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Deux découvertes concernant la dépression

Des chercheurs français ont fait deux découvertes concernant la dépression. Elles ouvrent donc la voie à de nouvelles thérapies possibles pour traiter la maladie à un stade précoce.

Selon le Journal of Neuroscience, l’équipe de l’Hôpital de la Pitié-Salpêtrière a constaté que lorsque des rats étaient soumis à des stress intenses, ceux qui présentaient une altération de la structure des neurones dans certaines zones de leur cerveau devenaient dépressifs après un nouveau stress.

De plus, on a identifié sur les rongeurs des biomarqueurs qui permettaient de déceler la vulnérabilité face à la dépression.

La dépression peut être autant génétique qu’acquise. Un stress intense comme la perte d’un être cher ou un divorce peut déclencher la maladie, de même qu’un stress continu, par exemple au travail.</pchercheurs français ont fait deux découvertes concernant la dépression. Elles ouvrent donc la voie à de nouvelles thérapies possibles pour traiter la maladie à un stade précoce.

Selon le Journal of Neuroscience, l’équipe de l’Hôpital de la Pitié-Salpêtrière a constaté que lorsque des rats étaient soumis à des stress intenses, ceux qui présentaient une altération de la structure des neurones dans certaines zones de leur cerveau devenaient dépressifs après un nouveau stress.

De plus, on a identifié sur les rongeurs des biomarqueurs qui permettaient de déceler la vulnérabilité face à la dépression.

La dépression peut être autant génétique qu’acquise. Un stress intense comme la perte d’un être cher ou un divorce peut déclencher la maladie, de même qu’un stress continu, par exemple au travail.

Crédit photo : Michal Marcol / FreeDigitalPhotos.net

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La dépression maternelle

Une récente étude de la Yale University démontre qu’une femme ne sera pas plus encline à devenir dépressive si elle arrête sa prise d’antidépresseurs durant sa grossesse ou après celle-ci.

C’est ce qu’ont statué les chercheurs après avoir suivi 778 femmes qui avaient déjà souffert de la dépression. Certaines avaient décidé d’elles-mêmes d’arrêter de prendre leurs médicaments, d’autres avaient choisi de poursuivre leur traitement.

Aucune différence notable quant à la prédominance d’épisodes dépressifs n’a pu être remarquée entre les deux groupes. En général, les femmes sauraient si elles peuvent arrêter de prendre leurs médicaments, ayant l’expérience de ce qui survient chez elles en le faisant.

Toutefois, celles qui ont connu quatre épisodes dépressifs ou plus avant leur grossesse avaient plus tendance à en connaître un nouveau lorsqu’elles étaient enceintes, et ce, qu’elles prennent ou non des antidépresseurs.

Les résultats complets de cette recherche sont parus récemment dans Epidemiology.

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La dépression affecte beaucoup plus les femmes

Les femmes âgées de 16 à 42 ans sont deux fois et demie plus susceptibles de vivre une dépression que les hommes. La raison en serait la pression pour arriver à concilier famille et travail, comme le démontre une vaste étude européenne dévoilée par le Telegraph.
 
S’occuper des enfants, assumer les responsabilités familiales et tenter de conserver son emploi sont des facteurs qui font en sorte que le nombre de cas de dépression chez les femmes a doublé en l’espace de 40 ans.
 
De plus, que ce soit pour les hommes ou les femmes, la dépression frappe de plus en plus jeune. Ainsi, les premiers symptômes apparaissent en moyenne chez les personnes de 19 ans, alors que dans les années 70, c’était autour de 26 ans.
 
Les femmes âgées de 25 à 40 ans ont même jusqu’à quatre fois plus de chances de souffrir d’une dépression.
 
L’étude révèle également que le mariage diminue les risques de dépression chez les hommes, mais les augmente pour les femmes.
 
En plus des dépressions, on observe aussi d’autres problèmes mentaux comme les troubles bipolaires ou anxieux, l’insomnie, la toxicomanie et la schizophrénie.
 
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La puberté serait liée au comportement

La puberté se vit différemment pour chaque enfant, et il semble que la vitesse de celle-ci influence l’apparition de certains problèmes de comportement. Des chercheurs américains ont démontré ce lien après avoir suivi 364 garçons et 373 filles.

On avait déjà fait la lumière quant à de possibles conséquences d’une puberté plus hâtive, mais peu d’études ont porté jusqu’ici sur son rythme.

Il semble donc, comme nous le lisons dans Developmental Psychology, que plus la période de puberté d’un enfant se déroulera rapidement, plus il sera enclin à souffrir d’anxiété et de dépression.

De plus, les enfants étant très sensibles à la vitesse à laquelle les autres traversent leur puberté, cela peut contribuer à l’apparition de problèmes tels que la dépression.

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Le yogourt probiotique contre la dépression?

Les yogourts probiotiques pourraient aider à traiter la dépression. Déjà reconnus pour leurs bienfaits sur la santé intestinale, les probiotiques ont fait l’objet d’une nouvelle étude qui dévoile une action potentielle sur le cerveau.

Selon Proceedings of the Academy of Sciences, des tests menés sur des souris révèlent que les bactéries intestinales auraient un effet sur le cerveau. Les chercheurs croient fermement que ces résultats seraient les mêmes chez l’humain.

 

Si le tout se confirme, cela ouvrira la voie à de nouveaux traitements de la dépression et des troubles anxieux en ciblant les intestins. Ainsi, les yogourts probiotiques pourraient jouer un grand rôle.

 

Attention toutefois, il ne suffit pas de consommer ce type de yogourt pour se sentir mieux. Pour le moment, on ignore quels seront les effets exacts des probiotiques, mais surtout lesquels seront efficaces et quelle quantité sera nécessaire.

 

Les recherches doivent donc se poursuivre.

 

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La disparition du jeu libre chez l’enfant

Les enfants d’aujourd’hui ont beaucoup moins l’occasion de s’adonner au jeu libre. On a d’ailleurs remarqué une baisse radicale de ce type de jeu au cours des 50 dernières années. On accorde cette tendance aux parents, qui sont de plus en plus portés à diriger le jeu de leurs enfants.

Ces derniers s’adonnant beaucoup moins qu’autrefois au jeu libre, on peut y relier plusieurs problèmes de société. On lit sur ce une revue de plusieurs études dans une édition spéciale de l’American Journal of Play.

Le jeu libre représente une partie importante de l’enfance. Sa diminution entraînerait des conséquences sur notre développement social, mental et physique. Il permet à l’enfant de créer son propre univers, en particulier lorsqu’il s’agit d’un jeu extérieur.

On reconnaît entre autres une corrélation entre la baisse du jeu libre et l’augmentation des dépressions et des suicides. De plus, cette décroissance serait responsable de la montée du narcissisme chez les enfants comme les adolescents.

Le jeu libre aurait aussi des répercussions très positives quant aux capacités d’apprentissage de la lecture et des mathématiques. En se mêlant aux autres, les enfants développeraient leurs aptitudes à intégrer de nouvelles notions et à prendre leur place.

La diminution constante du jeu libre durant l’enfance a bien sûr des impacts sur la santé physique. Elle tiendrait un rôle important dans l’augmentation des cas d’obésité que nous connaissons depuis quelques années.

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Les nausées prédisent le comportement

Une nouvelle étude américaine soutient que les nausées du matin chez la femme enceinte pourraient engendrer certains troubles du comportement, apprenons-nous dans le Journal of Developmental Origins of Health and Disease.

Toutefois, ce lien serait établi lorsqu’il s’agit de nausées extrêmes, lequel problème se nomme l’hyperemesis gravidarum (HG). Dans certains cas, il peut mener à une hospitalisation, voire à un arrêt de la grossesse.

Il semble donc que les enfants dont la mère aura souffert du HG seraient 3,6 fois plus enclins à présenter un trouble bipolaire, de l’anxiété ou de la dépression, une fois l’âge adulte atteint.

Des études précédentes avaient fait un lien entre des nausées persistantes de la future maman durant son premier trimestre de grossesse et des troubles d’apprentissage et d’attention chez l’enfant (à l’âge de 12 ans).

L’hyperemesis gravidarum (HG) serait une cause de malnutrition et de déshydratation, ce qui aurait des impacts sur le développement cérébral du fœtus.

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La dépression atteint plus les enfants maltraités

Des chercheurs du King’s College London Institute of Psychiatry soutiennent que la dépression touche plus les enfants maltraités que les autres. En fait, il semble que les enfants qui vivent des sévices courent deux fois plus de risques de vivre plus d’un épisode de dépression.

Selon leurs résultats parut dans l’American Journal of Psychiatry, ces épisodes de dépression tendent aussi à être plus longs, et les personnes répondront moins bien au traitement la plupart du temps.

Les chercheurs se sont basés sur les résultats de 16 études, ce qui revient à 23 000 patients, pour tirer ces conclusions.

La dépression constitue le problème de santé mentale le plus courant au monde. On estime que 1 adulte sur 15 en souffre chaque année, aux États-Unis seulement.

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La dépression augmente les risques d’AVC

Auparavant, les chercheurs avaient mentionné que les dépressions augmentaient les risques de décès coronariens.

Cette fois, des chercheurs de l’Université Harvard démontrent que cela augmente également les risques d’accident vasculaire cérébral (AVC).

Ce sont les résultats obtenus après avoir analysé des AVC survenus entre 2000 et 2006.

Les femmes qui font une dépression ont 41 % plus de chances de faire un AVC que les autres, démontre cette étude dévoilée par le site MagPatients.

Toutefois, des études supplémentaires sont nécessaires afin de découvrir si les risques sont accrus en raison d’un effet spécifique résultant de la maladie, ou si cela est lié à la prise de médicaments de type antidépresseurs. À suivre, donc, au cours des prochaines années.

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La dépression atteint le cerveau de l’enfant

Des chercheurs de l’Université de Montréal on démontré qu’une partie du cerveau d’enfants nés d’une mère dépressive, l’amygdale, était plus grosse.

Rappelons que l’amygdale (complexe amygdalien) est un noyau situé dans le lobe temporal. Cette partie du cerveau est reliée à la réponse émotive.
 
Cela ferait donc en sorte que ces mêmes enfants ne répondraient pas de la même manière s’ils doivent affronter une situation nouvelle ou comportant un danger.
 
Selon les explications des chercheurs, lesquelles sont parues récemment dans Proceeding of the National Academy of Sciences, le cerveau de ces enfants est très sensible à la qualité des soins qui leur sont prodigués.
 
On parle ici en particulier du cerveau d’enfants de 10 ans dont la mère a présenté des symptômes de dépression tout au long de leur vie.