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La dépression fait fumer davantage

Les adultes souffrant de dépression, même légère, sont plus susceptibles de fumer que les personnes non dépressives, selon une nouvelle étude américaine.
 
43 % des adultes dépressifs de 20 ans et plus fument au moins un paquet par jour, comparativement à 22 % des personnes qui ne souffrent pas de dépression, rapporte le Centre national américain des statistiques de santé.
 
Chez les plus âgés, le phénomène est encore plus important puisque l’on note que plus de la moitié des hommes de 40 à 54 ans qui souffrent de dépression fument, alors que chez ceux en bonne santé mentale, ils sont moins de 25 %. Chez les femmes de 20 à 39 ans, c’est la moitié des dépressives qui fument.
 
De plus, non seulement les dépressifs fument davantage, mais ils sont aussi ceux pour qui arrêter est le plus difficile, selon l’étude.
 
La dépression affecte souvent le sommeil et l’appétit, elle cause une fatigue excessive, un sentiment d’inutilité, de culpabilité et une libido quasi inexistante.
 
Environ 7 % de la population américaine est touchée par la dépression.
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Un lien entre le plomb dans le sang et la dépression

Alors que le plomb peut être nocif, voilà qu’une nouvelle étude conjointe entre le Canada et les États-Unis affirme qu’une exposition au plomb, même faible, est liée à un risque accru de dépression et de trouble panique.
 
Les chercheurs ont analysé les données recueillies entre 1999 et 2004 regroupant au total 1 987 adultes âgés de 20 à 39 ans.
 
134 ont reçu un diagnostic de dépression, 44 avaient un trouble panique et 47 souffraient d’anxiété. Leur concentration moyenne de plomb était de 1,61 microgramme par décilitre de sang.
 
Ceux qui présentaient le taux de plomb dans le sang le plus élevé avaient 2,3 fois plus de risques de souffrir de dépression, comparativement à ceux présentant le plus faible taux. Pour les troubles panique, les chances étaient multipliées par cinq pour ces mêmes groupes.
 
Pour l’étude, on a retiré les 628 fumeurs, car la cigarette augmente le taux de plomb.
 
« Il ne semble pas y avoir de concentration acceptable de plomb. On sait déjà que les enfants sont très vulnérables à l’exposition de plomb, qui nuit à leur développement intellectuel », mentionne l’auteure principale de la recherche, Maryse Bouchard, chercheuse au département de santé environnementale de l’Université Harvard.
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Le massage pour traiter la dépression

L’American Journal of Psychiatry rapporte que la massothérapie pourrait aider à soulager des symptômes de la dépression.
 
Par contre, il est plutôt difficile d’évaluer les réels effets du massage, mais les preuves recueillies suggèrent que le massage pourrait être un traitement efficace.
 
Reconnus pour soulager le stress et les tensions, les massages pourraient donc ainsi jouer un rôle sur l’état émotionnel de la personne massée. Dans 13 des 17 études analysées, on comparait le massage à d’autres thérapies comme les herbes chinoises, les techniques de relaxation et le repos. Le massage aurait un potentiel prometteur contre les dépressions, car il aide à relaxer.
 
Des recherches supplémentaires devront être réalisées afin de savoir si la massothérapie agit véritablement sur les symptômes de la dépression. Si oui, cela pourrait être un traitement complémentaire dans certains cas.
 
De plus en plus courantes, les dépressions sont parfois difficiles à traiter, car il arrive que cela prenne un moment avant de trouver la bonne dose du bon médicament nécessaire à chacun des patients.
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L’obésité rend dépressif et la dépression rend obèse

Des psychiatres néerlandais affirment que l’obésité et la dépression seraient intimement liées.
 
En fait, être obèse déprime et être déprimé fait grossir. Selon une étude de l’Université de Leyde, qui s’est penchée sur 15 études totalisant 59 000 personnes, les gens qui souffrent d’obésité auraient 55 % plus de risques de développer une dépression, alors que les dépressifs ont 58 % plus de chances de devenir obèses.
 
Par le passé, les spécialistes avaient émis une théorie voulant que l’obésité soit souvent le résultat d’une dépression et cela semble maintenant plausible. Elle pourrait aussi être un effet secondaire des antidépresseurs.
 
Dans les dernières années, les taux de dépression et d’obésité sont en hausse. Dans le monde, plus de 1,6 milliard de personnes seraient en surpoids et plus de 400 000 d’entre elles seraient obèses.
 
Voilà donc une des raisons pour lesquelles on tente de trouver un moyen de contrer ce fléau qui cause bien des soucis de santé, comme l’hypertension, le diabète, l’apnée du sommeil et les maladies cardiovasculaires par exemple.
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Les plantes pour une bonne santé mentale

Health News mentionne que la phytothérapie est de plus en plus utilisée et reconnue. Il s’agit de se servir des plantes pour les objectifs médicinaux. Elles sont souvent consommées sous forme de suppléments alimentaires.
 
Il est fréquent que l’hiver, avec l’excès de boulot et le manque de soleil, des signes de dépression se fassent sentir. Il existe pourtant des plantes qui peuvent vous donner un regain d’énergie.
 
Par exemple, le millepertuis est reconnu pour soulager les dépressions légères et modérées. La bergamote permet de régler l’horloge biologique interne du corps.
 
Une plante comme la valériane est même reconnue par l’Organisation mondiale de la santé pour ses propriétés calmantes qui réduisent l’anxiété. La mélisse agit contre les estomacs noués, diminue les douleurs digestives et a des vertus relaxantes.
 
L’éleuthérocoque, surnommé le ginseng de Sibérie, est un bon antistress et sa racine aide le corps à résister au surmenage.
 
Le ginseng est reconnu pour ses nombreux bienfaits sur le corps, dont son action contre le stress et sa capacité à retarder l’épuisement. Finalement, le rhodiola augmente aussi les capacités du corps à résister au stress.
 
Ne sont nommés ici que quelques exemples de plantes que suggère le site internet Health News.
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L’acupuncture pour traiter la dépression durant la grossesse

L’acupuncture pourrait s’avérer être un traitement efficace et sans danger pour les femmes qui attendent un enfant. C’est ce que des chercheurs américains ont rapporté durant la rencontre annuelle sur la grossesse qui a eu lieu à Chicago.
 
La dépression durant la grossesse est particulièrement difficile à traiter parce que les antidépresseurs peuvent être très dangereux pour le fœtus et affecter son développement.
 
Près de 10 % des femmes enceintes souffrent de dépression et 20 % d’entre elles voient leur état s’aggraver au cours de leur grossesse.
 
L’étude a été réalisée avec 150 participantes et on conclut que l’acupuncture pourrait être une option particulièrement efficace pour les futures mères.  De plus, cette méthode serait sans danger pour le bébé à naître.
 
Faire une dépression durant la grossesse représente non seulement un problème pour la mère, mais aussi pour le bébé et la famille qui entoure la maman.
 
L’acupuncture est donc une option intéressante et les femmes enceintes devraient en discuter avec leur médecin soignant.
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L’Internet cause-t-il la dépression?

Le journal Psychopathology rapporte des résultats préoccupants d’une étude sur le comportement de navigation internet des gens.
 
1 319 personnes âgées de 16 à 51 ans ont répondu à un questionnaire en ligne sur l’utilisation qu’elles faisaient de l’Internet et leur tendance dépressive.
 
On constate que 1,2 % des internautes sont totalement dépendants du Web au point d’être incapables de limiter leur temps de navigation et ainsi négligent non seulement leurs activités quotidiennes, mais aussi leurs relations sociales.
 
Alors que plusieurs personnes se servent du Web comme outil de paiement pour leurs factures, pour envoyer des courriels ou s’informer, d’autres passent le plus clair de leur temps sur des sites de réseaux sociaux comme Facebook ou sur des sites de clavardage. Leur vie sociale dans la réalité s’en trouve à ce point négligée qu’elle devient même inexistante.
 
On note que ces personnes dépendantes ont plus de risques de vivre une dépression modérée ou sévère. Par contre, les chercheurs souhaitent effectuer de nouvelles études pour savoir si c’est l’Internet qui cause la dépression ou si ce sont les personnes dépressives qui naviguent le plus sur le Web.
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Les antidépresseurs seraient bien souvent inefficaces

Une équipe de chercheurs de l’Université de Pennsylvanie vient de remettre en question l’efficacité des médicaments antidépresseurs.

Après une méta-analyse de six essais cliniques étendus qui comparaient différents antidépresseurs tandis que les patients recevaient un placebo, on arrive à la conclusion que les antidépresseurs, comparés au placebo, n’ont aucun effet ou des effets négligeables sur les dépressions légères ou modérées. Par contre, les cas de dépressions graves arrivent à être bien traités.

Ces résultats sont plutôt surprenants, selon le Dr Jay Fournier qui a dirigé la recherche. Plusieurs patients souffrant de dépressions légères ou modérées reçoivent des prescriptions d’antidépresseurs, mais cette nouvelle étude démontre clairement que les médicaments sont donnés pour rien.

Ainsi, le public et peut-être même les médecins ignorent que l’efficacité de ce type de traitement est uniquement basée sur des essais cliniques avec des cas de dépressions majeures. Une donnée importante qui est écartée en ce moment.

Tous les résultats de cette étude américaine ont été publiés dans le Journal of American Medical Association.

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Les naissances prématurées reliées aux problèmes de comportement

Maintenant que les chances de survie des bébés prématurés ont été grandement améliorées, il est possible d’évaluer l’impact d’une telle naissance sur le développement.

Selon la revue Pediatrics, une étude du Collège de médecine de l’Université de l’Iowa révèle que les naissances prématurées causent souvent des problèmes de comportement plus tard.

On a évalué le dossier de 104 enfants. 49 d’entre eux étaient nés très prématurément, soit entre la 24e et la 33e semaine de grossesse, avec un poids se situant entre 2,2 et 3,3 kilos.

On a étudié ces jeunes âgés de 7 à 16 ans et on a constaté que bien que leur quotient intellectuel était normal, ces jeunes étaient souvent hyperactifs ou souffraient d’un déficit d’attention. De plus, il y avait plus de risques qu’ils présentent des symptômes de dépression et d’anxiété.

La plupart n’avaient toutefois pas de troubles majeurs. On a conclu que 18 % étaient hyperactifs ou avait un déficit d’attention qui nécessitait un suivi médical rigoureux, alors que 14 % étaient dépressifs et anxieux.

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La médecine douce contre la dépression

Des psychiatres et chercheurs du Canadian Network for Mood and Anxiety se sont penchés sur les alternatives de la médecine douce comme traitement de la dépression.

Ils ont analysé des études effectuées entre 2000 et 2008. En effet, dans les cas de dépressions légères à modérées, il existe des alternatives intéressantes à la prise d’antidépresseurs ou encore comme complément à cette thérapie traditionnelle.

D’abord, on reconnaît au bien connu millepertuis des effets qui s’apparentent à la dernière génération d’antidépresseurs. Il faut toutefois éviter de prendre du millepertuis avec des antidépresseurs. L’oméga-3 également donne des preuves suffisantes de son efficacité contre la maladie, mais cette fois avec les médicaments d’ordonnance.

On a aussi examiné la luminothérapie et celle-ci, au fil des ans, s’est montrée particulièrement efficace contre la dépression saisonnière. Une exposition quotidienne à une lumière intense pendant 30 minutes, le matin de préférence, diminue les symptômes de l’état dépressif.

On s’est également penché sur le supplément alimentaire composé de S-adénosyl-L-méthionine, couramment appelé SAMe. Celui-ci agit sur les neurotransmetteurs et devrait être considéré seulement en traitement secondaire.

Finalement, le 5-HTP ne semble pas présenter de résultats concluants contre la dépression.

De plus, on ajoute que l’activité physique et le yoga sont également des alternatives en compléments des antidépresseurs pour contrer les dépressions légères et modérées.