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Bébé et cie

L’exercice ne diminue pas le risque de dépression des enfants

La recherche publiée dans la revue JAMA Pediatrics et rapportée par Science World Report a été menée auprès de 736 participants dont la moyenne d’âge était 14 ans. Ils étaient suivis pendant 3 ans.

Durant cette période, leur niveau de dépense énergétique lors d’activités, ainsi que le niveau de l’exercice (modéré à vigoureux) était pris en considération. En parallèle, les jeunes devaient répondre à des questionnaires quant à leur état d’esprit et leur humeur.

Au final, il n’y avait aucune corrélation entre l’activité physique à 14 ans et les situations dépressives à 17 ans.

« Notre résultat ne doit pas éliminer l’activité physique comme une option ayant des conséquences positives sur l’humeur dépressive dans la population en général », informe le Dr Umar Toseeb de l’Université de Cambridge. « On doit plutôt considérer que pendant l’adolescence, son effet est minime à inexistant. »

Le Dr Toseeb rappelle qu’il y a beaucoup d’autres bienfaits à l’activité physique modérée à intense sur la santé, même pour les adolescents.

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L’intimidation entre frères et soeurs, une autre réalité

Un nouvel article publié dans la revue scientifique Pediatrics et rapporté par Science World Report révèle les résultats de la recherche menée par Dieter Wolke et son équipe.

Un adolescent intimidé par des frères ou sœurs plusieurs fois par semaine a deux fois plus de risques d’être déclaré dépressif lorsqu’il devient un jeune adulte. Il a aussi deux fois plus de risques de s’automutiler.

« Les formes d’intimidation où les victimes se retrouvent dans la cour d’école ou au travail ont été bien documentées, mais cette étude met en lumière une forme cachée de menaces », indique Wolke.

Près de 7000 enfants de 12 ans ont répondu à un questionnaire sur l’intimidation fraternelle. En tout, 786 jeunes en étaient victimes. Un suivi auprès d’eux à 18 ans a démontré que 12,3 % étaient en dépression, 14 % s’étaient automutilés dans l’année en cours, et 16 % souffraient d’anxiété.

Selon le chercheur, il est essentiel que les parents interviennent et établissent des « règles claires » quant aux conflits au sein de leur famille.

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Un test sanguin pour dépister la dépression

Selon une nouvelle recherche publiée dans la revue scientifique Translational Psychiatry, cette possibilité serait désormais à nos portes.

À priori, les chercheurs ne s’attendaient pas du tout à de tels résultats. Ceux-ci se révèlent concluants malgré le mince échantillonnage utilisé lors de l’étude.

« Nous avons regardé des échantillons de sang avant que les patients reçoivent une thérapie cognitive comportementale », explique l’auteure principale de l’étude, Eva Redei. « Nous avons été en mesure d’identifier un modèle qui nous dictait si un patient répondrait ou non à la thérapie. »

L’étude de Redei a duré 18 semaines. 40 % des patients évalués ont expérimenté un autre épisode dépressif pendant cette période, et les tests sanguins de ceux-ci comprenaient tous les mêmes différences au niveau de 3 gènes spécifiques.

Le test sanguin utilisé, rapporte Science World Report, mesurait 9 différents marqueurs génétiques de l’ARN afin de déterminer le taux de réussite de la thérapie cognitive.

Dr Glen Elliott, psychiatre en chef et directeur médical du Chidren’s Health Council à Palo Alto, en Californie, croit qu’il s’agit d’une percée importante pour déceler les troubles psychiatriques majeurs et espère développer un test qui sera approuvé par la FDA (Food and Drug Administration).

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Le burn-out est-il si grave?

Même si le burn-out, traduit par l’auteure du livre mot à mot par « se consumer », est de plus en plus répandu, ses symptômes et conséquences sont souvent ignorés volontairement par celui ou celle qui vit cet épisode d’épuisement physique et émotionnel.

Selon le psychiatre Patrick Légeron, rapporte Le Figaro, le burn-out n’est pas répertorié comme une maladie mentale, mais il peut atteindre ceux qui semblent les plus solides. Le PDG d’une multinationale, un médecin réputé, un employé dévoué… et la seule solution est l’arrêt de travail, qu’ils le veuillent ou non.

« C’est une pathologie sévère avec une prise en charge thérapeutique lourde », explique le Dr Légeron.

Le risque de suicide qui accompagne le burn-out constitue le premier élément que le médecin vérifiera. Il faudra également traiter l’anxiété et peut-être même la dépression qui l’accompagne. Il se peut aussi qu’on vous prescrive un changement de profession!

Soyez donc attentif aux symptômes, puisqu’ils ne se présentent pas du jour au lendemain. La fatigue sera la première à vous assaillir, sans que vous puissiez pour autant dormir, parce que vous serez rongé par l’angoisse.

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Le burn-out est-il si grave?

Même si le burn-out, traduit par l’auteure du livre mot à mot par « se consumer », est de plus en plus répandu, ses symptômes et conséquences sont souvent ignorés volontairement par celui ou celle qui vit cet épisode d’épuisement physique et émotionnel.

Selon le psychiatre Patrick Légeron, rapporte Le Figaro, le burn-out n’est pas répertorié comme une maladie mentale, mais il peut atteindre ceux qui semblent les plus solides. Le PDG d’une multinationale, un médecin réputé, un employé dévoué… et la seule solution est l’arrêt de travail, qu’ils le veuillent ou non.

« C’est une pathologie sévère avec une prise en charge thérapeutique lourde », explique le Dr Légeron.

Le risque de suicide qui accompagne le burn-out constitue le premier élément que le médecin vérifiera. Il faudra également traiter l’anxiété et peut-être même la dépression qui l’accompagne. Il se peut aussi qu’on vous prescrive un changement de profession!

Soyez donc attentif aux symptômes, puisqu’ils ne se présentent pas du jour au lendemain. La fatigue sera la première à vous assaillir, sans que vous puissiez pour autant dormir, parce que vous serez rongé par l’angoisse.

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Dépression : la principale cause de suicide à travers le monde

On croyait de prime abord que la dépression était surtout le fardeau des pays industrialisés. Or, on réalise, selon theconversation.com, que le problème est mondial, aussi bien dans les pays à moyen et faible revenus.

Un nouveau rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) apporte un regard neuf sur le taux de suicide dans les pays moins développés. Celui-ci représente 75 % des suicides de la planète. La cause principale? La dépression.

Au Royaume-Uni, les données indiquent que les deux tiers des gens à tendance suicidaire sont dépressifs. On déplore que la dépression ne soit jamais en gros titre dans les journaux, mis à part lorsqu’il s’agit d’une personne célèbre.

Ce sont les personnes de plus de 70 ans qui sont le plus à risque d’attenter à leur vie. Cependant, chez les 15 à 29 ans, il s’agit de la 2e cause la plus importante de décès. Pour déterminer le nombre de tentatives sans réussite, il faut multiplier le nombre de suicides par 20.

En d’autres termes, annuellement, 20 millions de personnes essaient de s’ôter la vie.

Les pays où le taux de suicide est plus élevé sont ceux, bien souvent, où l’aide psychologique est limitée, voire quasi absente, ou inadéquate.

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Dépression : la principale cause de suicide à travers le monde

On croyait de prime abord que la dépression était surtout le fardeau des pays industrialisés. Or, on réalise, selon theconversation.com, que le problème est mondial, aussi bien dans les pays à moyen et faible revenus.

Un nouveau rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) apporte un regard neuf sur le taux de suicide dans les pays moins développés. Celui-ci représente 75 % des suicides de la planète. La cause principale? La dépression.

Au Royaume-Uni, les données indiquent que les deux tiers des gens à tendance suicidaire sont dépressifs. On déplore que la dépression ne soit jamais en gros titre dans les journaux, mis à part lorsqu’il s’agit d’une personne célèbre.

Ce sont les personnes de plus de 70 ans qui sont le plus à risque d’attenter à leur vie. Cependant, chez les 15 à 29 ans, il s’agit de la 2e cause la plus importante de décès. Pour déterminer le nombre de tentatives sans réussite, il faut multiplier le nombre de suicides par 20.

En d’autres termes, annuellement, 20 millions de personnes essaient de s’ôter la vie.

Les pays où le taux de suicide est plus élevé sont ceux, bien souvent, où l’aide psychologique est limitée, voire quasi absente, ou inadéquate.

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Bientôt on modifiera artificiellement vos émotions

Des chercheurs rapportent que c’est à l’aide du xénon, un gaz servant à l’anesthésie, qu’on pourrait faire en sorte que les souvenirs traumatisants soient oubliés.

Science World Report mentionne que les experts souhaitent remplacer la mémoire de certains événements, en grande partie pour traiter toute forme de dépression, par des souvenirs positifs. La recherche a été publiée, entre autres, dans la revue PLOS ONE.

En psychiatrie, on essaie de faire rappeler aux patients des souvenirs positifs pour remplacer ceux qui sont associés à un traumatisme, rapporte Health Day. Cette méthode réduit l’effet du mauvais souvenir.

Dans le cas présent, on stimule volontairement une partie du cerveau, le gyrus dentelé, afin d’inverser des émotions reliées à un souvenir. Le tout a été testé sur des souris, à l’aide d’un implant de fibre optique au niveau du cerveau, et les résultats se sont avérés très concluants.

Les scientifiques espèrent réaliser le même exploit, apparemment avec le gaz anesthésiant, sur les humains souffrant de divers troubles mentaux.

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La dépression : effet secondaire du cancer

Les statistiques au Royaume-Uni, basées sur une recherche auprès de plus de 21 000 patients atteints du cancer, sont alarmantes. Elles démontrent que ces patients sont beaucoup plus nombreux que le reste de la population à souffrir de dépression sévère.

Les résultats de cette récente étude ont été publiés dans la revue The Lancet Psychiatry, notamment.

On a également analysé un nouveau programme offert pour traiter la dépression spécifiquement auprès des personnes atteintes de cancer. Il s’agit d’une nouveauté qui déploie systématiquement une équipe de spécialistes, incluant des infirmières et psychiatres, pour travailler avec le patient.

Ceux-ci offrent la possibilité d’un traitement à l’aide d’antidépresseurs, accompagnés d’un soutien psychologique, informe Science World Report.

En comparant l’état de santé du patient profitant de ce programme avec les autres, ils ont vite réalisé les bienfaits, même à long terme, de celui-ci.

62 % des patients soumis au programme répondaient au traitement, avec la moitié d’entre eux présentant une diminution significative des symptômes de la dépression, et ce, pendant au moins 1 an. Au sein de l’autre groupe, seulement 17 % se retrouvaient dans un meilleur état d’esprit.

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Donner le sein pour éviter la dépression

L’étude à laquelle se réfère bbc.com a été menée auprès de 14 000 nouvelles mamans. Le risque de dépression post-partum pourrait être atténué jusqu’à 50 % chez les femmes qui allaitent.

Cependant, l’envers de la médaille est moins reluisant. Celles qui planifieraient de donner le sein à leur enfant et qui n’y arrivent pas, pour différentes raisons, doubleraient alors le risque de dépression.

La recherche a été publiée dans la revue Maternal and Child Health et avait comme objectif de justifier le soutien à apporter aux femmes qui ne peuvent pas allaiter.

Si on ne parle que de statistiques, il est recommandé de nourrir l’enfant au lait maternel pendant les 6 premiers mois de sa vie. Néanmoins, comme l’indiquent les spécialistes de l’Université de Cambridge, on a tendance à oublier les conséquences émotionnelles chez la mère.

« Les femmes qui voulaient allaiter, mais n’ont pas pu sont celles qui avaient le plus haut risque de dépression de tous les groupes », rapporte Dre Maria Lacovou.

Elle affirme qu’il faut « s’assurer de garder un œil sur ces femmes » et mettre à leur disposition un service de soutien approprié.