Prévalence : Les plus récentes statistiques indiquent que de 14 à 23 % des femmes souffriraient d’une forme de dépression pendant au moins une partie de leur grossesse.
L’automne n’est pas la saison préférée de tout un chacun, malgré ses couleurs flamboyantes. De fait, plusieurs personnes ressentent les effets de la dépression saisonnière, entre autres à cause du manque de lumière progressif.
D’autres ressentent de la nostalgie simplement parce qu’ils doivent faire le deuil de l’été, alors que certaines personnes ont de véritables maux qui surviennent lors de la période automnale.
Si plusieurs pilules, gélules et boissons énergisantes existent sur le marché, et qu’il peut être tentant d’en consommer lorsqu’une baisse d’énergie se fait sentir aux abords de l’automne, topsante.com suggère qu’il peut vraisemblablement s’agir d’un mal « placebo », psychologique, qui s’apparenterait plus à de la nostalgie qu’à une réelle fatigue.
Il est donc conseillé de ne pas consommer ces produits en trop grande quantité, tout comme les suppléments de vitamines. Ces derniers sont cependant conseillés, modérément, pour ceux qui ressentent véritablement un effet physique dû au manque de lumière (plus vrai vers le mois de novembre).
On conseille aux gens sensibles à ces phénomènes automnaux de faire de l’exercice, de manger des fruits et légumes et de pratiquer des activités qui les passionnent. Bref, de prendre du temps pour soi et de s’occuper de son corps.
Beaucoup de gens hésiteraient à demander de l’aide lorsqu’aux prises avec des symptômes indiquant une dépression nerveuse, craignant le jugement et la discrimination d’autrui, affirme une étude rapportée par www.nlm.nih.gov.
Les recherches démontrent que 79 % des gens qui souffrent de dépression pensent devoir faire face à une forme de jugement ou de discrimination durant le processus.
L’étude, publiée en Angleterre, utilisait des questionnaires afin d’amasser de l’information sur la discrimination que vivent les gens atteints de dépression, et ce, dans 35 pays différents. Le nombre total de gens sondés dépasse le millier.
Les réponses aux questionnaires révèlent des statistiques troublantes. En effet, 34 % des patients disent avoir été évités par des proches, 37 % affirment que la peur de se faire juger les a empêchés de créer des liens solides ou une relation intime avec une autre personne, et 25 % disent avoir évité de travailler, de peur de faire face à de la discrimination.
Par contre, plusieurs patients qui anticipaient le jugement des autres ne l’ont pas vraiment expérimenté, poursuit l’étude. Il s’agit donc d’une peur fondée, mais qui s’avère moins lourde en réalité.
71 % affirment vouloir ou avoir gardé le diagnostic pour eux-mêmes, ce que les spécialistes déconseillent vivement. Les gens qui croient vivre une dépression doivent s’exprimer et rechercher de l’aide rapidement.
Beaucoup de gens hésiteraient à demander de l’aide lorsqu’aux prises avec des symptômes indiquant une dépression nerveuse, craignant le jugement et la discrimination d’autrui, affirme une étude rapportée par www.nlm.nih.gov.
Les recherches démontrent que 79 % des gens qui souffrent de dépression pensent devoir faire face à une forme de jugement ou de discrimination durant le processus.
L’étude, publiée en Angleterre, utilisait des questionnaires afin d’amasser de l’information sur la discrimination que vivent les gens atteints de dépression, et ce, dans 35 pays différents. Le nombre total de gens sondés dépasse le millier.
Les réponses aux questionnaires révèlent des statistiques troublantes. En effet, 34 % des patients disent avoir été évités par des proches, 37 % affirment que la peur de se faire juger les a empêchés de créer des liens solides ou une relation intime avec une autre personne, et 25 % disent avoir évité de travailler, de peur de faire face à de la discrimination.
Par contre, plusieurs patients qui anticipaient le jugement des autres ne l’ont pas vraiment expérimenté, poursuit l’étude. Il s’agit donc d’une peur fondée, mais qui s’avère moins lourde en réalité.
71 % affirment vouloir ou avoir gardé le diagnostic pour eux-mêmes, ce que les spécialistes déconseillent vivement. Les gens qui croient vivre une dépression doivent s’exprimer et rechercher de l’aide rapidement.
Une nouvelle recherche indique un facteur de risque de crise cardiaque un peu plus élevé chez les gens qui consomment des antidépresseurs que chez les autres, rapporte www.nlm.nih.gov.
L’étude cible les antidépresseurs bien connus, comme Prozac et Paxil, mais spécifie que si le risque augmente pour tous les usagers, un seul individu sur 10 000 subirait véritablement une crise cardiaque provoquée par la prise de ces médicaments.
Les statistiques démontrent que les risques sont au plus fort durant les premières semaines et premiers mois d’un traitement.
« Les médecins devraient être au fait de cette association de risque », affirme le Dr Daniel Hackam, professeur associé à la London Health Sciences Center of University Hospital, en Ontario.
Il ajoute : « Cependant, les gens qui ne font pas partie du groupe à haut risque ne devraient pas s’en faire outre mesure. Le risque ultime ne touche qu’un cas sur 10 000. Les risques diminuent grandement si vous êtes un utilisateur de longue date, sans effets précédents ».
Cette recherche analysait les données de 16 études sur le sujet, qui touchaient plus de 500 000 personnes au total.
Cependant, si l’on se fie à une étude menée dans les universités de Liverpool et au King’s College à Londres, une solution simple et efficace a des effets positifs remarquables.
Selon eurekalert.org, les mères qui caressent ou frottent le corps de leur nouveau-né dans les premières semaines de vie renversent le processus de stress vécu pendant la grossesse. Donc, par exemple, en caressant la tête, le dos ou les bras du nouveau-né, les cellules associées enregistrent l’information et diminuent ou éliminent le sentiment de peur ou d’agressivité.
Des chercheurs du monde entier ont déjà fait état des conséquences postnatales du stress pendant la grossesse chez l’enfant. Or, cette nouvelle étude s’est attardée sur la solution à ce problème.
D’ordinaire, les enfants développent un comportement d’agressivité, d’instabilité émotionnelle ou de peur à la suite d’une grossesse où la mère vit un stress en permanence ou une dépression. La solution présentée jouerait donc directement sur le mécanisme émotionnel de l’enfant.
La Dre Helen Sharp, de l’University of Liverpool’s Institute of Psychology, Health and Society, explique : « Nous poursuivons notre étude sur le développement continu de l’enfant, à la suite des gestes de réconfort et d’affection prodigués par la mère. Nous voulons être certains que les effets ne s’estompent pas avec le temps ».
Plusieurs études récentes suggéraient un lien entre les symptômes de dépression et le manque d’oméga-3 dans l’organisme.
Cette fois, des chercheurs italiens ont décidé de pousser cette question plus loin, en ciblant le phénomène chez les femmes plus âgées.
46 femmes âgées de 66 à 95 ans avec un diagnostic de dépression ont donc fait partie des patientes dans cette étude. On a par la suite séparé le groupe en deux, l’un recevant un complément alimentaire d’oméga-3, et l’autre, un placebo.
Les résultats, rapportés par Lanutrition.fr, sont plutôt clairs. Les chercheurs concluent qu’un taux plus élevé d’EPA dans le sang permet d’amoindrir les symptômes de la dépression. Des changements d’humeur positifs ont également été notés chez ces personnes d’âge mûr.
Il faut cependant prendre note que les spécialistes italiens croient qu’il faut également regarder du côté des taux d’acides gras oméga-6, qui joueraient un rôle important dans le processus.
En clair, plus le taux d’oméga-3 est élevé, combiné à un taux d’oméga-6 faible, plus les symptômes liés à la dépression sont faibles.
Les bonnes âmes qui se dévouent chaque jour un peu partout sur la planète devraient surveiller leur santé mentale, affirme nlm.nih.gov.
En effet, il appert que le travail humanitaire favoriserait les problèmes d’anxiété et de dépression nerveuse, qui peuvent survenir pendant le voyage et au retour.
Un rapport propose donc aux employeurs dans ce domaine de mettre en place certaines mesures pour contrer le phénomène.
Dans l’étude, les chercheurs ont sondé plus de 200 travailleurs humanitaires et les ont suivis avant, pendant et après leurs interventions.
Au départ, on notait 4 % des travailleurs sujets à l’anxiété, et 10 % qui présentaient des symptômes de dépression. Il s’agit de statistiques normales, en comparaison avec le reste de la population.
Durant les affectations, les chiffres ont grimpé jusqu’à 12 % (anxiété) et 19 % (dépression diagnostiquée). Au retour, le taux d’anxiété rapporté chutait immédiatement de 8 %. La dépression, quant à elle, poursuivait sa hausse vertigineuse avec un taux de 20 %.
Tout comme pour les militaires, le retour à la maison peut s’avérer difficile, et il faut prendre conscience de ce phénomène, selon Alastair Ager, professeur à la Columbia University’s Mailman School of Public Health de New York.
Une vie sociale bien remplie et un soutien soutenu des proches sont des éléments clés dans le maintien d’une bonne santé mentale pour les gens qui vivent des expériences intenses comme l’aide humanitaire, conclut l’étude.
L’étude publiée dans la revue médicale Proceedings of the National Academy of Science s’est attardée à trois groupes : des mères qui étaient traitées avec des antidépresseurs de type ISRS, des mères qui ne recevaient pas de traitement pour leur dépression, et des mères qui n’avaient pas de symptômes dépressifs.
Les chercheurs ont évalué le niveau de langage de leurs bébés à trois différents intervalles.
Les bébés dont la mère prenait des antidépresseurs présentaient une aptitude accélérée à être à l’écoute et à s’habituer aux sons reliés à leur langue maternelle, tandis que les bébés dont la mère était dépressive sans recevoir de traitement demeuraient dans cette période plus longtemps que les autres.
Typiquement, cette période d’éveil au langage se termine à 8 ou 9 mois, mais elle peut être accélérée ou retardée de plusieurs mois.
L’auteure de l’étude, Janet Werker, a expliqué que « cette étude était la première à démontrer comment la dépression maternelle peut influencer le déroulement du développement du langage chez les bébés », selon Science Daily.
Une recherche menée par des travailleurs sociaux s’est attardée sur la violence faite aux femmes par leur partenaire durant la première année de la relation.
Elle suggère que celle-ci peut avoir un effet à long terme sur ces femmes, affectant même leur niveau de participation auprès des enfants qu’elles auront par la suite.
Les chercheurs ont constaté que les mères ayant été victimes de violence s’occupaient moins de leurs enfants que celles qui n’avaient pas vécu cet abus. Cette notion était mesurée par différentes activités que les femmes faisaient ou non avec leurs enfants, par exemple leur chanter des chansons, leur lire des histoires, jouer avec leurs jouets ou les amener au parc.
Les mères victimes d’abus étaient également beaucoup plus susceptibles de donner la fessée à leur enfant.
De plus, les mères ayant subi de la violence physique de la part de leur partenaire étaient 1,8 fois plus susceptibles d’être dépressives lorsque leur enfant avait 5 ans, tandis que celles ayant subi de la violence psychologique étaient 1,4 fois plus susceptibles.
La conclusion la plus inattendue des chercheurs, toutefois, tient au fait que les mères ayant vécu un abus « financier » étaient quant à elles 1,9 fois plus susceptibles de montrer des symptômes de dépression.
L’abus financier, dans ce cas, était défini comme l’impossibilité d’obtenir de l’argent de leur partenaire, ou encore l’impossibilité d’accéder aux comptes bancaires.
« Il est surprenant de constater qu’entre tous les facteurs d’abus, la violence financière était celle qui était la plus fortement liée à la dépression », a expliqué l’auteure de la recherche, Judy Postmus, selon PsychCentral.
L’étude a été publiée dans la revue médicale Children and Youth Services Review.