Catégories
Uncategorized

Pour mieux détecter la dépression post-partum

L’Académie américaine de pédiatrie (APP) a annoncé que les pédiatres influeraient beaucoup sur la qualité de vie des enfants en détectant la dépression chez la mère.

Le seul fait de demander à la mère, lors de la visite pour son enfant, si elle vit des épisodes de tristesse, de découragement et si elle fait des activités serait une bonne piste.

Le taux de dépression post-partum est évalué entre 5 et 25 %. Celui de dépression majeure durant la première année de vie de l’enfant est pour sa part estimé entre 1 et 6,8 %.

Un comité américain s’est donc penché sur le sujet et il a fait paraître ses données dans la revue Pediatrics.

Nous apprenons ainsi que chaque année aux États-Unis, 400 000 enfants commencent leur vie auprès d’une mère dépressive. Cela peut entraîner des négligences, l’arrêt de l’allaitement, des dysfonctions familiales et des soins médicaux inadéquats.

Par ailleurs, le syndrome du post-partum, qui affecte 80 % des femmes, devrait être détecté rapidement. Habituellement, les symptômes sont des crises de larmes, de l’anxiété et des sautes d’humeur.

Écouter la nouvelle maman et l’aider à démystifier ce qu’il lui arrive suffisent généralement à régler ce type de dépression mineure.

Catégories
Uncategorized

La méditation pour soulager la sclérose en plaques

Des chercheurs suisses ont évalué les effets de la méditation sur les personnes souffrant de sclérose en plaques.
 
150 patients ont participé à l’étude. Tous recevaient les soins médicaux habituels pour leur maladie, mais 76 d’entre eux ont suivi des séances de méditation pendant huit semaines.
 
Les résultats, publiés dans la revue Neurology, démontrent que les personnes ayant médité souffraient moins de dépression que les autres. De plus, leur perception de leur qualité de vie était plus positive. Même si les effets obtenus se dissipaient au fil des semaines, on a constaté le bénéfice de la méditation jusqu’à six mois après l’étude.
 
Toutefois, la méditation ne soulage pas les symptômes physiques qui sont demeurés les mêmes chez les deux groupes de participants.
Catégories
Uncategorized

Le TDAH responsable de la dépression

Des chercheurs américains ont établi un lien entre le trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDHA) et la dépression, nous apprend Canada.com.

D’après eux, les parents devraient faire preuve d’une plus grande vigilance pour les enfants atteints, car ceux-ci auraient plus souvent tendance à sombrer dans la dépression, voire à commettre un suicide.

Cette étude a été réalisée par les universités de Chicago et de Pittsburgh. On a suivi 123 enfants de 4 à 6 ans diagnostiqués avec un TDAH, et ce, pendant 14 ans, soit jusqu’à leurs 18 à 20 ans.

Ces enfants ont ensuite été comparés avec un groupe de 119 enfants dont le mode de vie était similaire. Ces derniers ont été observés une fois par jour pendant leurs 4 premières années de vie, puis de 6 à 9 ans et de 12 à 14 ans.

On a donc pu prouver que les enfants diagnostiqués entre 4 et 6 ans avaient 18 % plus de chances de vivre une dépression. Cela représente 10 fois plus de cas que chez les autres enfants.

Catégories
Uncategorized

La dépression frappe de plus en plus jeune

La psychiatre de l’Hôpital de Montréal pour enfants, la Dre Lila Amirali, sonne l’alarme. La dépression frappe de plus en plus jeune et de plus en plus gravement.
Selon elle, 1 % des enfants de moins de 13 ans souffre de dépression et 4 % des adolescents. En ce moment, 10 % des adultes sont dépressifs à différents niveaux.
 
Lorsque l’enfant s’isole, devient irritable, pleure, manque d’énergie et perd son intérêt pour des choses qu’il aimait, et ce, pendant au moins deux semaines, il faut commencer à s’inquiéter et intervenir. Les parents qui soupçonnent leur enfant d’être dépressif devraient consulter.
 
Une dépression qui n’est pas traitée chez un enfant aura 50 % des chances de réapparaître dans les cinq à dix années suivantes. De plus, celui-ci sera plus sujet à développer d’autres maladies mentales. Les enfants ayant des antécédents familiaux sont plus susceptibles d’être touchés par la maladie.
 
La thérapie est sans doute la meilleure option, car les antidépresseurs sont moins efficaces chez les jeunes.
 
Plusieurs événements peuvent provoquer un état dépressif à un jeune âge, comme le divorce des parents, le décès d’un proche ou encore une peine d’amour.
Catégories
Uncategorized

La musique sur ordonnance contre la dépression

Des scientifiques de la Glasgow Caledonian University font une étude sur les effets de la musique pour réguler l’humeur.
 
Avec ces travaux, qui devraient se terminer plus tard cette année, on espère pouvoir trouver des types spécifiques de musique qui pourraient être prescrits à chaque personne afin de soulager leurs symptômes de douleur ou de dépression.
 
« L’impact d’un morceau de musique sur une personne va tellement plus loin que de penser qu’un tempo rapide peut soulever une ambiance », mentionne le Dr Don Knox.
 
Cette recherche s’est échelonnée depuis trois ans. Parmi les morceaux de musique prescrits, on retrouve Sexual Healing de Marvin Gaye, I Will Survive de Gloria Gaynor et What a Wonderful World de Louis Armstrong, rapporte le Telegraph.
Catégories
Uncategorized

Les jeunes parents sont plus affectés par la dépression

De nombreux parents souffrent de dépression dans les douze premières années de vie de leur enfant, mais cette maladie se fait surtout sentir dans la toute première année.
 
Ceci s’explique notamment par le stress de cette nouvelle vie, le manque de sommeil, les changements de responsabilités et la pression subie par le couple.
 
Les parents sont plus susceptibles de devenir dépressifs s’ils ont des antécédents et s’ils ont de 15 à 24 ans à la naissance de leur enfant, car ils sont souvent moins bien préparés et la grossesse peut ne pas avoir été planifiée. Ils peuvent aussi en être plus affectés s’ils sont socialement défavorisés.
 
Habituellement, dans les douze premières années de leur enfant, on évalue à 7,53 femmes sur 100 par année qui souffriront de dépression, alors que ce seront 2,69 hommes sur 100 qui seront dans la même position.
 
Dans la première année, les chercheurs ont constaté que le taux de dépression était plutôt de 13,93 femmes sur 100 contre 3,56 hommes sur 100, rapportent les Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine.
Catégories
Uncategorized

La cigarette peut conduire les adolescents à la dépression

De nombreux adolescents commencent à fumer dans l’espoir d’améliorer leur humeur et leur santé psychologique, mais ils ont tort. En fait, ils ne font qu’aggraver leur état.
C’est la conclusion à laquelle parviennent des chercheurs des universités de Montréal et de Toronto qui ont suivi 622 jeunes durant leurs quatre premières années à l’école secondaire.
 
Selon la revue Addictive Behaviors, la cigarette comme automédication peut plutôt conduire à la dépression à long terme.
 
« Bien que le tabac semble avoir l’effet d’un médicament ou influer positivement sur l’humeur, nous avons constaté qu’à long terme, les adolescents qui fument présentent davantage de symptômes de dépression », explique Michael Chaiton de l’Université de Toronto.
 
Ainsi, on diagnostique plus souvent des symptômes de dépression chez les adolescents qui ont l’espoir de faire plutôt le contraire et d’améliorer leur état de santé psychologique.
Catégories
Uncategorized

Les mères tristes ont des bébés plus petits

La dépression et l’anxiété des femmes durant leur grossesse peuvent affecter le poids du bébé à la naissance. Ces femmes sont plus susceptibles d’avoir un bébé plus petit, l’exposant ainsi à des risques accrus de mortalité en bas âge.
 
Selon le BMC Public Health, c’est la première fois que l’on établit ce genre de lien et ceci après avoir suivi des femmes des régions rurales du Bangladesh.
 
Les recherches démontrent que les problèmes de santé mentale sont plus susceptibles d’être la première cause de mortalité infantile, de santé précaire, de malnutrition et de faible statut socio-économique.
 
Sur les femmes qui ont été suivies, 18 % avaient reçu un diagnostic de dépression durant leur grossesse et le quart souffrait d’anxiété. Elles ont principalement eu des bébés plus petits que la moyenne.
 
Ce phénomène est préoccupant puisqu’un petit poids à la naissance peut conduire à un décès prématuré. Il est donc important que les femmes affectées aient un suivi de grossesse rigoureux.
Catégories
Uncategorized

Les dépressions postnatales pourraient être évitées par des visites à domicile

Selon le Daily Mail, une recherche effectuée par une équipe de l’Université de Leicester auprès de 2 000 nouvelles mamans en Angleterre a permis de mettre en évidence que la fameuse dépression postnatale pourrait être évitée dans certains cas.
 
Des infirmières formées spécialement pour repérer les premiers symptômes de dépression postnatale en visite chez les nouvelles mamans de trois à quatre fois après la naissance de l’enfant réduiraient de 30 % les risques de développer une dépression.
 
Une femme sur cinq est touchée par la dépression. Ces nouvelles mères sont tristes, manquent d’appétit et se sentent souvent inutiles. Dans les cas les plus graves, ces symptômes peuvent persister pendant plus d’un an.
 
Les visites d’une infirmière à domicile après la naissance du bébé auraient des effets grandement bénéfiques. Les professionnels de la santé peuvent donner des conseils et répondre aux questions des femmes. Elles s’assurent également de savoir comment les nouvelles mamans se sentent réellement.
 
Comme les médecins généralistes passent souvent trop peu de temps avec leurs patientes, c’est une suggestion à laquelle les experts demandent de réfléchir sérieusement.
Catégories
Uncategorized

Utiliser des drogues pour soigner la dépression

En Suisse, des scientifiques recommandent maintenant de soigner les patients dépressifs, avec des troubles compulsifs ou des douleurs chroniques, avec des psychotropes comme du LSD, de la kétamine et des champignons hallucinogènes.
 
Apparemment, ces drogues pourraient permettre aux patients d’avoir une tout autre perception de leur problème ou diminuer l’intensité de leur douleur. Ainsi, ils pourraient mieux amorcer leur thérapie.
 
Bien entendu, le Nature Neuroscience ajoute que ces prescriptions seraient de faibles doses. « L’idée est que ce soit très limité, peut-être plusieurs sessions sur plusieurs mois et non une prise à long terme comme dans le cas d’autres médicaments », explique le psychiatre et chercheur Franz Vollenweider.
 
« Les psychotropes peuvent offrir aux patients de nouvelles perspectives, notamment quand les souvenirs enfouis remontent à la surface. Ils peuvent alors travailler à partir de cette expérience », ajoute-t-il.