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Le drame du Collège Dawson a laissé des séquelles

Une étude, menée par le Centre de recherche Fernand-Séguin de l’Hôpital Louis-H. Lafontaine et le Centre universitaire de santé McGill, démontre que la fusillade survenue le 13 septembre 2006 au Collège Dawson a laissé de graves séquelles chez les étudiants et le personnel.

L’étude voulait faire la lumière sur les conséquences du drame où Kimveer Gill avait ouvert le feu au Collège Dawson faisant une victime et 20 blessés. 1 000 questionnaires ont été remplis et quelques rencontres ont aussi été faites.

40 % des étudiants et employés ont mentionné avoir souffert de problèmes de santé mentale après les événements. 12 % de ceux qui ont vu ou entendu ce qui s’est produit ont vécu une dépression majeure au cours des 18 mois suivant le triste événement. La moitié de ces répondants ont eu des pensées suicidaires et 7 % ont souffert d’un violent stress post-traumatique.

L’étude fait toutefois un bilan positif de l’aide apportée aux gens après les événements, mais on note que certains groupes ont été négligés, comme le personnel de la cafétéria, qui n’est pas composé d’employés du Collège, et le personnel de soutien de l’établissement.

On recommande aussi fortement que l’aide apportée perdure au-delà des premières semaines après les événements afin de mieux aider les gens.

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L’arthrose affecte le moral des personnes atteintes

Selon une enquête menée par la firme Angus Reid Strategies, 67 % des 45 ans et plus souffrant d’arthrose affirment qu’ils ont l’impression d’être plus vieux. 54 % d’entre eux se sentent déprimés lorsque la maladie les empêche de s’adonner à leurs activités et loisirs préférés, y compris les tâches ménagères simples.

L’arthrose est une forme d’arthrite très répandue. Elle affecte 3 millions de Canadiens. Parmi les 55 ans et plus, 80 % démontrent des signes de la maladie lors des radiographies. Par contre, les symptômes, majoritairement la douleur, se font souvent sentir dès 45 ans.

Toutefois, l’étude révèle également que malgré tout, les patients souhaitent demeurer actifs et ne veulent pas laisser leur état déterminer ce qu’ils sont en mesure de faire ou non.

Pour aider à soulager les symptômes, on recommande de faire des exercices lents et réguliers, de protéger les articulations et à des traitements de chaud ou de froid.

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Au lit plus tôt!

Selon le psychiatre James Gangwisch, de l’Université Columbia à New York, l’heure du coucher pourrait jouer un rôle dans le risque de dépression et de pensées suicidaires chez les adolescents.

Le taux de troubles dépressifs est moins élevé chez les jeunes lorsque leurs parents les ont mis au lit avant 22 h, comparativement à ceux que l’on pourrait surnommer les oiseaux de nuit.

« Cette étude apporte des arguments à la théorie qui veut que la privation de sommeil soit associée à la dépression. Les adolescents que les parents ont couchés plus tôt sont moins à risque de souffrir de dépression ou d’avoir des pensées suicidaires », a fait savoir M. Gangwisch, qui a présenté les résultats de sa recherche lors du congrès annuel de l’Associated Professional Sleep Societies.

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Les bienfaits de la sieste chez l’enfant

La sieste chez les enfants de quatre à cinq ans n’est pas seulement bénéfique pour les adultes qui en prennent soin, mais également pour les petits eux-mêmes.

Selon une étude, dont on a présenté les résultats lundi dernier (8 juin) lors du congrès de l’Associated Professional Sleep Societies, les risques d’hyperactivité, d’anxiété et de dépression diminuent lorsque les bambins dorment un peu durant le jour.

Le Dr Brian Crosby, du département de psychologie de l’Université de la Pennsylvanie, a travaillé avec 62 enfants. 77 % d’entre eux avait l’habitude de faire une sieste durant le jour et il a découvert que le taux d’hyperactivité, d’anxiété et de dépression était plus élevé chez les enfants qui ne dormaient pas le jour.

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Association entre anxiété, dépression et insomnie

Une recherche effectuée auprès de 749 paires de vrais jumeaux, de 687 paires de faux jumeaux et de leurs parents insomniaques laisse entrevoir que l’association entre l’anxiété, la dépression et l’insomnie pourrait être d’ordre héréditaire.

Parmi les participants, 19,5 % des jumeaux avouaient souffrir d’insomnie, bien qu’ils soient âgés de 8 à 17 ans.

« Ce ne sont pas les jumeaux monozygotes qui avaient le risque plus élevé d’insomnie. Toutefois, dès que l’un d’entre eux est insomniaque, son jumeau est plus à risque d’avoir aussi ce trouble du sommeil que s’ils étaient dizygotes », a expliqué l’auteur derrière ces résultats, le Dr Philip Gehrman du département de psychiatrie de l’Université de la Pennsylvanie.

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La dépression, un signe annonciateur du Parkinson

Une nouvelle étude démontre que les symptômes dépressifs seraient le premier élément de la maladie de Parkinson. Ils précèderaient les tremblements et la rigidité des muscles.

Les chercheurs ont découvert qu’une thérapie avec antidépresseurs était associée à un risque accru de développer le Parkinson dans les deux années suivantes.

Bien qu’on ait établi un lien entre les deux maladies, on ignore si l’une cause l’autre ou si elles découlent de mécanismes communs.

Sur les patients observés qui avaient commencé à prendre des antidépresseurs, les risques d’avoir le Parkinson augmentaient de 85 %.

On suggère aux personnes qui présentent des signes de dépression et qui commencent à avoir des problèmes de circulation de consulter afin d’écarter la possibilité d’un début de Parkinson.

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Le dodo contre la dépression post-partum

Une recherche menée par l’équipe du Dr Meir Steiner, de la clinique Women’s Health Concerns d’Hamilton, en Ontario, démontre que l’on pourrait éviter davantage la dépression post-partum chez les nouvelles mamans avec plus de sommeil.

En 2005, le chercheur a instauré un programme pour les patientes qui avaient souffert de ce trouble et qui appréhendaient une autre grossesse. Ce programme consistait à augmenter les jours d’hospitalisation à cinq pour les nouvelles mamans et leur poupon, placé en pouponnière quelques heures durant la nuit.

« L’idée est de prévenir le manque de sommeil qui semble être le pire ennemi des femmes qui présentent un risque », a expliqué le Dr Meir Steiner.

Devant le succès qu’a connu l’initiative de M. Steiner, sept centres hospitaliers de l’Ontario ont choisi de l’adopter.

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Association entre le cancer et la dépression

Une recherche menée sur des rats et publiée dans le Proceedings of the National Academy of Sciences a prouvé que la dépression chez les cancéreux pourrait être causée par la tumeur elle-même, et non par une réaction liée au stress provoqué par la maladie.

Selon le U.S. National Cancer Institute, environ 15 à 20 % des patients ayant reçu un diagnostic de cancer présentent des symptômes liés aux troubles dépressifs.

Les scientifiques ont remarqué que les rongeurs avec un cancer étaient moins motivés à s’échapper lorsqu’on les faisait nager. Ils refusaient également de boire de l’eau sucrée, une friandise qu’ils apprécient généralement.

De plus, l’équipe du Dr Brian Prendergast, de l’Université de Chicago, a découvert que ces rats présentaient un taux plus élevé de corticostérone, une hormone de stress.

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Association entre le cancer et la dépression

Une recherche menée sur des rats et publiée dans le Proceedings of the National Academy of Sciences a prouvé que la dépression chez les cancéreux pourrait être causée par la tumeur elle-même, et non par une réaction liée au stress provoqué par la maladie.

Selon le U.S. National Cancer Institute, environ 15 à 20 % des patients ayant reçu un diagnostic de cancer présentent des symptômes liés aux troubles dépressifs.

Les scientifiques ont remarqué que les rongeurs avec un cancer étaient moins motivés à s’échapper lorsqu’on les faisait nager. Ils refusaient également de boire de l’eau sucrée, une friandise qu’ils apprécient généralement.

De plus, l’équipe du Dr Brian Prendergast, de l’Université de Chicago, a découvert que ces rats présentaient un taux plus élevé de corticostérone, une hormone de stress.

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Un traitement innovateur contre la dépression majeure

Une technique de stimulation du cerveau améliore les symptômes liés à la dépression majeure, selon des chercheurs qui ont présenté les résultats de leurs travaux au congrès annuel de l’Association américaine des neurochirurgiens se déroulant à San Diego.

« En moyenne, nos patients ont souffert de dépression pendant 27 ans et ont utilisé 10 types de médication sans succès. Leur dernier épisode de dépression a duré environ six ans. Ce sont des gens très malades qui avaient très peu d’options », a expliqué le Dr Emad Eskandar, l’auteur principal de cette recherche.

Le chercheur a installé sur le crâne des électrodes qui émettaient de faibles pulsations électriques qui bloquaient l’activité cérébrale liée à la dépression.

Pendant huit semaines, une douzaine de patients ont reçu ce nouveau traitement. Ils ont avoué ensuite que leur qualité de vie était améliorée de 25 à 30 %.