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De nouveaux moyens pour combattre la démence

Après avoir suivi 1 433 personnes de plus de 65 ans en bonne santé pendant quelques années, on constate qu’il y a certains facteurs de risques que l’on peut modifier afin de freiner les nouveaux cas de démence, rapporte le Bristish Medical Journal.
 
Bien que les causes de la démence demeurent encore inconnues, certains facteurs jouent un rôle dans l’apparition des symptômes et certains peuvent être modifiés à un jeune âge.
 
Ainsi, il faut combattre les pathologies cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux, l’hypertension, l’obésité, le diabète, le cholestérol élevé, les antécédents de dépression, l’alimentation, les habitudes de consommation d’alcool et le niveau d’éducation.
 
Quatre de ces facteurs se démarquent et ont un impact significatif sur l’apparition des nouveaux cas de démence. Ainsi, améliorer ses capacités intellectuelles diminue les nouveaux cas de 18 %, alors que combattre la dépression, surveiller le diabète et consommer plus de fruits diminuent de 21 % les risques de développer la maladie.
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Les adolescents accros à l’Internet plus susceptibles d’être dépressifs

Une étude des Drs Lawrence Lam de l’Université de Sydney et Zi Weng-Peng de l’Université de Sun Yat-Sen démontre que les adolescents peuvent développer une dépression s’ils naviguent trop sur la Toile, rapporte les Archives of Pediatric and Adolescent Medicine.
Après avoir suivi 1 041 adolescents âgés de 13 à 18 ans, on dénote que les plus accros sont deux fois et demie plus susceptibles de vivre une dépression que les autres.
 
Pour l’étude, 90 % des étudiants ont déclaré naviguer normalement sur le Web, 6,2 % ont été décelés comme des cas pathologiques et 0,2 % d’entre eux étaient gravement pathologiques.
 
L’état psychologique des jeunes a été réévalué six mois après le début de l’étude et ceux qui naviguaient de façon incontrôlable étaient plus dépressifs.
 
« Ce résultat porte à croire que les jeunes gens qui n’ont à la base aucun problème de santé mentale, mais qui naviguent de manière pathologique, pourraient sombrer dans la dépression en raison de leur dépendance à Internet », déclarent les médecins.
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La dépression affecte la perception des couleurs

Étonnante découverte à l’Université Albert-Ludwigs en Allemagne, la dépression fait effectivement voir la vie de façon plus grisâtre.
 
Selon l’équipe du Dr Emanuel Bubl, la dépression affecte la manière dont les gens perçoivent les couleurs en les rendant moins contrastées et plus grisâtres.
 
Pour en arriver à ces résultats, les chercheurs ont réuni deux groupes de 40 personnes. Le premier groupe comprenait des personnes dépressives, mais elles n’étaient pas toutes sous médication. Dans le deuxième groupe, on ne retrouvait aucune dépression.
 
En utilisant un appareil ressemblant à un électrocardiogramme, mais qui mesure la réaction de la rétine à différents contrastes visuels, on a constaté que les personnes qui souffraient de dépression réagissaient moins aux changements de contrastes entre le noir et le blanc.
 
En fait, plus une personne était dépressive, moins elle voyait les changements. Les chercheurs pouvaient même dire si une personne était dépressive seulement avec les résultats de ce test tellement la différence était marquée entre les deux groupes.
 
Par contre, on ignore pour le moment si les résultats seraient les mêmes pour d’autres troubles mentaux, conclut le Biological Psychiatry.
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La dépression augmente les risques de démence

La dépression pourrait augmenter considérablement les risques de développer certains types de démences plus tard, dont la maladie d’Alzheimer.

Une nouvelle étude parue dans la revue Neurology renforce donc l’hypothèse d’un lien entre la dépression et la démence. Les scientifiques ne s’expliquent toutefois pas le phénomène. Par contre, on croit que l’inflammation du cerveau qui se produit lors d’une dépression peut jouer un rôle, de même que certaines protéines présentent dans le cerveau, ainsi que le style de vie de la personne.

La présente recherche a été réalisée sur 1 000 personnes qui ne souffraient pas de démence au début de l’étude. Cent vingt-cinq ont été classées comme dépressives. Après 17 ans de recherches, 164 personnes souffraient de démence, dont 136 avaient l’Alzheimer. De ces malades, 22 % avaient été classés comme dépressifs au début, comparativement à 16,6 % chez ceux qui ne présentaient pas de symptômes de dépression.

Des études plus approfondies sont maintenant nécessaires pour confirmer les résultats.

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Les cauchemars sont néfastes pour la santé

Une étude chinoise, l’une des plus vastes sur le sujet jusqu’à maintenant, établit un lien entre de nombreux problèmes de santé et les cauchemars fréquents ou chroniques.
 
Il semble qu’une personne sur 20 en souffre. Les mauvais rêves sont associés à l’insomnie, à la fatigue, aux maux de tête, mais également à un risque accru de dépression et d’anxiété.
 
Les problèmes de santé mentale, comme la dépression, sont cinq fois plus présents chez les personnes qui font des cauchemars régulièrement. Il est donc important de traiter le problème, mentionne le Daily Mail.
 
9 000 adultes ont participé à la recherche. 5,1 % faisaient des mauvais rêves au moins une fois par semaine. Les cauchemars étaient plus fréquents chez les femmes avec 6,2 %, alors que chez les hommes, le taux était de 3,8 %.
 
De plus, on a noté un lien entre la fréquence des cauchemars et les revenus ou le chômage. Les personnes à faible revenu ont 2,3 fois plus de chances de faire trois mauvais rêves ou plus par semaine, comparativement aux plus riches.
 
Parmi les cauchemars les plus fréquents, on note :
 
Une chute à 39,5 %
Être pourchassé à 25,7 %
Être paralysé à 25,3 %
Arriver en retard à un événement à 24 %
Voir une personne proche disparaître ou mourir à 20,9 %
Rêver de films d’horreur à 18,9 %
Ne pas parvenir à finir une tâche à 17,3 %
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Les oméga-3 sont efficaces contre la dépression

Une vaste étude effectuée par des chercheurs des universités de Montréal, McGill, Laval et Queen conclut que les suppléments d’oméga-3 sont efficaces pour traiter la dépression chez certaines personnes.
 
432 personnes ont participé à cette recherche qui a duré quatre ans. La moitié d’entre elles devait prendre trois capsules d’oméga-3 par jour pendant huit semaines et l’autre moitié recevait un placebo à base d’huile de tournesol.
Après quelques tests, les chercheurs ont noté que les oméga-3 pouvaient être efficaces dans les cas de dépression majeure, à la condition que la personne malade n’ait pas de troubles d’anxiété en plus. Dans ce cas particulier où les deux problèmes sont simultanés, les oméga-3 sont inefficaces.
 
Les effets des suppléments seraient comparables aux antidépresseurs traditionnels, avec lesquels il y a toutefois un fort taux d’abandon et des effets secondaires.
 
Maintenant, on souhaite comparer directement les oméga-3 et les antidépresseurs afin de confirmer l’utilité des suppléments pour combattre la dépression.
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Bientôt un médicament contre la dépression post-partum

Les Archives of General Psychiatry rapportent que des psychiatres élaborent en ce moment un complément alimentaire qui pourrait prévenir les dépressions post-partum.
 
Cette petite pilule serait entièrement composée de produits naturels et serait totalement compatible avec l’allaitement, ce qui n’est pas le cas avec les antidépresseurs. Elle aiderait à stabiliser l’humeur de la nouvelle maman.
 
La dépression postnatale touche 13 % des nouvelles mères. Celles-ci deviennent tristes, irritables, manquent d’appétit et se sentent inutiles. Dans les cas les plus graves, ces symptômes perdurent jusqu’à un an après la naissance.
 
On a découvert que la dopamine et la sérotonine, des substances qui équilibrent l’humeur dans le cerveau, sont diminuées par l’enzyme MOA-A (monoamine-oxydase A). Les femmes qui viennent d’accoucher ont un taux de MOA-A jusqu’à 43 % supérieur aux autres femmes. On souhaite donc réduire cette enzyme qui absorbe trop de dopamine et de sérotonine.
 
Rappelons que le manque de soutien et l’isolement sont les principaux facteurs des dépressions post-partum.
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Un espoir contre la dépression post-partum

Les dépressions post-partum sont courantes chez les nouvelles mamans. Naturellement, leur cerveau est en rééquilibrage des hormones et l’adaptation à leur nouvelle vie n’est pas toujours de tout repos.
 
Près de 13 % des nouvelles mères souffrent de dépression après l’accouchement.
 
Des chercheurs du Centre for Addiction and Mental Health sèment toutefois l’espoir avec leur récente découverte. Ils ont mis en évidence une enzyme qui, comme le Pac Man, engloutit les hormones du cerveau qui font que nous nous sentons bien, comme la sérotonine, la dopamine et la noradrénaline.
 
Après des essais cliniques auprès de 150 femmes, on croit que l’ajout d’acides aminés, comme le tryptophane et la tyrosine, dans l’alimentation pourrait freiner l’action de l’enzyme problématique. Ces acides aminés se transforment en sérotonine, dopamine et noradrénaline dans le cerveau, ce qui permettrait aux nouvelles mères d’éviter une dépression post-partum.
 
Des recherches plus approfondies sont maintenant nécessaires pour confirmer les résultats.
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Traiter les dépressifs avec des pulsions électriques

Une nouvelle étude confirme que les pulsions électriques sur une zone précise du cerveau peuvent soigner les dépressions, même les plus résistantes aux autres thérapies.
 
Aux États-Unis, on permettait le traitement de transcranial magnetic stimulation (TMS)depuis 2008, mais plusieurs médecins demeuraient sceptiques. Une nouvelle étude publiée dans les Archives of General Psychiatry confirme son efficacité.
 
En fait, il s’agit de réactiver les circuits cérébraux de l’humeur en administrant 3000 pulsions pendant 37,5 minutes sur le haut du côté gauche du cerveau avec une bobine électromagnétique.
 
Ce traitement est sécuritaire et présente peu d’effets secondaires. Les patients rapportent des maux de tête ou des contractions oculaires.
 
190 patients ont été recrutés pour la nouvelle étude et la moitié ont reçu le TMS. Chez ceux-ci, 14 % ont guéri de leur dépression, alors que ce taux était seulement de 5 % chez ceux n’ayant pas eu ce traitement.
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Les personnes dépressives consomment beaucoup de chocolat

Depuis longtemps, nous croyons manger plus de chocolat lorsque nous sommes déprimés. La croyance se confirme maintenant avec une étude des chercheurs de l’Université de Californie à San Diego.
 
Selon les Archives of Internal Medicine, les personnes dépressives consomment plus de chocolat et la quantité ingérée dépend de la gravité de la dépression.
 
« Dans la mesure où il s’agit d’une étude portant sur une période de temps donnée, il n’est pas possible de savoir si le fait de consommer du chocolat a accru ou décru les symptômes dépressifs », mentionne toutefois la Dre Beatrice Colomb, professeure adjointe de la faculté de médecine de l’université et coauteure de la recherche.
 
On a étudié la relation entre l’humeur et la consommation de chocolat chez 1000 adultes qui ne prenaient aucun antidépresseur et n’avaient ni maladie cardiovasculaire ni diabète.
 
Chaque participant a mentionné la quantité de chocolat qu’il mangeait par semaine et son degré de dépression a été classé selon une échelle créée par le Center for Epidemiology Studies.
 
On constate que les personnes les plus dépressives consomment 12 portions de chocolat par mois, une portion équivalant à 28 grammes. Les moins dépressifs ne mangent que 5 portions mensuellement.