En entrevue avec le magazine Latina, Zoe Saldana confie qu’elle a eu quelques difficultés à gérer le succès d’Avatar en 2009. L’actrice de 33 ans a failli faire une dépression nerveuse.
Étiquette : dépression
La maladie mentale devient physique
Les bienfaits de la musicothérapie se confirment une fois de plus avec cette nouvelle étude parue dans le British Journal of Psychiatry.
Cette fois, on remarque que les personnes qui ont joué de la musique parviennent mieux à surmonter leur dépression.
79 personnes âgées entre 18 et 50 ans et souffrant de dépression ont participé à cette recherche.
46 candidats ont reçu des antidépresseurs et des séances de psychothérapies usuels, alors que 33 d’entre eux ont eu 20 séances de musicothérapies. Durant ces séances, ils étaient invités à jouer du tambour ou autres instruments comme le xylophone.
Les personnes qui se sont adonnées à la musique avaient moins de symptômes de dépression et moins d’anxiété que celles qui ont reçu la thérapie traditionnelle.
On croit que jouer d’un instrument aide à exprimer ses émotions, tout en demeurant une activité agréable.
Les parents utilisent chacun leur méthode pour éduquer leurs enfants, tentant de réduire certains comportements et d’en encourager d’autres. Pourtant, il semble que ce ne sont pas toutes les techniques qui vont à tous les enfants.
C’est ce que soutiennent des psychologues de l’University of Washington. Selon leur étude parue dans le Journal of Abnormal child Psychology, il serait profitable pour l’enfant que l’éducation qui lui est donnée concorde avec sa personnalité.
On a remarqué, au fil de cette recherche de trois ans, qu’un bon accord entre le style d’éducation et la personnalité de l’enfant a fait baisser de la moitié les symptômes liés à la dépression et à l’anxiété.
À l’inverse, un mauvais accord entre ces deux segments d’analyse durant la même période de temps aura engendré le double de cas dépressifs et anxieux. L’éducation parentale ne devrait donc pas être donnée au hasard.
Cette étude a porté sur 214 enfants et leur mère. Autant de filles que de garçons faisaient partie du groupe, et tous avaient environ neuf ans lorsque la recherche a été entamée.
Les informations sont rapportées par psychcentral.com. Une recherche effectuée à l’Université de la Caroline du Nord – Chapel Hill confirme le rapport entre le post-partum et les difficultés reliées à l’allaitement.
Des données fournies par une étude canadienne affirment que l’incontinence urinaire, lorsqu’elle se poursuit après la grossesse, a une incidence majeure sur l’état dépressif menant au post-partum.
Le Dailymail rapporte que les risques de dépression postnatale augmentent considérablement à la suite d’une césarienne. Une recherche a été effectuée auprès d’un échantillon de 1 000 nouvelles mamans à l’Université nationale de Yang-Ming, à Taiwan.
Ainsi, l’étude démontre que les femmes ayant accouché naturellement diminuent le risque de dépression de plus de 30 %. La raison associée à la dépression post-partum après une césarienne est constituée principalement d’un sentiment d’échec de la mère quant à l’accouchement naturel. Bien entendu, il y a aussi le facteur de rémission, qui est beaucoup plus lent lorsque l’enfant naît par césarienne.
Outre ce fait, il semblerait que la césarienne planifiée a plus d’impact négatif que celle qui est pratiquée pour urgence médicale. Sur le groupe d’étude des femmes ayant expérimenté ladite césarienne, les données recueillies démontrent que la moitié de celles qui avaient prévu cette méthode avaient subi une dépression post-partum.
Selon les chercheurs de l’Université de Yang-Ming, une mère sur 10 donne naissance à son enfant par césarienne planifiée, surtout pour des raisons médicales, mais aussi par crainte de l’accouchement naturel ou à la suite d’une précédente naissance qui a été difficile.
Voilà des résultats plutôt inquiétants pour la population urbaine qui vit le plus dans la pollution au quotidien.
On s’inquiète des répercussions possibles sur la santé de l’enfant si sa mère vit une dépression durant sa grossesse. Un nouveau risque en découlant vient d’être annoncé : la prépondérance des problèmes respiratoires.
Une dépression maternelle et des états comme l’anxiété et le stress augmenteraient les risques d’asthme chez l’enfant. Selon des résultats parus dans Annals of Allergy, Asthma & Immunology, ce lien serait très fort.
En effet, dans le cadre de cette recherche, 70 % des femmes ayant vécu d’importants symptômes dépressifs durant leur grossesse avaient aussi remarqué que leur enfant, une fois l’âge de 5 ans atteint, avait une respiration difficile ou râlante.
Par cette corrélation, on soutient aussi l’idée selon laquelle les risques d’asthme sont très élevés durant la période prénatale.
Cette étude a porté sur 279 femmes (et conséquemment leurs enfants) et s’est étendue sur quelques années, soit avant, pendant et après leur grossesse.