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Le régime méditerranéen contre la dépression

Les personnes qui suivent le régime méditerranéen ont moins tendance à souffrir de dépression.

La nourriture méditerranéenne se compose surtout de fruits, légumes, grains entiers, noix et poissons. Selon une étude espagnole, cela aurait des effets bénéfiques pour la santé, tant physique que mentale.

Pour les besoins de la recherche, on a suivi plus de 10 000 adultes pendant 4 ans. Au départ, personne ne présentait de symptômes de dépression. Ils devaient répondre à un questionnaire qui déterminait dans quelle mesure ils suivaient l’alimentation méditerranéenne. Les personnes étaient ensuite divisées en cinq groupes.

Après l’étude, on a diagnostiqué 480 personnes dépressives. Celles ayant adopté le régime méditerranéen avaient un taux de dépression de 30 % inférieur aux autres.

On attribut cela aux combinaisons d’aliments qui donnent un apport important en oméga-3, en acides gras insaturés, en nombreux antioxydants et vitamines. Toutefois, on ignore encore comment cela agit sur le système nerveux.

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Une mauvaise alimentation augmente les risques de dépression

Non seulement une mauvaise alimentation cause des problèmes de santé physique, mais elle entraîne également un risque accru de dépression.

Le British Journal of Psychiatry rapporte que des chercheurs de l’University College de Londres ont analysé l’alimentation de 3 500 personnes pendant cinq ans, tout en observant leur état mental.

Après avoir tenu compte de différents facteurs comme le sexe, l’âge, l’éducation, le tabagisme et les maladies chroniques, on a noté une grande différence entre les personnes qui se nourrissaient surtout de légumes, de fruits et de poissons et celles qui mangeaient des aliments transformés comme la friture, les desserts sucrés, les viandes transformées et les produits laitiers gras.

Les sujets qui avaient une alimentation équilibrée n’avaient que 26 % des chances d’avoir une dépression future, comparativement à 58 % chez l’autre groupe.

On explique cela par le fait que les aliments sains augmentent le taux d’antioxydants et offrent une meilleure protection en raison de la combinaison de différents nutriments essentiels, ce qui diminue les risques de dépression.

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Dépression et anxiété chez les tout-petits

Une étude québécoise révèle qu’un enfant sur sept aura un niveau élevé de dépression et d’anxiété avant même de faire son entrée à l’école. Malheureusement, en grandissant, cela ne s’améliore pas.

L’étude a été menée par une équipe du Laboratoire international sur la santé mentale de l’enfant et de l’adolescent attaché à l’Université de Montréal.

Les mères de 1 759 jeunes enfants ont été questionnées à trois reprises sur le comportement de leur rejeton au cours des cinq premières années de leur vie. Après analyse, les chercheurs ont établi quelques facteurs de risque qui prédisposent certains tout-petits à développer les problèmes.

On retrouve le tempérament difficile et capricieux des nourrissons de cinq mois et aussi le fait que la mère ait eu des périodes dépressives. Bien entendu, il y aurait également un possible lien génétique qu’il reste encore à approfondir.

Ces résultats alarmants démontrent qu’il est important de soutenir non seulement l’enfant, mais aussi la mère, afin de diminuer les risques de souffrir de dépression et d’anxiété à un si jeune âge.

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L’optimisme pour vivre vieux

Selon des chercheurs de l’Université de Pittsburgh, les femmes optimistes ont moins de risque de développer des maladies cardiovasculaires que celles qui sont déprimées. Elles sont également moins nombreuses à mourir prématurément que celles au tempérament hostile et cynique.

Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs américains ont suivi 97 252 femmes postménopausées, âgées de 50 à 79 ans, sur une période de huit ans.

Au début de l’étude, les participantes ont répondu à un questionnaire afin de mesurer leur niveau d’optimisme. Aucune n’avait de maladies cardiovasculaires.

Après des suivis annuels au cours des huit années, les femmes optimistes étaient 9 % moins nombreuses à avoir développé des maladies cardiovasculaires et 14 % moins nombreuses à avoir connu une mort prématurée.

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La dépression augmente les risques pour les futurs bébés

Moins connue que la dépression post-partum, la dépression durant la grossesse aurait une incidence sur la santé des futurs bébés.

Selon une récente étude, des experts mentionnent que les femmes dépressives durant la grossesse avaient plus de chance de donner naissance à un bébé prématuré.

Il semblerait que ce phénomène soit plus fréquent qu’on ne le croit et qu’une ou deux femmes sur 10 présenteraient des symptômes de dépression.

Sur 791 femmes enceintes, 44 % présentaient des symptômes dépressifs et près de la moitié d’entre elles en avaient de sévères.

Ainsi, les femmes avaient deux fois plus de chance de donner naissance à leur enfant avant 37 semaines. Les prématurés représentent la principale cause de mortalité infantile.   

On suggère aussi que les femmes évitent le plus possible les antidépresseurs qui ne sont pas la seule option. Une thérapie ou simplement pouvoir parler, notamment avec un groupe de soutien, pourrait aider les futures mères à se sentir mieux.

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Les enfants, non épargnés par la dépression

Une recherche, dont les détails sont publiés dans The Journal of Child Psychology and Psychiatry, nous apprend que la dépression et l’anxiété touchent environ 15 % des enfants d’âge préscolaire.

De plus, les chercheurs ont également découvert que ces troubles psychologiques chez les bambins sont souvent liés à ceux de leur mère, qui avait des antécédents de dépression.

« Dès la première année, il existe des indications voulant que certains enfants soient plus à risque que d’autres de développer de hauts niveaux de dépression et d’inquiétude. Un tempérament difficile à cinq mois s’est avéré le plus important trait prédictif de la dépression et de l’anxiété chez l’enfant », a expliqué l’un des auteurs de l’étude, la Dre Sylvana M. Côté, du Département de médecine sociale et préventive de l’Université de Montréal.

Les chercheurs ont observé 1 758 enfants âgés de cinq mois à cinq ans pour en arriver à cette conclusion.

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L’exercice physique contre la fatigue

Le Dr Claudio Battaglini, de l’Université de Caroline du Nord à Chapel Hill, affirme que l’exercice physique diminue les symptômes de fatigue et de dépression attribués aux traitements pour les patients atteints de leucémie.

Ce dernier a travaillé avec 10 sujets qui pratiquent un sport malgré leur hospitalisation due aux traitements de leur maladie. Ces derniers ont ensuite poursuivi des séances d’étirement et d’aérobie adaptées pendant deux semaines.

« Nous avons découvert que ces patients avaient une réduction significative des symptômes de dépression et de fatigue, en plus d’une meilleure endurance cardiorespiratoire et musculaire », ont fait savoir les auteurs de cette étude publiée dans Integrative Cancer Therapies.

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Le statut d’employé et la dépression

Selon Amélie Quesnel-Vallée, sociologue à l’Université McGill, le statut précaire chez les employés semble avoir des conséquences sur leur santé mentale.

« Il semble que les travailleurs temporaires, qui ne peuvent compter sur un emploi stable à long terme, sont susceptibles de voir leur santé mentale décliner, et ce, aussi longtemps qu’ils continuent d’occuper des fonctions pouvant être perçues comme " jetables " ou " de deuxième classe " », a expliqué cette dernière lors de l’assemblée annuelle de l’Association américaine de sociologie.
 
Parmi les conséquences observées, on note davantage de symptômes de dépression et de détresse psychologique que chez les employés bénéficiant d’un statut permanent au sein d’une entreprise.
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La santé psychologique, une affaire familiale

Une recherche effectuée auprès de 981 patients de la Nouvelle-Zélande, de leur troisième à leur 32e anniversaire, a permis de démontrer l’importance des antécédents familiaux en matière de dépression, d’anxiété et d’abus d’alcool ou de drogue.

« Nous avons découvert que l’historique familial est associé à la présence ou non de ces troubles mentaux, à leur récurrence et à la sévérité des symptômes », a fait savoir l’un des auteurs, le Dr Barry J. Milne de l’Université d’Auckland.

Selon les chercheurs, cette découverte peut sans doute permettre de diagnostiquer plus rapidement ces troubles psychologiques et s’avérer une avenue à explorer pour les traitements.

Tous les détails de cette recherche sont publiés dans la revue spécialisée Archives of General Psychiatry.

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Les troubles mentaux mauvais pour le coeur

Une nouvelle étude, publiée dans la revue Circulation, démontre que ltroubles dépressifs et anxieux auraient une forte incidence sur la santé cardiaque.

Selon le Dr Mark Sullivan, professeur en psychiatrie et en sciences du comportement à l’Université de Washington, l’anxiété et la dépression augmentent les risques d’angine de poitrine, cette douleur qui envoie les patients chez le médecin.

Le Dr Sullivan et son équipe ont étudié 191 participants ayant des problèmes d’irrigation sanguine au coeur en leur faisant subir des tests de stress sous imagerie cardiaque. Les 30 % qui souffraient d’angine de poitrine chaque jour ou chaque semaine ont subi une évaluation psychologique et ont répondu à un questionnaire sur leur niveau d’anxiété et de dépression. Les chercheurs ont conclu que 44 % de ces patients étaient anxieux et que les deux tiers avaient eu une dépression majeure.