive est aussi un symptôme lié aux inflammations ou à certaines infections.

Une grande question demeure : ces taux de protéine C réactive dans le sang sont-ils simplement des indicateurs ou sont-ils aussi en cause dans le développement des troubles dépressifs?

Bien sûr, s’il était prouvé que les humeurs peuvent varier en fonction de ces taux, les chercheurs pourraient éventuellement en arriver à certaines nouvelles formes de traitement.

Pour l’instant, le Dr Borge Gronne, du Copenhagen University Hospital, se limite à confirmer que les gens avec des taux élevés de C réactive sont deux à trois fois plus sujets à la dépression que les autres.

Il précise par contre qu’ils ignorent lequel déclenche quoi, c’est-à-dire quelle action vient en premier.

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Les réactions face au stress seraient influencées par les neurones

www.nih.gov rapporte que des chercheurs ont réussi à identifier un processus cérébral qui pourrait expliquer pourquoi certaines personnes réagissent mieux que d’autres en situation de stress.

Il s’agit en fait d’un système précis de circuits cérébraux qui déclenchent une réaction de résilience ou de susceptibilité accrue face à des éléments stressants ou angoissants.

On croit que ce système est celui qui peut mener certaines personnes vers des états dépressifs lorsque confrontées à des événements ou des épreuves difficiles. On croit donc que certaines nouvelles méthodes pourraient être appliquées dans le traitement de la dépression ou de l’anxiété chronique, notamment.

Pour prouver ces dires, les chercheurs américains ont reproduit ce système sur des souris, en augmentant ou en inhibant le processus en question. Pour y parvenir, on a créé un système précis par luminosité, qui ne dure qu’une fraction de seconde.

Les rongeurs ont alors réagi exactement comme on le prédisait. Les souris plus « fortes » ont sombré dans des états dépressifs lorsque placées en situation de stress, alors que les souris plus anxieuses ont semblé plus résilientes, soudainement.

Le Dr Ming-Hu Han, de la Mount Sinai School of Medicine de New York, explique : « Pour la première fois, nous avons démontré qu’un contrôle spécifique de certains circuits du cerveau peut changer immédiatement les comportements dépressifs ou anxieux, notamment avec notre méthode, en utilisant une lampe DEL ».

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Le déficit d’attention à l’origine de plusieurs autres problèmes de santé?

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui prétend que les troubles de déficit d’attention et d’hyperactivité pourraient bien mener à d’autres problèmes de santé ultérieurement.

On explique que les enfants qui souffrent de ces troubles et qui voient les symptômes perdurer durant la vie d’adulte sont sujets à divers problèmes de santé mentale et physique.

On note d’abord ceux qui découlent du stress, les gens souffrant de déficit d’attention ayant souvent des pointes d’angoisse ou d’anxiété plus fréquentes que les autres.

L’étude en question est le résultat d’analyses sur différents patients sur une période de 30 ans. On a constaté que les sujets cibles développaient souvent des problèmes au travail, financiers ou encore sociaux.

L’intégration en société serait nettement plus difficile avec un trouble de déficit de l’attention, ce qui pourrait mener à une dépression ou des désordres antisociaux importants.

De plus, tout le stress découlant de ces problèmes indirects liés au déficit d’attention et à l’hyperactivité pourrait mener à des troubles physiques comme des problèmes cardiovasculaires.

Cependant, les chercheurs spécifient qu’aucune cause à effet directe n’a été prouvée jusqu’à maintenant.

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Un antidépresseur expérimental fort prometteur

Un nouvel antidépresseur, qui n’en est qu’aux phases expérimentales, pourrait s’avérer très prometteur, selon plusieurs experts.

C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui parle du traitement comme d’une nouvelle façon de faire en matière de traitement de la dépression. L’antidépresseur agirait de façon précise sur le cerveau, ciblant des zones spécifiques.

De plus, on vante les mérites à long terme du produit, pour l’instant appelé GLYX-13. Testé uniquement de façon intraveineuse en ce moment, il semble offrir de bons résultats sur certains patients qui n’ont pas (ou mal) réagi aux autres traitements et antidépresseurs connus.

Le traitement serait efficace presque immédiatement après l’administration, et son effet à long terme satisfait l’équipe de chercheurs chargée des essais cliniques.

Joseph Maskal, professeur en biomédecine, est l’un de ceux-là. Il explique : « On a constaté des effets robustes, rapides et à long terme. De plus, aucun effet secondaire majeur n’a été répertorié ».

Le Dr Bryan Bruno, de l’équipe de direction du département de psychiatrie de l’hôpital Lenox Hill de New York, parle d’un « développement fort excitant ».

Il s’agirait donc d’une excellente nouvelle pour les gens aux prises avec des troubles dépressifs qui ne réagissent pas ou peu aux traitements populaires retrouvés sur le marché, comme le Prozac, le Paxil ou encore le Zoloft.

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Au-delà des antidépresseurs : l’importance de la thérapie

Une nouvelle étude, rapportée par www.nlm.nih.gov, conclut que les patients qui souffrent de dépression auraient avantage à allier leur traitement à des séances de thérapie.

C’est que dans plusieurs cas, les antidépresseurs ne font pas, ou peu, le travail. Tout cela laisse le patient dans un sentiment d’impuissance face à son état, ce qui peut aggraver la situation.

Des chercheurs britanniques tiennent donc à rappeler l’importance d’un bon suivi de la part d’un spécialiste en santé mentale dans les cas de dépressions.

L’étude parle même d’une augmentation des chances de rémission jusqu’à trois fois plus élevée que pour ceux qui n’utilisent que les antidépresseurs.

Nicola Wiles, de l’Université Bristol, commente l’étude : « Lorsque les gens reçoivent un diagnostic de dépression et qu’ils ne réagissent pas aux médicaments et antidépresseurs, la thérapie cognitive et psychologique permet de voir leurs symptômes diminuer de façon significative. La qualité de vie est grandement améliorée grâce à la thérapie ».

« Malheureusement, les spécialistes et les accès à ce genre de thérapie se font rares dans certains pays, dont le nôtre (Angleterre). Trop de pays n’offrent pas ce genre de service et laissent donc en plan les gens dépressifs qui ne ressentent pas les effets des antidépresseurs. »

On suggère de discuter avec votre médecin avant la prise d’antidépresseurs, afin de voir les possibilités de consultation offertes.

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La voix de la conscience démystifiée : vers un traitement de la schizophrénie?

Ceux qui sont familiers avec ce que l’on appelle communément « la petite voix » seront soulagés d’apprendre que des chercheurs ont réussi à la définir de façon scientifique, rapporte Topsante.com.

Et ils sont nombreux à entendre cette voix dans leur tête, bien qu’ils ne soient pas tous enclins à s’en vanter lors de réceptions ou d’apparitions publiques.

Pourtant, il semble que le phénomène soit tout à fait normal. Il appert que la voix provient des zones auditives présentes dans le cerveau, qui stockent toutes les pensées que nous accumulons quotidiennement.

Les chercheurs à la tête de cette étude peu banale publiaient leurs conclusions dans la plus récente édition de The Journal of Neuroscience. On y apprend que le cerveau peut avoir des réactions qui sont similaires à des voix, comme si quelqu’un d’autre nous parlait.

Pour le prouver, les scientifiques ont fait lire des sujets, silencieusement, et ont analysé les réponses cérébrales qui s’ensuivaient. Clairement, ils ont constaté que le système de traitement de la voix du cerveau est actif lorsqu’on « lit dans notre tête ».

Cette percée, qui peut sembler banale à première vue, pourrait mener à des traitements éventuels de la schizophrénie, ainsi que de certains types de comportements dépressifs.

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Les légumes, les aliments clés de l’hiver

L’hiver comprend son lot de défis difficiles à surmonter, à commencer par se lever le matin, pour certains. Conserver sa ligne fait également partie de la liste des difficultés rencontrées par bon nombre de personnes en hiver. De plus, le manque de luminosité et les changements dans le style de vie sont propices à des vagues de faiblesse, de fatigue ou de dépression saisonnière.

Il est donc d’autant plus important de surveiller ce que l’on mange et d’aller chercher les apports nutritifs nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme.

Topsante.com rappelle également qu’il faut miser sur les vitamines, dont celles contenues dans les légumes, à commencer par la carotte. Cette dernière comprend également des fibres et du bêta-carotène.

On suggère aussi les oignons et l’ail, qui contiennent plusieurs éléments nutritifs importants. L’ail, notamment, renforce le système immunitaire et préviendrait de plusieurs cancers.

L’hiver est aussi la saison idéale pour les soupes de tous acabits, et pourquoi ne pas miser sur les lentilles et les fèves, qui sont gorgés de fibres, de calcium, de protéines et de vitamines? Ne lésinez pas sur les légumes lorsque vous cuisinez vos soupes réconfortantes.

Pour finir, on conseille un légume mentionné plus rarement : le navet. Il appert que celui-ci contient son lot non négligeable de minéraux, ainsi que des vertus anti-cancer.

Bonne saison hivernale en santé!

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La technologie et la dépression

De plus en plus de chercheurs croient que la folie des technologies qui frappe l’homme partout dans le monde depuis quelques années pourrait bien avoir quelques effets néfastes sur la santé mentale.

Plusieurs études viennent progressivement corroborer ces théories, dont une publiée récemment, que rapporte santelog.com.

Cette fois, c’est le très populaire iPad qui est visé par l’enquête des chercheurs des universités Johns Hopkins et Rider. Plus précisément, ceux-ci se sont penchés sur l’utilisation du iPad la nuit. Bien sûr, ceci peut s’appliquer aux autres tablettes du genre sur le marché.

C’est l’exposition anormale à ce type de luminosité qui inquiète les chercheurs, celle-ci pouvant jouer un rôle dans le développement de la dépression, selon eux.

Ce n’est d’ailleurs pas la première étude qui trace un lien entre le fait de laisser des lumières allumées la nuit et des symptômes de dépression nerveuse.

De plus, le déclin cognitif pourrait être influencé par de tels comportements.

Les chercheurs rappellent que le corps est synchronisé à un « cycle solaire », qui permet une balance entre les périodes d’éveil et de repos. Ne pas respecter les périodes de repos et poursuivre l’exposition à la lumière des appareils électroniques pourrait s’avérer néfaste pour votre santé mentale.

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Les symptômes de dépression mieux reconnus chez les femmes

Les gens seraient plus habiles à repérer des symptômes de dépression nerveuse chez une femme que chez un homme, rapporte www.nlm.nih.gov.

C’est une nouvelle étude sur le sujet qui vient de paraître qui tend à démontrer ce phénomène, en analysant les différentes perceptions du public quant à la dépression, selon le sexe de la personne en cause.

Ainsi, on a soumis aux participants de l’étude des descriptions de symptômes (identiques) chez une femme, puis chez un homme (fictifs). On leur demandait alors de décider si ces personnes-tests souffraient selon eux de dépression, et si elles devaient demander l’aide d’un professionnel.

En se basant sur les mêmes symptômes, les répondants ont rapidement tranché du côté de la femme, ressentant même de la sympathie à son égard, beaucoup plus que dans le cas de l’homme.

L’auteur principal de l’étude, Viren Swami, indique qu’il s’agit véritablement d’une question de perceptions et d’attentes préconçues selon le sexe de la personne présentant des symptômes.

Outre ce préjugé, le chercheur de l’Université Winchester, en Angleterre, déplore celui entretenu à l’égard des pratiques en psychiatrie et des traitements contre la dépression.

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Survivre à l’automne : la luminothérapie à la rescousse

Si vous êtes de ceux et celles qui ressentent férocement les effets de l’automne et du manque progressif de lumière qui s’ensuit, c’est peut-être le moment de découvrir la luminothérapie.

Vous en avez entendu parler, mais cela ne vous semble pas utile? Sachez que si vous faites partie du 5 % qui se dit victime de dépression saisonnière, il s’agit sûrement de votre meilleure solution.

D’abord, il faut comprendre que les fatigues, somnolences et impressions de ralenti que vous ressentez en automne et en hiver sont souvent dues au fait que le corps sécrète de la mélatonine lorsque l’on ferme les yeux ou que la lumière est très basse. Le corps entre alors en mode « veille ».

Certaines personnes sont plus sensibles à ce phénomène, et c’est pourquoi ces cas sont tout indiqués pour une séance de luminothérapie.

D’abord, il vous faudra vous procurer une lumière spéciale, blanche, qui filtre les ultraviolets. Les infrarouges sont aussi bénéfiques.

Pour un effet maximal, topsante.com parle d’une séance quotidienne de 30 minutes par jour, tout au long des saisons froides. Les spécialistes ajoutent que d’effectuer le traitement le matin serait plus efficace que de le faire le soir.