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Le traitement de votre dépression est bon pour votre enfant

On peut lire dans l’American Journal of Psychiatry les résultats d’une recherche ayant porté sur la dépression de la mère et les répercussions sur son enfant. Il semble qu’au fur et à mesure qu’un traitement progresse, l’enfant démontre une amélioration quant à son comportement.

Ces résultats sont très encourageants, même que plus l’état de la mère s’améliore, plus l’enfant va bien aussi, toujours selon cette recherche. Il semble également que l’enfant n’a pas besoin de suivre lui-même un traitement.
 
Même un an après la rémission complète de la mère, l’enfant continue à démontrer des améliorations. À l’inverse, si une mère ne répond pas au traitement de la dépression, alors l’enfant ne s’améliorera pas non plus.

Ces observations ont été faites à la suite d’analyse de données portant sur les effets négatifs que peut avoir la dépression de la mère sur ses enfants.

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Nouvelle méthode de détection de la dépression infantile

En mesurant l’épaisseur corticale, les médecins seraient peut-être bientôt en mesure de diagnostiquer rapidement une dépression infantile. Cette percée provient des travaux de chercheurs de la Wayne State University.

On pourrait ainsi déceler chez les enfants normaux un trouble dépressif majeur, de même que chez ceux souffrant déjà d’un trouble obsessionnel compulsif. Le syndrome dépressif est assez courant chez les enfants et les adolescents; cette méthode serait donc pleine d’espoir.
 
Pour en arriver à ce constat, on a étudié l’épaisseur corticale chez 24 patients dépressifs, chez 24 autres souffrant d’un trouble obsessionnel compulsif et chez 30 patients en santé.
 
On a par ailleurs relevé que les enfants ayant un historique familial de dépression avaient une épaisseur corticale différente.

Les résultats complets de cette découverte sont parus dernièrement dans Archives of General Psychiatry.

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Les vêtements pour petite fille sont trop séduisants

Les vêtements offerts en magasins et en ligne destinés aux petites filles sont encore trop séduisants ou proposent une image d’objet sexuel dans une mesure de 30 %. C’est le constat auquel sont arrivés des chercheurs du Kenyon College en Ohio. Leurs résultats sont parus dernièrement dans Sex Roles.

Cette tendance à proposer des modèles typés aux filles a pour effet de leur faire voir leur corps selon des standards de sexualisation et de séduction. Parmi les effets négatifs d’une telle identification, on note le développement d’une faible estime de soi, jusqu’à la dépression.
 
De plus, les vêtements pour petite fille pourraient avoir une influence sociale sur la perception individuelle que les préadolescentes peuvent avoir d’elles-mêmes.
 
Pour faire une telle évaluation, les chercheurs ont regroupé les vêtements offerts par 15 magasins populaires aux États-Unis. On a par la suite évalué ces vêtements selon des caractéristiques sexuelles versus des éléments de l’enfance.
 
Parmi les 5 666 pièces choisies, 69 % ne comportaient que des caractéristiques infantiles. Dans le lot restant, 4 % présentaient des éléments sexuels et 25 % avaient à la fois des caractéristiques séduisantes et de l’enfance.

Les chercheurs ont finalement remarqué que la sexualisation des vêtements se définissait particulièrement par l’accent mis sur certaines parties du corps, comme des coupes faisant en sorte que la poitrine était mise en valeur, donnant ainsi l’idée de seins formés.

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La propreté peut rendre dépressif

Une grande propreté peut non seulement affecter la santé physique, mais aussi la santé mentale.
 
Une maison propre affaiblit le système immunitaire et affecte également le cerveau, selon des chercheurs.
 
Le journal Molecular Psychiatry mentionne que des études ont déjà établi un lien clair entre un environnement propre et un système immunitaire plus faible. On a aussi remarqué que les enfants exposés aux bactéries développaient plus de résistance à certaines maladies.
 
Un système immunitaire affaibli réagit de façon excessive à la poussière et à la saleté, notamment avec une inflammation ou des allergies. Cependant, les chercheurs ont également découvert que cela ralentit la production de substance chimique de bonheur, comme la sérotonine, dans le cerveau. Cela peut donc entraîner une dépression.
 
Le système immunitaire serait ainsi lié au risque de dépression chez une personne.
 
D’ailleurs, la dépression est beaucoup plus présente dans les pays développés que dans les régions les plus pauvres de la planète où, généralement, c’est moins propre également.
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La luminothérapie pour les futures mamans

Des résultats probants suggèrent que la luminothérapie peut être une nouvelle avenue quant au traitement de la dépression chez la femme enceinte.

Selon une étude de l’Université de Bâle, en Suisse, parue dernièrement dans le Journal of Clinical Psychiatry, cette méthode aurait des effets remarquables.
 
Dans le cadre de cette expérimentation, 700 femmes enceintes déjà en traitement pour une dépression sévère ont été choisies.
 
Parmi elles, 27 ont été exposées à un éclairage à 7000 lux (10 watts environ), ce qui revient à une pièce où il y a beaucoup de lumière. Le reste des participantes ont quant à elles été exposées à un éclairage de 70 lux, soit un placebo.
 
Après 5 semaines, 80 % des participantes ayant été exposées à la plus forte intensité d’éclairage avaient remarqué une diminution importante de leurs symptômes de la dépression, soit de 60 % environ.

Dans le second groupe, environ 30 % des femmes ont noté une amélioration. La luminothérapie, qui est sans danger pour le bébé, serait donc une solution complémentaire efficace pour le traitement de la dépression prénatale.

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La musique peut-elle causer la dépression?

Il a été prouvé que la musique a des effets sur l’humeur et le corps. Une étude de l’École de médecine de l’Université de Pittsburgh a établi un lien entre le genre de musique écoutée et la dépression ou les crises.
 
Les adolescents déprimés ont tendance à se consoler en écoutant de la musique.
 
Les nouveaux résultats obtenus ne sont que préliminaires et aucun expert ne mentionne que la musique a une mauvaise influence sur les adolescents.
 
Toutefois, écouter de la musique triste peut influencer les états d’âme. On croit également qu’en écoutant de la musique, les jeunes se coupent de leur interaction sociale et ont plus tendance à avoir une vie intérieure, ce qui peut entraîner une dépression, selon le Health 24.
 
D’un autre côté, la musicothérapie est reconnue pour ses effets également contre le stress et est bénéfique pour les patients avec des maladies cardiaques et de l’hypertension.
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La dépression de maman est un facteur de stress

Selon Psychological Science, un tout-petit peut ressentir beaucoup de stress par rapport au comportement et à l’état de santé de ses parents, et ce, lorsqu’il est à peine âgé de trois ans.

Une étude parue dans cette revue scientifique a en effet démontré qu’une hormone de stress était fortement présente dans la salive d’enfants de cet âge.
 
Les jeunes participants qui étaient confrontés à des situations stressantes, même si elles étaient inoffensives, accusaient ainsi de hauts taux de cortisol.
 
On prenait cette mesure tout de suite après avoir provoqué un événement causant un certain stress aux enfants. Les chercheurs ont donc conclu que déjà à trois ans, les enfants étaient stressés par un parent dépressif qui les entourait d’émotions négatives.
 
Les réponses les plus fortes ont été observées avec la maman, lorsque celle des enfants avait un historique de dépression ou qu’elle démontrait de l’agressivité en jouant avec eux.
 
Toutefois, on note qu’il n’y avait pas suffisamment d’hommes dans le cadre de cette recherche pour détailler comment ils interagissent avec leur enfant. La dépression était aussi moins présente dans ce groupe.

Malgré tout, cette étude expose l’un des effets que la dépression d’un parent peut entraîner sur l’enfant.

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Les pleurs de bébé pour une maman dépressive

Selon PsychCentral, une mère dépressive ne présentera pas la même réponse cérébrale qu’une femme en parfaite santé, alors que cette dernière sera plus poussée à aller chercher son enfant qui pleure en réponse à l’activité de son cerveau.

C’est la conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs de l’Université de l’Oregon après avoir suivi 22 femmes. Les participantes étaient mères pour la première fois et leur bébé était âgé de 18 mois. Elles ont été divisées en deux groupes, selon si elles avaient un historique de dépression ou non.
 
À l’aide de l’imagerie par résonnance magnétique, on a remarqué une différence de l’activité cérébrale en fonction du degré de dépression. Toutefois, les femmes dépressives ne présentaient pas une réponse négative. Elles démontraient plutôt moins de réponse cérébrale que les autres dans la même situation.
 
Les mères en bonne santé étaient en mesure de répondre d’une manière positive lorsque l’enfant pleurait. Celles qui étaient dépressives avaient des lacunes quant à cette réaction.

Pourtant, la réponse de la mère aux pleurs de bébé est très importante dans le développement de celui-ci. Un réel lien existe entre le comportement et les réponses physiologiques.

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Facebook pourrait rendre dépressif

Les réseaux sociaux comme Facebook pourraient favoriser l’apparition des symptômes de dépression.
 
Sur ces sites, on voit des visages souriants, des statuts et échanges joyeux, donc les personnes qui ne se sentent pas à la hauteur pourraient se sentir plus déprimées. Chez les jeunes, on inclut également un concours de popularité, car ceux-ci voudront toujours être ceux qui ont le plus d’amis.
 
« Facebook peut être plus douloureux que d’être installé tout seul dans la cafétéria de son école ou d’autres situations qui peuvent rendre les adolescents malheureux. Facebook donne une vision biaisée de la réalité », mentionnent les médecins chercheurs.
 
Sans compter que ces jeunes sont parfois victimes de harcèlement en ligne et que certains vont même jusqu’au suicide.
 
Attention toutefois, de tels sites peuvent aussi avoir des effets bénéfiques dans le fait de rester en contact avec ses amis, sa famille, de partager des photos et pensées.
 
« Les chercheurs restent partagés pour déterminer si cette dépression s’inscrit dans la continuité de ce que certains adolescents peuvent ressentir en d’autres circonstances ou si c’est un état propre à l’utilisation de ce réseau social », ajoutent les auteurs de l’étude rapportée par l’American Academy of Pediatrics.
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Le tai-chi à la rescousse des aînés

La dépression chez les 60 ans et plus est préoccupante. On dit que les hommes de plus de 85 ans sont plus à risque de se suicider. Malheureusement, 50 % des cas de dépression chez les aînés ne sont pas diagnostiqués ou traités.
 
L’American Journal of Geriatric Psychiatry rapporte qu’une étude américaine révèle que la pratique du tai-chi pourrait aider ces personnes à surmonter leur état.
 
Les chercheurs ont soumis un groupe de personnes âgées dépressives, avec les traitements habituels, à un cours de deux heures par semaine de tai-chi. Un autre groupe n’avait aucun cours, seulement les traitements pour la dépression.
 
En comparant les résultats, on constate chez le premier groupe une amélioration de la santé, mais aussi de la qualité de vie, de la mémoire, des capacités cognitives et de l’énergie en général.
 
« La dépression peut avoir de graves conséquences, parmi lesquelles un plus haut niveau de morbidité, des handicaps, une augmentation de la mortalité et du coût des soins. Avec le tai-chi, nous pourrons peut-être traiter ces conditions sans exposer les patients à davantage de médicaments », mentionne la professeure Helen Lavretsky.