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Zoe Saldana au bord de la dépression nerveuse

En entrevue avec le magazine Latina, Zoe Saldana confie qu’elle a eu quelques difficultés à gérer le succès d’Avatar en 2009. L’actrice de 33 ans a failli faire une dépression nerveuse. 

« L’année qui a suivi Avatar a tout simplement été accablante émotionnellement. Je voyageais partout dans le monde, je me réveillais dans différents fuseaux horaires. Le corps est épuisé et vers la fin de l’année, je me suis effondrée », dit-elle.
 
De plus, Saldana a commencé rapidement à travailler sur Colombiana. « J’étais assise dans ma chambre d’hôtel et je ne pouvais pas m’arrêter de pleurer. Je ne pouvais pas rester éveillée. Je dois avoir dormi pendant un mois », ajoute la vedette.
 
Heureusement, elle avoue que sa famille lui a été d’une aide précieuse.
 
Maintenant, elle ajoute qu’elle est capable de rester à la maison à ne rien faire afin de décompresser. Selon Zoe Saldana, c’est une façon saine d’être égoïste.
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La maladie mentale devient physique

Selon des chercheurs de l’University of Otago, en Nouvelle-Zélande, des problèmes de santé mentaux ou psychologiques, lorsque l’on est jeune, sont reliés à l’apparition de troubles physiques plus tard dans la vie.
 
Comme nous le lisons dans Archives of General Psychiatry, des problèmes tels qu’une dépression, de l’anxiété, la mort d’un parent, voire un divorce, seraient associés au développement de trois problèmes de santé chroniques.
 
Il s’agit de l’ostéoarthrite (la forme la plus courante d’arthrite), les douleurs chroniques à la colonne vertébrale et les maux de tête.
 
L’apparition en bas âge de problèmes mentaux ou psychologiques était toujours en relation avec de telles maladies chroniques à l’âge adulte dans la présente recherche.
 
Les chercheurs affirment aussi que l’on doit accorder une plus grande importance au trouble de l’enfance, puisqu’il serait associé à une plus forte probabilité de maladie chronique durant la vie adulte.
 
Bien que jusqu’ici on ait considéré l’influence de facteurs psychosociaux sur la santé future d’un enfant, on a peu pensé à celle de la santé mentale.
 
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Jouer de la musique pour vaincre la dépression

Les bienfaits de la musicothérapie se confirment une fois de plus avec cette nouvelle étude parue dans le British Journal of Psychiatry.

 

Cette fois, on remarque que les personnes qui ont joué de la musique parviennent mieux à surmonter leur dépression.

 

79 personnes âgées entre 18 et 50 ans et souffrant de dépression ont participé à cette recherche.

 

46 candidats ont reçu des antidépresseurs et des séances de psychothérapies usuels, alors que 33 d’entre eux ont eu 20 séances de musicothérapies. Durant ces séances, ils étaient invités à jouer du tambour ou autres instruments comme le xylophone.

 

Les personnes qui se sont adonnées à la musique avaient moins de symptômes de dépression et moins d’anxiété que celles qui ont reçu la thérapie traditionnelle.

 

On croit que jouer d’un instrument aide à exprimer ses émotions, tout en demeurant une activité agréable.

 

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Influencez-vous la personnalité de votre enfant?

Les parents utilisent chacun leur méthode pour éduquer leurs enfants, tentant de réduire certains comportements et d’en encourager d’autres. Pourtant, il semble que ce ne sont pas toutes les techniques qui vont à tous les enfants.

C’est ce que soutiennent des psychologues de l’University of Washington. Selon leur étude parue dans le Journal of Abnormal child Psychology, il serait profitable pour l’enfant que l’éducation qui lui est donnée concorde avec sa personnalité.

On a remarqué, au fil de cette recherche de trois ans, qu’un bon accord entre le style d’éducation et la personnalité de l’enfant a fait baisser de la moitié les symptômes liés à la dépression et à l’anxiété.

À l’inverse, un mauvais accord entre ces deux segments d’analyse durant la même période de temps aura engendré le double de cas dépressifs et anxieux. L’éducation parentale ne devrait donc pas être donnée au hasard.

Cette étude a porté sur 214 enfants et leur mère. Autant de filles que de garçons faisaient partie du groupe, et tous avaient environ neuf ans lorsque la recherche a été entamée.

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Plus de dépression chez les plus riches

Une étude publiée dans le BMC Medicine mentionne que non seulement les cas de dépression sont de plus en plus fréquents dans le monde, c’est surtout dans les pays riches qu’on en retrouve le plus.
 
Par exemple, la France arrive au premier rang avec 21 % des gens qui ont eu une dépression ou devront y faire face dans leur vie. Viennent ensuite les États-Unis avec 19,2 %. Les Pays-Bas suivent avec 17,9 %, la Nouvelle-Zélande avec 17,8 % et, pour clore le top 5, la Belgique avec 14,1 %.
 
Ce sont les résultats obtenus après l’analyse des données de l’Organisation mondiale de la santé prevenant de 89 000 répondants de 18 pays qui ont répondu à un questionnaire sur les symptômes de dépression, mais aussi sur leur âge, leur revenu et leur état civil.
 
L’âge moyen de la dépression dans les pays riches est de 25-26 ans.
 
Les experts croient que la grande disparité salariale pourrait expliquer une partie du fait qu’il y a plus de personnes dépressives dans les pays riches.
 
Pour ce qui est des pays à revenus moyens ou bas, le taux de dépression est de 18,4 % au Brésil, 14,6 % en Ukraine, 13,3 % en Colombie, 10,9 % au Liban et 9,8 % en Afrique du Sud.
 
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Le post-partum relié aux difficultés d’allaitement

Les informations sont rapportées par psychcentral.com. Une recherche effectuée à l’Université de la Caroline du Nord – Chapel Hill confirme le rapport entre le post-partum et les difficultés reliées à l’allaitement.

Stephanie Watkins, qui poursuit son doctorat en épidémiologie, est à la source de cette étude. « Nous avons constaté que les femmes mentionnant qu’elles n’aiment pas l’allaitement ont 42 % plus de chance d’expérimenter une dépression post-partum, comparativement aux femmes qui aiment allaiter ».
 
Les résultats, publiés dans le journal Obstetrics & Gynecology, informent que la causalité allaitement-dépression est beaucoup plus répandue qu’on aurait pu le croire. Les chercheurs ayant participé à l’étude souhaitaient déterminer l’étendue du phénomène, au-delà des informations cliniques. Ce sont 2 586 femmes souffrant du post-partum qui ont été soumises au questionnaire.
 
En résumé, les nouvelles mères qui affirment ne pas aimer l’allaitement ont près d’une fois et demie plus de chance d’être dépressives deux mois après l’accouchement. Quant aux femmes qui ont rencontré des problèmes pour allaiter, elles ont près de 2 fois plus de chance d’être dépressives.
 
Les spécialistes sont catégoriques. Une femme qui rencontre ce problème après l’accouchement et qui se lève en se disant « Je ne pourrai pas passer une autre journée avec cette difficulté » doit immédiatement en parler à leur médecin et être vue par un thérapeute, en prévention.
 
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Incontinence urinaire et post-partum vont de pair

Des données fournies par une étude canadienne affirment que l’incontinence urinaire, lorsqu’elle se poursuit après la grossesse, a une incidence majeure sur l’état dépressif menant au post-partum.

Selon magicmaman.com, les résultats de l’étude, menée auprès de près de 2 000 jeunes mères, apportent une toute nouvelle dimension à la causalité de la dépression post-partum. En tout, 5 facteurs prédominants sont ressortis de la recherche.
 
La place d’importance prise par l’incontinence urinaire a d’ailleurs étonné les chercheurs : « L’incontinence reçoit bien trop peu d’attention d’une manière générale et en tant que facteur de dépression post-partum ».
 
Ces pertes urinaires surviennent normalement au dernier trimestre de la grossesse et sont dues au poids du bébé, au relâchement des tissus et à l’imprégnation hormonale. Elles se produisent principalement lors d’éternuements, de rires ou d’efforts physiques.
 
Considérant son impact majeur sur la dépression post-partum, il est donc important d’en faire part à votre médecin, surtout si elle se produit en début de grossesse.
 
Les autres facteurs à tenir en compte sont le jeune âge de la future mère, le manque de soutien à l’allaitement, une nouvelle hospitalisation et l’état de santé à la suite de l’accouchement.
 
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La césarienne augmente le risque de dépression post-partum

Le Dailymail rapporte que les risques de dépression postnatale augmentent considérablement à la suite d’une césarienne. Une recherche a été effectuée auprès d’un échantillon de 1 000 nouvelles mamans à l’Université nationale de Yang-Ming, à Taiwan.

Ainsi, l’étude démontre que les femmes ayant accouché naturellement diminuent le risque de dépression de plus de 30 %. La raison associée à la dépression post-partum après une césarienne est constituée principalement d’un sentiment d’échec de la mère quant à l’accouchement naturel. Bien entendu, il y a aussi le facteur de rémission, qui est beaucoup plus lent lorsque l’enfant naît par césarienne.

Outre ce fait, il semblerait que la césarienne planifiée a plus d’impact négatif que celle qui est pratiquée pour urgence médicale. Sur le groupe d’étude des femmes ayant expérimenté ladite césarienne, les données recueillies démontrent que la moitié de celles qui avaient prévu cette méthode avaient subi une dépression post-partum.

Selon les chercheurs de l’Université de Yang-Ming, une mère sur 10 donne naissance à son enfant par césarienne planifiée, surtout pour des raisons médicales, mais aussi par crainte de l’accouchement naturel ou à la suite d’une précédente naissance qui a été difficile.

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La pollution affecte aussi le cerveau

Nous savions déjà que la pollution atmosphérique était nuisible pour la santé, notamment celle du cœur et des poumons, mais pour la première fois, une étude démontre clairement ses effets sur le cerveau.
 
Selon le Molecular Psychiatry, une exposition à long terme peut nuire à l’apprentissage, favoriser les pertes de mémoire et rendre plus dépressif, car la pollution modifie physiquement le cerveau.
 
C’est ce qui ressort d’une série de tests effectués sur des souris de laboratoire. Celles qui étaient le plus exposées à la pollution avaient du mal à apprendre et à se remémorer de l’endroit où se trouvait la sortie dans un circuit. Aussi, elles étaient aussi plus susceptibles d’être dépressives.

Voilà des résultats plutôt inquiétants pour la population urbaine qui vit le plus dans la pollution au quotidien.

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Autre répercussion de la dépression maternelle

On s’inquiète des répercussions possibles sur la santé de l’enfant si sa mère vit une dépression durant sa grossesse. Un nouveau risque en découlant vient d’être annoncé : la prépondérance des problèmes respiratoires.

Une dépression maternelle et des états comme l’anxiété et le stress augmenteraient les risques d’asthme chez l’enfant. Selon des résultats parus dans Annals of Allergy, Asthma & Immunology, ce lien serait très fort.

En effet, dans le cadre de cette recherche, 70 % des femmes ayant vécu d’importants symptômes dépressifs durant leur grossesse avaient aussi remarqué que leur enfant, une fois l’âge de 5 ans atteint, avait une respiration difficile ou râlante.

Par cette corrélation, on soutient aussi l’idée selon laquelle les risques d’asthme sont très élevés durant la période prénatale.

Cette étude a porté sur 279 femmes (et conséquemment leurs enfants) et s’est étendue sur quelques années, soit avant, pendant et après leur grossesse.